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Deuxième section — Contexte


Dans cette section, on décrit le processus ayant mené au choix du PASG comme structure régissant les services de garde dans le cas des familles où vivent des enfants ayant des besoins spéciaux et on esquisse ce nouveau cadre.


LE PROCESSUS DÉCISIONNEL

En Colombie-Britannique, ce sont les Services de garde pour enfants ayant des besoins spéciaux (SGEBS) qui ont toujours servi — et qui servent encore — de cadre organisationnel pour les services de garde offerts aux familles où vivent des enfants ayant des besoins spéciaux. En vertu de ce programme, c'est surtout en achetant des places auprès des Centres de développement de l'enfant (CDE), des garderies spécialisées et des programmes communautaires de garde d'enfants que l'on satisfait aux besoins des familles au sein desquelles vivent des enfants ayant des besoins spéciaux.3

La décision d'abandonner les SGEBS découle d'un examen du programme, démarche entreprise pour répondre à la fois à une demande croissante et à des questions touchant à la prestation des services — questions soulevées par les parents, les fournisseurs de services, le personnel du ministère des Services sociaux (MSS) et divers groupes et personnes intéressés. L'examen a débuté en 1990 lorsqu'un comité officieux, composé de membres du personnel des bureaux locaux du MSS, a établi qu'il fallait en arriver à une image plus claire des SGEBS et consulter les parents avant de procéder à toute modification du mode de prestation des services.

Au cours de l'été 1991, on a effectué un sondage auprès de fournisseurs de services et de travailleurs sociaux — oeuvrant auprès de 400 enfants bénéficiant du programme — dans le but de déterminer l'éventail des garderies qui avaient recours aux SGEBS et la gamme des besoins des enfants visés.4 La recherche a permis de cerner des disparités au niveau du service dans la province : on a établi, notamment, que les coûts horaires associés à la prestation des services variaient considérablement et qu'ils n'étaient pas nécessairement fonction du niveau de l'aide/de l'intervention dont l'enfant ou la garderie a besoin; on a constaté que les objectifs du programme n'étaient pas clairement définis et que les pratiques, pour ce qui a trait à l'admissibilité et au test du revenu, manquaient de cohérence.

À la phase de recherche proprement dite a succédé une période de consultation au cours de laquelle on a recueilli les réactions de familles, de fournisseurs de services, de responsables d'organismes communautaires, de professionnels, de représentants du monde de l'enseignement et d'employés du Ministère — plus de 1 300 personnes en tout. Le document qui s'intitule Special Needs Day Care: A Discussion Paper a servi de cadre de discussion; quant aux conclusions de la phase de consultation, elles figurent dans un document distinct : Special Needs Day Care Review: A Summary of the Community Consultation Phase.

En septembre 1992, on créait le Comité de référence des SGEBS, qu'on chargeait de proposer d'éventuelles modifications au programme des SGEBS; il était composé de parents, de fournisseurs de services, d'éducateurs de jeunes enfants et de représentants de cinq ministères de la province. Tirant parti de l'expérience de ses membres, le Comité s'est penché sur les conclusions des étapes de recherche et de consultation et, en septembre 1993, il remettait son rapport (Supported Child Care: The Report of the Special Needs Day Care Review in British Columbia) au ministre des Services sociaux de la Colombie-Britannique. On a proposé d'appeler tout simplement " Programme d'aide aux services de garde " (PASG) la vision et le cadre de prestation des services que présentait le Comité dans son rapport — publié en décembre 1993.

Ce rapport a donné lieu à nombre d'observations dont le gouvernement a tenu compte dans le document qui s'intitule The Government's Response to Supported Child Care: The Report of the Special Needs Day Care Review in British Columbia. Juste avant la parution de cette " réponse ", les directeurs des différentes régions administratives de la province ont reçu une trousse censée leur faciliter les choses lors des premières étapes de la transition; elle contenait la réponse du gouvernement et un guide de la transition (Transition Guide),5 qui " donne un aperçu du rôle de divers ministères pendant la période de transition et trace certaines lignes directrices quant aux activités sur le terrain ";6 on y traite aussi des outils qui seront élaborés pour étayer la transition et des utilisations possibles des fonds consacrés à celle-ci.

La réponse du gouvernement a fait l'objet d'une vaste diffusion une semaine environ après la distribution des trousses. Si le gouvernement y cherchait " un équilibre entre les intérêts, souvent divergents, des parents, des organismes de garde d'enfants, des fournisseurs de services et des préposés "7, il s'y montrait en général favorable à la vision et aux principes formulés par le Comité de référence des SGEBS et il avalisait l'abandon de ces derniers au profit d'un nouveau programme provincial, le PASG.


LE CADRE DU PASG

Essentiellement, le PASG se veut une démarche visant à offrir aux enfants ayant des besoins spéciaux l'aide qui leur permettra de fréquenter les garderies traditionnelles; il devrait se présenter sous forme d'un programme axé sur l'intégration, sur une perspective familiale de la prestation des services, sur le partage de la responsabilité et sur la planification individuelle.

Au point de départ, le PASG devrait donner aux parents d'enfants ayant des besoins spéciaux les mêmes choix, au chapitre des services de garde, que ceux dont disposent les autres parents. On prévoit intégrer les enfants ayant des besoins spéciaux aux garderies traditionnelles en augmentant l'aide accordée à celles-ci - personnel ou ressources supplémentaires (de l'équipement, par exemple) ou possibilités de formation ou de consultation.

Là où le programme des SGEBS est habituellement offert gratuitement aux familles, le cadre du PASG opte, pour sa part, pour la participation aux frais : le programme couvrira les coûts supplémentaires qu'entraînera l'intégration des enfants ayant des besoins spéciaux aux garderies ordinaires, mais les parents devront payer les places en garderie qu'occuperont leurs enfants. Quel que soit leur revenu, tous les parents d'enfants ayant des besoins spéciaux pourront se prévaloir d'une subvention pour besoins spéciaux; cette mesure devrait faire en sorte que les enfants ayant des besoins spéciaux ne soient pas privés d'une éducation préscolaire. Les parents pourront se servir de la subvention pour absorber les coûts d'une place au sein du programme/de la garderie de leur choix. Qui plus est, les parents à faible revenu ont toujours la possibilité de demander une subvention pour services de garde, qui les aidera à payer les frais des places de garderie qu'occupent leurs enfants.

Contrairement à ce que préconisait le Comité de référence, la Province a décidé que l'admissibilité aux SGEBS/au PASG demeurerait fondée sur une attestation d'un handicap physique, affectif ou intellectuel ou, encore, de troubles de la parole, de l'ouïe ou de comportement.8 Pendant la période de transition, on envisagera d'autres méthodes d'établissement de l'admissibilité; on préparera un Guide des mesures de soutien, grâce auquel on sera à même d'arrêter les mesures de soutien dont a besoin un enfant pour réussir à s'intégrer pleinement à une garderie donnée. On espère que ce guide jouera sur deux tableaux, en ce sens qu'il offrira un processus permettant à la fois d'évaluer les besoins d'aide des enfants et des fournisseurs de services et de contrôler la pertinence des placements. Si l'exercice est concluant, le Guide des mesures de soutien pourrait bien déboucher sur d'autres moyens d'établir l'admissibilité.

Pour la Province, la formation des fournisseurs de services de garde d'enfants, des spécialistes de l'intervention précoce (comme les ergothérapeutes, les physiothérapeutes et les orthophonistes) et des consultants en matière d'ASG constitue une importante composante du PASG; elle s'est donc engagée à faire en sorte que les actuels fournisseurs de services de garde d'enfants de la Colombie-Britannique reçoivent l'aide dont ils ont besoin au chapitre de la formation et qu'ils aient plus facilement accès à celle-ci, de sorte qu'ils puissent s'adapter aux réalités changeantes du monde des garderies et continuer à offrir l'environnement sûr et sain dont les enfants ont besoin non seulement pour grandir, mais encore pour s'épanouir.

Le financement de la transition vers le PASG est assuré en vertu d'un accord signé dans le cadre des initiatives stratégiques entre le gouvernement fédéral et le gouvernement provincial. La transition vers le PASG, qui constitue l'un des trois volets de l'Initiative stratégique relative aux garderies, a pour objectifs :

  • d'améliorer l'accès à des services de garde abordables et de qualité;

  • de doter la Colombie-Britannique d'un réseau de garderies plus souple, plus efficace, plus efficient et axé sur l'intégration.

Dans le Tableau n0 1 figure une définition de chacun de ces termes dans l'optique du PASG.
Tableau N0 1 : Définition de certains termes

On peut parler de véritable accessibilité quand les parents peuvent aisément acheter, pour leurs enfants, des places dans les garderies de leur choix. L'accessibilité est susceptible de poser problème pour les parents d'enfants ayant des besoins spéciaux étant donné que les choix dont ils disposent sont souvent restreints à cet égard; ils doivent par conséquent se rabattre sur des services spécialisés et/ou leurs enfants doivent se contenter des places achetées par le ministère des Services sociaux en vertu de l'actuel programme des SGEBS. Le PASG devrait améliorer l'accessibilité aux services de garde d'enfants grâce à la subvention pour besoins spéciaux — une subvention transférable — et à l'aide apportée aux garderies et aux fournisseurs pour leur permettre d'offrir des services universels.

Les services sont abordables quand les parents sont à même d'acheter, pour leurs enfants, les places dans les garderies de leur choix sans nécessairement compromettre l'équilibre financier de la famille. Le nouveau cadre prévoit que les parents participeront aux frais des places de garderie qu'occuperont leurs enfants. Cela peut sembler aller à l'encontre des efforts visant à rendre les services plus abordables, mais n'oublions pas que les parents à fable revenu pourront recevoir de l'aide en vertu de l'actuel programme de subventions pour services de garde. De plus, tous les parents d'enfants ayant des besoins spéciaux pourront se prévaloir de la subvention pour besoins spéciaux, une subvention instaurée justement pour faire en sorte que de tels enfants ne soient pas privés d'une éducation préscolaire en raison de la précarité financière de leur famille. Le gouvernement continuera à prendre à sa charge le coût des mesures d'aide supplémentaire nécessaires à l'intégration, au secteur régulier des garderies, des enfants ayant des besoins spéciaux.

On dit des services de garde qu'ils sont de qualité s'ils satisfont à la fois aux besoins des parents et aux besoins d'aide des enfants. Pour ce qui est des besoins des parents, on peut penser que des services de garde sont de qualité lorsque les intéressés se déclarent satisfaits, compte tenu des facteurs auxquels ils accordent de l'importance — par exemple : l'emplacement de la garderie; les connaissances et compétences du préposé, de même que l'approche qu'il privilégie; la capacité ou la volonté des responsables de la garderie d'intégrer tous les enfants d'une même famille qui doivent être placés en garderie; la capacité de la garderie de prendre en considération les valeurs familiales.

Des services de garde de qualité doivent également être fonction de l'aide nécessaire aux enfants ayant des besoins spéciaux. C'est le cas du cadre du PASG : il prévoit que les enfants y disposent de l'aide nécessaire pour s'intégrer pleinement et il s'assortit d'une subvention pour besoins spéciaux, qui fait en sorte que l'on respecte leurs besoins en matière de développement. Pour être de qualité, des services de garde doivent également promouvoir la santé et le bien-être des enfants en cause.

Pour ce qui concerne les enfants ayant des besoins spéciaux, un système souple s'entend d'un système qui applique les principes philosophiques sous-tendant le PASG : il est axé sur l'intégration et la famille et il met l'accent sur le partage de la responsabilité, sur la liberté de choix des parents et sur la planification individuelle dans la démarche visant à procurer aux enfants ayant des besoins spéciaux l'aide qui leur est nécessaire pour s'intégrer pleinement au réseau de garderies.

Le PASG offre la possibilité d'étudier l'efficacité d'un cadre — pour les services de garde — qui repose sur le principe du partage des responsabilités entre les familles et le gouvernement. On s'attend à ce que, pour un même montant d'argent, le nouveau cadre permette d'offrir les services à un plus grand nombre d'enfants ou, encore, à ce que le coût par enfant diminue, les parents étant appelés à participer aux frais. Le PASG pourrait également avoir une incidence financière sur la dotation en personnel.

Un système universel de garde d'enfants intègre les enfants qui ont besoin d'aide supplémentaire au cadre global des services de garde pour enfants — il s'agit là de l'objectif ultime de la transition.

La transition repose sur la coordination entre les cinq ministères provinciaux qui ont un rôle à jouer dans le processus — pour ce qui est, par exemple, des questions de principe et de financement, de celles qui ont trait à la formation ou, encore, à l'adaptation de la main-d'oeuvre. On décrit brièvement, ci-dessous, les rôles et responsabilités dévolus à ces ministères :

Le ministère de l'Égalité des femmes (MEF) veillera à ce que le nouveau PASG s'inscrive dans le cadre global des services de garde; il misera sur les éléments déjà en place pour renforcer l'ensemble du secteur des garderies. Le Ministère offrira également des subventions d'accessibilité pour aider les garderies communautaires à intégrer les enfants ayant des besoins spéciaux.

Le ministère de la Santé (également responsable des personnes âgées) (MS) continuera à assurer des services d'intervention précoce et à délivrer des permis aux garderies; il offrira également aux professionnels et aux éducateurs de jeunes enfants une " formation en partenariat ".

Le ministère des Habiletés, de la Formation et du Travail (MHFT) coordonnera la mise en place, au sein du système public d'enseignement postsecondaire, des programmes de formation officiels reliés au PASG.

Le ministère de l'Éducation (ME) engagera des consultations, avec les districts scolaires et d'autres ministères, au sujet de moyens de renforcer la planification de la transition dans le cas des enfants ayant des besoins spéciaux qui intègrent le système scolaire.

Le ministère des Services sociaux (MSS) a un rôle prépondérant à jouer : il doit faciliter la transition et se charger de l'administration et de la gestion des SGEBS/du PASG. Le personnel du Ministère travaillera de concert avec les responsables des collectivités pour arrêter les marches à suivre, au niveau local, qui feront du PASG une réalité dans la province.

En outre, l'Équipe responsable de la politique en matière de garde d'enfants — équipe que préside le sous-ministre de l'Égalité des femmes et qui compte des représentants des ministères des Services sociaux, des Finances, de la Santé, de l'Égalité des femmes, de l'Éducation et, finalement, des Habiletés, de la Formation et du Travail —s'occupera de tous les éléments qui touchent au domaine de la garde d'enfants — formation, délivrance des permis, financement, etc.

La réussite de la transition passe obligatoirement par la coordination interministérielle des activités, responsabilité qui incombe d'abord au sous-comité du PASG — un sous-comité de l'Équipe responsable de la politique en matière de garde d'enfants.

Plutôt que de mettre à l'essai le PASG, la province a choisi de l'instaurer graduellement, sur une période de quatre ans (1995-1999), optant ainsi pour une approche dite de " développement communautaire " : la transition se veut donc un " processus évolutif graduel " qui permet aux collectivités d'adopter progressivement le nouveau cadre, en fonction des besoins locaux.

La page suivante expose un modèle de logique des éléments de la transition qui sont considérés comme essentiels à la réalisation pleine et entière de la philosophie du PASG d'ici la fin de la période de transition.

Graphique
Voir: MODELE LOGIQUE DE LA TRANSITION


RÉSUMÉ

On esquisse, dans cette section, le cadre du PASG et on décrit comment celui-ci est devenu la structure régissant les services de garde offerts aux familles où vivent des enfants ayant des besoins spéciaux.

Le PASG découle d'un long processus de recherche et de consultation auprès d'intervenants. On s'est efforcé d'établir un cadre qui tienne compte des intérêts, souvent divergents, des parents, des enfants, des responsables de services de garde, des fournisseurs de services et des préposés. Le PASG semble très bien correspondre aux besoins de la population; il cible la même population que le programme des SGEBS — qu'il remplace — et son admissibilité est également fonction de l'existence de " conditions invalidantes ". On s'est attardé, lors de l'élaboration du cadre du PASG, à la fois aux besoins des enfants en cause et à ceux de leurs familles en matière de garderie. Le gouvernement ne s'est véritablement écarté des recommandations du Comité de référence des SGEBS — qui a proposé le cadre du PASG — qu'à deux reprises; dans les deux cas, les " écarts " faisaient suite à une démarche de consultation plus poussée auprès des intervenants et visaient à concilier les intérêts souvent contradictoires des parents, des responsables de services de garde, des fournisseurs de services et des préposés.

La transition vers le PASG est inédite à plus d'un titre. Ainsi, de par sa conception même, elle n'est pas aussi structurée ou définie que le sont nombre de nouvelles démarches entreprises sur une si vaste échelle. Le PASG met l'accent sur les principes et les résultats plutôt que sur les échéanciers et le programme ou, encore, sur les caractéristiques structurelles.

Plutôt que de mettre à l'essai cette nouvelle approche — la transition vers le PASG —, la province a choisi de la traiter comme un changement d'orientation. Le cadre de la transition — une transition qui devrait être complétée dans toute la province pour mars 1997 —accorde aux collectivités la liberté d'évoluer à leur propre rythme et en fonction de leurs propres besoins. Beaucoup d'activités de soutien centralisées sont considérées comme essentielles aux communautés dans le cadre de la transition vers le PASG; ces activités relevant de plusieurs ministères, la coordination interministérielle constitue un élément charnière. Il reste cependant à constater si cette approche de " non-intervention " va donner les résultats escomptés.

Elle aboutira manifestement à une certaine diversité au niveau de la forme qu'adoptera, localement, le PASG. Il sera fort intéressant de voir si cette approche réussira à faire disparaître certaines des inquiétudes et à régler certains des problèmes qui sont inhérents au programme des SGEBS pour ce qui touche à la prestation des services — les injustices, par exemple.9


Notes en bas de page

3 Le financement des SGEBS est du ressort du ministère de l'Égalité des femmes alors que la prestation des services dépend du ministère des Services sociaux. [To Top]
4 Consulter à ce sujet le document de la Direction de la recherche, de l'évaluation et des statistiques du ministère des Services sociaux de la Colombie-Britannique, Special Needs Day Care Program: Report on Survey Results , de Jean Cosgrove, Victoria (C.B.), avril 1992. [To Top]
5 Division des services de soutien communautaire du ministère des Services sociaux de la Colombie-Britannique, Towards Supported Child Care Transition Guide , Victoria (C.-B.), novembre 1994. [To Top]
6 Direction des services de soutien communautaire du ministère des Services sociaux de la Colombie-Britannique, Response to Supported Child Care , Victoria (C.-B.), (courrier électronique) le 6 décembre 1994. [To Top]
7 Ministère des Services sociaux et ministère de l'Égalité des femmes de la Colombie-Britannique, The Government's Response to Supported Child Care: The Report of the Special Needs Day Care Review in British Columbia, p. 2, Victoria (C.-B.), Imprimeur de la Reine pour la Colombie-Britannique, décembre 1994. [To Top]
8 Ministère des Services sociaux de la Colombie-Britannique, A Infant Development Program  , 3.2.2, tiré de Community Support Services Policy Manual , Victoria (C.-B.), (document non daté). [To Top]
9 Il convient de prendre note que les renseignements recueillis dans le cadre de l'examen des SGEBS contiennent d'importantes données comparatives qui serviront lors de l'évaluation sommative du PASG. [To Top]


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