Témoignages

« Dans le cadre des voyages que L'initiative m'a amené à faire en Amérique latine et en Afrique, j'ai appris que le Canada est bien connu pour la très haute qualité de vie qu'il offre à sa population. Grâce à la position très enviable du Canada dans le monde, ce dernier prouve qu'il dispose de l'intégration des institutions, de la technologie et de la capacité appropriées pour gérer ses ressources. Le cadre urbain d'une ville moyenne de classe mondiale, avec tous les enjeux qu'une telle situation comporte au niveau de l'infrastructure, de la capacité institutionnelle et de l'environnement, nous offre une excellente vitrine pour faire valoir cette capacité. »

Rui de Carvalho, président de R. J. Burnside International

• L'IVD focalise sur le développement économique durable plutôt que sur la vente plus traditionnelle de produits et de services environnementaux. Partout dans le monde, on reconnaît que le développement durable est un outil très important de la croissance économique et de l'amélioration de la qualité de vie. Présentés dans ce contexte, les produits et services canadiens deviennent immédiatement plus attrayants pour les principaux décideurs et les dirigeants politiques de pays comme le Brésil.
  
  
• Dans le passé, le marketing de la technologie environnementale canadienne souffrait de l'absence d'une stratégie globale. Résultat : les initiatives très valables que nous avons lancées dans des pays en développement manquent de visibilité par rapport aux initiatives inévitablement plus importantes de nos principaux concurrents, particulièrement les pays de l'Europe de l'Ouest et les États-Unis. Comme l'IVD aiguille de façon concertée certaines de nos initiatives sur un très petit nombre de villes, elle nous permettra de montrer beaucoup plus efficacement au monde les grandes choses que le contexte du développement durable permet d'accomplir avec le savoir et les produits canadiens.
  
  
• Sur la scène internationale, l'une des plus grandes faiblesses du secteur canadien des technologies environnementales est le manque de marketing et de coordination au niveau de la mise en oeuvre entre les différentes entreprises. Alors que les entreprises d'autres pays offrent souvent leur savoir-faire dans une seule et même proposition, les entreprises canadiennes se concurrencent entre elles pour obtenir le même travail. Ce genre de concurrence n'est pas bien compris dans beaucoup de pays qui cherchent à obtenir le meilleur de ce que nous avons à offrir. C'est pourquoi le Canada ne décroche pas autant de marchés internationaux qu'il en décrocherait s'il présentait « ce qu'il a de mieux à offrir » en une seule et unique proposition. Le réseautage et la coordination qui interviennent dans l'IVD au Brésil mènent déjà à la coopération entre les entreprises canadiennes et, par conséquent, à des propositions de meilleure qualité qui seront plus attrayantes pour nos partenaires de Salvador que ne l'auraient été des propositions d'entreprises individuelles.

• les changements climatiques et le modèle CDM;
  
• l'infrastructure hydraulique;
  
• la santé et l'environnement;
  
• la qualité de l'air dans les régions urbaines.

• C'est généralement dans les villes qu'on trouve les plus importantes sources d'émissions polluantes de la planète de même que les plus fortes concentrations d'êtres humains exposés à ces stress environnementaux.
  
  
• Le fait que le ratio population des régions urbaines et population des régions rurales a tendance à augmenter, et que l'analyse des effets environnementaux sur la santé humaine se fait « par habitant », justifie que l'on considère l'environnement urbain comme le « porteur » des problèmes environnementaux qui se posent dans le monde.
  
  
• Les problèmes environnementaux de la planète révèlent davantage de leurs facettes dans un contexte urbain que dans un contexte régional ou national. Ces facettes englobent les aspects de l'interaction nécessaire entre le secteur public et le secteur privé et les synergies qui en découlent, et mènent à un règlement équitable des problèmes.