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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Navy Editor  
Hilary Crane (613) 592-4330


Chinese migrants housed at CF training centre in Victoria


Le centre d'entraînement; des FC à Victoria héberge; des immigrants chinois


By Hilary Crane


Le centre d'entraînement; des officiers de marine de Victoria (C.-B.), un gymnase de Venture, sert de refuge temporaire à 123 Chinois entrés; illégalement; au Canada. Les 106 hommes et 17 femmes étaient; passagers d'un rafiot de 55 m non identifié intercepté par la Garde côti;ère; canadienne le 20 juillet.

Selon les enquêteurs;, les passagers auraient donné chacun jusqu'à 40 000 $US à un réseau; de passeurs du crime organisé.; Ils avaient peut-être; des contacts au Canada et prévoyaient; débarquer; le long des côtes; escarpées; pour gagner doucement les villes.

Selon le lcdr Chris Henderson, officier des Affaires publiques des Forces maritimes du Pacifique, les militaires étaient; prépar;és; à jouer un rôle; de soutien dans une telle situation, laquelle est essentiellement du res- sort du Bureau de Citoyenneté et Immigration Canada de Victoria. « Citoyenneté et Immigration Canada savait qu'un év;énement; de la sorte se produirait cet ét;é, a-t-il déclar;é.; Mais ils n'avaient pas les ressources pour y faire face. Au printemps, ils ont convoqué plusieurs rencontres avec le MDN, la GRC et Santé Canada pour déterminer; le rôle; de chacun. »

Six heures après; leur arrivée;, le personnel médical; du MDN a commencé à rencontrer les immigrants, qui étaient; restés; sur le bateau près; d'un mois avec très; peu de nourriture et d'eau. On les a interrogés;, photographiés;, examinés; et on a pris leurs empreintes digitales. Une bonne partie du personnel médical; avait déj;à fait face à ce genre de situation avec les réfugi;és; du Kosovo, et plusieurs membres du personnel de la marine avaient participé, en 1990, au sauvetage d'un bateau vietnamien dans la mer de Chine méridionale.;

Les militaires ont fourni l'hébergement; et assuré la sécurit;é autour des installations. Cependant, selon le lcdr Henderson, le MDN a un autre rôle; plus discret à jouer : « Les militaires ont augmenté le nombre de vols de surveillance de routine au large de Comox, passant de deux à trois par semaine, et ils se concentrent sur les routes possibles empruntées; par ces navires. »

Les immigrants sont toujours gardés; à Venture en attendant les audiences relatives à leur garde. Ensuite, ils seront probablement emmenés; dans des installations de garde à Montréal.;

par Hilary Crane


A gymnasium at Venture, the Naval Officer Training Centre (NOTC) in Victoria, B.C., is being used as a temporary home for 123 Chinese migrants who entered Canada illegally by ship. The 106 men and 17 women were passengers on a decrepit, unmarked 55 m cargo vessel intercepted July 20 by the Canadian Coast Guard.

Investigators said the people paid up to $US40 000 for their passage in an organized human smuggling operation. They may have had a connection in Canada and were planning to disembark along the rugged coast to slowly filter into cities.

According to Lieutenant-Commander Chris Henderson of Maritime Forces Pacific Public Affairs, the military was prepared for a support role in such a situation, which is primarily the responsibility of the Victoria office of the Citizenship and Immigration Canada. "Citizenship and Immigration had acquired intelligence that suggested an event like this would occur this summer," he said. "They realized they didn't have the resources to cope with it internally. This spring they convened several meetings with DND, the RCMP and Health Canada to work out the role each agency would play."

Within six hours of the migrants' arrival, DND medical staff began conducting screenings of the migrants, who had been on the boat with little food and water for nearly a month. The migrants were interviewed, fingerprinted, photographed and given medical examinations. Many of the medical staff had experience with Kosovar refugees, and several naval personnel had been involved with the 1990 rescue of Vietnamese boat people in the South China Sea.

Since the screenings, one role for the military has been to provide accommodation for the migrants and security around the perimeter of the facility. But, said LCdr Henderson, there is a quieter role for DND in this situation: "The military has increased its routine maritime coastal surveillance flights out of Comox from twice a week to three times a week and has refined the focus of the flights to what are the probable routes of similar vessels."

The migrants continue to be held at Venture for detention hearings, after which they will probably be moved to a detention facility in Montreal.

Image: (John McKay)Picture Archive / Archives du CP

Photo: CP

Chinese immigrants were housed temporarily at a CF training centre in Victoria.

Des immigrants chinois sont héberg;és; dans un centre d'entraînement; des FC à Victoria.

Feds, B.C. trade barbs over Nanoose test range


Some 160 guests-members of the media, federal government workers and local politicians-were taken on board HMCS Ottawa to visit the Canadian Forces Maritime Experimental Test Range (CFMETR) in Nanoose Bay, B.C., July 14. Passengers toured the frigate, watched the firing of a torpedo from the vessel and observed anti-submarine manoeuvres involving Ottawa's Sea King helicopter.

The tour, organized by the Navy, helped familiarize guests with what goes on at CFMETR.

For its part, the B.C. government launched a $60 000 ad campaign to oppose the expropriation. While some 2500 written objections-mostly clip-out coupons from newspapers-have been sent in, far fewer people registered to speak at public hearings on the expropriation scheduled for July 19 to 30 in Nanaimo and August 3 to 13 in Vancouver. The province presented its case August 4 and 5.

The public hearing officer, retired B.C. Court of Appeal Judge Michael Goldie, has no mandate to make recommendations; he will summarize objectors' views and submit his report by September 5 to the federal Minister of Public Works, Alfonso Gagliano, who has the final say as to whether the expropriation will proceed.

In May the federal government announced its intention to expropriate the 100 km2 seabed-North America's only military torpedo testing range-when negotiations with B.C. over a lease set to expire in September 1999 collapsed.

The federal government accused B.C. Premier Glen Clark of using the seabed as a bargaining chip in the Canada-U.S. salmon dispute. The B.C. government maintained talks faltered when Ottawa refused to guarantee no nuclear weapons would be aboard U.S. vessels using the test site. The U.S. navy is the primary user of the test range, and their policy is to neither confirm nor deny whether nuclear warheads are aboard its vessels.

No nuclear testing takes place at CFMETR.

By Hilary Crane


Échanges; acér;és; entre le féd;éral; et la Colombie-Britannique


Le 14 juillet, quelque 160 invités;, membres des médias;, employés; du gouvernement féd;éral; et politiciens de la région;, étaient; invités; à bord du NCSM Ottawa pour visiter le Centre d'expérimentation; et d'essais maritimes des Forces canadiennes (CEEMFC), situé dans la région; de la baie de Nanoose (C.-B.). Les passagers ont visité la frégate;, observé le tir de torpilles et les manoeuvres anti-sous-marines exé-cut;ées; par l'hélicopt;ère; de la frégate;, un Sea King.

La visite, organisée; par le Marine, avait pour but de renseigner les invités; sur les activités; du CEEMFC.

La C.-B., de son côt;é, a lancé une campagne publicitaire de 60 000 $ pour s'opposer à l'expropriation. Alors que quelque 2500 objections écrites; ont ét;é reçues;, pour la plu- part des coupons découp;és; dans les journaux, peu de gens se sont inscrits aux audiences publiques tenues à Nanaïmo; du 19 au 30 juillet et à Vancouver du 3 au 13 août.; La province a présent;é sa cause les 4 et 5 août.;

L'officier des audiences publiques, l'ancien juge de la Cour d'appel de la C.-B., Michael Goldie, n'a pas le mandat de faire des recommandations. Il fera la synthèse; des opinions exprimées; et, le 5 septembre, il soumettra son rapport au ministre des Travaux publics, Alfonso Gagliano, lequel décidera; si l'expropriation aura lieu ou pas.

En mai dernier, le gouvernement féd;éral; annonçait; son intention d'exproprier le fond marin de 100 km2, unique centre d'essais de torpilles militaires en Amérique; du Nord, après; l'échec; des négociations; avec la C.-B. relativement à un bail expirant en septembre 1999.

Le gouvernement féd;éral; a accusé le premier ministre de la C.-B., Glen Clark, d'utiliser le fond marin comme monnaie d'échange; dans le conflit du saumon opposant le Canada et les États-Unis.; La C.-B. soutient que les négociations; ont achoppé quand Ottawa a refusé de garantir qu'aucune arme nucléaire; ne se trouverait à bord des navires américains; présents; dans la baie. La US Navy, principal utilisateur du centre d'essais, refuse de discuter de la présence; ou de l'absence d'armes nucléaires; à bord de ses navires.

Le CEEMFC n'effectue aucun test nucléaire.;

par Hilary Crane



The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la marine Hilary Crane (613) 592-4330


New HMCS

Summerside

commissioned


By Hilary Crane


In what will be the last commissioning of a Canadian naval surface ship for many years, HMCS Summerside was commissioned in her namesake city in Prince Edward Island during a week of celebrations her commanding officer said were the best he'd ever seen. "The bonding between the ship and the city was warm and welcoming," said Lieutenant-Commander Tim Kerr. "The crew and the commissioning committee had been working hard for months for this event and from the moment we were greeted on the jetty at Summerside, we were welcomed as honorary citizens."

With sister ships Moncton and Goose Bay, Summerside left Halifax July 7 for naval reserve training. She arrived in Charlottetown July 14 to pick up Summerside Mayor Basil Stewart, the ship's sponsor, and other guests for the short sail to Summerside and the ceremony marking her as an official warship of the Canadian navy.

En route, LCdr Kerr put the ship through her paces for the benefit of her guests, changing direction in a matter of seconds and coming to a complete stop in little more than a ship's length.

Once in Summerside, 38 Reserve and 2 Regular Force

members hosted tours for the public, then readied the ship for the tradition-steeped ceremony. Minister of National Defence Art Eggleton, Chief of the Maritime Staff Vice- Admiral Greg Maddison, Commander of Maritime Forces Atlantic Rear-Admiral Dusty Miller and Commander of Naval Reserves Commodore Ray Zuliani were among those attending the July 18 ceremony. Special guests were 35 veterans of the original Summerside, a Second World War corvette. Many had not seen each other for 50 years

On July 19, veterans of the original Summerside, the newly commissioned Summerside's officers and crew, the National Band of the Naval Reserve and the navy's gunrunning team from Halifax were highlights in Summer- side's Lobster Carnival Parade. The city presented the ship with a mascot, a German shepherd puppy named Salty. "He'll live in Summerside," said LCrd Kerr, "but will be an honoured visitor to the ship when we're in town."

Since its inception in 1910 the Canadian navy has named its ships after cities, towns, provinces, lakes, rivers and regions to reflect the country's geographical diversity and to forge links between the navy and communities across the country. "This is a great honour to have the ship named after our city ... it will carry the name around the world wherever it sails," said Mayor Stewart.

After her commissioning week, Summerside was slated to sail for St. John's, Nfld. Problems with a lost port shaft line rerouted the ship to Louisbourg, N.S., where the ship was on hand for a re-enactment of the Siege of 1745. Engineering problems are being solved in Halifax before Summerside undergoes a period of sea trials in the fall.

The original HMCS Summerside was a Second World War corvette that convoyed merchant ships to the U.K. during the Battle of the Atlantic. It was one of 17 Canadian corvettes involved in Operation TORCH in which thousands of soldiers and tonnes of munitions and supplies were conveyed from the U.K. and the U.S. to expel the German army from North Africa. In the summer of 1944 Summerside became part of a force of 100 Canadian ships manned by 10 000 Canadian naval personnel in what was the greatest sea-borne invasion in history: Normandy. Summerside was scrapped after the war, but her bell is still displayed in the town hall in Summerside, P.E.I.

Image

HMCS Summerside, the last of the Kingston-class maritime coastal defence vessels, was commissioned in her namesake city on July 18.

Le NCSM Summerside, le dernier navire de défense; côti;ère; maritime de la classe Kingston, a ét;é lancé dans sa ville éponyme; le 18 juillet.

Image: Photos: Base Halifax

Le nouveau NCSM

Summerside

mis en service


par Hilary Crane


Dans ce qui aura ét;é le dernier lancement d'un navire de surface de la Marine canadienne pour de nombreuses années;, le NCSM Summerside a ét;é mis en service dans sa ville éponyme; à l'Île-du-Prince-;Édouard;, au cours d'une semaine des meilleures cél;ébrations; auxquelles le lcdr Tim Kerr a assisté : « La ville a accueilli très; chaleureusement le navire. L'équipage; et le comité de mise en service ont travaillé d'arrache-pied pendant des mois à la préparation; de l'év;énement; et ils nous ont traités; comme des citoyens d'honneur dès; l'accueil au débarcad;ère.; »

Accompagné de ses navires-jumeaux, le Moncton et le Goose Bay, le Summerside a quitté Halifax le 7 juillet pour des séances; d'entraînement; de la Réserve; navale. Il est arrivé à Charlottetown le 14 juillet pour prendre à son bord le maire de Summerside, Basil Stewart, sa marraine et d'autres invités.;

En cours de route, à l'intention des invités;, le lcdr Kerr a fait prendre au navire sa vitesse de croisière;, changeant de direction en quelques secondes et ne prenant pour s'immobiliser qu'un peu plus de la longueur d'un navire.

Une fois à Summerside, 38 réservistes; et deux membres de la Force réguli;ère; ont organisé des visites pour le public, puis prépar;é le navire pour la cér;émonie.; Le ministre de la

Défense; nationale, Art Eggleton, le chef d'état-major; des Forces maritimes, le vam Greg Maddison, le commandant des Forces maritimes de l'Atlantique, le cam Dusty Miller, et le commandant de la Réserve; navale, le cmdre Ray Zuliani, ont assisté à la cér;émonie; du 18 juillet. Parmi les invités; spéciaux; se trouvaient 35 des membres d'équipage; du premier Summerside, une corvette de la Deuxième; Guerre mondiale. Plusieurs d'entre eux ne s'étaient; jamais revus.

Le lendemain, les membres d'équipage; du premier navire, les officiers et les membres d'équipage; du nouveau Summerside, la Musique de la Réserve; navale et l'équipe; de course de canons de Halifax étaient; les vedettes du défil;é du Festival du homard de Summerside. La Ville a offert au navire une mascotte, un chiot berger allemand appelé Salty. « Il vivra à Summerside, a indiqué le lcrd Kerr, mais il sera notre invité d'honneur quand nous serons ici. »

Depuis sa création; en 1910, la marine canadienne a donné à ses navires des noms de villes, de provinces, de cours d'eau et de régions; pour refléter; la diversité géographique; du pays et forger des liens entre la marine et les communautés; partout au pays. « C'est un grand honneur d'avoir un navire qui portera le nom de notre ville... partout dans le monde », s'est exclamé le maire Stewart.

Le Summerside devait ensuite se rendre à St. John's (T.N.), mais des problèmes; de perte d'arbre porte-hélices; bâbord; ont dérout;é le navire sur Louisbourg (N.-É.;), où il a ét;é disponible pour une reconstitution du siège; de 1745. Les problèmes; techniques seront régl;és; à Halifax avant une pé-riode; d'essais en mer à l'automne.

Le premier NCSM Summerside était; une corvette de la Deuxième; Guerre mondiale qui escortaient des navires marchands jusqu'au Royaume-Uni pendant la bataille de l'Atlantique. C'était; l'une des 17 corvettes canadiennes qui ont participé à l'Op Torch, pendant laquelle des milliers de soldats et des tonnes de munitions et de vivres ont ét;é transportés; du Royaume-Uni et des États-Unis; dans le but d'expulser l'armée; allemande d'Afrique du Nord. À l'ét;é 1944, le Summerside faisait partie d'une force de 100 navires canadiens comptant 10 000 marins dans ce qui a ét;é la plus grande invasion maritime de l'histoire : le débarquement; de Normandie. Le navire a ét;é envoyé à la ferraille à la fin de la guerre, mais sa cloche est toujours exposée; à l'hôtel; de ville de Summerside (Î.-P-;É.;).

Ville de Québec;

rescues racing sailboats


Le

Ville de Québec;

à la rescousse


By Hilary Crane


par Hilary Crane


HMCS Ville de Québec; rescued the crews of three sailboats off the coast of Nova Scotia in one rainy night during the annual Marblehead Race.

On July 13 at 6 p.m., Ville de Québec; was called to help Marion Maid, a 12 m sailboat that had lost her rudder in 3 m waves. En route to the Marion Maid's position, Ville de Québec; received a second call, this one from Bangalore, which needed fuel for her motor after losing her mast. Ville de Québec;'s crew used a large inflatable boat to tow Marion Maid into Clark's Harbour on Cape Sable Island, N.S., and provided Bangalore with enough fuel to make it there under her own power.

Around midnight, Free Spirit, a 140 m vessel from Boston, radioed she was taking on water through her anchor pocket. Ville de Québec; was on the scene by about 2 a.m., and sent a team of divers aboard in the ship's Rigid Hulled Inflatable Boat. Crew from Ville de Québec; pumped the water out of Free Spirit's bilges and fixed her broken water pump. Free Spirit continued to Halifax.

Ville de Québec; was carrying out her duties as the primary search and rescue vessel for the 666 km Marblehead Race, in which more than 100 yachts sail from Marblehead, Mass., to Halifax.

Le NCSM Ville de Québec; a sauvé les équipages; de trois voiliers participant à la course annuelle de Marblehead au large de la Nouvelle-Écosse.;

Le 13 juillet à 18 h, le Ville de Québec; reçoit; un appel à l'aide du Marion Maid,un voilier de 12 m qui avait perdu son gouver- nail dans des vagues de 3 m. En route, un second appel lui parvient, cette fois du Bangalore qui avait besoin de carburant après; avoir perdu son mât.; L'équipage; du Ville de Québec; utilise un grand canot pneumatique pour remorquer le Marion Maid jusqu'à Clark's Harbour, sur l'île; du Cap de sable (N.-É.;), puis fournit assez de carburant au Bangalore pour s'y rendre par ses propres moyens.

Vers minuit, le Free Spirit, un voilier de 140 m de Boston, signale qu'il prend l'eau par le logement de l'ancre. Le Ville de Québec; le rejoint vers 2 h du matin et envoie une équipe; de plongeurs dans son embarcation pneumatique à coque rigide. L'équipage; du Ville de Québec; réussit; à évacuer; l'eau du Free Spirit et à réparer; la pompe à eau. Le navire peut ainsi continuer jusqu'à Halifax.

Le Ville de Québec; s'acquittait de ses fonctions principales de recherche et de sauvetage pour la course de 666 km, soit de Marblehead (Mass.) à Halifax, à laquelle participaient plus de 100 yachts.

Vol. 2, No. 15, 1999




Navy Editor  
Hilary Crane (613) 592-4330


Sailors hammer for humanity


Image: Photos: Mike Dolliver

By Mike Bonin


More than 80 navy personnel were among 700 volunteers who helped build houses for 10 needy families during this summer's Habitat for Humanity project in Dartmouth, N.S.

Of the naval contingent, 43 were hull technicians, who brought a wealth of expertise to the project, which was completed during five days of sweltering heat in July.

These sailors came with skills," said Craig Smith, a Habitat for Humanity spokesperson. "Dollar for dollar, DND personnel's contribution of their time and talent is probably the single greatest donation to this effort." The sailors were granted leave to participate in the project by Rear- Admiral Dusty Miller, Commander of Maritime Forces Atlantic.

The hull technicians, under the leader- ship of Master Seaman Earl Weir, put in three 16-hour days in an effort to ensure the project was completed on time. "MS Weir and his crew displayed amazing lead- ership on site," said Lieutenant-Commander Steve Irwin, supply officer of HMCS Iroquois and volunteer fundraising coordinator for Habitat for Humanity. "They conveyed a positive attitude and had incredible skills. They could see what needed to be done, and did it."

Habitat for Humanity is an international, non-profit, Christian association that builds affordable homes in partnership with families in need. The organization's goal is to give people "a hand up, not a handout."

Habitat for Humanity aims to build 99 homes across Canada in 1999 in Brock- ville, Winnipeg, Moncton, Regina and Montréal.; Internationally, their goal for next year is to build 10 000 homes, bringing the total number of homes constructed by the organization to 200 000. Mike Bonin is a practitioner at Maritime Forces Atlantic Public Affairs.

Image: Des membres des Forces maritimes de l'Atlantique ont joint une équipe; de volontaires pour construire dix maisons en cinq jours dans le cadre d'un projet de Habitat for Humanity à Dartmouth (N.-É.;).Members of Maritime Forces Atlantic were part of a team of volunteers who built 10 homes in 5 days during a recently completed Habitat for Humanity project in Dartmouth, N.S.

MS Carl Melchoir, a hull technician, carries lumber as part of a crew of more than 80 sailors who provided their talent and expertise for building houses in Dartmouth, N.S., for Habitat for Humanity.

Le matc Carl Melchoir, TEC COQUE, fait partie des 80 marins qui ont mis leur expertise au service de Habitat for Humanity pour aider à construire des maisons à Dartmouth (N.-É.;).

Des marins cognent des clous pour une bonne cause


par Mike Bonin

Plus de 700 bén;évoles; dont 80 marins ont construit des maisons à Dartmouth (N.-É.;) pour 10 familles nécessiteuses;, dans le cadre du projet Habitat for Humanity.

Quarante-trois techniciens de coque (TEC COQUE) faisaient partie du contingent naval qui a mis son savoir-faire au service du projet réalis;é en cinq jours pendant la canicule de juillet.

« Ces marins étaient; très; compétents.; Le temps et l'expertise qu'ils ont consacrés; au

projet est probablement la plus importante contribution que nous ayons obtenue », souligne Craig Smith, porte-parole de l'organisation. Le cam Dusty Miller, commandant des Forces maritimes de l'Atlantique, a accordé aux marins une permission spé-ciale; pour participer au projet.

Les TEC COQUE, sous le commandement du matc Earl Weir, ont fait trois journées; de seize heures afin que le projet soit prêt; à temps. « Le matc Weir et son

équipe; ont fait preuve de beaucoup d'initiative », indique le lcdr Steve Irwin, officier de ravitaillement du NCSM Iroquois et coordonnateur bén;évole; du financement pour Habitat for Humanity. « Ils ont démontr;é une attitude positive et des habiletés; incroyables. Ils savaient ce qu'il y avait à faire et ils l'ont fait. »

Habitat for Humanity est une association chrétienne; internationale sans but lucratif qui construit des maisons abordables pour

des familles nécessiteuses.; L'organisme a pour but « de donner un coup de main aux gens, non de leur faire la charité ».;

Au Canada, l'objectif est de construire 99 habitations en 1999 à Brockville, Winnipeg, Moncton, Regina et Montréal.; À l'échelle; internationale, l'association veut bâtir; l'année; prochaine 10 000 maisons de plus, pour un total de 200 000. Mike Bonin fait partie du bureau des Affaires publiques des Forces maritimes de l'Atlantique.

Esquimalt museum reopens


Réouverture; du musée; d'Esquimalt


More than 300 spectators were drawn to the CFB Esquimalt Naval and Military Museum on July 10 to hear military bands, watch military re-enactors and celebrate the reopening of a facility that will preserve the history and heritage of West Coast defenses.

Richard Dawe, Personnel Support Programs Manager at CFB Esquimalt and Museum Director, said there had been a small museum on the site since 1985, and there were always displays; but it wasn't until 1996 that plans were made to develop a formal military and naval museum on the site.

"We had to make our move soon," said Mr. Dawe. "Our Second World War veterans are fewer in number every year. If we don't capture their history and collect the items they have tucked away in their closets and attics now, we can never do it."

The new museum is housed in five heritage buildings on Museum Square in Naden. A former chapel houses the military portion of the collection, which traces West Coast military development from the 1850s. The navy building features displays that tell the story of the West Coast navy since 1910. Other buildings house a workshop, offices, storage, archives and a library. Much of the work in setting up the museum was done by a dedicated group of volunteers.

Mr. Dawe said the museum has two full- time paid employees, who spend most of their time cataloguing and assessing hundreds of donated items. He expects the publicity surrounding the museum's opening ceremonies to generate hundreds more artifacts as people are become aware of the museum's role in preserving the West Coast's military past.

Le Musée; naval et militaire de la BFC Esquimalt a attiré le 10 juillet plus de 300 spectateurs désireux; d'entendre des fanfares, d'assister à des reconstitutions militaires et de cél;ébrer; la réouverture; d'installations qui préserveront; l'histoire et le patrimoine de la défense; de la côte; Ouest.

Richard Dawe, responsable des programmes de soutien du personnel de la BFC Esquimalt et directeur du musée;, rappelle l'existence, depuis 1985, d'un petit musée; avec des expositions. Le projet de construction d'un vrai musée; naval et militaire remonte seulement à 1996.

« Il nous fallait agir vite, soutient  
M. Dawe, car le nombre de vét;érans; de la Deuxième; Guerre mondiale diminue chaque année.; C'est maintenant ou jamais qu'il faut recueillir leurs témoignages; et rassembler les objets enfouis dans les placards et les greniers. »

Le nouveau musée; occupe cinq bâtiments; d'intér;êt; patrimonial au Museum Square à Naden. Une ancienne chapelle abrite la portion militaire de la collection, qui retrace l'essor militaire sur la côte; Ouest depuis les années; 1850. Le bâtiment; de la marine met en valeur l'histoire de la marine de la côte; Ouest depuis 1910. Les autres bâtiments; comprennent un atelier, des bureaux, des espaces d'entreposage et une bibliothèque.; L'essentiel de la mise sur pied du musée; revient à un groupe de bén;évoles; dévou;és.;

Le musée; emploie deux salariés; à temps plein dont la tâche; première; est de cataloguer et d'évaluer; les centaines d'objets offerts.  
M. Dawe s'attend à ce que la publicité entou- rant les cér;émonies; d'ouverture attire des centaines d'autres dons, grâce; à la prise de conscience du rôle; du musée; dans la préservation; du passé militaire de la côte; Ouest.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la marine Hilary Crane (613) 592-4330


Physician's assistant just what the doctor ordered


The fact that the air on a warship is 80 percent recirculated has an ugly consequence for the Physician's Assistant (PA) on the vessel: if one crew member comes on board with a cold, it won't be long before the whole ship is sniffling and hacking.

"I remember the crew picked up a bug in port on our NATO deployment this spring," said Chief Petty Officer 1st Class Valerie Mosher, PA aboard HMCS Ville de Québec.; "A few days out to sea, there were dozens of people who didn't know which end to put on the toilet, to put it blunt- ly. And we were better off than the German ship on the deployment, which was totally out of commission."

While it's outbreaks like this that keep her the busiest, CPO 1 Mosher said her most challenging moments come when she is confronted with patients who have chest pains. She must manage their pain, decide whether or not they're having a heart attack, and possibly organize a medevac for them.

Such incidents call on all her diagnostic skills and decision-making ability since, although she can speak to a doctor by phone and send an electrocardiograph to a hospital for interpretation, she is essentially alone out there. "A ship is a self-contained environment with very few resources available," she said. "A PA on a ship has to be an independent thinker to work without direction. They have to be trained for any emergency yet skilled in ongoing patient care. The work falls somewhere between that of a nurse practitioner and a paramedic."

HMCS Ville de Québec;'s medical office has a small, four-person sick bay, an examination area and the only bathtub on board. The navy's two operational support ships, HMC ships Preserver and Protecteur, have larger holding areas for patients, and operating rooms and X-ray machines. They also generally have doctors

whereas, except in rare cases, frigates have PAs.

The most common complaints facing CPO 1 Mosher are colds, flus, and seasickness. The most common injuries are cuts-a hazard of replenishments at sea-and rope burns-a hazard of entering and leaving harbour.

She said that considering the potential for mishaps in the day-to-day work of running a ship, there are few injuries because the navy's system of checks and balances, and a vigilant safety committee, have been largely successful in avoiding accidents.

"We have an average of about one emergency per month in which a crew member must leave the ship. Many of these are psychological in nature, and related to marital problems and depression. HMCS Ville de Québec; was involved in the Swissair disaster, and many crew are still dealing with its aftermath."

Oddly enough, said CPO 1 Mosher, the crew tends to get sick just after leaving or arriving home, or leaving port. She believes this is related to the stresses of separations from and reunions with family or from hearing bad news from the home front while being far away.

Image: Photo: LS / mat 1 Larry Moses

By Hilary Crane


Physician's Assistant CPO 1 Valerie Mosher (seated) and Medical Assistants Cpl Natalie Bussières; and Cpl Guy Paquette minister to the health needs of the crew of HMCS Ville de Québec.;

L'auxiliaire médicale;, le pm 1 Valerie Masher (assise), et les adjoints médicaux;, le cpl Nathalie Bussières; et le cpl Guy Paquette, responsables des besoins sanitaires de l'équipage; du NCSM Ville de  
Québec.;

Auxiliaire médical; : pas de tout repos


par Hilary Crane


L'air recyclé à 80 p. 100 sur un navire de guerre crée; beaucoup de travail pour l'auxiliaire médical; (PA) à bord. En effet, si l'un des membres d'équipage; a le rhume, peu de temps après;, tout le bateau reniflera et toussera.

« Au printemps dernier, l'équipage; a at- trapé un virus lors du déploiement; pour l'OTAN, relate le pm 1 Valerie Mosher, auxiliaire médicale; à bord du NCSM Ville de Québec;. Après; quelques jours en mer, des dizaines de personnes passaient leur temps à la salle de bain. »

Si les épid;émies; occupent la majeure partie du temps du pm 1 Mosher, les cas de douleurs à la poitrine constituent les moments les plus exigeants. Elle doit maîtriser; la douleur, déterminer; s'il s'agit d'une crise cardiaque et éventuellement; organiser une évacuation; sanitaire.

De telles situations font appel à ses compé-tences; en matière; de diagnostic et à sa capacité à prendre des décisions.; Bien qu'elle puisse consulter un médecin; par tél;éphone; et envoyer un électrocardiogramme; à l'hôpital; pour qu'il soit interprét;é, elle est, de fait, la seule personne qualifiée; à bord. « Un navire constitue un environnement autonome ; il y a très; peu de ressources, souligne-t-elle. Le PA à bord doit pouvoir travailler sans directives, traiter les situations d'urgence et fournir des soins continus aux malades. Le travail se situe entre celui de l'infirmier de premier recours et du technicien médical; d'urgence. »

Le cabinet médical; du NCSM Ville de Québec; contient une petite chambre pour quatre personnes, une aire d'examen et la seule baignoire à bord. Les deux navires de

soutien opérationnel; de la marine, le NCSM Preserver et le NCSM Protecteur, possèdent; des chambres plus grandes, une salle de chirurgie et des appareils de radiographie. On y trouve aussi des médecins;, alors que les frégates;, sauf exception, ont seulement des PA à bord.

Les patients se plaignent surtout de rhume, de grippe et de mal de mer. Les blessures les plus fréquentes; sont les coupures produites lors du ravitaillement en mer et les brûlures; résultant; de la manipulation des cordes lorsque le navire accoste et quitte le port.

Selon le pm 1, bien que le travail quotidien à bord d'un navire comporte des risques d'accidents, on note peu de blessures, grâce; au système; de vérification; sécuritaire; de la marine et à la vigilance de la Commission

de la sécurit;é.;

« Nous avons en moyenne une urgence par mois qui exige le transport vers l'hôpital; d'un membre d'équipage.; Il s'agit souvent de troubles psychologiques reliés; à des problèmes; conjugaux et à des dépressions.; Le NCSM Ville de Québec; a participé aux recherches après; l'écrasement; de l'avion de la Swissair, et bien des marins ont encore du mal à s'en remettre. »

Curieusement, l'équipage; a tendance à tomber malade tout juste après; le départ; du pays, au retour ou bien après; avoir quitté un port, souligne le pm 1 Mosher. Elle relie ce phénom;ène; au stress de la séparation; d'avec la famille ou à celui de la revoir, ou encore à l'annonce d'une mauvaise nouvelle provenant de la maison.

German subs in Halifax Harbour

In June German submarines sailed into Halifax for the first time since WWII. Two subs and FGS Meersburg, a navy supply support ship, were making their way up the eastern seaboard after participating in an international exercise off Puerto Rico when they stopped in Halifax for an informal four-day visit.

Sous-marins allemands à Halifax

En juin, des sous-marins allemands sont arrivés; à Halifax pour la première; fois depuis la Deuxième; Guerre mondiale. Deux sous-marins et le FGS Meersburg, un navire de ravitaillement et de soutien logistique, de retour d'un exercice international au large de Porto Rico, ont séjourn;é quatre jours dans le port de Halifax.

Photo: Cpl C.H. Roy, Base Photo Halifax/Photographie BFC Halifax

SUB Photo to come


Vol. 2, No. 15, 1999



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