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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Criminal chopper sale quashed


Text and photo by Mitch Gillett

The day a Reserve Captain disposed of the CF's fleet of 45 surplus Kiowa helicopters, he unknowingly became embroiled in a complex scheme to sell surplus military equipment to an embargoed client in the Middle East.

But Capt Bernard Derbach ended up a hero when his testimony helped to jail the offenders.

A one-year investigation by the RCMP and United States federal customs agents that started in 1997 ended last year with three people charged and the discovery of 34 UH-59 helicopters stored in a southern Ontario warehouse. By the time the joint investigation had wrapped up its inquiry, 11 of the stripped-down CF Kiowas had been exported from Canada without the proper authority to transfer ownership of the helicopters to a third party.

"As a result of the investigation and sub- sequent arrest of the two American coconspirators, I was subpoenaed by U.S. authorities to testify in Florida," said Capt Derbach, project manager of aircraft disposal for DND, who also admits having a new appreciation for the amount of work that goes into disposing of military equipment so the Crown and DND is not put into a libellous position.

The international intrigue started when the CF helicopters were sold through a marketing agent with the permission of Crown Assets to a Canadian company called Aviation Concepts, which unbeknownst to CF officials, was being funded by a U.S. source. The Canadian company bought them under the premise that the helicopters would be used for agricultural purposes, such as crop dusting.

Shortly after the sale, Canadian and U.S. authorities began investigating a conspiracy to ship the surplus helicopters to Iraq through the Philippines, but

not before 11 of the helicopters had been sold. Two American citizens were buying the stripped-down Kiowas from the Canadian company and diverting them through fictitious companies in the Philippines to Iraq and possibly Iran, which is a direct violation of the U.S. Arms Export Control Act, which forbids the sale of military equipment to a country banned under United Nations agreements.

On April 23 Capt Derbach was presented with an award from the U.S. Customs Service at a ceremony at the Rainbow Bridge in Niagara Falls, New York, recognizing his outstanding co-operation in the investigation, prosecution and conviction of the subjects.

An Air Reserve officer who helped American and Canadian authorities prevent the illegal export of surplus Canadian military helicopters to Iraq was presented with an award April 13 by the United States Customs Service. Capt Bernard Derbach of Air Reserve Flight Ottawa shows the plaque presented to him at a ceremony in Niagara Falls, New York.

Le capt Bernard Derbach, qui a aidé les autorités; canadiennes et américaines; à empêcher; l'exportation illicite d'hélicopt;ères; militaires canadiens de surplus vers l'Iraq, a reçu;, le 13 avril dernier,

un honneur du United States Customs Service. L'officier de l'escadrille de la Réserve; aéri;

enne Ottawa montre la plaque qui lui a ét;é remise lors d'une cér;émonie; tenue à Niagara Falls (New York).

Vente illégale; d'hélicopt;ères; mise au jour


texte et photo par Mitch Gillett

Le jour où un capitaine de la Réserve; a disposé d'un surplus de 45 hélicopt;ères; Kiowa des FC, il a participé sans le savoir à un stratagème; complexe de vente de matériel; militaire de surplus à un client frappé d'embargo du Moyen-Orient. Mais le capt Bernard Derbach s'est racheté en aidant à annuler le marché et à mettre les coupables sous les verrous.

Une enquête; d'un an de la GRC et de la douane américaine; s'est terminée; l'an dernier avec la mise en accusation de trois personnes et la découverte; de 34 hélicopt;ères; UH-59 dans un entrepôt; du sud de l'Ontario. Le temps que prenne fin l'enquête; conjointe, 11 des Kiowa démont;és; avaient ét;é exportés; sans autorité compétente; de transfert de propriét;é à un tiers.

« En conséquence; de l'enquête; et de l'ar-

restation subséquente; des deux cocomploteurs américains;, j'ai ét;é cité à comparaître; en Floride, comme témoin;, par les autorités; américaines; », explique le capt Derbach, chargé de projet de la disposition des aéronefs; des FC. Ce dernier avoue voir d'un tout autre oeil la quantité de travail investie dans la disposition du matériel; militaire afin que l'État; et le MDN ne se trouvent pas dans des positions difficiles.

Cette intrigue internationale a commencé quand des hélicopt;ères; des FC ont ét;é vendus, avec la permission des Biens de l'État;, à la sociét;é canadienne Aviation Concepts qui, à l'insu des représentants; des FC, était; financée; par une source améri-; caine. La sociét;é a acheté les hélicopt;ères; en prétendant; qu'ils serviraient à des opérations; agricoles.

Peu après; la vente, les autorités; cana-

diennes et américaines; ont lancé une enquête; sur un complot visant à expédier; les hélicopt;ères; en Iraq via les Philippines, mais 11 des appareils avaient déj;à ét;é vendus. Deux citoyens américains; achetaient les Kiowa démont;és; de l'entreprise canadienne et les détournaient;, en passant par des entreprises philippines fictives, vers l'Iraq et peut-être; l'Iran. Cela constituait une violation directe de la U.S. Arms Export Control Act, qui interdit la vente de matériel; militaire à tout pays banni en vertu des accords des Nations Unies.

Le 23 avril, le capt Derbach a ét;é honoré par les services douaniers américains; lors d'une cér;émonie; tenue sur le pont Rainbow de Niagara Falls (New York), en reconnaissance de sa remarquable collaboration à l'enquête;, à la poursuite et à la con- damnation des suspects.

Image: Photo: CF File / Archives des FC

Venezuelan Defence Attaché praises CF...and fireplaces


By Mitch Gillett

The 1998 ice storm chased away any romantic illusions Venezuelan Defence Attaché Brigadier-General José Jiménez; had about fireplaces.

"When we came here, we had the idea of being in the house with a fireplace, things Canadians have," said BGen Jiménez;, a qualified helicopter pilot and mechanical engineer with 30 years of military service and four years as a cadet.

"All of sudden it changed, the fireplace was no longer an ornament. It was for 24-hour warming of the house, because we were without electricity for five days. I had to sleep on the couch to keep the fireplace going, so I think I have had enough of a fireplace for a while."

Despite the harsh introduction to Canada's unforgiving climate, BGen Jiménez;, his wife and three children were able to put the ice storm behind them. The chance to come to Canada-instead of Russia, China or the

United States-for two and a half years as Venezuela's Defence Attaché has given him more than just insight into the Canadian climate.

Fluent in Spanish and English, BGen Jiménez;, who can also speak French and German, is the direct link between the Embassy of the Republic of Venezuela and the DND on military issues. His duties as a defence attaché have taken him to CF bases coast to coast and to the Arctic. The visits have given him insight into the way the CF operates, and the military men and women who carry out the orders.

"[CF members] are very well trained, well educated and they know what they are doing. I think for what they are given and the way they are treated, they are of the highest quality and the most proud," BGen Jiménez; said. "I think they are highly motivated, they have very high standards and they really think [the CF] is one of Canada's most important enterprises."

Un attaché militaire fait l'éloge; des FC... et des foyers


par Mitch Gillett

La tempête; de verglas de 1998 a chassé de l'esprit du bgén; José Jiménez;, attaché militaire vén;ézu;élien;, les belles idées; qu'il se faisait des foyers.

« À notre arrivée; ici, nous nous voyions dans une maison dotée; d'un foyer comme en ont les Canadiens », raconte le bgén; Jiménez;, pilote d'hélicopt;ère; qualifié et ingénieur-m;écanicien;, qui compte 30 ans de service actif.

« Subitement, tout a basculé : le foyer n'était; plus un él;ément; décoratif.; Il servait

à chauffer la maison 24 heures sur 24, car nous avons manqué d'électricit;é pendant 5 jours. Je devais dormir sur le divan pour entretenir le feu, aussi je pense que j'ai assez vu le foyer pour un bout de temps. »

Malgré cette rude introduction aux rigueurs du climat canadien, le bgén; Jiménez;, sa femme et leurs trois enfants ont trouvé moyen de tourner la page. La chance de vivre au Canada - plutôt; qu'en Russie, en Chine ou aux États-Unis; - pendant deux

ans et demi en tant qu'attaché militaire a donné au bgén; Jiménez; une meilleure compréhension; du pays.

Maniant couramment l'anglais et l'espagnol, capable de s'exprimer en français; et en allemand, le bgén; Jiménez; est le lien direct entre l'Ambassade de la République; du Venezuela et le MDN en ce qui a trait aux questions militaires. Les tâches; qui lui incombent l'ont mené dans des bases des FC d'un océan; à l'autre et même; dans l'Arctique, ce qui lui a permis de voir fonctionner les FC

et de comprendre les militaires, hommes et femmes, qui exécutent; les ordres.

« Les membres des FC sont très; bien entraîn;és;, bien formés; et ils savent ce qu'ils font. Je pense que pour ce qui leur est donné et pour le traitement qu'ils reçoi-; vent, ce sont des soldats de premier ordre et des militaires des plus fiers, indique-t-il. Je les crois hautement motivés.; Leurs normes sont élev;ées; et ils estiment vraiment que les FC comptent parmi les entreprises canadiennes les plus importantes. »


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



NCMs writing their own future for professional development


Members of the NCM Qualification Standard Writing Board, meeting at CFB Borden in April, talked to The Maple Leaf about what they want to see in the first NCM professional development system.

Les membres du CRNQMR, en réunion; à Borden en avril dernier, ont mentioné à La Feuille d'érable; de ce qu'ils voulaient voir figurer au premier SPPMR.

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Cpl Kimberly Beale, Reserve Rad-Tel Op, CFB Borden

"From the Reserve point of view, I think the Regular and Reserve Force should have the same regimental standards and the same training...Our job is to augment the Regular Force, but how can we do their job if we are treated differently?"

Cpl Kimberly Beale, radio/tél;étypiste; de la Réserve;, Base Borden

« Les Forces réguli;ères; et de réserve; devraient observer les mêmes; normes régimentaires; et recevoir la même; instruction... Notre raison d'être; est de servir de renfort à la Réguli;ère; : comment pouvons-nous faire leur travail si nous sommes traités; différemment;? »

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MCpl Pat Eglinton, Fd Engineer, 2 Combat Engineer Regiment, CFB Petawawa,

"You need that soldier who wants to take the risk, wants the challenge, but is also intellectually stable. Physical stamina, at least on the Army side of things, is something that is lacking now, but as long as the standard is made by the CF, it should be kept by the CF."

Cplc Pat Eglinton, sapeur, 2e Régiment; du Génie;, Base Petawawa

« On a besoin de soldats disposés; à prendre le risque, qui veulent relever le défi;, mais qui sont intellectuellement stables. La résistance; physique, du moins du point de vue de l'armée;, faiblit en ce moment mais dans la mesure où ce sont les FC qui établissent; les normes, c'est à elles qu'il revient de les conserver. »

Text and photos by Anne Boys

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Sgt Karen Briggins, Med A field operations instructor, CFB Borden

"This training will give NCMs a sense of belonging...and feeling like you are part of a team is important."

Sgt Karen Briggins, adjoint médical; instructrice, Base Borden

« Cette formation donnera aux MR un sentiment d'appartenance... et c'est important de sentir qu'on fait partie d'une équipe.; »

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MCpl Tim Devitt, Comm Research Operations Training Cell, CFS Leitrim

"You can't spoon-feed [recruits] or be condescending. You have to start teaching them commensurate to their level."

Cplc Tim Devitt, section de formation - recherche en communication, Station Leitrim

« On ne peut ni infliger de bourrage de crâne; aux recrues ni leur montrer de condescendance. Il est temps de commencer à leur donner une instruction adaptée; à leur niveau. »

MS DJ Perron, NET Tech, CFB Halifax

"Recruits used to be taught what officers thought they ought to know at the basic level: respect the rank structure, but don't limit what you teach somebody because of rank."

Matc D.J. Perron, électronicien; naval, Base Halifax

« On enseignait autrefois aux recrues ce que les officiers croyaient qu'elles devaient savoir au niveau de base. S'il est bon de respecter la structure hiérarchique;, il ne faut pas limiter ce que l'on enseigne à quelqu'un en fonction de son grade. »

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You could call it a "no bullshit zone." With dictionary and reference materials in hand, the members of the Non-Commissioned Member (NCM) Qualification Standard Writing Board edited the draft curriculum that will form the backbone of the first NCM Professional Development System (NCMPDS).

This board and several others, segregated by rank from sergeant to officer, met at CFB Borden this spring to work on the curriculum drafted by the CF Recruiting, Education and Training System (CFRETS). During this hands-on process, the NCMs eradicated jargon and critiqued the curriculum's wide-ranging topics, which ranged from "care and cleaning of personal weapon" to "promoting team before self" to "Canadian military history."

On this subject, Master Seaman D.J. Perron, from CFB Halifax, argued the importance of teaching customs and traditions to new recruits. "Members need to be aware of the significance of these things- like why we have a parade at the 11th hour on the 11th day of the 11th month, and the origins of the mess."

NCMs have been key players in the development of the new system since the process began in September 1998. "The CF is changing the way it does things. Traditionally NCMs of lower rank were not asked their opinion. Today we actually go out and seek it," said CFRET's Chief Warrant Officer

Guy Roy. "When you take part in the process, then you take ownership of it. We get far better results doing it this way than with senior people dictating what the future of the NCM should be."

The Boards reviewed the NCM General Specifications and a performed a task-by- task analysis at every rank in the first phase of the process. "We're looking 20 years down the road and asking 'what kind of training will a soldier need?'" said Major Richard Dal Bello, senior staff officer for the project. "Recruits today are more educated than they were even five years ago. Quite a few have university degrees. We need to develop our training accordingly."

CWO Roy said in particular that training would have to keep pace with technology and the operational demands of the day. "Communication is the key to being able to work together, and it changes dramatically. For example, we have to make sure our younger NCMs are capable of operating computer systems and communicating by e-mail, as well as enhancing their writing and communication skills."

"And the young men and women of today are more likely to go on missions where they will be put in harm's way. You have to make sure that the professional development and training you give them is adequate for them to face that," said CWO Roy. Training under the new NCMPDS could begin as early as September 2000.

Les MR tracent la destinée; de leur perfectionnement professionnel


texte et photos par Anne Boys

Dictionnaire et matériel; de réf;érence; en mains, les membres du comité de rédaction; des normes de qualification des militaires du rang (CRNQMR) ont passé au crible le projet de plan d'études; qui formera l'épine; dorsale du premier système; de perfectionnement professionnel des MR (SPPMR).

Les MR et plusieurs autres comités; regroupés; par grade se sont réunis; à la Base Borden ce printemps pour mettre la touche finale au plan d'études; ébauch;é par le Service du recrutement, de l'éducation; et de l'instruction des FC (SREIFC). Pendant le processus, les MR ont banni le jargon et ont porté un regard critique sur des sujets à vaste portée; comme « soin et propreté des armes personnelles », « l'équipe; d'abord » et « histoire militaire du Canada ».; Sur ce point, le matc D.J. Perron, de la Base Halifax, a défendu; l'importance de l'enseignement des us et coutumes aux recrues : « Les militaires doivent connaître; le sens de ces choses - pourquoi un défil;é à la 11e heure du 11e jour du 11e mois, quelles sont les origines du mess, etc. ».;

Les MR sont des joueurs clés; de l'élaboration; du nouveau système; depuis le début; de la démarche;, en septembre 1998. « Les FC sont en train de changer leur approche. Historiquement, l'opinion des MR subalternes n'était; jamais entendue. De nos jours, on fait des efforts pour l'obtenir, observe l'adjuc Guy Roy du SREIFC. Prendre part à un processus, c'est se l'approprier. Nous obtenons des résultats; nettement meilleurs

ainsi qu'en demandant aux officiers supérieurs; de dicter l'avenir des MR. »

Pendant la première; étape; du développement;, les comités; ont revu les normes gén;érales; du personnel non-officier et ont effectué une analyse tâche; par tâche; de chacun des grades. « Nous leur demandons, sur un horizon de 20 ans, de quel type d'instruction un soldat aura besoin, explique le maj Richard Dal Bello, officier supérieur; d'état-major; du projet. Les recrues d'aujourd'hui sont plus instruites que celles d'il y a à peine cinq ans. Plusieurs détiennent; des diplômes; universitaires. Nous devons adapter notre instruction en conséquence.; »

D'après; l'adjuc Roy, l'entraînement; devrait tenir compte des exigences techniques et opérationnelles; du jour : « C'est la communication qui nous permet de travailler ensemble et elle subit en ce moment des changements dramatiques. Nous devons, entre autres, nous assurer que les soldats savent utiliser l'ordinateur et le courriel, et il faut faire en sorte d'améliorer; leurs compétences; rédactionnelles; et communicationnelles. »

« Il est plus probable aujourd'hui pour les jeunes soldats d'être; affectés; à des missions à risque. Nous devons nous assurer que la formation et le perfectionnement que nous dispensons les y préparent; adéquatement; », ajoute-t-il.

Le nouveau SPPMR pourrait entrer en vigueur dès; septembre 2000.

Vol. 2, No. 10, 1999




Defence Research Establishment Valcartier


Striving for progress in science and technology - Part II


By Richard Larouche

René LaRose. "We are trying to provide a detailed overview by developing systems like ALBEDOS and the Infrared Eye."

DREV's Airborne Laser-Based Enhanced Detection and Observation System (ALBEDOS) demonstrates an innovative electro- optic technology in active range-gated imagery, which greatly exceeds the capacities of current search and surveillance equipment. ALBEDOS can carry out various search and surveillance functions in complete darkness or unfavourable weather conditions. According to René LaRose, ALBEDOS has proven effective for search and rescue operations, general surveillance, and optical systems detection. "ALBEDOS complements radar capacity, and goes even further, because an optical system can identify things."

Search and rescue operations are difficult at best, and must often be carried out at night or under weather conditions affording poor visibility. Inspired by the human eye, DREV scientists developed the prototype Infrared Eye, a surveillance system design that provides two superimposed fields of view-wide and narrow-that can be viewed simultaneously. The first Infrared Eye prototype has already under- gone successful laboratory trials. A second prototype, suitable for flight trials, is currently under development.

In the area of electro-optical warfare, DREV dedicates a certain amount of work to the remote sensing of gasses, bacteria and chemical agents. Scientists are currently working on a simulator for missile engagement, aircraft, and counter-meas-

The Defence Research Establishment Valcartier (DREV) is making scientific advances to benefit DND and the Canadian Forces. Certain projects are dedicated to protecting CF personnel involved in peacekeeping and peacemaking missions from the many hazards they face abroad. Other projects cover a wide range of fields related to combat systems. A significant amount of work is also carried out in the areas of electro-optics, and command and control information systems.

Electro-optical systems

DREV is world renowned for its research in electronics and optics. DREV scientists invented chemical lasers capable of storing increasingly large amounts of energy. They improved or perfected instruments for enhanced nocturnal vision and image magnification. They are also continuing to develop practical applications for operational units, "to meet actual and potential needs identified by the Canadian Forces,"

said René LaRose, Deputy Director General of DREV and electro-optics specialist.

Research work focusses on two main areas: surveillance systems and electro- optical warfare. DREV has also developed related know-how in atmospheric transmission and scattering, the physics of radiation detection, lasers of all types, and optics and electronics.

"Our major challenge in the area of surveillance is covering long distances in conditions in which visibility is reduced," said

Image: DREV has long been applying computer and information technology to command and control, giving it extensive knowledge in this complex field. DREV's strength in this area is decision- support technologies.Photo: DREV / CRDV

Le CRDV applique depuis long- temps l'informatique au commandement et contrôle; militaire et le Centre possède; de solides connaissances dans ce domaine. Son point fort : les technologies d'aide à la décision.;

Le Centre de recherches pour la défense; Valcartier


Pour le progrès; scientifique et technologique (2

e

partie)


par Richard Larouche

Le Centre de recherches pour la défense; Valcartier (CRDV) oeuvre pour le progrès; scientifique du MDN et des FC. Il consacre plusieurs de ses travaux à contrer les risques variés; auxquels sont exposés; les militaires déploy;és; dans des missions de maintien et de rétablissement; de la paix et à toute une panoplie de sujets liés; aux systèmes; de combat. Il consacre aussi beau- coup de travaux dans les domaines de l'électro-optique; et des systèmes; d'infor

mation du commandement et contrôle.;

Les systèmes; électro-optiques;

Le CRDV est mondialement reconnu pour ses recherches en optronique. Les scientifiques de ce secteur d'activités; ont inventé des lasers chimiques pouvant emmagasiner de plus grandes quantités; d'énergie.; Ils ont mis au point ou amélior;é des instruments de vision nocturne et d'amplification d'images. Ils continuent de développer; des applications concrètes; pour les unités; opérationnelles;, « afin de s'adapter aux besoins réels; et potentiels identifiés; par les FC », affirme René LaRose, directeur gén;éral; adjoint du CRDV

et spécialiste; en électro-optique.;

Les travaux se sont polarisés; dans deux champs de recherche principaux : les systèmes; de surveillance et les systèmes; de guerre électro-optique.; Le CRDV possède; aussi un savoir-faire connexe dans la transmission et la diffusion atmosphériques;, la physique du rayonnement, les lasers de tous types, l'optique et l'électronique.;

« Notre plus grand défi; en surveillance est la couverture de grands espaces dans des conditions de visibilité réduite;, déclare;  
M. LaRose. Nous essayons de donner une vue d'ensemble détaill;ée; en développant; des systèmes; comme ALBEDOS et l'oeil infrarouge. »

Le système; laser aéroport;é perfectionné de détection; et d'observation du CRDV, connu sous l'acronyme ALBEDOS, fait intervenir une technologie novatrice d'imagerie réelle; qui dépasse; largement les capacités; actuelles des équipements; de recherche et de surveillance. Le système; ALBEDOS peut accomplir diverses fonctions de recherche et de surveillance dans l'obscurité totale et dans de mauvaises conditions atmosphériques.; Il s'avère; efficace

pour les opérations; de recherche et sauvetage, la surveillance gén;érale; et la détection; des systèmes; optiques, selon M. LaRose. « ALBEDOS complète; les capacités; d'un radar et plus, puisque le système; optique est capable d'identifier les choses. »

Les opérations; de recherche et de sauvetage sont pour le moins difficiles et elles doivent souvent se dérouler; la nuit ou dans des conditions de mauvaise visibilité.; Des scientifiques du CRDV se sont inspirés; de l'analogie avec l'oeil humain pour concevoir le prototype d'un oeil infrarouge, un système; de surveillance caractéris;é par deux champs de vision superposés;, un large et un étroit;, pouvant être; utilisés; sépar;ément.; Le premier prototype d'oeil infrarouge a déj;à subi de fructueux essais en laboratoire. Un second prototype, qui convient aux essais en vol, est en cours de développement.;

En matière; de guerre électro-optique;, le Centre consacre nombre de travaux sur la tél;éd;étection; des gaz, des bactéries; et des agents chimiques. Des scientifiques travail-

Image: Photo: DREV / CRDV

The Airborne Laser-Based Enhanced Detection and Observation System (ALBEDOS) makes it possible to detect and recognize targets in total darkness.

Grâce; à ALBEDOS - système; laser aéroport;é de détection; et d'observation amélior;ées; - il est possible de détecter; et de reconnaître; des cibles dans l'obscurité complète.;


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



ures such as laser-threat detection and eye-and-sensor laser protection.

Command and control information systems

The military is following the example of industry and government in coming to terms with information that has become more and more complex, voluminous, dispersed and diverse in both form and depth. Modern armed forces command posts are being swamped with information. As well, a graphic application of data has become increasingly accessible and necessary in a wide range of formats. In response, DREV increased the work it puts into numerous fields related to command and control information systems.

Testing grounds, technology demonstrators, information fusion, simulated real-time environments, expert system advisors, interpretation packages, data search and retrieval are among the many tools at the disposal of DREV scientists as they make command and control tasks easier for CF personnel.

At DREV, mathematical models of aircraft, ships and armoured vehicles are constructed, computerized and evaluated while under virtual enemy fire. The information gleaned from these activities enables scientists to assess the performance of a piece of equipment and project future modifications.

DREV has long been applying computer and information technology to command and control, giving it extensive knowledge in this complex field. DREV's strength in this area is decision-support technologies. DREV introduced modern computer technologies to this complex field, rendering decision-making easier at all levels.

To find out more about DREV, visit the following Web site: www.drev.dnd.ca/crdv_e.html.

New public affairs policy 'great success' says CDS


By Anne Boys

The new public affairs policy has improved communication between the CF and the Canadian public by allowing the rank and file to speak to the media, say senior officials at DND/CF.

"The public affairs policy has been a great success as far as I'm concerned," said the Chief of the Defence Staff, General Maurice Baril. "The men and women of the CF are the best ambassadors we have because they are on the sharp end. They tell it the way it is. And I believe this is what the Canadian population wants."

The new policy, which took effect March 1, 1998, was designed to deliver an open approach to public affairs. According to Georges Rioux, Director General of Public Affairs, the policy has worked well on the ground. "You see it when you get into an operation where there is blanket media coverage-radio, television, newspapers-people are out there talking about what they are doing, explaining the equipment they are using. That is what most Canadians are interested in. And there is no better person to talk about these things than the person who is on the front line."

The policy allows DND employees and CF members to accept media interviews related directly to their own work, but does not allow for speculation or personal opinion about the policies of the CF, DND or governments. When in doubt, individuals are advised to seek advice from public affairs through the chain of command. "Like any operation, we have to be careful about what we do and what we say. We are involved in very dangerous operations and we don't want to jeopardize the security of others," said General Baril.

CWO Guy Roy is the senior non-commissioned member within CF Recruiting, Education and Training System (CFRETS). "I agree that CF members should only speak about things within their purview...I know about CFRETS, and I can speak about CFRETS. But I would not debate with you about Kosovo because that is not my line of work right now."

Several other federal government departments have expressed interest in the policy, said Mr. Rioux. "The public affairs policy is considered cutting edge because it empowers all employees to be effective spokespersons. That makes it a very effective and potent tool."

Politique des affaires publiques :


un grand succès;


par Anne Boys

En permettant au personnel subalterne de parler aux journalistes, la politique édict;ée; il y a un an sur les affaires publiques a amélior;é la communication entre les FC et le grand public, estiment des cadres supérieurs; du MDN et des FC.

« Je considère; la politique des affaires publiques comme un succès; », affirme le gén; Maurice Baril, chef d'état-major; de la Défense.; « Les membres des FC sont les meilleurs ambassadeurs dont nous disposons parce qu'ils sont dans le feu de l'action. Ils disent les choses comme elles sont et je crois que c'est cela que les Canadiens veulent. »

La nouvelle politique, en vigueur depuis le 1er mars 1998, vise à donner une approche ouverte aux affaires publiques. Selon George Rioux, directeur gén;éral; des Affaires publiques, elle a bien fonctionné dans les faits. « On s'en rend compte lors des opérations; couvertes par tous les médias; (radio, tél;évision;, presse écrite;) : les gens parlent de ce qu'ils font, ils décrivent; le matériel; dont ils se servent. C'est à cela que la plupart des Canadiens s'intéressent.; Qui peut mieux en parler que ceux qui font le travail? »

Fonctionnaires et militaires peuvent accorder aux médias; des entrevues portant directement sur leur travail, mais ne peu- vent donner leur opinion personnelle ni se lancer dans des conjectures sur le gouvernement, le MDN ou les politiques des FC. S'il plane un doute, ils doivent demander conseil aux Affaires publiques en passant par la chaîne; de commandement. « Comme dans toute autre opération;, nous devons être; prudents dans nos gestes et dans nos paroles. Nous nous engageons dans des opérations; très; dangereuses et nous ne voulons mettre personne en danger », explique le gén; Baril.

« Je suis d'accord avec le fait que les militaires ne doivent parler que de choses qui sont de leur ressort », affirme le plus haut gradé des militaires du rang au Service du recrutement, de l'éducation; et de l'instruction des FC (SREIFC), l'adjuc Guy Roy. « Je connais le SREIFC et je peux en parler. Mais je n'aurais pas une discussion avec vous sur le Kosovo parce que ce n'est pas à cela que je m'emploie maintenant. »

D'autres ministères; féd;éraux; ont exprimé de l'intér;êt; pour la politique, signale  
M. Rioux. « Cette politique est considér;ée; comme avant-gardiste parce qu'elle confère; à tous les employés; une responsabilité de porte-parole. Cela en fait un outil puissant et efficace. »

Image: Photo: DREV / CRDV

In the field of electro-optics and surveillance, DREV is working on improving and integrating the tactical surveillance system of the Coyote, the most advanced light-armoured reconnaissance vehicle in the CF. Visual perception in the visible and infrared spectral bands will be enhanced by using novel techniques for image fusion and stabilization, and by applying active imagery techniques. A command and control system with radar data displayed on digital maps will complete the vehicle's surveillance system.

Dans le domaine de l'électro-optique; et de la surveillance, le Centre travaille à l'amélioration; et à l'intégration; du système; de surveillance tactique du Coyote. La perception visuelle dans les bandes spectrales visibles et dans l'infrarouge sera bonifiée; par des techniques novatrices de stabilisation et de fusion d'images, de même; que par l'application de techniques d'imagerie active. Un système; de commandement et contrôle; avec affichage des données; radar sur des cartes numériques; complètera; le système; de surveillance du véhicule.;

lent actuellement sur un simulateur d'engagement de missiles, d'aéronefs; et de contre-mesures, sur la détection; de menaces laser, et sur la protection laser pour les yeux et les capteurs.

Les systèmes; d'information du commandement et contrôle;

À l'instar des organismes industriels et gouvernementaux, les militaires doivent composer avec une information qui se fait de plus en plus complexe, volumineuse, dispersée; et variée;, tant par son fond que par sa forme. La quantité d'information envoyée; au poste de commandement est de plus en plus considérable; au sein de forces armées; modernes. L'application graphique de données; est de plus en plus accessible et nécessaire; dans toutes sortes de formats. Voici pourquoi les activités; pullulent au CRDV dans les nombreux secteurs d'activités; liés; aux systèmes; d'information du commandement et contrôle.;

Bancs d'essai, démonstrateurs; de tech- nologie, fusion des informations, simulation d'environnement en temps réel;, systèmes; expert-conseil, d'interprétation;, de recherche et d'extraction de données; comptent parmi les nombreux outils qui sont l'apanage quotidien des scientifiques du CRDV pour faciliter la tâche; de tous les intervenants en matière; de commandement et contrôle.;

Le Centre construit des modèles; mathématiques; d'aéronefs;, de navires ou de véhicules; blindés; et les met en situation par ordinateur ou les évaluent; sous le feu de l'ennemi virtuel. Grâce; à l'information qu'ils en tirent, les scientifiques peuvent évaluer; le rendement d'une pièce; d'équipement; ou faire des projections sur les caractéristiques; que devraient posséder; le matériel; futur.

Le CRDV applique depuis longtemps l'informatique et les technologies de l'infor

mation au commandement et contrôle; militaire et le Centre possède; de solides connaissances dans ce domaine complexe. Son point fort : les technologies d'aide à la décision.; Le CRDV a introduit dans ce secteur critique des techniques informatiques modernes qui apportent une aide concrète; à tous les niveaux décisionnels.; Pour en connaître; davantage sur le CRDV, consultez le site Web www.drev.dnd.ca/crdv_f.html

Vol. 2, No. 10, 1999



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