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Salle des médias
DIFFUSION IMMÉDIATE Le Service correctionnel du Canada se souvient et prend des mesures pour prévenir la violence faite aux femmesOttawa, 6 décembre 2004 – À l'occasion de la Journée nationale de commémoration et d'action contre la violence faite aux femmes, le Service correctionnel du Canada reconnaît la contribution de son personnel à la santé et à la sécurité des collectivités canadiennes. « Le SCC est une organisation qui doit quotidiennement gérer les coûts de la violence, subis par les victimes, les délinquants et leurs familles respectives de même que par les collectivités en général », affirme Don Head, le commissaire par intérim du Service correctionnel du Canada. "« es employés du SCC travaillent presque toujours anonymement dans les coulisses pour protéger le public. Je ne cesse d'être ébloui par le niveau de professionnalisme et par le dévouement du personnel qui apporte des changements positifs dans nos collectivités en travaillant pour prévenir la violence faite aux femmes. » Des travaux de recherche effectués récemment montrent que les programmes de prévention de la violence familiale, offerts par le SCC à l'échelle du pays, contribuent à réduire l'incidence de la violence faite aux femmes. Les programmes sont fondés sur des méthodes qui ont fait leurs preuves ainsi que sur le principe selon lequel des comportements acquis peuvent être modifiés avec une aide appropriée. Les différentes composantes du traitement offert aux délinquants comprennent l'éducation, l'apprentissage des compétences, le programme de prévention des rechutes et le counselling individuel. Les Canadiens bénéficient des progrès importants réalisés dans le domaine de la prévention de la violence faite aux femmes. Au cours des deux derniers mois, la dure réalité de la violence faite aux femmes s'est fait sentir au SCC à cause de la mort tragique à Yellowknife de l'agente de libération conditionnelle dans la collectivité Louise Pargeter. Mme Pargeter était la première agente de libération conditionnelle dans la collectivité à se faire tuer dans l'exercice de ses fonctions. Le SCC a depuis amélioré ses pratiques afin d'accroître la sécurité des agents de libération conditionnelle, et il continuera de déployer des efforts visant à garantir la sécurité des membres de son personnel et des collectivités dans lesquelles ils travaillent. Un moment de silence sera observé aujourd'hui à 13 h HNE, dans les établissements du SCC et dans les bureaux de libération conditionnelle en l'honneur d'innombrables femmes victimes de violence et de celles qui vivent sous la menace de violence. La Journée nationale de commémoration et d'action contre la violence faite aux femmes a été instituée en 1991 par le Parlement du Canada et elle coïncide avec le triste anniversaire de la tuerie de l'École Polytechnique au cours de laquelle quatorze femmes ont été assassinées à Montréal le 6 décembre 1989. Cette journée permet de réfléchir au phénomène de la violence à l'endroit des femmes dans notre société et de songer aux mesures concrètes pour prévenir et éliminer toutes les formes de violence à l'endroit des femmes et des jeunes filles. - 30 - Pour plus de renseignements, communiquez avec : Michèle Pilon-Santilli Relations avec les médias (613) 943-2573 |
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mise à jour:
2004.12.06
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