|
LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONS - FICHE D'INFORMATION DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE DU CANADA
QU'EST-CE QUE LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONS ?La violence dans les fréquentations désigne tous mauvais traitements ou acte de violence commis par une personne à légard de la personne quelle fréquente. Elle survient lorsque deux personnes ont ou pourraient éventuellement avoir une relation intime1. Bien quune personne puisse en être victime à tout âge, la plus grande partie des recherches dans le domaine ont porté principalement sur les jeunes, notamment les adolescents et les étudiants des niveaux collégial et universitaire. Lâge et le développement des jeunes influent sur le sens à donner à lexpression « violence dans les fréquentations ». Par exemple, le contexte des fréquentations et les comportements qui y sont adoptés peuvent varier considérablement avec lâge et le sexe2, et les modèles de fréquentations peuvent être très différents chez les jeunes hommes et chez les jeunes femmes, ou chez les jeunes de 12 ou 13 ans, comparativement à ce quils sont chez les adolescents de 16 ou 17 ans ou chez les jeunes adultes de 18 à 24 ans. La violence peut survenir autant dans les fréquentations hétérosexuelles quhomosexuelles. Elle peut être commise à tout moment lors de la première rencontre, lorsque les deux personnes concernées commencent à sintéresser lune à lautre, lors de leur premier rendez-vous, pendant leur relation, après avoir eu leur première relation sexuelle ou après leur séparation. La violence dans les fréquentations peut prendre la forme dun seul acte de violence une agression sexuelle (« viol commis par un ami »), par exemple ou dactes violents ou de mauvais traitements qui sont répétés et qui souvent sintensifient au fil du temps. Les agresseurs peuvent employer différentes tactiques pour essayer dexercer un pouvoir et un contrôle sur leurs victimes. La violence physique, sexuelle ou psychologique peut être commise par un agresseur qui agit seul ou avec dautres personnes. Certains actes de violence portent atteinte aux droits civiques ou aux droits fondamentaux de la personne, ou sont de nature criminelle (voir, plus loin, la section intitulée « Prévenir la violence dans les fréquentations et y répondre »). La présente fiche dinformation donne des renseignements sur la violence dans les fréquentations considérée dun point de vue juridique. FORMES DE VIOLENCE3Les recherches ont surtout porté sur la violence conjugale, mais on en sait plus au sujet de la violence physique, sexuelle et psychologique dans les fréquentations depuis quelques années. Les descriptions qui suivent donnent des exemples dactes qui peuvent être commis dans le cadre des fréquentations. La violence physique inclut tout usage de la force, et parfois dune arme à feu, qui cause ou non des blessures. Une personne commet de la violence physique si elle :
La violence sexuelle inclut toutes les formes de harcèlement sexuel, de contrainte sexuelle et dagression sexuelle. Le harcèlement sexuel englobe les actes, les paroles et les comportements sexuels non désirés, par exemple :
On entend par contrainte sexuelle la manipulation injuste dune personne ou dune situation à des fins sexuelles, par exemple :
La violence sexuelle englobe toute forme dactivité sexuelle commise sans le consentement dune personne. Par exemple :
La violence psychologique comporte lutilisation de mots ou de gestes pour contrôler, isoler ou intimider une personne ou pour porter atteinte à sa confiance en soi ou à son intégrité. Elle peut prendre les formes suivantes :
QUELLE EST L'ÉTENDU DE LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONS AU CANADA?Il nest pas possible de connaître avec précision létendue de ce problème, mais les données disponibles indiquent que la violence dans les fréquentations est courante5. Une grande attention a été portée au fait que certaines études ont révélé que la violence dans les fréquentations est laffaire à la fois des hommes et des femmes. Les limitations méthodologiques dans lesquels les actes de violence ont été mesurés pourraient bien expliquer pourquoi les taux de violence physique dans les fréquentations ont souvent été les mêmes chez les hommes et les femmes. Il en est différemment, cependant, pour ce qui est des conséquences, du contexte, de la motivation et de la signification de la violence6. De nombreux auteurs ont noté que le contexte social de la violence dans les fréquentations est différent pour les femmes, que les conséquences du fait davoir été maltraitée sont plus graves pour les femmes et que les femmes emploient la violence pour des raisons différentes (souvent pour se défendre7). (Voir, plus loin, les sections intitulées « Quels sont les facteurs qui jouent un rôle dans la violence dans les fréquentations? » et « Quelles sont les conséquences de la violence dans les fréquentations? ».) Dans les recherches qui ont porté sur la violence sexuelle, les femmes ont déclaré en avoir été victimes beaucoup plus souvent que les hommes8. Selon des recherches récentes, les fréquentations chez les adolescents peuvent souvent être marquées de violence physique, sexuelle et psychologique9. Cependant, les définitions de la violence diffèrent, et quelques études seulement ont traité de tous les aspects de ces formes de violence. Un plus petit nombre encore détudes ont parlé de la situation des adolescents de 12 ou 13 ans, qui est lâge auquel les fréquentations et, en conséquence, la violence dans les fréquentations peuvent débuter10. Certains auteurs ont souligné que lintimidation exercée dans lenfance peut saggraver et se transformer en des formes plus flagrantes de harcèlement sexuel et, si le problème nest pas réglé, faire place à différents types de violence, notamment la violence dans les fréquentations11. La violence dans les fréquentations chez les élèves du primaire
La violence dans les fréquentations chez les étudiants du secondaire
La violence dans les fréquentations chez les adolescents
La violence dans les fréquentations chez les étudiants des collèges et des universitésLincidence de la contrainte sexuelle se situe entre 20 et 30 p. 100 chez les étudiants des collèges, et ce taux pourrait même être plus élevé si lon tient compte des menaces verbales et de la violence psychologique18. Selon la Canadian Campus Survey de 1998, qui a porté sur un échantillon de 7 800 étudiants universitaires, un grand nombre dentre eux ont dit avoir été victimes de violence (dont probablement de la part de la personne quils fréquentaient) :
Selon lenquête nationale de 1993, la violence dans les fréquentations chez les étudiants universitaires et collégiaux est fréquente :
La violence dans les fréquentations dans la population adulteLEnquête sur la violence envers les femmes (EVF) de 1993 a révélé quun grand nombre de femmes adultes sont victimes de violence dans leurs fréquentations. Cette étude a aussi permis dapprendre :
QUELS SONT LES FACTEURS QUI JOUENT UN RÔLE DANS LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONS ?Des recherches semblent indiquer que différents facteurs peuvent jouer un rôle dans la violence dans les fréquentations. En voici quelques-uns : les antécédents de violence dune personne, ses croyances et ses attitudes, sa connaissance des relations et sa capacité de les gérer, la consommation de drogues et dalcool, le caractère sérieux de la relation, linfluence des pairs et la pornographie. Antécédents de violenceLe fait davoir été maltraité dans son enfance (notamment par ses frères et surs) est un facteur très important de la violence dans les fréquentations27. Croyances et attitudesLes croyances et les attitudes dune personne ont une grande influence sur la manière dont elle agit et juge la conduite des autres. Par exemple, certaines personnes peuvent penser quil est acceptable de forcer une autre personne à participer à des activités sexuelles si celle-ci :
Lenquête nationale a révélé que les hommes qui ont des croyances et des attitudes patriarcales (c.-à-d. quils croient quun homme a le droit de décider si sa conjointe ou sa partenaire devrait sortir avec des amis le soir ou travailler à lextérieur de la maison, quil devrait parfois montrer à sa conjointe ou à sa partenaire que cest lui le chef, quil a le droit davoir des activités sexuelles avec sa conjointe ou sa partenaire quand il le veut, même si celle-ci ne le veut pas) sont plus susceptibles demployer la violence sexuelle, physique et psychologique à légard des femmes quils fréquentent29. Manque de connaissance des fréquentations et incapacité de les gérerLes stratégies de prévention de la violence dans les fréquentations ont tendance à être basées sur lidée que le manque de connaissances et de compétences au sujet des communications, de la résolution de problèmes, de la gestion des émotions et des relations saines peut aussi être un facteur important. Pour les adolescents, les fréquentations constituent une période dexpérimentation, et la manière dont ils assument ces nouveaux rôles et traitent ces attentes peut traduire les modèles de comportement (appropriés ou non) quils ont adoptés et les leçons quils ont apprises au sujet de la résolution de conflits30. Consommation de drogues et dalcool par des personnes qui se fréquententLenquête nationale sur la violence à légard des femmes dans les collèges et les universités confirme que la violence dans les fréquentations est souvent liée à une consommation dalcool. Plus les hommes et les femmes boivent, et plus ils le font en compagnie de la personne quils fréquentent, plus ils sont susceptibles de commettre des actes de violence à légard de cette personne ou den être victimes. Les hommes qui consomment fréquemment de lalcool et qui le font souvent avec la personne quils fréquentent font partie de ceux qui sont les plus susceptibles de sen prendre à leur partenaire. Les femmes qui consomment fréquemment de lalcool et qui le font souvent avec la personne quelles fréquentent risquent davantage que les autres dêtre victimes de violence31. On a aussi appris quil existait, chez les jeunes adolescents, un lien étroit entre les agressions sexuelles commises dans le cadre des fréquentations et la consommation abusive dalcool et dautres drogues32. Caractère sérieux de la relationLenquête nationale a aussi révélé que les hommes sont plus susceptibles dagresser physiquement et sexuellement la personne quil fréquente lorsque la relation est sérieuse. Bien que dautres recherches sur la question soient nécessaires, un tel phénomène peut sexpliquer par le fait que les hommes qui vivent une relation intime peuvent être plus dépendants de leur partenaire sur le plan émotif que les hommes qui vivent des relations plus occasionnelles. Un homme peut être violent à légard de sa partenaire dans le but détablir ou de maintenir lengagement ou la dépendance de celle-ci envers lui33. Influence des pairsLinfluence des pairs est un facteur qui influe sur la violence dans les fréquentations chez les jeunes hommes. On a découvert que les associations détudiants, par exemple, constituent un milieu propice aux comportements sexuels coercitifs dénués de violence physique34. Des liens ont aussi été faits entre la violence dans les fréquentations et dautres formes de soutien par les pairs masculins. Lenquête nationale a révélé que, si les hommes ont des pairs qui les guident et leur conseillent demployer la violence sexuelle, physique et psychologique à légard de leurs partenaires, cela aura une grande influence sur leur comportement. De plus, les hommes qui ont des amis qui commettent des actes de violence physique, sexuelle ou psychologique à légard de la personne quils fréquentent sont plus susceptibles dadopter un comportement identique35. PornographieLindustrie de la pornographie ainsi que les autres médias tend à normaliser et à promouvoir la violence et les comportements violents et peut créer de mauvaises perceptions au sujet des relations et du comportement sexuel. Par exemple, lenquête nationale a révélé que la pornographie joue un rôle majeur dans la violence sexuelle et physique commise à légard de femmes qui fréquentent un camarade de collège ou duniversité36. Ces influences extérieures peuvent amener les jeunes, en particulier, à ne pas bien comprendre les relations et la sexualité ou à se créer des attentes inacceptables à cet égard. Ces jeunes peuvent avoir de la difficulté à faire la différence entre certains signes de violence, comme une jalousie excessive, et l« amour »37 (voir, plus loin, la section portant sur les signes avant-coureurs). Autres facteurs qui accroissent la vulnérabilité à la violenceLa vulnérabilité à la violence dans les fréquentations peut aussi être accrue par de nombreux autres facteurs qui touchent et marginalisent les personnes et les collectivités, notamment la discrimination, le vieillissement, le racisme, lhomophobie, linvalidité et le manque daccès à de linformation, à du soutien et à des services, notamment au système de justice pénale. Bon nombre de ces facteurs peuvent aussi aggraver les effets de la violence et faire en sorte que celle-ci soit moins souvent dénoncée38. QUELS SONT LES SIGNES AVANT-COUREURS DE LA VIOLENCE ?39Voici certains signes qui permettent de croire quune personne commet des actes de violence dans une relation :
Une personne violente peut :
Une personne peut devenir violente aussi si :
Voici certains des signes qui indiquent quune personne est victime de violence :
Une personne qui est lobjet de violence peut :
QUELLES SONT LES CONSÉQUENCES DE LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONS ?La violence dans les fréquentations peut avoir des conséquences immédiates aussi bien quà long terme sur les victimes, les agresseurs, leur famille et leur collectivité. La violence dans les fréquentations peut causer aux victimes un préjudice physique, sexuel ou psychologique, et les conséquences peuvent les affecter pendant tout le reste de leur vie. Elle peut aussi diminuer lestime de soi de la victime, sa confiance et son sentiment de sécurité, et nuire à son développement et à son fonctionnement. En outre, elle peut entraîner des blessures, des maladies transmises sexuellement, le HIV et le sida, ou la mort. Ses victimes risquent fort dêtre de nouveau lobjet de violence dans leurs relations futures. Les recherches indiquent que la violence dans les fréquentations na pas les mêmes conséquences pour les jeunes femmes et les jeunes hommes. Par exemple, chez les premières, le fait dêtre victimes de la violence physique ou sexuelle exercée par lhomme quelles fréquentent entraîne une augmentation du risque de consommation dalcool et dautres drogues, des comportements malsains quant au contrôle du poids, des comportements sexuels risqués, des grossesses et des comportements suicidaires40. Lorsque lon examine les recherches, on se rend compte que les femmes victimes de violence physique de la part de lhomme quelles fréquentent ont tendance à avoir plus de problèmes physiques et émotifs que les hommes victimes de violence. Elles sont aussi susceptibles dêtre victimisées plus fréquemment, et ce type de violence a sur elles des conséquences beaucoup plus graves, par exemple des blessures, un traumatisme émotif, de la crainte et de lanxiété41. De plus, les recherches ont révélé que les adolescentes courent plus de risques dêtre frappées ou dêtre forcées de participer à des activités sexuelles, et elles sont très susceptibles de réagir en pleurant, en donnant des coups à leur tour, en prenant la fuite ou en obéissant à leur partenaire violent. Par contre, les jeunes hommes sont plus susceptibles dêtre pincés, giflés ou griffés ou de recevoir des coups de pied, et ils ont plus tendance à se montrer dédaigneux et à tourner la violence en plaisanterie42. Bien que peu de recherches aient porté sur cette question, les agresseurs risquent aussi de subir des conséquences négatives de leur comportement : la destruction de leur relation en cours, la honte, le rejet personnel et la condamnation sociale. Ils risquent aussi de mettre en danger leurs relations futures. Dans certains cas, ils peuvent aussi devoir faire face à des sanctions criminelles, comme lincarcération et la création dun casier judiciaire. La violence dans les fréquentations a aussi des conséquences pour les familles. Une grande partie des conséquences auxquelles les victimes peuvent devoir faire face y compris des problèmes de santé mentale et le recours à de mauvaises stratégies dadaptation comme la consommation dalcool et dautres drogues peuvent avoir des répercussions directes sur les familles. De la même façon, les collectivités sont touchées lorsque la violence est normalisée, et les victimes nont plus la capacité de participer pleinement à la vie communautaire ou dy contribuer de manière positive. PREVENIR LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONS ET Y RÉPONDRECompte tenu de la gravité du problème de la violence dans les fréquentations ainsi que de sa complexité il faut, pour y apporter des réponses efficaces, lengagement et la collaboration continus des membres de la collectivité, des praticiens et des décideurs partout au Canada. Les adolescents qui commettent des actes de violence à légard de la personne quils fréquentent ou ceux qui sont victimes de ces actes peuvent être plus susceptibles de récidiver ou de continuer dêtre victimisés à lâge adulte, dans leurs relations intimes, leur mariage et leur vie de famille. Sattaquer au problème chez les adolescents pourrait prévenir la violence conjugale et dautres formes de violence dans lavenir. Jusquà maintenant, on sest surtout attaché à prévenir la violence dans les fréquentations au moyen de programmes déducation et de sensibilisation offerts dans les écoles et de campagnes et dinitiatives menées sur les campus. Ces réponses, de même que dautres stratégies de prévention qui tiennent compte de lincidence du sexe des personnes concernées dans les expériences et les conséquences de la violence dans les fréquentations et qui visent lacquisition de nouvelles compétences pour aider les jeunes à éviter les situations risquées, sont importantes. Il est essentiel que les victimes aient accès à des services et à du soutien. Rôle du ministère de la Justice du CanadaLe ministère de la Justice du Canada et ses partenaires les organisations non gouvernementales, les gouvernements provinciaux et territoriaux, le secteur privé, etc. , sattaquent activement à la violence dans les fréquentations en utilisant différentes stratégies, notamment la réforme continue du droit, le soutien apporté aux programmes et aux services déducation juridique du public et lappui à lélaboration de stratégies de prévention scolaires ou communautaires à lintention des jeunes. Une grande partie de ce travail est liée à lInitiative de lutte contre la violence familiale et à la Stratégie nationale pour la prévention du crime, deux initiatives du gouvernement fédéral. Dispositions du Code criminelAu Canada, certains types dactes de violence, comme les voies de fait, lagression sexuelle et le harcèlement criminel, constituent des crimes aux termes du Code criminel. Certains actes sont aussi visés par la législation provinciale. Par ailleurs, la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents sapplique aux jeunes âgés de 12 à 17 ans. Les dispositions suivantes du Code criminel peuvent sappliquer dans les cas de violence physique :
Dautres dispositions du Code criminel peuvent sappliquer aux cas de violence psychologique, notamment :
Le Code criminel renferme aussi une disposition (art. 718.2) qui exige que le tribunal considère comme circonstance aggravante, lorsquil détermine la peine à infliger, la preuve que linfraction était motivée par des préjugés ou de la haine fondés sur lâge ou le sexe. Le ministère de la Justice du Canada participe à un processus continu de réforme juridique ayant pour but de renforcer la réponse du système de justice pénale à la violence et aux agressions sexuelles. Voici des exemples de mesures législatives récentes qui peuvent sappliquer :
Soutien apporté aux programmes et aux services déducation juridique du public, de prévention dans les écoles et les collectivités ainsi quà dautres programmes et servicesLe ministère de la Justice du Canada a apporté son soutien à un certain nombre dinitiatives en matière déducation et de prévention, par exemple :
Le ministère de la Justice du Canada aide également les Autochtones à concevoir des approches relatives à la violence commise dans leurs collectivités qui tiennent compte de leurs caractéristiques culturelles. RESSOURCES SUGGÉRÉES SUR LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONSAlliance de cinq centres de recherche sur la violence. In the Best Interests of the Girl Child: Phase II Report. Publié par Helene Berman et Jasmin Yiwani. Recherche financée par Condition féminine Canada, 2002. Alliance de cinq centres de recherche sur la violence. Violence Prevention and the Girl Child: Final Report. Recherche financée par Condition féminine Canada, 1999. Canada. Ministère de la Justice. « Deterring Dating Violence: Presentation and Activity Guide Intended for Secondary III, IV and V Personal and Social Education Teachers ». Le petit Magazine, printemps 2002. Canada. Santé Canada. La violence dans les fréquentations : Un risque à tout âge. Ottawa, Santé Canada, mars 1996. Canada. Santé Canada. Série de feuillets de renseignements du Centre national dinformation sur la violence dans la famille. Ottawa, Santé Canada. Disponible sur Internet. Canada. Centre national de prévention du crime. Questions touchant la sécurité personnelle des femmes et jeunes filles. Ottawa, Centre national de prévention du crime (en ligne). Disponible sur Internet. DeKeseredy, Walter S. et Schwartz, Martin D. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998. Jackson, Susan, M. « Issues In The Dating Violence Research: A Review of The Literature ». Aggression and Violent Behavior, vol. 4, no 2 (1999), aux p. 233 à 247. Johnson, Holly. Dangerous Domains: Violence Against Women in Canada. Toronto, Nelson Canada, 1996. Kelly, Katharine et DeKeseredy, Walter S. « The Incidence and Prevalence of Woman Abuse in Canadian University and College Dating Relationships ». Journal of Human Justice, vol. 4, no 2 (1993), aux p. 25 à 52. Lavoie, Francine, Robitaille, Line, Hebert, Martine. « Teen Dating Relationships and Aggression, An Exploratory Study ». Violence Against Women, vol. 6, no 1, janvier 2000, aux p. 6 à 36. Peplar, Debra J., Craig, Wendy M., Connolly, Jennifer, Henderson, Kathryn. « Bullying, Sexual Harassment, Dating Violence, and Substance Use Among Adolescents », dans Christine Wekerle et Anne-Marie Wall (éd.). The Violence and Addiction Equation: Theoretical and Clinical Issues in Substance Abuse and Relationship Violence. New York, Brunner-Routledge, 2002, aux p. 153 à 168. Price, E. Lisa, Byers, E. Sandra, Sears, Heather A., Whelan, John, Saint-Pierre, Marcelle. Dating Violence Amongst New Brunswick Adolescents: A Summary of Two Studies. Deuxième série de documents de recherche. Fredericton, Université du Nouveau-Brunswick, Muriel McQueen Fergusson Centre for Family Violence Research, janvier 2000. Silverman, Jay, G. Raj, Anita, Mucci, Lorelei, Hathaway, Jeanne E. « Dating Violence Against Adolescent Girls and Associated Substance Use, Unhealthy Weight Control, Sexual Risk Behavior, Pregnancy, and Suicidality ». JAMA, 286, 5, août 2001, aux p. 572 à 579. Simonelli, Catherine J., Mullis, Thomas, Elliott, Ann N., Pierce, Thomas W. « Abuse by Siblings and Subsequent Experiences of Violence Within the Dating Relationship ». Journal of Interpersonal Violence, vol. 17, no 2, février 2002, aux p. 103 à 121. Sudermann, Marlies et Jaffe, Peter. « Violence in Teen Dating Relationships Evaluation of a Large Scale Primary Prevention Program ». Résumé, août 1993 (en ligne) (consulté le 10 février 2003). Disponible sur Internet. The Sexual Assault Survivors Centre. Teen Handbook. Sexual Assault Sarnia (en ligne). Disponible sur Internet. Totten, Mark D. Guys, Gangs, and Girlfriend Abuse. Peterborough, Broadview Press, 2000. Wekerle, Christine et Avgoustis, Effie. « Child maltreatment, adolescent dating, and adolescent dating violence », dans P. Florsheim (éd.). Adolescent romantic relations and sexual behaviour: Theory, research, and practical implications. Hillsdale, NJ, Erlbaum (à venir). Wekerle, Christine et Wolfe, David A. « Dating Violence in Mid-Adolescence: Theory, Significance, and Emerging Prevention Initiatives ». Clinical Psychology Review, vol. 19, no 4 (1999), aux p. 435 à 456. Wolfe, David A., Scott, Katreena, Wekerle, Christine, Pittman, Ann-Lee. « Child Maltreatment: Risk of Adjustment Problems and Dating Violence in Adolescence ». Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, mars 2001. Wolfe, David A. et Wekerle, Christine. « Pathways to Violence in Teen Dating Relationships », dans D. Cicchette et S.L. Toth (éd.). Rochester symposium on developmental psychopathology, Volume XIII: Developmental Perspectives on Trauma: Theory, Research and Intervention. Rochester, NY, University of Rochester Press, 1997, aux p. 315 à 342. Wolfe, David A., Wekerle, Christine, Scott, Katreena, Straatman, Anna-Lee, Grasley, Carolyn et Reitzel-Jaffe, Deborah. « Dating Violence Prevention with At-Risk Youth: A Controlled Outcome Evaluation ». Journal of Consulting and Clinical Psychology (sous presse). POUR DES RENSEIGNEMENTS ADDITIONNELS SUR LA VIOLENCE DANS LES FRÉQUENTATIONSStratégie nationale pour la prévention du crime Centre national
d'information sur la violence dans la famille Notes1 On ne parle pas de « fréquentations » lorsque des personnes habitent ensemble. 2 Christine Wekerle et Effie Avgoustis. « Child maltreatment, adolescent dating, and adolescent dating violence », dans P. Florsheim (éd.). Adolescent romantic relations and sexual behaviour: Theory, research, and practical implications. Hillsdale, NJ, Erlbaum, à venir. 3 Les renseignements figurant dans cette section sont tirés principalement des sources suivantes : Francine Lavoie, Line Robitaille, Martine Hébert. « Teen Dating Relationships and Aggression: An Exploratory Study ». Violence Against Women, vol. 6, no 1, janvier 2000, aux p. 6 à 36; documents du programme Making Waves; Canada. Ministère de la Justice. « Deterring Dating Violence Presentation and Activity Guide Intended for Secondary III, IV and V Personal and Social Education Teachers ». Le petit Magazine, printemps 2002; Canada. Ministère de la Justice. Fiches dinformation sur la violence familiale et sur la violence conjugale. 4 Selon la publication du Sexual Assault Survivors Centre, Teen Handbook (en ligne) (consultée le 22 juin 2002; disponible sur Internet. Les drogues suivantes constituent des drogues du viol :
5 Bien quelle puisse se produire à tout âge, les recherches ont surtout porté sur la violence dans les fréquentations chez les jeunes. 6 Susan M. Jackson. « Issues in the Dating Violence Research: A Review of the Literature ». Aggression and Violent Behaviour, vol. 4, no 12 (1999), à la p. 241. 7 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, à la p. 91. Remarque : Après avoir analysé les données, les auteurs de cette étude ont conclu que, dans la majorité des cas, les femmes avaient employé la violence pour se défendre, de sorte quil ne sagissait pas de « lutte à deux » ou de « violence à légard du partenaire masculin ». 8 Aizenman et Kelly, 1988; Burke et al., 1988; Makepeace, 1986; Muehlenhard et Linton, 1987; Sigelman et al., 1984, cités dans Susan M. Jackson. « Issues in the Dating Violence Research: A Review of the Literature ». Aggression and Violent Behaviour, vol. 4, no 12 (1999), à la p. 238. 9 Gagné, Lavoie et Hérbert, 1994; Mercer, 1988; Pedersen et Thomas, 1992, cités dans E. Lisa Price, E. Sandra Byers, Heather A. Sears, John Whelan, Marcelle Saint-Pierre. Dating Violence Amongst New Brunswick Adolescents: A Summary of Two Studies. Deuxième série de documents de recherche. Fredericton, Université du Nouveau-Brunswick, Muriel McQueen Fergusson Centre for Family Violence Research, janvier 2000, à la p. 1. 10 E. Lisa Price, E. Sandra Byers, Heather A. Sears, John Whelan, Marcelle Saint-Pierre. Dating Violence Amongst New Brunswick Adolescents: A Summary of Two Studies. Deuxième série de documents de recherche. Fredericton, Université du Nouveau-Brunswick, Muriel McQueen Fergusson Centre for Family Violence Research, janvier 2000, à la p. 1. 11 Pepler et Craig, 1997, cités dans Helene Berman, Anna-Lee Straatman, Kimberley Hunt, Janet Izumi, Barbara MacQuarrie. « Sexual Harassment: The Unacknowledged Face of Violence in the Lives of Girls », dans Alliance de cinq centres de recherche sur la violence. In the Best Interests of the Girl Child: Phase II Report. Publié par Helene Berman et Yasmin Jiwani (recherche financée par Condition féminine Canada, 2002), à la p. 20. 12 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, aux p. 40 à 42. 13 E. Lisa Price, E. Sandra Byers, Heather A. Sears, John Whelan, Marcelle Saint-Pierre. Dating Violence Amongst New Brunswick Adolescents: A Summary of Two Studies. Deuxième série de documents de recherche. Fredericton, Université du Nouveau-Brunswick, Muriel McQueen Fergusson Centre for Family Violence Research, janvier 2000, aux p. 4 et 5. Remarque : Cette étude a révélé que 22 p. 100 des jeunes femmes et 12 p. 100 des jeunes hommes qui avaient commencé à fréquenter dautres personnes avaient été victimes de violence psychologique ou physique, ce qui les avait bouleversés. Létude a aussi permis dapprendre que 19 p. 100 des jeunes femmes et 4 p. 100 des jeunes hommes qui avaient commencé à fréquenter dautres personnes avaient été forcés de participer à des activités sexuelles (baisers, contacts ou rapports sexuels), ce qui les avait bouleversés. 14 Gagné et Lavoie (1995), cités dans E. Lisa Price, E. Sandra Byers, Heather A. Sears, John Whelan, Marcelle Saint-Pierre. Dating Violence Amongst New Brunswick Adolescents: A Summary of Two Studies. Deuxième série de documents de recherche. Fredericton, Université du Nouveau-Brunswick, Muriel McQueen Fergusson Centre for Family Violence Research, janvier 2000, à la p. 1. 15 Sudermann, Marlies et Peter Jaffe. « Violence in Teen Dating Relationships: Evaluation of a Large Scale Primary Prevention Program ». Résumé, août 1993 (en ligne) (consulté le 10 février 2003). Disponible sur Internet. 16 Mark D. Totten. Guys, Gangs and Girlfriend Abuse. Peterborough, Ontario, Broadview Press Ltd., 2000, aux p. 51, 52, 65 et 170. Remarque : Les premières données ont été obtenues lors dinterviews structurés avec un échantillon choisi à dessein et non représentatif de 90 adolescents âgés de 13 à 17 ans. Des interviews en profondeur ont ensuite été menés avec un sous-échantillon de 30 jeunes violents et marginaux. Un acte « collectif » de violence est un acte auquel participent au moins deux hommes. 17 Poitras et Lavoie (1995), cités dans E. Lisa Price, E. Sandra Byers, Heather A. Sears, John Whelan, Marcelle Saint-Pierre. Dating Violence Amongst New Brunswick Adolescents: A Summary of Two Studies. Deuxième série de documents de recherche. Fredericton, Université du Nouveau-Brunswick, Muriel McQueen Fergusson Centre for Family Violence Research, janvier 2000, à la p. 1. 18 Billingham, 1987; Cate et al., 1982; Bookwala et al., 1992; Sudermann et Jaffe, 1993, cités dans Christine Wekerle et David A. Wolfe. « Dating Violence in Mid-Adolescence: Theory, Significance, and Emerging Prevention Initiatives ». Clinical Psychology Review, vol. 19, no 4 (1999), à la p. 436. 19 Centre de toxicomanie et de santé mentale. Canadian Campus Survey Executive Summary (en ligne) (consulté le 31 janvier 2003). Disponible sur Internet. Remarque : Les femmes étaient plus susceptibles que les hommes davoir subi une agression sexuelle (5,7 p. 100 comparativement à 2,2 p. 100) dans les 12 mois qui ont précédé lenquête. 20 Ibid.Remarque : Un plus fort pourcentage dhommes (6,7 p. 100) que de femmes (4,5 p. 100) ont signalé avoir été victimes de violence physique dans les 12 mois qui ont précédé lenquête. 21 Katharine Kelly et Walter S. DeKeseredy. « The Incidence and Prevalence of Woman Abuse in Canadian University and College Dating Relationships ». Canadian Journal of Sociology, vol. 18, no 2 (1993), à la p. 152. 22 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, à la p. 55. 23 Ibid. 24 Holly Johnson. Dangerous Domains: Violence Against Women in Canada. Toronto, Nelson, 1996, aux p. 112 à 115. Remarque : LEVF ne portait pas sur la violence dans les fréquentations survenue avant lâge de 16 ans, ni sur les contacts sexuels non désirés ne comportant pas de violence ou de menaces de violence claires. Elle a cependant révélé que la proportion de la violence sexuelle était plus élevée que celles des agressions non sexuelles dans les fréquentations, et quun grand nombre de femmes ont indiqué avoir été agressées plus dune fois par un homme quelles fréquentaient ou par plusieurs hommes quelles ont fréquentés au cours des ans et avoir été victimes à la fois de violence physique et de violence sexuelle dans le cadre de leurs fréquentations. 27 Wolfe et al., 1998; Reitzel-Jaffe et Wolfe (sous presse); Wolfe et McGee, 1994, cités dans David Wolfe, Katreena Scott, Christine Wekerle et Ann-Lee Pittman. « Child Maltreatment: Risk of Adjustment Problems and Dating Violence in Adolescence ». Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, mars 2000; Catherine J. Simonelli, Thomas Mullis, Ann N. Elliott, Thomas W. Pierce. « Abuse by Siblings and Subsequent Experiences of Violence Within the Dating Relationship ». Journal of Interpersonal Violence, vol. 17, no 2 (2002), aux p. 103 à 121. 28 University of Alberta Health Centre. Sexual Assault and the Law in Canada (en ligne) (consulté le 15 janvier 2003). Disposible sur Internet. 29 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, à la p. 97. 30 Collins et Stroufe, 1999, cités dans David A. Wolfe, Christine Wekerle, Katreena Scott, Anna-Lee Straatman, Carolyn Grasley et Deborah Reitzel-Jaffe. « Dating Violence Prevention with At-Risk Youth: A Controlled Outcome Evaluation ». Journal of Consultng and Clinical Psychology (sous presse). 31 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, aux p. 122 et 123. 32 Debra J. Pepler, Wendy M. Craig, Jennifer Connolly et Kathryn Henderson. « Bullying, Sexual Harassment, Dating Violence, and Substance Use Among Adolescents », dans Christine Wekerle et Anne-Marie Wall (éd.). The Violence and Addiction Equation: Theoretical and Clinical Issues in Substance Abuse and Relationship Violence. New York, Brunner-Routledge, 2002, à la p. 165. 33 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, aux p. 115 et 116. 34 Boeringer, Shehan et Akers, 1991; DeKeseredy, 1990; DeKeseredy et Kelly, 1995; Lavoie, Herbert et Dufort, 1995, cités dans Susan M. Jackson. « Issues in the Dating Violence Research: A Review of the Literature ». Aggression and Violent Behaviour, vol. 4, no 12 (1999), à la p. 242. 35 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, aux p. 101, 102, 106 et 107. 36 Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, à la p. 113. Remarque : Les auteurs indiquent que cest la conclusion quils tirent « provisoirement ». 37 Lavoie, Vezina, Piche et Boivin, 1993; Gagné et Lavoie, 1993; Gamache, 1991, cités dans Walter S. DeKeseredy et Martin D. Schwartz. Woman Abuse on Campus: Results from the Canadian National Survey. Londres, New Delhi, Thousand Oaks, Sage Publications, 1998, aux p. 52 et 53. 38 Yasmin Jiwani, Nancy Janoviøek, Angela Cameron. « Erased Realities: The Violence of Racism in the Lives of Immigrant and Refugee Girls of Colour », dans Alliance de cinq centres de recherche sur la violence. Violence Prevention and the Girl Child: Final Report. Publié par Helene Berman et Yasmin Jiwani (recherche financée par Condition féminine Canada, 1999); Comité canadien sur la violence faite aux femmes. Un nouvel horizon : éliminer la violence, atteindre légalité, rapport final. Ottawa, ministre des Approvisionnements et Services, 1993. 39 Les renseignements figurant dans cette section sont tirés principalement des sources suivantes : les documents du programme Making Waves; Canada. Ministère de la Justice. « Deterring Dating Violence Presentation and Activity Guide Intended for Secondary III, IV and V Personal and Social Education Teachers ». Le petit Magazine, printemps 2002. 40 Jay G. Silverman, Anita Raj, Lorelei A. Mucci, Jeanne E. Hathaway. « Dating Violence Against Adolescent Girls and Associated Substance Use, Unhealthy Weight Control, Sexual Risk Behaviour, Pregnancy and Suicidality ». JAMA 286, 5 (1er août 2001), aux p. 572 à 579 (résumé) (en ligne) (consulté le 1er août 2001). Disponible sur Internet. 41 Makepeace, 1998; Larkin et Popaleni, 1994; Miller et Simpson, 1991; Bethke et De Joy, 1993; Jacobson, 1994; Kelly et DeKeseredy, 1994; Follingstad et al., 1991, cités dans Susan M. Jackson. « Issues in the Dating Violence Research: A Review of the Literature ». Aggression and Violent Behaviour, vol. 4, no 12 (1999), à la p. 238. 42 Cascardi, Avery-Leaf, OLeary et Smith Slep, 1999, cités dans Helene Berman, Anna-Lee Straatman, Kimberley Hunt, Janet Izumi, Barbara MacQuarrie. « Sexual Harassment: The Unacknowledged Face of Violence in the Lives of Girls ». dans Alliance de cinq centres de recherche sur la violence. In the Best Interests of the Girl Child: Phase II Report. Publié par Helene Berman et Yasmin Jiwani (recherche financée par Condition féminine Canada, janvier 2002), à la p. 22. 43 Lagression sexuelle grave est une
« infraction désignée », et un adolescent accusé
de cette infraction pourrait être jugé comme un adulte.
|
Mise à jour : 2005-11-04 | Avis importants |