Agriculture et Agroalimentaire Canada / Agriculture and Agri-Food Canada, Gouvernement du Canada
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la puce à l'oreille
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décembre 2003

ÉDITION SPÉCIALE

Les exportateurs canadiens sont-ils prêts pour l'échéance du 12 décembre ?

OTTAWA, le 10 décembre 2003 -- Une modification de la politique des États-Unis, en vertu de la Bioterrorism Act (loi sur le bioterrorisme) de juin 2003, oblige les établissements canadiens qui fabriquent, transforment, conditionnent, distribuent, reçoivent ou entreposent des aliments destinés à la consommation humaine ou animale aux États-Unis à s'enregistrer auprès de la Food and Drug Administration (FDA) au plus tard le 12 décembre 2003.

Le processus d'enregistrement, qui a débuté le 16 octobre 2003, se poursuivra, mais le fait de s'enregistrer en temps opportun auprès des autorités américaines contribuera à assurer un flux d'exportations sans heurt.

Selon la Bioterrorism Act, il est également obligatoire, à partir du 12 décembre, de donner à la FDA un préavis concernant les aliments qui seront importés aux États-Unis. Les expéditions envoyées par voie terrestre, par train, par avion et par voie maritime sont assujetties à des exigences de préavis différentes.

Pour aider les exportateurs canadiens visés par les nouvelles exigences réglementaires des États-Unis, Agriculture et Agroalimentaire Canada a créé un site Web comportant des liens vers l'information commerciale la plus pertinente. Les membres de l'industrie canadienne ont ainsi accès rapidement aux données les plus exactes qui soient. Le site donne le nom, les numéros de téléphone et de télécopieur et les adresses de courriel de personnes-ressources du Ministère réparties dans tout le pays.

Le site, se trouvant à l'adresse http://ats.agr.ca/access/bioterrorism_f.htm, mène à un index des pages d'aide de la FDA et comprend un lien vers un didacticiel et des pages destinées à aider les établissements à s'enregistrer pour se conformer à la loi américaine. On peut également cliquer sur un lien vers les règlements et les programmes se rapportant aux douanes américaines et à la protection à la frontière, ainsi que vers des fiches de renseignements qui renferment des détails sur l'exigence de préavis visant les envois d'aliments importés.

Sauf quelques exemptions précises, les nouvelles exigences visent tous les établissements, tous les aliments et tous les produits animaux réglementés par la FDA. Elles ne concernent pas les produits ni les établissements qui, au moment de l'importation, relèvent de la compétence exclusive du département de l'Agriculture des États-Unis.

Renseignements :
Relations avec les médias, Agriculture et Agroalimentaire Canada, (613) 759-7972
Relations avec les médias, Agence canadienne d'inspection des aliments, (613) 228-6682


Une beauté naturelle

Le Canada ne fait pas qu'héberger le père Noël au pôle Nord, il apporte une autre grande contribution au temps des Fêtes : les arbres de Noël. Près de la moitié des six millions d'arbres de Noël canadiens vendus chaque année se retrouvent à l'étranger, car les principaux exportateurs du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse, du Québec, de l'Ontario et de la Saskatchewan produisent ce que les clients demandent. Le Canada est reconnu pour ses arbres de Noël odoriférants et d'une beauté naturelle. La plupart des importateurs apprécient les sapins baumiers et de Fraser pour leur durabilité, leur couleur et leur parfum caractéristique qui est associé à Noël. Les pins sylvestres et les épinettes blanches sont aussi des arbres de Noël très populaires. Comme on les taille chaque année, les arbres se ramifient rapidement pour prendre l'apparence gonflée recherchée par les consommateurs. L'achat d'un arbre de Noël canadien est une tradition bien ancrée qui rapporte environ 78 millions de dollars à l'industrie chaque année.
Mike Leclair, (613) 759-6274
Marc Gaudet, Association canadienne des producteurs d'arbres de Noël, (819) 682-8444<
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Le nettoyage des canneberges

Il existe un pesticide écologique à la fois répandu et insoupçonné : l'eau. En effet, les producteurs de canneberges utilisent l'eau depuis longtemps pour noyer les larves des anneleurs qui détruisent les racines des plants. Cependant, un certain nombre de larves échappent toujours à la noyade. Les producteurs se demandent donc si la submersion des plants est un moyen efficace pour lutter contre ces ravageurs. Des chercheurs d'Agriculture et Agroalimentaire Canada ont voulu déterminer le nombre de larves qui survivent à la submersion à des températures et pendant des périodes représentatives, lors des inondations contrôlées effectuées au mois d'août. Après avoir effectué une batterie de tests à Agassiz (C.-B.), les chercheurs ont découvert qu'environ 65 p. 100 des larves submergées pendant 72 heures, à 20 C, avaient été tuées. Il ne s'agit pas d'une technique efficace à 100 p. 100 - on n'obtient d'ailleurs que rarement une destruction complète en utilisant des insecticides chimiques - mais d'une solution non toxique qui contribue à la production d'aliments salubres de grande qualité. Une agriculture écologique aide à préserver les êtres vivants et à améliorer la qualité de l'eau, du sol et de l'air.
Sheila Fitzpatrick, (604) 796-2221, poste 208

Des désherbants naturels

John O'Donovan s'y connaît en mauvaises herbes. Chercheur d'Agriculture et Agroalimentaire Canada à Beaverlodge (Alberta), M. O'Donovan a passé plus de dix ans à étudier les adventices à feuilles qui s'attaquent aux cultures des Prairies. Ses connaissances l'ont aidé à élaborer des systèmes qui permettent de prédire tôt en saison à quel endroit et à quel moment les mauvaises herbes apparaîtront et de quelle façon elles affecteront différentes cultures. Les modèles économiques qu'il a mis au point maximisent l'efficacité des herbicides en indiquant le moment idéal pour pulvériser les cultures ainsi que la quantité de produit à utiliser. Les résultats obtenus permettent d'économiser 17 p. 100 d'herbicides et réduisent les répercussions sur l'environnement. Les modèles sont à l'origine de deux programmes logiciels utilisés par les agriculteurs des Prairies. Ils représentent également un des projets qui ont valu à M. O'Donovan le prix ASTech d'innovation en sciences agronomiques, une des distinctions scientifiques les plus prestigieuses en Alberta.
John O'Donovan, (780) 354-5144

Une Boisson pour les 7 à 77

Punch chaud aux pommes et aux épices Ingrédients :

2 boîtes (1,36 l chacune) de jus de pommes
25 ml de sucre
5 ml de piment de la Jamaïque, entier
2 ml de muscade
8 clous de girofle, entiers
4 bâtons de cannelle, de 15 cm chacun

Préparation :
Mélanger les ingrédients, sauf les bâtons de cannelle. Porter à ébullition et laisser mijoter pendant 15 minutes. Passer le mélange. Servir le punch chaud accompagné d'un bâton de cannelle. Donne environ 2,5 l.

Vous trouvez d'autres recettes à pommes dans le site www.agr.gc.ca/malus

Mise à jour: 2005-04-20
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