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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Multinational Search and Rescue exercise


Image: Photo: 14 Wing Greenwood

By Capt Marc Thériault;


From October 5 to 15 Nova Scotia was host to Multinational Search and Rescue exercise Co-operative Zenith 99 (CZ 99), which taught 25 individuals from 11 countries how to save lives.

The main goal of CZ 99, which was organized as part of the NATO Partnership for Peace program, was to improve co-operation and interoperability between the member countries of the alliance and their partners. The training was conducted at the Coast Guard College in Sydney, Halifax and CFB Greenwood.

Joining Canada in the exercise were the former Yugoslav republic of Macedonia, Azerbaijan, Bulgaria, the United States, Georgia, Latvia, Lithuania, Poland, Romania, Slovakia and Ukraine.

"The intensive training dispensed during the CZ 99 corresponds to the senior rescuer course given to both civilian and military responders of the Canadian Search and Rescue system," said Major Chuck Grenkow, co- director of the exercise. The course concentrates on the learning of the procedures, techniques, equipment and training specific to the field. "The techniques we use are similar to those learned here," said Captain Kazimieras Maskoliunas, of Lithuania.

In Canada several agencies are involved in Search and Rescue activities, but situations involving maritime emergencies or aviation incidents come under the responsibility of the CF, with more than 750 members of the Canadian military directly employed as rescuers.

In 1998 the three centres for the coordination of the country's rescue efforts- Halifax, Trenton and Victoria-were called upon to deal with more than 7500 cases. During that time, 1044 lives were saved through 1098 direct interventions by the CF. The Halifax centre alone covers an area spanning 4.7 million km2. "Our responsibility spreads all the way up to Baffin Island, to the American borders, to Québec; City, and all the way up to the middle of the Atlantic," said Capt Mike Atkins of the Halifax Centre.

Capt Komsta Bogdan, who pilots Mi-2 and W-3 helicopters for the Polish Air Force, explains that interest in the exercises only increases as they progress: "We feel like taking right off, and then going on to rescue victims as fast as possible. However, we need sufficient ground time. The better the planning that goes into a mission, the less time it takes to actually conduct searches."

According to many of the participants, the CZ 99 activities constituted a fantastic exercise in mutual co-operation. "There is no doubt whatsoever that partnership exercises are really productive. They really help us improve," said Mr. Peter Zazik.

The 2000 edition of the CZ will be held in Florida. Capt Thériault; is a public affairs officer with DGPA.

Image

From left, Search master Capt Kire Kolevski of the former Yugoslav republic of Macedonia, Col Lybomir Karkanovski of Bulgaria and Capt Kevin Dort of Canada plan the next step to take in a search during SAR exercise Co-operative Zenith 99, held last month in Sydney, N.S.

L'instructeur SAR, capt Kire Kolevski de l'ancienne

République; yougoslave de Macédoine;, le col Lybomir Karkanovski de Bulgarie et le capt Kevin Dort du Canada préparent; l'étape; suivante de l'exercice CZ 99, tenu le mois dernier à Sydney (N.-É.;)

Exercice multinational SAR


par le capt Marc Thériault;


C'est pour apprendre à sauver des vies que 25 individus venus de 11 pays ont participé à l'exercice multinational de recherche et sauvetage Coopérative; Zénith; 99 (CZ 99) quatrième; édition;, tenu du 5 au 15 octobre en Nouvelle-Écosse.;

Réalis;é dans le cadre du programme de Partenariat pour la paix de l'OTAN, l'exercice CZ 99, visait à développer; la coopération; et l'interopérabilit;é entre les membres de l'Alliance Atlantique et les pays partenaires. L'entraînement; s'est déroul;é au Collège; de la Garde Côti;ère; à Sydney, à Halifax et à la BFC Greenwood.

En plus du Canada, les pays participants étaient; l'ancienne république; yougoslave de Macédoine;, l'Azerbaïdjan;, la Bulgarie, les États-Unis; d'Amérique;, la Géorgie;, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie et l'Ukraine.

« L'entraînement; prodigué au cours de l'exercice CZ 99 correspond au cours de

maître; de recherche dispensé aux intervenants, tant civils que militaires, du système; canadien de recherche et sauvetage »,

dit le maj Chuck Grenkow, co-directeur de l'exercice. Cette formation est centrée; sur l'apprentissage des procédures;, des techniques, de l'équipement; et de l'entraînement; propre au domaine. « Les techniques que nous utilisons sont semblables à celles que nous apprenons ici », dit le capt Kazimieras Maskoliunas de Lituanie.

Au Canada, les activités; de recherche et sauvetage impliquent plusieurs agences. Mais lorsqu'il s'agit de situations de détresse; maritime ou d'incidents d'aviation, ce sont les FC qui sont mandatées; pour en assumer la gestion. Plus de 750 militaires canadiens sont directement employés; à sauver des vies.

En 1998, les trois Centres de coordination des efforts de sauvetage du pays (Halifax, Trenton et Victoria) se sont vus confiés; plus de 7500 cas. Pendant cette période;, l'intervention des FC à 1098 reprises a permis de sauver 1044 vies. À lui seul, le Centre de Halifax veille sur une zone de 4,7 millions de km carré.; « Notre responsabilité s'étend; de l'Île; de Baffin aux

frontières; américaines; et de la ville de Québec; jusqu'au milieu de l'Atlantique », dit le capt Mike Atkins du Centre de Halifax.

Le capt Komsta Bogdan, pilote d'hélicopt;ères; Mi-2 et W-3 au sein de l'aviation polonaise, raconte combien l'intér;êt; pour l'exercice ne cesse de croître; au fur et à

mesure qu'il se déroule.; « On a envie de décoller; rapidement, de se dép;êcher; à rescaper les victimes le plus rapidement possible. Mais le temps au sol est nécessaire.; Meilleure est la planification, moins longues sont les recherches ».;

Aux dires de plusieurs, l'exercice CZ 99 fut un succès; d'entraide mutuelle. « Il ne fait aucun doute que les exercices de partenariat sont une approche productive. Ils nous aident vraiment à nous améliorer; », dit Peter Zazik. En attendant l'édition; 2000 de CZ qui aura lieu en Floride, les participants rentrent dans leurs pays la tête; remplie et les bras chargés; de documents. Le capt Thériault; est officier des affaires publiques à la DGAP.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


CF members cheer compatriots down under


It's not what you'd expect in the Australian outback: a bunch of Canadians cheering and waving our flag; but when the Queen's University Solar Vehicle Team began their quest to win the 3100 km World Solar Challenge October 17, at least 50 CF members stationed in Darwin lined the street to do just that.

"We are so proud to have fellow Canadians supporting us and cheering on the team in Darwin," said Alexis Tremblay, the vehicle team's business manager. "And we certainly did not anticipate that we would have the chance to offer support to the Canadian Forces and represent Canada in a positive manner."

The Canadian Airlift Task Force, serving with the UN mission in East Timor and work-

ing out of Darwin, have named their operating site Camp Two Can Do after its mission name Op TOUCAN. It also refers to the two CC-130 Hercules available on a daily basis and the "can do" attitude of its more than 100 personnel from 8 Wing Trenton.

Since its arrival in September, the task force has flown more than 40 supply missions into East Timor, carrying more than 300 tonnes of equipment and supplies, as well as troops. The current contingent of aircrew and support personnel is scheduled to return to Canada at the end of November.

You can visit the Op TOUCAN Web site at http://www.8wing.trenton.dnd.ca/toucan/ or call their information line at 1-800- 866-4546.

Image: Les membres du détachement; de transport aérien; posent en compagnie du participant de l'Université Queen's au 5e Défi; solaire annuel Darwin-Adelaïde;, Australie. Les deux participants canadiens, l'un de Queen's, l'autre de l'Université de Waterloo, ont quitté Darwin à l'aube du 17 octobre.Photo: Airlift Task Force / Le détachement; de transport aérien;

By Kristina Davis


Members of the Airlift Task Force pose with the Queen's University entry for the 5th Annual Darwin-Adelaide Solar Challenge in Australia. The two Canadian entries, from Queen's and the University of Waterloo, departed Darwin early October 17.

Des membres des FC applaudissent leurs compatriotes aux antipodes


par Kristina Davis


Qui croirait découvrir; dans le fin fond de l'Australie un groupe de Canadiens applaudissant et agitant leur drapeau? Pourtant, le 17 octobre, lorsque l'équipage; du véhicule; solaire de l'Université Queen's est parti, espérant; remporter la victoire dans le Défi; solaire mondial de 3100 km, c'est ce qu'ont fait, sur le bord de la route, au moins 50 militaires canadiens basés; à Darwin.

« Nous sommes tellement fiers que des compatriotes nous encouragent à Darwin, déclare; Alexis Tremblay, gestionnaire de l'équipage.; Nous n'avions pas prévu; d'avoir la chance d'encourager les Forces canadiennes et de représenter; le Canada de façon; positive. »

Le détachement; canadien de transport aérien;, servant avec la mission des NU au Timor-Oriental à partir de la base de Darwin, a baptisé celle-ci « Camp Two Can Do », d'après; le nom de sa mission Op Toucan. Ce nom rappelle aussi les deux CC- 130 Hercules disponibles chaque jour, et l'attitude « can do » (nous sommes capa

bles) vient de son effectif de plus de cent membres de la 8e Escadre Trenton.

Depuis son arrivée; en septembre, le détachement; canadien a accompli plus de 40 vols en mission de ravitaillement au Timor-Oriental, transportant plus de 300 tonnes d'équipement; et d'approvisionnement, ainsi que des troupes. Le retour au Canada pour le personnel de soutien et du contingent aérien; actuel est fixé pour la fin novembre.

Vous pouvez visiter le site Web Op Toucan à http://www.8wing.trenton.dnd.ca/ toucan/ ou appeler la ligne d'information au 1 800 866 -4546.

Her mission: Go outside and gaze at the sky


Sa mission : aller dehors observer le ciel


In l991, after a year in college and realizing I couldn't see myself as a secretary for the next 20 years, I went to the local Canadian Forces Recruiting Office and joined the navy as a Communicator Researcher. Within two weeks, I was whisked off to Basic Training at CFB Cornwallis, N.S.

Then, it was off to Kingston for my very long PL3 [basic trades training], which lasted a year. It was there that I met-and subsequently married-my air force husband. Since my spouse couldn't get posted, I put in my release.

But I missed working with the military, so three years later, I re-enrolled, joining the air force as a Meteorology Technician.

Thank goodness I didn't have to do basic training again! Instead, I went directly to Winnipeg.

I never studied so much in my life. I found out there is a lot of in-depth meteorological theory taught in this trade. In Winnipeg I learned all the different cloud types-I had no idea there were so many-heights and procedures for reporting clouds and briefing on weather conditions. It was also on this course that I had the opportunity of being part of the huge CF relief effort for victims of the Red River flood.

I then went on to 4 Wing Cold Lake as a Junior Met Tech. Being a weather observer at Cold Lake was an excellent experience. In our trade, you become friends with everyone from fellow Techs all the way up to the Commander who would like to know the local weather conditions for his weekend flying or fishing trip.

Once you are qualified PL5 [Meteorology Trained Level 5], you are normally posted to a ship or army unit. Having met

that criteria, I am now in Victoria, waiting to be assigned to a ship.

For now, I can't think about being anywhere else than in the air force. Since my husband is also in the air force and we have a young son, temporary assignments can get tricky, but so far, we haven't had a problem. Having family close by certainly helps.

I'm lucky to be a Met Tech. I've been able to experience and see so many different things that you couldn't do anyplace else. I have been able to watch some amazing thunderstorms first-hand, especially while I'm out measuring the size of hailstones.

Where else could you have a job where you can go outside to just look at the sky?

En l991, après; une année; de collège; j'ai réalis;é que je ne me voyais pas secrétaire; pour les 20 prochaines années;, alors je me suis inscrite au centre local de recrutement des Forces canadiennes et enrôl;ée; dans la Marine comme chercheuse en communication. En moins de deux semaines, on m'a conduit à la BFC Cornwallis (N.-É.;) pour l'entraînement; de base.

Puis est venu le départ; pour Kingston pour mon très; long PL3 [instruction él;émentaire; dans le métier;], qui a duré un an. C'est là que j'ai rencontré - et par la suite épous;é - mon mari, un membre de la Force aérienne.; Comme il ne pouvait être; muté, j'ai demandé ma libération.;

Cependant le travail militaire me manquait si bien que trois ans plus tard je me suis de nouveau enrôl;ée;, mais cette fois dans la Force aérienne; comme technicienne en mét;éorologie.;

Dieu merci, je n'ai pas eu à refaire mon entraînement; de base! Je suis partie directement à Winnipeg.

Cpl Joanne Prost is a Meteorological Technician at CFB Esquimalt.

Le cpl Joanne Prost est technicienne en mét;éorologie; à la BFC Esquimalt.

Je n'ai jamais autant étudi;é de ma vie. J'ai réalis;é que ce métier; demandait la maîtrise; de plusieurs théories; liées; à la mét;éorologie.; À Winnipeg, j'ai étudi;é tous les types de nuages - j'ignorais qu'il y en avait autant - et les hauteurs auxquelles ils se situent ainsi que les procédures; à suivre pour établir; et rapporter les conditions mét;éorologiques.; C'est aussi pendant cette formation que j'ai eu l'occasion de participer aux efforts de secours prodigieux des FC auprès; des victimes de l'inondation de la rivière; Rouge.

Par la suite, je suis devenue technicienne subalterne en mét;éorologie; à la 4e Escadre Cold Lake. L'expérience; en observation mét;éorologique; à Cold Lake a ét;é excellente. Dans ce métier;, on devient ami avec tout le monde, des camarades techniciens au commandant qui aimerait connaître; les conditions mét;éorologiques; locales pour son vol ou sa partie de pêche; de la fin de semaine.

Une fois que l'on est qualifié PL5 [instruction en mét;éorologie; de niveau 5], on vous mute habituellement sur un bateau ou dans une unité de l'Armée.; M'étant; qualifiée;, je me trouve aujourd'hui à Victoria, en attente d'une affectation sur un navire.

Pour l'instant, je ne voudrais être; nulle part ailleurs que dans la Force aérienne.; Comme mon époux; est également; un membre de la Force aérienne; et que nous avons un jeune fils, les affectations temporaires peu- vent devenir difficiles, mais jusqu'à présent;, nous n'avons pas eu de problèmes.; Avoir sa famille à proximité aide certainement.

Je suis heureuse d'être; une technicienne en mét;éorologie.; J'ai pu vivre et expérimenter; tant de choses différentes;, ce que vous ne pourriez faire nulle part ailleurs. J'ai pu observer de près; certains orages étonnants;, surtout quand j'étais; dehors pour mesurer la taille des grêlons.;

Quel autre métier; peut permettre d'aller dehors pour simplement observer le ciel?

Image: Vol. 2, No. 20, 1999


Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Image: Nursing Sister Woodman  
La soeur infirmière; Woodman

Infirmière-parachutiste;


par Kristina Davis

La soeur infirmière; Woodman était; suspendue au haut d'un sapin de la C.-B. et elle n'y pouvait rien : son parachute était; tout emmêl;é dans les branches.

Trois géom;ètres; du gouvernement se trouvaient dans les montagnes et l'un d'eux était; tombé.; Ils avaient besoin d'aide et, comme elle le dit elle-même;, « les infirmières; et les médecins; vont là où sont les patients ».;

Elle s'est trouvé sans moyen de communication le médecin; dont elle s'est trouvée; sépar;ée; lors du saut ayant l'émetteur-r;écepteur.; Elle se trouvait livrée; à elle-même; en région; reculée.; « Quand nous sommes arrivés;, il faisait encore jour », assure-t-elle, mais après; deux heures environ passées; dans l'arbre la nuit est venue.

Elle pensait pouvoir contrôler; sa chute après; s'être; libér;ée; de son parachute. Elle ne sait pas comment elle a survécu; à sa chute de 50 m du sommet, mais croit à la prière.;

On a ramené les géom;ètres;, et la soeur infirmière; Woodman est bientôt; devenue la coqueluche de la ville. Tous les journaux de Vancouver relataient l'histoire de cette infirmière; de 40 kg et

de son parachute.

L'infirmière; Woodman maintenant Grace MacEachern a aujourd'hui 79 ans et vit avec son mari, Charlie, à Trenton (Ont.). Elle a ét;é la première; infirmière; sauveteuse-parachutiste à effectuer un saut opérationnel; au début; des années;  
50. Les sauveteurs-parachutistes sont les techniciens de recherche et sauvetage (SAR) d'aujourd'hui.

Elle s'est jointe à la Force aérienne; en 1951. Son premier mari est déc;éd;é en 1950, après; une année; de mariage seulement. Cherchant à reprendre confiance, elle s'est inscrite au deuxième; cours de sauvetage-parachutisme strictement médical; jamais offert.

Son entraînement; a début;é en janvier 1952. La majorité du cours se donnait à

Jasper (Alb.). « La Force aérienne; disposait de permis pour circuler librement dans le parc, se rappelle-t-elle. Il semble que nous y ayons grimpé chaque satanée; montagne. »

L'entraînement; comprenait de tout :

du ski et des premiers soins aux techniques de survie, ils ont tout fait, hommes et femmes ensemble.

Selon Mme MacEachern, les choses étaient; différentes; à l'époque.; « Il n'y avait pas de compétitions; entre hommes et femmes, assure-t-elle. Nous formions un groupe très; uni. »

Elle se rappelle fort bien son premier saut, c'était; un « saut en direct ».; Aussi incroyable que cela puisse paraître;, jamais auparavant elle n'était; montée; dans un avion. Elle admet qu'elle était; craintive, mais ajoute : « On savait que la peur finirait par s'estomper, car on avait un but et que les instructeurs nous avaient bien entraîn;és.; »

Le parachutisme l'a rattrappée; se manifestant par des genoux douloureux et un dos fragile. Elle marche avec une canne mais demeure active dans la communauté de la SAR. Mais elle prétend; que les choses ont changé.; Elle regrette seulement de ne pas avoir eu de tél;éphone; cellulaire quand elle était; empêtr;ée; dans ce fameux arbre.

Para nurse


Nursing Sister Woodman was high up a B.C. fir tree, and there was little she could do: her parachute was a tangled mess in the branches.

Three government surveyors were in the mountains, one had fallen, and needed help. And as she said, "Nurses and doctors go where the patients are."

But she had no means of communication-the doctor had the walkie-talkie and she'd drifted away from him when they jumped. She was alone in the wilderness. "It was not dark when we went in," she said, but after nearly two hours in the tree, night was coming.

She thought she could control her fall after she wriggled free from her chute. She doesn't know how she survived her fall from 45 m high atop the tree, but she believes in prayer.

The surveyors were taken out, and Nursing Sister Woodman soon became the toast of the town. All the Vancouver papers told the story of the 90-lb. nurse with the parachute.

Nursing Sister Woodman, now Grace MacEachern, 79, lives with her husband, Charlie, in Trenton, Ont. She was the first para rescue nurse to do an operational jump back in the early 1950s. Para rescue is the equivalent of today's Search and Rescue (SAR).

She joined the air force back in 1951. Her first husband died in 1950, after only one year of marriage. Looking for an avenue to boost her confidence, she signed up on only the second all-medical para rescue course ever offered.

Her training began in January 1952. Most of the course was held in Jasper, Alta. "The air force had permits to go all through the park," she said. "It seems we climbed every bloody mountain."

Training included "everything under the sun." From skiing and first aid to survival techniques, they did it all, men and women together.

Mrs. MacEachern said things were different then. "There was no competition between the men and the women," she said. "We were a tight-knit group."

She vividly remembers her first jump, which was a "live jump." Unbelievably, she had never been in an airplane before. She admits she was afraid, but adds, "fear would eventually leave you because you had a purpose and were well trained by good instructors."

Parachuting has caught up with her. Bad knees and an ailing back are the end result. While she walks with a cane, she's still active in the SAR community. But she said things have changed. She only wishes she'd had a cell phone when she was tangled in that tree.

Image: In stark contrast to her nursing uniform, Nursing Sister Woodman poses in her jump suit.En net contraste avec son uniforme d'infirmière;, la soeur infirmièreWoodman; pose dans sa combinaison de saut.

By Kristina Davis



The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


Canadian boy sets good example at Artflight competition


By Kristina Davis


Designed to create a sense of vertigo, Canadian Boys Set a Bad Example, a painting by Don Connolly, won first prize at the 8th annual Artflight competition in Ottawa.

Established in 1991 by the Canadian Aviation Museum, the national competition brought out 85 works by 40 artists. Working with the theme Per Ardua Ad Astra to celebrate the 75th anniversary of the air force, artists took home cash prizes.

Mr. Connolly, who has been involved with Artflight since its inception, said he wanted to do something different with his showpiece. Painted from the cockpit point of view, the painting gazes down upon the stunned faces of spectators at the 1931 Cleveland National Air Races.

Mr. Connolly said a Canadian aerobatic team of Siskins was invited to perform at the races. According to him, the team wasn't well drilled, flying exceptionally low over the crowd. The next day, the headline "Canadian Boys Set a Bad Example" appeared in the daily Cleveland paper. "I took my inspiration from that phrase," he said, "and decided to show them doing this."

Of the 85 paintings entered, 33 were chosen to be displayed at the Aviation

Museum. Among the jurors was Lieutenant-General David Kinsman, Chief of the Air Staff; Hugh A. Halliday, an aviation historian; Robert W. Bradford, a former Director of the National Aviation Museum; Mayo Graham, of the National Gallery of Canada; and Jennifer Romanko, of Canada's Aviation Hall of Fame.

Not only did professional artists get to show their work, but for the first time, young artists were also encouraged to enter. Three budding artists, from 8 to 13 years old, took home the prizes in that area. Mr. Connolly said he would like to see more young people involved.

Mr. Connolly is working with the Canadian Aviation Artists Association to attract more attention to the genre. Through their Web site and education, he hopes they are accomplishing that. "Our emphasis is increasingly on instruction," he said of the association. "We have senior people criticize work and show some of their own ... the educational aspect is very strong."

Visit their Web site at http://www.dsuper.net/~caaa/index.html, and look for more paintings from Artflight in upcoming issues of The Maple Leaf.

Image: Canadian Boys Set a Bad Example

Un Canadien donne l'exemple au concours Art en vol


par Kristina Davis


Conçue; pour créer; une sensation de vertige, la peinture de Don Connolly, Canadian Boys Set a Bad Example, a remporté le premier prix du 8e concours annuel Art en vol à Ottawa.

Créé en 1991 par le Musée; national de l'aviation, le concours annuel a fait valoir 85 oeuvres de 40 artistes. Travaillant à partir de la devise Per Ardua Ad Astra pour commémorer; le 75e anniversaire de la Force aérienne;, les artistes ont remporté des prix en espèces.;

M. Connolly, qui participe à Art en vol depuis sa création;, indique qu'il voulait créer; quelque chose d'original. Peignant le panorama d'une cabine de pilotage, son tableau représente; les visages ahuris des spectateurs lors des courses aériennes; nationales de

Cleveland en 1931.

L'artiste raconte qu'on avait invité une

patrouille acrobatique canadienne des Siskins à participer aux courses et que, selon lui, elle n'était; pas suffisamment entraîn;ée; et volait extrêmement; bas audessus des spectateurs. Le lendemain, le quotidien de Cleveland titrait : Canadian Boys Set a Bad Example. « J'ai tiré mon inspiration de cette phrase, ajoute-t-il, et j'ai décid;é d'illustrer cette scène.; »

Des 85 peintures inscrites, 33 ont ét;é retenues pour être; exposées; au Musée; de l'aviation. Le lgén; David Kinsman, chef d'état-major; de la Force aérienne;, Hugh A. Halliday, historien de l'aviation, Robert W. Bradford, un ancien directeur du Musée;

national de l'aviation, Mayo Graham, du Musée; des beaux-arts du Canada, et Jennifer Romanko, du Temple de la renommée; de l'aviation canadienne, faisaient partie du jury.

Non seulement des artistes professionnels ont-ils présent;é leur oeuvre mais, pour la première; fois, de jeunes artistes ont aussi ét;é invités; à participer. Trois artistes en herbe, âg;és; de 8 à 13 ans, ont remporté des prix dans cette catégorie.; M. Connolly précise; qu'il aimerait voir davantage de jeunes participer.

M. Connolly travaille à promouvoir le genre avec l'Association des artistes de

l'aviation canadienne. Grâce; au site Web de l'Association et par le biais de l'éducation;, il espère; qu'ils y arriveront. « Nous concentrons nos efforts sur l'éducation;», indique-til en parlant de l'Association. Des personnes expériment;ées; critiquent des oeuvres et présentent; certaines des leurs ... l'aspect éducatif; est très; important. »

Visitez le site Web à http://www.dsuper.net/~caaa/index.html et surveillez la parution d'autres peintures de l'Art en vol dans les prochains numéros; de La Feuille d'érable;.

'Write-off' Buffalo repaired at Comox


Réparation; à Comox d'un Buffalo « bon pour la casse »


By Lt(N) John Coppard


par le ltv John Coppard


Military technicians at 19 Wing Comox completed repairs August 30 to a Buffalo Search and Rescue (SAR) aircraft initially described as a write-off after an engine fire. After a series of test flights in October, Buffalo 465 will soon return to active service in the fleet.

By doing the repairs themselves, they saved the government close to a million dollars, according to 442 Squadron Commanding Officer Lieutenant-Colonel Grant Smith. "The estimated cost of out-of- service repair to the engine, wing and fuselage damage was between $750 000 and $1 000 000, a cost considered prohibitive at the time," he said. "But thanks to over 8000 hours of effort and a lot of initiative by our technicians, we were able to complete the repairs at a cost of approximately $45 000. Our talented technicians effectively saved the aircraft."

Repair work to Buffalo 465 started in

June 1998, and was done in addition to the technicians' normal workload; they must keep the squadron's other Buffaloes and Labradors in the air for all SAR call outs.

"We're extremely busy, particularly during the summer months, when there is a significant increase in SAR activity," said Major Tony Appels, 442 Squadron Maintenance and Engineering Officer. "Sustaining the repair effort with no out- side assistance was a challenge and involved a lot of unpaid overtime from our technicians. I'm extremely proud of these hard-working technicians and their accomplishment."

Parts for the repairs came from Field Aviation in Calgary, the Canadian Forces Supply System and mothballed Buffalo aircraft in Borden and Trenton, Ont. One part had to be shipped from Florida. Lt(N) John Coppard is a Public Affairs Officer at 19 Wing Comox.

Le 30 août;, des techniciens d'aéronefs; de la 19e Escadre Comox ont terminé les réparations; d'un avion de recherche et sauvetage (SAR) Buffalo considér;é comme une perte totale par suite d'un incendie du moteur. Après; une série; de vols d'essai en octobre, le Buffalo 465 reprendra bientôt; du service actif dans la flotte.

Selon le lcol Grant Smith, commandant du 442e Escadron, ils ont fait économiser; environ un million de dollars au gouvernement en effectuant les réparations; euxmêmes.; « Si les réparations; du moteur, de l'aile et du fuselage avaient ét;é effectuées; à

l'extérieur;, elles auraient coût;é entre 750 000 et 1 million de dollars - un coût; jugé prohibitif à ce moment-là, indique le lcol Smith. Grâce; aux plus de 8000 heures de travail et à l'ingéniosit;é de nos techniciens, nous avons pu réparer; l'avion pour un coût; approximatif de 45 000 $. Nos talentueux techniciens ont pour ainsi dire sauvé l'appareil. »

C'est en juin 1998, qu'ont début;é les répa-;

rations du Buffalo 465. Celles-ci sont venues s'ajouter au travail d'entretien que les tech- niciens effectuent sur les autres Buffalo et les Labrador de l'Escadron afin qu'ils puissent accomplir leurs missions SAR.

« Nous sommes extrêmement; occupés;, surtout durant l'ét;é où il y a toujours un surcroît; d'activité en matière; de SAR, explique le maj Tony Appels, officier des services de maintenance du 442e Escadron. Réparer; sans aucune aide extérieure; représente; un défi; considérable.; Nos techniciens ont également; dû faire beaucoup d'heures supplémentaires; non rémun;ér;ées.; Je suis très; fier de ces vaillants techniciens et de leur travail. »

Les pièces; nécessaires; à la réparation; provenaient de Field Aviation à Calgary, du Système; d'approvisionnement des Forces canadiennes et des avions Buffalo hors service de Borden et de Trenton (Ont.). Il a fallu faire venir une pièce; de Floride. Le ltv John Coppard est officier des Affaires publiques à la 19e Escadre Comox.

Vol. 2, No. 20, 1999



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