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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

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Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Image: A SAR Tech parachutes successfully to the ground.Un Tech SAR réussit; son saut en parachute.Photos: Cpl / cpl Doug Desrochers

Bruised, bloodied and beaten, the "casualties" of a small airline crash beg for help. Amid the apparent chaos,  
Search and Rescue (SAR) Technicians set priorities, provide emergency care and ready patients for evacuation.  
Luckily, there's been no plane crash. In fact, this Major Air Disaster (MAJAID) is no more real than a scene from a movie. But unlike the movies, this exercise is designed to test SAR Techs for very real possibilities. It's already been a long week for the more than 250 personnel participating in SAREX '99, held this year at 19 Wing Comox from September 23 to 30. The MAJAID, held on the last day, and not officially part of the exercise, allows SAR Techs, aircrew and ground support teams to hone the skills they've tested all week long.

And the week has been full of tests. The exercise, which was competitive and included SAR units from across the country, involved air searches for missing people, confined-area parachute jumps and medical events.

"Maintaining the skills required to save lives in some of the most rugged terrain in the world requires a lot of training and practice," said host unit 442 Squadron Commanding Officer Lieutenant-Colonel Grant Smith. "This exercise gives us a chance to compare notes with other SAR units and learn from one another."

The host unit, 442 Transport and Rescue Squadron from 19 Wing, were the overall winners, having the best performance in all five events.

Major Don Thain, the Deputy Commanding Officer of 442 Squadron, said the exercise was very successful. Something new this year was an Internet site, complete with pictures and results posted every day. "It was quite popular," he said. "We had 700 bookmarks made." The SAREX Web site is still online at www.sarex99.ark.com/.

Image

While this bruised "patient" is an actor from 19 Wing Comox, SAR Techs receive many real calls for help each year. Last year, CF ships, aircraft and people saved an estimated 1044 lives.

Ce « patient » est peut-être; un acteur de la 19e Escadre Comox, mais les Tech SAR répondent; réellement; chaque année; à de nombreuses demandes d'aide. L'an dernier, les navires, les avions et le personnel des FC ont sauvé la vie à 1044 personnes.

SAREX 99


By / par Kristina Davis

Meurtris, ensanglantés; et épuis;és;, les « blessés; » de l'écrasement; d'un petit avion appellent à l'aide. Au milieu du chaos, les techniciens en recherche et sauvetage (Tech SAR) fixent les priorités;, dispensent les soins d'urgence et préparent; les patients pour l'évacuation.;

Heureusement, il n'y a pas eu d'écrasement.; En fait, cette catastrophe aérienne; (CATAIR) n'est pas plus réelle; qu'une scène; de cinéma.; Mais contrairement à un film, cet exercice est conçu; pour tester les

Tech SAR dans des situations qui peuvent réellement; se produire.

La semaine a ét;é très; longue pour les 250 militaires qui participaient à SAREX 99, à la

19e Escadre Comox, du 23 au 30 septembre dernier. La CATAIR, qui a eu lieu le dernier jour de l'exercice et qui n'en fait pas officiellement partie, permet aux Tech SAR et au personnel de navigation et de soutien au sol de parfaire les compétences; testées; durant la semaine.

Les tests se sont succéd;é tout au long de l'exercice, qui était; évalu;é et qui regroupait des unités; de partout au pays. Il comprenait des recherches aériennes; pour retrouver des disparus, des sauts en parachute dans une zone exiguë et des situations d'intervention médicale.;

« Maîtriser; les techniques nécessaires; pour sauver des vies sur l'un des terrains les plus difficiles au monde exige beaucoup

d'entraînement; et de pratique, explique le lcol Grant Smith, commandant du 442e Escadron, l'unité hôte.; C'est l'occasion de comparer nos résultats; avec d'autres unités; SAR et d'apprendre les uns des autres. »

Le 442e Escadron transport et sauvetage de la 19e Escadre a gagné au classement gén;éral;, en remportant les cinq épreuves.;

Le maj Don Thain, commandant adjoint du 442e Escadron, souligne que l'exercice a connu un grand succès.; Nouveau cette année;, un site Internet affichait chaque jour les résultats; et les photos. « Avec 700 visiteurs, on peut dire qu'il était; très; populaire. » Le site SAREX est toujours en ligne à l'adresse www.sarex99.ark.com/.

Image: SAR Techs work to stabilize one of 50 patients during theMAJAID.Des Tech SAR s'affairent à stabiliser un des 50 patients de la CATAIR.

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


Griffon pilots get hi-tech goggles


Les pilotes de Griffon y verront mieux


By Kristina Davis

par Kristina Davis

Griffon helicopters will soon be equipped with additional night flying devices.

In an announcement October 1, Marconi Aerospace of Austin, Texas, was awarded a contract for hardware development and integration of a night vision imaging system called the Night Vision Goggle Heads Up Display System.

"Due to the various types of missions our pilots are involved in, the Canadian Forces must provide them with the best equipment available," said Minister of National Defence Art Eggleton. "Once installed, this state-of-the-art system will considerably reduce the risks associated with flying at night."

The new system superimposes flight information on the goggle display itself. Captain Matthew Black, an avionics systems engineer for the Griffon, explained how it works.

Currently, pilots already have night vision goggles. They look like binoculars attached to their helmets with a green dis- play. Not only are they heavy, requiring a counter-balance on the back of the helmet, but they oblige pilots to re-focus their eyes

when they look outside and then back inside the cockpit. Capt Black said this is often tiring.

As well, when a pilot wearing night vision goggles looks at her instruments, she must actually look underneath them. Again, her eyes must re-focus. This new system seeks to combat these challenges.

"The new system is a computer which copies all the information displayed on the aircraft instruments," said Capt Black. "That information is then superimposed over the green scene that they see [through the goggles]."

So, as pilots look through their goggles, they will see all the vital cockpit information, like altitude or speed, he explained, without having to re-focus. "By putting the image right into the goggle, they can always keep their eye at the same focus and they can always keep their head at the same level. It makes things easier," said Capt Black.

Marconi Aerospace (formerly Tracor) is the only North-American producer of such equipment. The project is expected to run over three years and include Canadian partners.

Les hélicopt;ères; Griffon seront bientôt; équip;és; de dispositifs de vol de nuit additionnels.

Le 1er octobre, on annonçait; qu'un contrat avait ét;é accordé à Marconi Aerospace, de Austin, au Texas, pour le développement; et l'intégration; d'un système; d'imagerie de vision nocturne appelé système; de lunettes de vision nocturne à affichage frontal.

« Compte tenu de la variét;é des missions confiées; à nos pilotes, les FC doivent leur fournir le meilleur équipement; disponible, soutient le ministre de la Défense; nationale, Art Eggleton. Une fois installé, ce système; de pointe diminuera considérablement; les risques du vol de nuit. »

Le nouveau système; superpose l'affichage des données; de vol à l'intérieur; même; des lunettes de vol. Le capt Matthew Black, ingénieur; des systèmes; avioniques pour le Griffon, en explique le fonctionnement.

Actuellement, les pilotes disposent de lunettes de vision nocturne. Elles ressemblent à des jumelles attachées; à leur casque et munies d'un écran; vert. D'abord, elles sont lourdes et nécessitent; un contrepoids à l'arrière; du casque. Ensuite, les yeux doivent s'ajuster lorsque les pilotes regar-

dent dehors, puis de nouveau lorsqu'ils reviennent au tableau de bord. Selon le capt Black, c'est souvent fatigant.

De plus, quand un pilote portant des lunettes de vision nocturne surveille ses instruments, il doit en fait regarder par en dessous. Encore ici, les yeux doivent s'ajuster. Le nouveau dispositif remédiera; à cette lacune.

« Le nouveau système; est un ordinateur qui copie toute les données; affichées; sur les instruments de bord, explique le capt Black. Ces données; se superposent ensuite à la scène; verte qu'ils voient [à travers les lunettes de vol]. »

Ainsi, quand les pilotes regarderont à travers leurs lunettes de vol, ils verront toutes les données; vitales du tableau de bord, comme l'altitude ou la vitesse, sans avoir à rajuster leur regard. « En amenant l'image directement dans les lunettes de vol, ils n'ont jamais à rajuster leur regard et peuvent toujours garder les yeux à la même; hauteur, ce qui facilite les choses », conclut le capt Black.

Marconi Aerospace (anciennement Tracor) est l'unique producteur nordaméricain; de ce type d'équipement.; Le projet, prévu; pour trois ans, comprend des partenaires canadiens.

If the Gates could talk...


By Kristina Davis

The massive hinges of the Commonwealth Memorial Gates first swung open September 30, 1949, at RCAF Station Trenton. In 1951, Princess Elizabeth, later Queen Elizabeth, officially dedicated them to commemorate Canada's role in the British Commonwealth Air Training Program (BCATP) during the Second World War.

Fifty years later, the Gates were re-opened in a special ceremony September 30, 1999. Presided over by Ontario Lieutenant-Governor Hilary Weston, and military officials from Canada, Australia and New Zealand, the true meaning of the BCATP and its impact were highlighted.

In all, 131 553 Australian, Canadian, British and New Zealand aircrew passed through the Gates on their way to active overseas service. A gift from the participating countries, the Gates bear the crests of all four countries.

Lieutenant-Colonel Peter Tyrell, military attaché to the

Image: HRH Princess Elizabeth, pictured with Air Vice-Marshall C. Roy Slemon, officially dedicated the Commonwealth Memorial Gates October 12, 1951.Photo: CFB Trenton Archives / Archives BFC Trenton
Image: The Commonwealth Memorial Gates are re-opened on their 50th anniversary.Photo: Cpl / cpl Frank Hudec

SAR la princesse Elizabeth, en compagnie du v/m/air C. Roy Slemon, ouvre officiellement les grilles commémoratives; du Commonwealth, le 12 octobre 1951.

Australian embassy in Ottawa, said Canada and Australia had "shared work." During the Second World War, that work was training aircrew. Today, it's participation in a peacekeeping mission in East Timor.

"We are grateful for the way Canada responded to the call," he said. "They'll be received as air force friends in Darwin."

Group Captain Peter Stockwell, representing the New Zealand Defence Force, said the BCATP was "the beginning of a long friendship between our countries." He pointed to the four exchange officers currently at 8 Wing from New Zealand as a sign of that continued bond.

For 8 Wing/CFB Trenton Commander Colonel Gaston Cloutier, the ceremony was a significant milestone. He wondered at the changes the base has seen since 1949. "Could Group Captain Dunlop have known that Air Station Trenton would become the heart and the home of the Canadian air force?" he asked.

John Goheen, and many others like him, was at the original dedication ceremony in 1951. Mr. Goheen, who has lived in the Trenton area for years, remembers Princess Elizabeth speaking to him personally while on parade. "I remember her," he quipped, "but she doesn't seem to remember me."

Si les grilles pouvaient parler...


par Kristina Davis

Les énormes; charnières; des grilles commémoratives; du Commonwealth se sont ouvertes pour la première; fois le 30 septembre 1949, à la station de l'ARC Trenton. En 1951, la princesse Elizabeth, maintenant la reine, a procéd;é à leur ouverture officielle pour commémorer; le rôle; du Canada dans le Programme d'entraînement; aérien; du Commonwealth britannique (BCATP) pendant la Deuxième; Guerre mondiale.

Cinquante ans plus tard, le 30 septembre 1999, les grilles ont ét;é rouvertes à l'occasion d'une cér;émonie; spéciale.; Présid;ée; par la lieutenante-gouverneure de l'Ontario, Hilary Weston, et des représentants; militaires du Canada, d'Australie et de Nouvelle-Zélande;, la cér;émonie; a permis de souligner la vraie signification du BCATP et ses répercussions.;

En tout, 131 553 membres d'équipage; canadiens, britanniques et néo-z;élandais; ont passé ces grilles pour prendre du service actif à l'étranger.; Cadeau des pays participants,

les armoiries des quatre pays ornent les grilles.

Le lcol Peter Tyrell, attaché militaire de l'ambassade d'Australie à Ottawa, souligne que le Canada et l'Australie se sont « partagé le travail ».; Pendant la Deuxième; Guerre mondiale, ce travail consistait à entraîner; le personnel navigant. Aujourd'hui, il prend la forme d'une participation à la mission de maintien de la paix au Timor-Oriental.

« Le Canada a bien répondu; à l'appel, précise-t-il.; Nous en sommes reconnaissants, et ils seront reçus; comme des amis de la Force aérienne; à Darwin. »

Le col avn Peter Stockwell, représentant; des forces de défense; de Nouvelle-Zélande;, affirme que le BCATP a ét;é « le début; d'une longue amitié entre nos pays ».; Il prend pour exemple les quatre officiers néo-z;élandais; actuellement à la 8e Escadre pour témoigner; de la solidité de ce lien.

Selon le col Gaston Cloutier, commandant de la 8e Escadre, BFC Trenton, la cér;émonie; a ét;é marquante. Il s'émerveille; des changements que la base a connus depuis 1949. « Le col avn Dunlop aurait-il pu se douter que la station de l'ARC Trenton deviendrait le coeur et le centre de la Force aérienne; canadienne? » demande-t-il.

John Goheen, comme beaucoup d'autres, était; présent; à la cér;émonie; de 1951. Il vit depuis longtemps près; de Trenton et se rappelle que la princesse Elizabeth lui a parlé pendant le défil;é.; « Je me souviens d'elle, mais je ne pense pas qu'elle se souvienne de moi », lance-t-il malicieusement.

Les grilles commémoratives; du Commonwealth sont rouvertes le jour de leur  
50
e anniversaire.

Vol. 2, No. 19, 1999




Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Comox honours fallen fliers


Comox rend hommage à des pilotes disparus


By Lt (N) John Coppard

par le ltv John Coppard

Par un dimanche ensoleillé du début; de septembre, à 30 minutes de la fameuse station de ski Whistler, dans le Sud de la Colombie-Britannique, un petit groupe composé de militaires et de membres des familles a rendu hommage à deux aviateurs ième; recherche a donné les mêmes; résultats.; Ce n'est qu'en septembre 1997, à la suite de la découverte; du lieu de l'écrasement; par un pilote d'hélicopt;ère; civil, que les veuves Claire Stubbs et Mary Miller- Ford ont appris que l'avion s'était; écras;é en terrain accidenté, par suite d'une panne sèche.; Les deux hommes ont ét;é éject;és;, mais on n'a jamais retrouvé leurs corps, et la panne d'essence demeure inexpliquée.;

La 19e Escadre Comox a décid;é de rendre hommage à ses camarades disparus en érigeant; un cairn commémoratif; à 5 km du lieu de l'écrasement.;

Le père; Jim Brown, aumônier; de l'escadre, a béni; le cairn et cél;ébr;é un service auquel assistaient les veuves, la soeur du lt avn Miller, Joan Hawkins, divers membres des familles et le lcol Yves Bossé, commandant du 414e Escadron.

« J'espère; que ce geste de la 19e Escadre aura permis aux familles de boucler la boucle, a indiqué le lcol Bossé.; Ces gens ont ét;é dans l'incertitude pendant si longtemps... »

Howard Rode, l'amateur de plein air, maintenant âg;é de 80 ans, qui a découvert; le toit en 1974, était; présent.; En 1997, après; la découverte; de l'épave;, M. Rode s'était; rendu sur les lieux de l'écrasement; et avait nommé officieusement deux sites naturels « Miller Falls » et « Stubbs Creek ».; « Je ne pouvais pas faire le contraire étant; donné qu'il existe déj;à un Miller Creek », a expliqué M. Rode. On essaie actuellement de faire officialiser les noms choisis par M. Rode. Le ltv John Coppard est officier d'affaires publiques à la 19e Escadre Comox.

On a sunny morning in early September, only 30 minutes away from the multi-mil- lion dollar Whistler ski resort in southern British Columbia, a small gathering of military and family members paid tribute to two lost aviators whose T-33 jet crashed there in 1956.

Comox-based Flying Officers James Miller and Gerald Stubbs disappeared without a trace in March of '56 while conducting routine flight instrument flying practice.

More than 700 hours of searching proved fruitless, as did a second search when the aircraft's canopy was located in 1974. Only after the crash site was discovered by a civilian helicopter pilot in September 1997 did widows Claire Stubbs and Mary Miller-Ford find out that their husbands' aircraft had crashed in rugged terrain after running out of fuel. Both men ejected; however, their remains have never been found and the reason the aircraft ran out of fuel is unknown.

Despite the absence of physical remains, 19 Wing Comox decided to pay homage to its lost comrades by erecting a memorial cairn 5 km from the crash site.

Father Jim Brown, Wing Chaplain (RC), blessed the cairn and conducted a memorial service attended by the widows, Joan Hawkins, sister of F/O Miller, various family members and Lieutenant-Colonel Yves Bossé, Commanding Officer of 414 Squadron.

"I hope this gesture by 19 Wing will provide some sense of closure to the families," said LCol Bossé.; "They've had to endure years of uncertainty about the fate of their loved ones."

Howard Rode, the 80-year-old outdoorsman who found the canopy in 1974 was also present. After the wreckage was discovered in 1997, Mr. Rode visited the site and unofficially named two nearby

Image: Le cairn commémoratif; a ét;é construit par le génie; construction de la 19e Escadre, près; des pittoresques chutes Alexander, en C.-B.Photo: Sgt / sgt David Snashall

The memorial cairn was constructed by 19 Wing Construction Engineering personnel next to picturesque Alexander Falls, B.C.

natural phenomena "Miller Falls" and "Stubbs Creek." "I couldn't name them the other way around because there's already a Miller Creek," Mr. Rode said. Efforts to make Rode's names official are ongoing. Lt (N) John Coppard is a Public Affairs Officer at 19 Wing Comox.

dont le jet T-33 s'est écras;é en 1956.

Les lieutenants d'aviation basés; à Comox, James Miller et Gerald Stubbs, ont disparu sans laisser de trace alors qu'ils effectuaient un vol de routine.

Les quelque 700 heures consacrées; aux recherches ont ét;é vaines. Après; la découverte; du toit de l'avion en 1974, une deux-

Eyes in the sky


Les yeux du ciel


By Maj Steve Roberts

par le maj Steve Roberts

Par un après-midi; d'août;, un jeune marin lève; les yeux pour suivre le vol d'un CC-130 Hercules des FC au-dessus du port de Halifax. Au même; instant, il est photographié par les spécialistes; canadiens et ukrainiens de l'équipe; de « Ciels ouverts », qui prennent des photos de reconnaissance à l'aide d'un appareil photo installé dans une nacelle fixée; à l'aile gauche de l'avion.

« À partir d'une liste d'objectifs prés;électionn;és;, on photographie des emplacements militaires importants, notamment des stations de balisage et des centrales électriques;, indique le cpl Brian Walsh, technicien en tél;éd;étection; de l'équipe; canadienne de « Ciels ouverts ».; L'information ainsi recueillie est utilisée; afin de contrôler; le développement; possible d'armes nucléaires;, par exemple. »

Ce vol d'essai conjoint Canada-Ukraine constituait l'une des trois missions estivales consécutives; du traité « Ciels ouverts », effectuées; par la Direction - J3 Vérification; du contrôle; des armements et le 436e Escadron de transport de la 8e Escadre Trenton.

Ces vols sont considér;és; comme des essais, puisque le traité « Ciels ouverts » n'est pas en vigueur, mais leur objectif est réel; : établir; un programme de vols d'observation aérienne; sans armes au-dessus du territoire des 27 pays signataires du traité.;

« L'armée; russe nous a accueillis à bras ouverts, souligne le cpl Walsh. C'était; incroyable de se retrouver au milieu de la place Rouge en sachant qu'il y a 10 ans à peine, une chose pareille aurait ét;é impossible. »

L'arrivée; des équipes; canadienne et ukrai

nienne, le 31 juillet, à Ottawa, a marqué le début; de la deuxième; mission : le vol d'observation de l'équipe; ukrainienne de « Ciels ouverts » au-dessus du Canada. Le 6 août;, le Hercules repartait à Kiev pour la dernière; mission de l'ét;é : un vol d'essai conjoint Canada- États-Unis; au-dessus de l'Ukraine. Le maj Roberts supervise la coordination et de conduite des opérations; « Ciels ouverts ».;

On a summer afternoon in August a young sailor looked up to see a CF CC-130 Hercules fly over Halifax harbour. At that very moment, his picture was captured by a one-of-a-kind camera pod fitted to the left wing of the aircraft, and the onboard team of Ukrainian and Canadian Open Skies specialists taking the reconnaissance photographs.

"Using a pre-set target list, sites of military importance are photographed, including ranges and power stations," said Corporal Brian Walsh, a Sensor Technician with the Canadian Open Skies team. He said the information collected through reconnaissance photography is used to monitor things such as the potential buildup of nuclear arms.

This Joint Trial Flight between Canada and the Ukraine was just one of three back-to-back Open Skies missions flown by the J3 Arms Control Verification Directorate and 8 Wing Trenton's 436 Transport Squadron this summer.

Although these flights are considered "trial," because the Open Skies Treaty is not in force, their aim is very real: to establish a program of unarmed aerial observation flights over the territory of 27 nations signed on to Open Skies.

"The Russian army welcomed us with open arms," said Cpl Walsh. "It was amazing standing in the middle of Red Square knowing as little as 10 years ago something like this would have been incomprehensible."

The arrival of the Canadian and Ukrainian teams in Ottawa on July 31 marked the beginning of the second mission of the summer, a Ukrainian Open Skies observation flight over Canada. The Hercules returned to Kiev August 6 for the final mission of the summer, a Joint Canada and United States Trial Flight over Ukraine. Maj Roberts is the Open Skies Desk Officer responsible for overseeing the co-ordination and conduct of current Open Skies Operations.

Image: An overhead of Halifax harbour shot during the Ukrainian Open Skies Mission flown August 4, 1999.Vue aérienne; du port de Halifax prise pendant le vol d'observation de l'équipe; ukrainienne de « Ciels ouverts », le 4 août; 1999.

Photo: Canadian/Ukrainian Open Skies Team / Équipe; Canada-Ukraine de « Ciels ouverts »


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


Air force honours its own


By Holly Bridges

You might say Pipe Major Sergeant John Hugh MacDonald made "instrumental" contributions to the air force this year. And for his dedication, the 8 Wing Trenton piper has been named "Airman of the Year" by the Air Force Association of Canada. The Air Marshal C. Roy Slemon Award, the highest given by the Association, was presented to Sgt MacDonald during the Association's Annual General Meeting in Ottawa October 12 to 15.

"His success in being selected for one of Canada's more prestigious aviation awards is based upon his outstanding contribution to air force traditions made throughout 1999 and the 75th Anniversary of the Air Force celebrations," said Bob Tracy, Executive Director of the Air Force Association of Canada. "The award was established in 1973 to recognize annually one airman/ woman, above all others, who, by individual achievement, exemplifies 'the best' of Canada's air force."

Specifically, Sgt MacDonald is being honoured for producing and spearheading the "High Flight" CD project which is raising funds for six Ontario charities. Available online at www.8wing.trenton.dnd.ca/pipes anddrums, it benefits, among others, the 8 Wing Trenton United Way campaign and the RCAF Memorial Museum in Trenton.

The military and civilian personnel of 8

Wing also won big at the annual awards ceremony. They received the prestigious Gordon R. McGregor Memorial Trophy for their "outstanding contributions" to air transportation in Canada. Tasked to Italy, Central America, Kosovo and many other destinations, they tirelessly upheld Canadian transport commitments at home and abroad.

Other winners included the Snowbirds, for their "collective dedication to excellence, professionalism and teamwork..." The Association describes the team as "high-flying ambassadors for Canada."

1 Wing Air reserve personnel were also recognized with the Air Marshal W.A. Bishop VC Memorial Trophy for their contributions to missions in Honduras, Bosnia and Macedonia.

Following the crash of Swissair Flight 111 off Peggy's Cove, N.S., 12 Wing Shearwater became of the key air force unit responding to the emergency. For their professionalism and compassion, they were awarded the Mynarski Trophy.

The Association also recognized some of its members. Harold Northrup, CD, who has organized the Battle of Britain parade in Halifax for the last 15 years, was named "Association Member of the Year." Holly Bridges is a Public Affairs Officer at 8 Wing CFB Trenton.

Image: Sgt MacDonald stands beside a granite cairn at 8 Wing Trenton, recently unveiled to celebrate the 75th Anniversary of the Air Force.Photo: Cpl / cpl Frank Hudec

Le sgt MacDonald pose, à la 8e Escadre Trenton, près; d'un cairn de granit inauguré récemment; pour cél;ébrer; le 75e anniversaire de la Force aérienne.;

Les membres de la Force aérienne; au tableau d'honneur


par Holly Bridges

Le sgt John Hugh MacDonald, cornemuseur-major à la 8e Escadre Trenton, a ét;é nommé « Aviateur de l'année; » par l'Association de la Force aérienne; du Canada. Le prix Air Marshal C. Roy Slemon, la plus haute distinction accordée; par l'Association, lui a ét;é remis à l'assemblée; gén;érale; annuelle de l'Association, tenue du 12 au 15 octobre, à Ottawa.

« Le lauréat; à un des prix les plus prestigieux de l'Aviation a ét;é choisi pour sa remarquable contribution aux traditions de la Force aérienne; en 1999 et pendant les cél;ébrations; du 75e anniversaire, a indiqué Bob Tracy, directeur exécutif; de l'Association. Ce prix a ét;é créé en 1973 pour rendre hommage à

l'aviateur, homme ou femme, qui s'est démarqu;é durant l'année; et qui personnifie «le; meilleur» de la Force aérienne; du Canada. »

Plus précis;ément;, le sgt MacDonald est honoré comme producteur du CD High Flight et instigateur de ce projet qui permet de recueillir des fonds pour six organismes de bienfaisance d'Ontario. Accessible en ligne à www.8wing.trenton.dnd.ca/pipes anddrums, le CD permet de contribuer, entre autres, à la campagne Centraide de la 8e Escadre Trenton et au Musée; commémoratif; de l'ARC, à Trenton.

Les membres du personnel militaire et civil de la 8e Escadre ont aussi ét;é honorés; à la cér;émonie; annuelle de remise des prix. Ils

ont reçu; le prestigieux trophée; commémoratif; Gordon R. McGregor pour leur « contribution remarquable » au transport aérien; au Canada. Affectés; en Italie, en Amérique; centrale, au Kosovo et en plusieurs autres endroits, ils ont satisfait inlassablement aux exigences des transports du Canada au pays comme à l'étranger.;

Les Snowbirds comptent parmi les lauréats; pour leur « dévouement; collectif à l'excellence, au professionnalisme et au travail d'équipe...; » L'Association les décrit; comme les « ambassadeurs du vol à haute altitude du Canada ».;

Les membres du personnel de la Réserve; aérienne; de la 1re Escadre ont reçu; le trophée;

commémoratif; Air Marshal W.A. Bishop VC pour leurs contributions à des missions au Honduras, en Bosnie et en Macédoine.;

La 12e Escadre Shearwater est devenue l'unité clé de la Force aérienne; en inter

venant lors de l'écrasement; d'un appareil de la Swissair au large de Peggy's Cove (N.-É.;). Elle a reçu; le trophée; Mynarski pour son professionnalisme et sa compassion.

L'Association a également; honoré certains

de ses membres. Harold Northrup, CD, organisateur du défil;é de la bataille d'Angle- terre depuis 15 ans, a ét;é nommé « Membre de l'année; de l'Association. » Holly Bridges est officier d'affaires publiques à la 8e Escadre, BFC Trenton.

Giving breast cancer a run for its money


À fond de train pour le cancer du sein


By Kristina Davis

par Kristina Davis

In 26 cities across the country, they ran. In Winnipeg, despite weather that brought out the gloves and earmuffs, 57 people from 17 Wing Winnipeg ran or walked together October 3 in the CIBC Run for the Cure to support the Canadian Breast Cancer Foundation.

They called their team "Total Force," to reflect the diversity of their group. Men and women, young and old, civilian and military-they came together to run for a good cause.

But before the running even started, the fundraising began. Team organizer Chief Warrant Officer Starr Black said they did it all. From bake sales to car washes and raffles, they were the team that could. In all, they collected just over $6400. The only corporate team to beat them in fundraising was Ford, with a 500-member team.

"We came in second in corporate team donations," she said. "We had an honourable mention because we had so few team members as compared to Ford..."

For CWO Black, the run has special significance because her mother is a breast

cancer survivor.  
But that day, the team also had another woman on their minds. "One of our team members from last year was diagnosed, not with breast cancer, but with terminal kidney cancer," she said. "We were given two tags to wear, one with our number and one which said, "I am running for..."

Team members inscribed Marie Emond's name in that spot. CWO Black said it was very touching.

This year, the CIBC Run for the Cure set new participation and fundraising records when pledges from some 70 000 runners, walkers and joggers in 26 cities were counted. Unofficially, the tally put the national total in excess of $6 million.

Image: Photo: CBIC / BCIC

Ils ont couru dans 26 villes du pays. À Winnipeg, le 3 octobre, malgré un temps à faire sortir gants et cache-oreilles, 57 personnes de la 17e Escadre ont couru ou marché pour la Course pour la vie BCIC en appui à la  
Fondation canadienne pour le

tombolas. L'équipe; a recueilli plus de 6400 $. La seule équipe; à les dépasser; a ét;é celle de Ford, qui comptait 500 membres.

« Nous sommes arrivés; deuxièmes; pour les dons collectifs, déclare; l'adjc Starr, avec une mention honorable parce qu'on était; une si petite équipe; comparée; à Ford! »

Pour l'adjc Black, la course avait une signification spéciale;, car sa mère; a survécu; au cancer du sein. Ce jour-là, les pensées; de l'équipe; allaient aussi à une autre femme.

« Un des membres de l'équipe; de l'année; dernière; a appris qu'elle avait non pas un cancer du sein, mais du rein... en phase terminale, explique-t-elle. On nous a remis deux insignes, un avec notre numéro; et l'autre qui indiquait pour qui on courait. »

Les membres de l'équipe; y ont inscrit le nom de Marie Émond.; L'adjc Black avoue que c'était; très; émouvant.;

Cette année;, la Course pour la vie BCIC a fracassé des records quant au nombre de participants et aux fonds recueillis : quelque 70 000 coureurs, marcheurs et joggeurs. Selon les résultats; non officiels, les dons ont dépass;é les 6 millions de dollars pour tout le pays.

cancer du sein.

Ces gens ont nommé leur équipe; « Force totale » pour refléter; la diversité du groupe. Hommes, femmes, jeunes, moins jeunes, civils et militaires ont couru ensemble pour cette bonne cause.

La collecte de fonds a toutefois début;é bien avant la course. L'adjc Starr Black, organisatrice de l'équipe;, précise; que les membres n'ont pas ménag;é leurs efforts, de la vente de pâtisseries; au lave-auto et aux

Vol. 2, No. 19, 1999



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