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Lignes directrices environnementalesPlan d'urgence environnementale
SECTION 1 - DÉFINITIONS, RESPONSABILITÉS ET PORTÉE
Éliminer, réduire et/ou atténuer les répercussions environnementales en cas de rejets de matières dangereuses aux établissements du Service correctionnel du Canada.
S'assurer d'être prêt à réagir en cas de déversements accidentels de matières dangereuses en conformité avec les règlements et les obligations en matière de prévention de la pollution. Mettre en place des procédures d'intervention formelles de manière à réduire les dommages pouvant être causés par des déversements accidentels de matières dangereuses. Pour chaque établissement, dresser, adapter et intégrer un plan d'urgence environnementale en cas de déversements accidentels de matières dangereuses, fournir de la formation précise et organiser des exercices afin d'assurer une gestion préventive et responsable à l'égard de la protection de l'environnement. Préparer le personnel et les détenus à réagir rapidement et avec efficacité en cas de bris d'équipement, d'accident, de sabotage, ou autre incident pouvant causer des dommages à l'environnement (répercussions), plus précisément :
Directive du commissaire no 318 du Service correctionnel du Canada - Programmes environnementaux. La stratégie de développement durable (SDD) du Service correctionnel du Canada. Loi canadienne sur la protection de l'environnement (LCPE) (1999). Loi sur les pêches (1985). Loi sur le transport des marchandises dangereuses (1992). Loi sur les produits dangereux (1985).
SECTION 1 - DÉFINITIONS, RESPONSABILITÉS ET PORTÉE DÉFINITIONS ET ACRONYMES Aux fins des présentes lignes directrices environnementales : ARE - Agent régional en environnement. Contaminant - Toute substance chimique dont la concentration excède les concentrations de fond ou n'est pas naturellement présente dans l'environnement. CTSE - Chef des travaux ou Services d'entretien. DASG - Directeur adjoint des Services de gestion. Plan d'urgence environnementale - Dans le cadre de la conservation des ressources et de la lutte contre la pollution, un plan d'urgence environnementale consiste en une procédure visant à réduire ou atténuer les répercussions environnementales par une intervention rapide en cas d'incidents particuliers où des contaminants sont déversés accidentellement dans l'environnement. SME - Un Système de management environnemental est un outil qui permet à un établissement de se conformer à toutes les lois sur l'environnement et à toutes les exigences de rendement envers lesquelles le directeur de l'établissement est imputable. Aux termes de la norme ISO 14004, un SME fournit le cadre qui aide une organisation à gérer son programme environnemental ainsi qu'à documenter, à évaluer et à communiquer sa performance environnementale. Un SME aide les organisations fédérales à s'assurer que les principaux risques et atteintes environnementales sont dûment déterminés, réduits et gérés. À tout le moins, un SME aide les établissements à s'assurer que les opérations sont menées en conformité avec les lois sur l'environnement. Urgence environnementale - Déversement non contrôlé, imprévu ou accidentel d'une substance dans l'environnement, ou probabilité raisonnable qu'un déversement de ce genre puisse nuire à l'environnement, à la vie ou la santé humaine, ou encore à l'environnement dont la santé humaine est tributaire. RESPONSABILITÉS Les directeurs d'établissement, leurs assistants et les directeurs adjoints de Corcan doivent veiller au respect des présentes lignes directrices environnementales. Le chef des travaux ou Services d'entretien (CTSE) sera normalement la personne responsable de la mise en oeuvre et de la surveillance des présentes lignes directrices environnementales, afin que les activités reliées au plan d'urgence environnementale soient gérées, revues et menées à bien à partir d'un point centralisé en établissement. PORTÉE Toutes les réserves pénitentiaires du Service correctionnel du Canada sont assujetties aux présentes lignes directrices environnementales.
SECTION 2 - EXIGENCES GÉNÉRALES PLAN D'URGENCE ENVIRONMENTALE 1. Le directeur de l'établissement doit attribuer de façon officielle la responsabilité quant à l'élaboration et à la tenue à jour des mesures préparatoires pour le personnel et les détenus, aux fins de la mise en place d'un plan d'urgence environnementale pour l'établissement [voir annexe A]. 2. Les personnes responsables du plan d'urgence environnementale de l'établissement doivent mettre en place les mécanismes et procédures qui permettront d'assurer la prévention et la gestion éclairée des mesures d'urgence en cas d'incidents environnementaux (p. ex., le déversement accidentel de matières dangereuses) conformément aux consignes locales de sécurité. 3. Afin de pouvoir faire face à d'éventuels déversements de matières dangereuses, le CTSE planifiera des mesures d'intervention. Généralement, la préparation du plan d'urgence environnementale comporte trois grandes étapes :
4. Le CTSE décrira les scénarios d'incident à inclure dans le plan d'urgence environnementale de l'établissement. Il devrait passer en revue les scénarios jugés importants et retenir ceux non déjà traités dans les autres plans d'intervention en cas d'urgence de l'établissement. 5. Pour chaque scénario d'incident présenté dans le plan d'urgence environnementale de l'établissement, le CTSE coordonnera l'élaboration d'un plan d'intervention qui :
6. Les directeurs d'établissement ou leurs assistants vérifieront la capacité d'intervention de leur personnel en cas d'urgence environnementale au moyen d'exercices pratiques (simulations) annuels. Cette exigence est suspendue toute année au cours de laquelle l'établissement a dû intervenir à la suite d'un véritable incident.
SECTION 3 - EXIGENCES SPÉCIFIQUES DÉTERMINATION ET ÉVALUATION DES RISQUES 1. Les matières et les déchets dangereux présents sur le terrain [voir annexe A] doivent être identifiés et catégorisés selon une classification appropriée - comme le SIMDUT. Les risques (répercussions environnementales, toxicologie, explosions, incendies, etc.) liés à ces substances devraient être relevés en consultant leurs fiches signalétiques, le Manuel sur la sécurité-incendie et/ou le Guide des mesures d'urgence 2000 (GMU) du Centre canadien d'urgence transport (CANUTEC) de Transports Canada [voir section 5 - Références]. 2. Le CTSE décrira les scénarios possibles d'incidents ou de déversements et la nature des risques liés aux substances et aux déchets présents, tels que les erreurs de manipulation et les bris de matériel de confinement (réservoirs de stockage du pétrole, barils de substances toxiques, conteneurs de matières dangereuses, etc.), les endroits où peuvent se produire les déversements (aires d'entreposage) et, le cas échéant, les quantités pouvant se déverser de même que l'étendue et l'importance des dommages et des risques potentiels pour chacun des scénarios prévus [voir annexe B]1. 3. Le CTSE déterminera les endroits à risques et il énumérera les matières dangereuses et les produits toxiques présents, ainsi que les quantités approximatives entreposées. Tous ces renseignements devraient être clairement indiqués sur un plan détaillé et à jour de l'établissement.
MATÉRIEL D'INTERVENTION 4. Le CTSE évaluera les besoins en matériel d'intervention et/ou en trousses d'urgence environnementale, matériaux absorbants, vêtements protecteurs, contenants de récupération, équipement de lutte contre l'incendie, neutralisants, pompes, etc. Le cas échéant, il doit se les procurer en quantité suffisante pour assurer leur disponibilité en tout temps [voir annexe C]. 5. Le CTSE indiquera l'emplacement du matériel d'intervention sur un plan détaillé et à jour de l'établissement. Le cas échéant, il joindra une liste des personnes-ressources externes (ententes) à joindre pour obtenir tout autre matériel d'intervention. 6. Le CTSE établira des procédures visant à assurer :
RÉSEAU DE COMMUNICATIONS, ACCORDS D'ENTRAIDE ET PERSONNES-RESSOURCES 7. Le CTSE mettra en place un réseau de communications comprenant une liste des numéros de téléphone des personnes-ressources dans l'établissement, ainsi que des entreprises et des compétences municipales, provinciales et fédérales. 8. Le CTSE établira des accords d'entraide par écrit (au besoin). Par exemple, les organisations confrontées à des risques de déversements semblables peuvent s'entraider, en prêtant leurs personnes-ressources ou leur matériel d'intervention. 9. Le CTSE dressera une liste des personnes touchées par la procédure d'avis (organigramme ou liste de contrôle). Cette procédure vise à attribuer des rôles et des responsabilités à des agents pour chacun des quarts de travail afin de couvrir toutes les périodes (jour, soir, nuit et fin de semaine) pendant lesquelles un incident environnemental peut survenir dans l'établissement [voir annexe D]. PROCÉDURE D'ALERTE ET MOBILISATION 10. Le CTSE établira une procédure d'alerte claire et concise, c'est-à-dire une méthode pour avertir les personnes concernées qu'un incident environnemental vient de se produire : les autorités locales, l'équipe interne d'intervention en cas de déversements, les administrations régionale et centrale, le bureau régional d'Environnement Canada, des entrepreneurs et des consultants (au besoin). Il importe de souligner qu'il est possible d'obtenir rapidement des renseignements techniques auprès du Centre canadien d'urgence transport - CANUTEC, au (613) 996-6666. 11. Le CTSE établira un processus de mobilisation des ressources internes et externes. Il doit également définir les rôles et les responsabilités de chacune des personnes appelées à intervenir lors de déversements de matières dangereuses, et les en aviser. Le processus de mobilisation doit tenir compte des périodes de travail (jour, soir, nuit et fin de semaine) pendant lesquelles les incidents peuvent survenir. 12. Le CTSE élaborera et adaptera un plan des mesures d'intervention en fonction des quantités déversées, de l'urgence environnementale et des risques associés à l'incident [voir annexes E et F]. 13. Le plan d'intervention, le matériel nécessaire et la liste des personnes à aviser doivent se trouver aux endroits pertinents dans l'établissement et être accessibles en tout temps. Note : Il serait utile de joindre le plan d'urgence environnementale aux manuels de sécurité de l'établissement, c'est-à-dire avec les autres plans d'urgences de l'établissement.
SECTION 4 - GESTION DES DONNÉES ET RAPPORTS REGISTRE ET DOSSIERS 1. Il faut maintenir sur place des dossiers appropriés indiquant les résultats courants du plan d'urgence environnementale de l'établissement. 2. Un registre portant sur les mesures prises par l'établissement pour prévenir les déversements de matières dangereuses (p. ex., plan d'intervention, personnes-ressources, ententes, séances de formation, exercices de simulation et rapports d'incidents) doit être tenu à jour en tout temps. 3. Tous les documents exigés dans les présentes lignes directrices environnementales (plan d'urgence environnementale, rapports annuels, dossiers sur la formation, registre des simulations, etc.) doivent être conservés sur place pendant au moins cinq ans après la date de publication. RAPPORT D'INCIDENTS 4. En cas de fuite ou de déversement de matières dangereuses, le CTSE ou un membre de son équipe doit consigner aux fins de consultation ultérieure - avec photographies ou vidéo à l'appui - les circonstances pertinentes entourant l'incident et les démarches entreprises. Une fois la situation réglée, un rapport d'incident devrait être rédigé dans les 48 heures qui suivent [voir annexe G]. 5. Après avoir été rempli et signé par les autorités locales (CTSE, DASG ou directeur de l'établissement), le rapport d'incident doit être envoyé à l'agent régional en environnement et au gestionnaire des programmes environnementaux à l'administration centrale, dont le mandat est, le cas échéant, de signaler l'incident ou de transmettre le rapport d'incident à Environnement Canada. OBLIGATIONS LÉGALES - AVIS D'INCIDENT 6. Selon la nature de l'incident, le plan d'urgence environnementale doit aussi tenir compte des règlements, des directives, des codes de bonnes pratiques, des guides et autres documents fédéraux et provinciaux qui exigent ou recommandent que des avis immédiats d'incident ou des rapports soient envoyés aux organismes gouvernementaux concernés. Ainsi, pour les déversements accidentels :
SECTION 5 - FORMATION ET RÉFÉRENCES FORMATION 1. Le CTSE élaborera un plan pour former tous les membres du personnel (et, le cas échéant, les détenus) auxquels sont attribuées des fonctions en matière d'intervention d'urgence dans le plan d'urgence environnementale, et pour tenir leur formation à jour. Cette formation vise à fournir aux intervenants les connaissances et les compétences dont ils ont besoin pour s'acquitter de leurs rôles et responsabilités en toute sécurité et avec efficacité, conformément aux procédures décrites dans le plan d'urgence environnementale. Ainsi, le CTSE verra à :
2. Le CTSE veillera à ce que des simulations ou exercices pratiques annuels soient effectués afin de mettre à l'essai et d'améliorer le plan d'urgence environnementale de l'établissement [voir annexe H]. 3. Le CTSE doit enregistrer (dans le registre local établi à cet effet) l'état d'avancement de la formation liée au plan d'urgence environnementale, des simulations et des mises à jour (y compris les recommandations pertinentes). RÉFÉRENCES 4. Site infonet d'Environnement Canada - Urgences environnementales : http://www.ec.gc.ca/ee-ue/main/main_f.cfm. 5. Site infonet d'Environnement Canada - Coordonnées pour les urgences environnementales : http://www.ec.gc.ca/ee-ue/contact/contact_f.cfm. 6. Site infonet d'Environnement Canada pour les plans d'urgence environnementale : www.ec.gc.ca/ee-ue/plans/e2qa_f.cfm. 7. Lignes directrices pour la mise en application des plans d'urgence environnementale d'Environnement Canada : http://www.ec.gc.ca/ee-ue/plans/e2guide_f.pdf. 8. Site infonet CANUTEC de Transports canada (page d'accueil) : http://www.tc.gc.ca/canutec/fr/menu.htm. 9. Site infonet CANUTEC de Transports Canada - Guide des mesures d'urgences 2000 (GMU) : http://www.tc.gc.ca/canutec/fr/guide/guide.htm. (Il est possible de télécharger la version PC (ERGO 2.5) depuis ce lien.) 10. Site infonet de Pêches et Océans Canada (page d'accueil) : http://www.dfo-mpo.gc.ca/home-accueil_f.htm. 11. Site infonet de Pêches et Océans Canada, Garde côtière canadienne - Intervention environnementale : http://www.ccg-gcc.gc.ca/rser-ssie/er-ie/main_f.htm. 12. Guide pratique des opérations d'urgence - Intervention en cas de déversement d'hydrocarbures - de l'alerte au nettoyage (Environnement Canada, 1995). Site infonet d'environnement Canada (Page d'accueil de la Voie verte) : http://www.ec.gc.ca/fenvhome.html. 13. Planification d'urgence pour l'industrie, Accidents graves de l'industrie, Association canadienne de normalisation, CAN/CSA-Z731-95. Site Internet de la CSA : www.csa.ca. Commissaire adjointe, Original signé par :
ANNEXE A - Principales matières dangereuses couramment utilisées dans les établissements du SCC et préparation d'un plan d'urgence environnementale
Préparation d'un plan d'urgence environnementale Bien que des pannes d'équipement, des accidents ou du sabotage soient possibles dans toute organisation, un établissement du SCC risque davantage de faire l'objet d'actes malveillants causant des dommages environnementaux, même si ces méfaits sont généralement de moins grande envergure). Le CTSE devrait d'abord essayer de relever tous les types d'incidents qui peuvent se produire dans l'établissement et entraîner des dommages environnementaux considérables. L'importance relative de ces incidents devrait ensuite être évaluée car que les préparatifs d'intervention sont accaparantes et coûteuses. Le CTSE devrait déterminer si un scénario d'incident est pertinent selon la probabilité qu'il surviendra, et dans ce cas, selon la nature de l'incident (important ou mineur), puis selon la gravité des dommages environnementaux qui en découleraient.
ANNEXE B - Principaux endroits dans les établissements du SCC présentant un risque de déversements accidentels
ANNEXE C - Contenu d'une trousse (de base) d'intervention d'urgence environnementale en établissement Contenant :
Contenu :
Exemples de trousses d'intervention en cas de déversements d'hydrocarbures
ANNEXE D - Liste sommaire d'organismes fédéraux à joindre en cas d'urgences environnementales
ANNEXE E - Principales étapes d'intervention
ANNEXE F - Méthodes d'intervention LOCALISATION DE LA SOURCE D'UNE FUITE ET SON COLMATAGE L'agent d'intervention d'urgence ou tout employé chargé de s'occuper du déversement ou de la fuite doit agir le plus rapidement possible afin d'en localiser la source et de neutraliser, si possible, l'étalement du produit liquide. Voici les mesures qu'il lui est recommandé de prendre :
CONFINEMENT Afin d'assurer une intervention efficace aux endroits stratégiques, indiquer clairement les trajectoires possibles des substances déversées dans l'environnement. À cet égard, il faudrait examiner les aspects suivants :
On prendra ensuite les mesures qui s'imposent pour limiter l'étendue des dommages dans le sol ou l'eau. DÉVERSEMENT SUR LE SOL Pour contenir ce genre de déversements, on peut creuser des puits ou des tranchées, construire des digues de retenue autour du contaminant et utiliser des matériaux absorbants [voir le tableau ci-après]. Il est recommandé d'utiliser une trousse d'urgence contenant des matériaux absorbants. Il est important d'isoler toutes les sources d'eau (sorties d'égout, cours d'eau, etc.) avec des barrages absorbants. DÉVERSEMENT DANS L'EAU Lorsque des contaminants sont déversés dans l'eau ou atteignent un plan d'eau, on choisira l'intervention la mieux adaptée en fonction des dimensions et du débit du cours d'eau ainsi que de la morphologie des berges. Voici les interventions possibles (en évitant de diriger les déversements liquides vers les réseaux d'égouts) :
RÉCUPÉRATION Une fois le contaminant confiné, les opérations de récupération doivent être exécutées le plus vite possible, c'est-à-dire qu'il faut ramasser, nettoyer et entreposer temporairement la substance déversée et tous les matériaux absorbants utilisés. Il est important que tout produit déversé soit éliminé du sol et de l'eau afin de réduire les risques de migration des contaminants. Lorsque les conditions le permettent, il est toujours préférable de pomper directement une substance déversée sans se servir de matériaux absorbants. Comme plusieurs entreprises de pompage sont spécialisées et agréées pour intervenir dans ce type de situations, il est recommandé d'avoir recours à leurs services pour récupérer le contaminant et les matières contaminées. ACTIVITÉS POST-DÉVERSEMENT Une fois l'intervention d'urgence terminée, il reste plusieurs tâches à accomplir :
Matériaux absorbants pouvant être utilisés en cas de déversements d'hydrocarbures
Échelle Faible : Capacité d'absorber de 200 à 700 grammes d'hydrocarbures par 100 grammes de matériaux absorbants. Moyenne : Capacité d'absorber de 500 à 2 000 grammes d'hydrocarbures par 100 grammes de matériaux absorbants. Forte : Capacité d'absorber plus de 2 000 grammes d'hydrocarbures par 100 grammes de matériaux absorbants.
ANNEXE G - Rapport d'incident environnemental *
Les simulations permettent de se préparer à intervenir en cas d'incident en s'entraînant à prendre les mesures prévues dans le plan d'urgence environnementale. Elles ont pour objet :
Les simulations peuvent être réalisées à l'interne ou avec des ressources externes. Les exercices à l'interne permettent d'évaluer les risques, les rôles et la capacité d'intervention actuelle. Les simulations menées en collaboration avec les ressources externes permettent de planifier et d'exécuter l'exercice en mettant en commun les ressources et les efforts. De plus, les intervenants externes peuvent ainsi se familiariser avec les lieux et les éléments susceptibles d'entraîner un accident. Enfin, on peut vérifier si les équipes externes sont en mesure d'intervenir adéquatement. Il existe trois types de simulations.
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mise à jour:
2003.07.02
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