|
Bonjour à vous tous, représentants et collègues, ainsi qu’à vous, Monsieur le Ministre Ludvigsen. Je suis très heureux d’être ici avec vous aujourd’hui pour lancer cette série de séminaires sur les sciences de l’aquaculture.
Il va sans dire que la recherche est essentielle au succès de l’industrie aquacole, et le Canada et la Norvège comptent des chercheurs qui sont parmi les meilleurs du monde dans le domaine de l’aquaculture.
Je sais que lors de la conférence de la Société européenne d’aquaculture qui a précédé Aqua Nor, vous avez eu l’occasion d’échanger des idées avec vos collègues européens mais également de présenter une partie du savoir-faire canadien.
Cette semaine, Aqua Nor donne une occasion de plus — on peut d’ailleurs la qualifier de meilleure occasion du monde — de faire connaître ce savoir-faire.
Les douze exposants du pavillon du Canada présentent les activités scientifiques et les techniques qui assurent le succès de l’industrie aquacole. Au fil des ans, le Canada s’est forgé un savoir-faire en matière de pratiques et de techniques aquacoles écologiquement durables. Tous les Canadiens peuvent être fiers de ces avancées.
Les séminaires d’aujourd’hui constituent une excellente tribune qui permettra au gouvernement, à l’industrie et aux chercheurs de continuer à améliorer le savoir-faire et les techniques qui mettent le Canada à l’avant-garde des sciences de l’aquaculture.
Les six séminaires d’aujourd’hui et de demain porteront sur une vaste gamme de questions importantes qu’il faut régler pour que l’industrie continue de prospérer au Canada.
Je suis fier de dire que ces séminaires sont un excellent exemple de la collaboration qui existe entre le Canada et la Norvège. Plusieurs séminaires réuniront d’ailleurs des conférenciers de la Norvège et du Canada.
Je me réjouis particulièrement que l’un des séminaires porte sur les pratiques aquacoles traditionnelles des Autochtones, qui, grâce au leadership exercé par des groupes comme l’Aboriginal Aquaculture Association, forment un segment prometteur de notre industrie aquacole.
Naturellement, je tiens à souligner que le gouvernement du Canada prend cette industrie, ainsi que les recherches qui la sous-tendent, très au sérieux.
Le dernier budget fédéral prévoit d’ailleurs un investissement de 59 millions de dollars dans le Programme national sur la santé des animaux aquatiques. Ce programme s’avère, à l’instar du Programme coopératif de recherche-développement en aquaculture et de notre régime efficace de politiques et de règlements, un très bon exemple de l’étroite collaboration que nous entretenons avec les membres de l’industrie aquacole du Canada afin de rendre l’industrie aussi concurrentielle que possible tout en suscitant chez les consommateurs du monde entier la confiance nécessaire en nos produits.
Mon ministère ainsi que l’ensemble du gouvernement du Canada appuient l’industrie, car vous, qui menez les recherches et élaborez les nouvelles techniques qui assurent la santé du poisson, faites en sorte que nous croyons en son potentiel.
Au nom du gouvernement du Canada, j’espère que ces séminaires vous donneront les outils dont vous avez besoin pour poursuivre votre excellent travail et pour contribuer à l’expansion de cette nouvelle industrie florissante au Canada dans les années qui viennent.
Merci beaucoup.
|
