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![]() HTML Version of Maple LeafThis page contains both English and French articles. If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca. Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9 D-NEWSD-NOUVELLESMilitary priorities outlinedPriorités; militairesMinister, CDS focus on key issuesLe ministre et le CEMD s'en tiennent à l'essentielBy Bernard Potvin par Bernard Potvin The Minister of National Defence and the Chief of the Defence Staff narrowed down their military priorities to four elements each in speeches given to the Conference of Defence Associations (CDA). The theme of the CDA's 62nd annual general meeting in Ottawa, which was held on January 29 and 30, was "the profession of arms in Canada." In his address, General Maurice Baril wasted no time sharing his thoughts on some of the challenges faced by the military profession. He said the four attributes that make up any profession, including the military, are an ethical code for guidance, an ability to adapt to a changing society, the evolution of a person's knowledge and skills, and one's knack to cope with the rigorous and exclusive job demands placed on oneself. Chief of the Defence Staff Gen Baril went on to explain each attribute and where the CF stands with regard to each issue. But he warned that the CF must continue to find ways to ensure the continued relevance of Canada's military to the year 2020 and beyond. "We must demonstrate the flexibility to adjust to emerging issues," he said. "Some of the reforms we have undertaken recently were all about improving the working life of all soldiers, sailors and air personnel. They are certainly steps in the right direction." Minister of National Defence Art Eggleton used the example of pillars to frame four essential elements that he believes must be reinforced for the military to be strengthened both in terms of capacity and morale. These four pillars are: people, leadership, equipment, and education and training. "We must make sure that we treat [CF members] appropriately... They need the tools to do the job...and they need education and training to be able to do the job and gain effective leadership," he said. "I am determined to ensure that a balance and a high standard of quality is obtained at each of these four pillars." Mr. Eggleton, when focussing on his
education pillar, responded to concerns
raised recently by Jack Granatstein,
Director General of the Canadian War
Museum, who suggested that there may
be an antique intellectual culture within
the Canadian Forces (Vol. 2, No. 2, p. Gen Maurice Baril speaks at the annual general meeting of the Conference of Defence Associations, held January 29 to 30 in Ottawa. Listening in the background is BGen (Ret) Jerry Silva, chairman of the CDA. Image: Le gén; Maurice Baril prend la parole devant le Congrès; des associations de la Défense;, qui tenait son assemblée; gén;érale; annuelle les 29 et 30 janvier à Ottawa. On aperçoit; à l'arrière; plan le bgén; (retraité) Jerry Silva, président; du CAD.Photo: Sgt Serge PetersLe ministre de la Défense; nationale et le chef d'état-major; de la Défense; ont ramené les priorités; militaires à quatre él;éments; chacun lorsqu'ils se sont adressés; au Congrès; des associations de la Défense; (CAD). La 62e assemblée; gén;érale; annuelle du CAD, qui s'est déroul;ée; à Ottawa les 29 et 30 janvier, était; consacrée; à la profession militaire au Canada. Dans son allocution, le gén; Maurice Baril a rapidement exposé ses vues sur certains des défis; qui s'offrent à la profession militaire. Selon lui, quatre attributs entrent dans la composition de toutes les professions, y compris celle des armes : un code d'éthique;, la capacité de s'adapter à l'évolution; sociale, l'acquisition de connaissances et de compétences; individuelles et le désir; de satisfaire aux exigences spécifiques; de l'emploi. Le chef d'état-major; a expliqué chacun de ces attributs et précis;é la position des FC. Il a cependant fait une mise en garde : les FC doivent continuer à chercher des moyens d'assurer la pertinence des forces armées; du Canada jusqu'en 2020 et au-delà.; « Nous devons faire preuve de la souplesse nécessaire; pour nous adapter aux situations nouvelles, a-t-il déclar;é.; Certaines des réformes; que nous avons entreprises récemment; visaient justement à améliorer; la qualité de vie au travail de tous les soldats, marins et aviateurs. Ce sont certainement des pas dans la bonne direction. » Le ministre de la Défense;, Art Eggleton, a quant à lui comparé à des piliers les quatre él;éments; essentiels que, selon lui, nous devons consolider pour que les militaires retrou- vent leur capacité et leur moral. Ces quatres piliers sont: les gens, le leadership, l'équipement; ainsi que l'éducation; et l'in struction. Nous devons traiter adéquatement; les membres des FC. Les militaires ont besoin d'outils pour faire leur travail, ils ont besoin d'éducation; et d'instruction pour travailler et se doter d'un leadership efficace. Le ministre s'est engagé à établir; un équilibre; et à instaurer une norme rigoureuse pour chacun de ces piliers. Au sujet de l'éducation;, M. Eggleton a calmé une inquiétude; de Jack Granat- stein, directeur gén;éral; du Musée; canadien de la guerre, qui craignait que les FC n'entretiennent une culture intellectuelle dépass;ée; (Vol. 2, no 2, p. 20). Si tel est le cas, a déclar;é le ministre, la meilleure façon; d'y remédier; est de relever le niveau intellectuel des Forces. Les divers régimes; d'enrôlement; des officiers seront regroupés; de sorte que tous les officiers auront le même; niveau d'éducation; de base et la même; formation. On trouvera la version intégrale; des deux allocutions sur le réseau; Intranet et sur le site Internet de la Défense; nationale : www.dnd.ca. Strike hits NDHQLa grève; frappe le QGDNImage: Photo: Mitch Gillett par Mitch Gillett Des fonctionnaires féd;éraux; du QGDN ont dressé une ligne de piquetage, le lundi 25 janvier, pour protester contre la disparité salariale parmi les travailleurs du secteur opérationnel.; Munis de pancartes, les grévistes; ont défil;é devant l'entrée; des marchandises, du côt;é est de l'immeuble Mgén; Pearkes. Une pancarte résumait; parfaitement l'humeur des participants : « Y'en a marre du Conseil du Trésor; - Échelles; salariales nationales dès; maintenant! ».; Kevin Foran, président; du local 70607 de l'Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC) et représentant; de 600 employés; au MDN, a expliqué que les grévistes; n'en voulaient pas au ministère.; « C'est contre le Conseil du Trésor; que nous en avons, a-t-il déclar;é.; Nous n'avons rien contre les augmentations de salaire accordées; au personnel militaire. En fait, nous estimons qu'elles sont mérit;ées;, mais nous, nous nous sentons un peu oubliés.; Voilà sept ans que nous n'avons pas obtenu d'augmentations, et nos négociations; avec le Conseil du Trésor; sont au point mort. » « Nous tentons de faire en sorte que tout se déroule; dans le calme, a déclar;é M. Foran. Nous ne voulons causer de mal à personne. » L'AFPC a appelé ses 16 000 membres à participer à des grèves; tournantes contre des installations gouvernementales d'un bout à l'autre du pays. By Mitch Gillett Federal public servants at NDHQ set up a picket line on February 25 to protest wage disparity among operational workers. The placard-carrying strikers walked in an oval formation in front of the underground delivery entrance on the east side of the Major- General G.R. Pearkes Building. One sign summed up the mood: "We're PO'd with Treasury Board-National Pay Scales Now!" Kevin Foran, president of local 70607 of the "We are trying to keep this very peaceful," said Mr. Foran. "We do not want to hurt anyone." PSAC is calling on its 16 000 members to participate in rotating strikes at government facilities across the country. Federal public servants protesting wage disparity among federal workers set up a picket line outside NDHQ. Kevin Foran, (left), president of PSAC local 70607, and Lynn MacKenzie tell a truck driver that it will take a few minutes to clear the delivery entrance where strikers where protesting. Des fonctionnaires féd;éraux; qui protestent contre la disparité salariale dans la fonction publique ont établi; une ligne de piquetage à l'extérieur; du QGDN. Kevin Foran, président; de la Section locale 70607 de l'AFPC, et Lynn Mac- Kenzie expliquent à un camionneur qu'il faudra quelques minutes pour dégager; l'entrée; des livraisons où les grévistes; sont installés.; Vol. 2, No. 3, 1999 D-NEWSD-NOUVELLESR and D branch predicts future of technologyCFNIS branch set up on West Coast The Canadian Forces National Investigation Service is posting three officers to CFB Esquimalt this summer to establish a permanent presence on the Vancouver Island naval base. To maintain independence, the new unit will answer to the CF Provost Marshal, based in Ottawa. The CFNIS established four regional detachments in September 1997. It has not yet been determined whether the new unit will be an offshoot of the Edmonton-based western detachment or a stand- alone entity. Soldier jailed for attacks on base A former CF member convicted of assaulting men at Edmonton Garrison has been sentenced to 90 days in jail. Corporal Marcel Joseph Paré, 36, pleaded guilty to one count of sexual assault and one count of assault against three victims. Charged in June 1998, Cpl Paré was suspended without pay. He resigned from the military in August. Soldier charged with sex offences A 36-year-old CF member who appeared briefly in Trenton Provincial Court on February 2 will be back in court on March 30 for a pretrial questioning. Master Corporal Derrick Steeves, of 8 Wing Trenton, was charged January 8 with sexual assault and sexual exploitation. The Criminal Code charges stem from a CFNIS investigation into allegations of unwanted sexual touching during an incident that occurred in Trenton between August 6 and 23, 1998. The alleged victim was a 16-year-old female. Vimy House offers free admission Saturdays The Canadian War Museum's research and collections facility in Ottawa, known as Vimy House, will open its doors for free to visitors every Saturday from 10 a.m. to 4 p.m. until summer operating hours take effect in June. Visit the Museum's military vehicle and artillery collection in the Military Technology Gallery, where members of Friends of the Canadian War Museum will offer guided tours and help visitors discover the evolution of military technology, ranging from a set of 17th-century cannon to a Chieftain Main Battle Tank. Vimy House is located at 221 Champagne Ave. North. For information call (613) 776- 8600. By Mitch Gillett Tomorrow's technology is today's challenge for a team of research scientists at the Defence Research and Development Branch. "We are in the process of making some very difficult decisions about some of the things we need to start doing and some of the things we need to stop doing so that our program is relevant to the 2020-25 time frame as opposed to the 1995 time frame," said John Leggat, who is the head of the Defence Research and Development Branch and has a PhD in applied science. "The challenge for us is in identifying where the key technology advances are going to be, and adopting and adapting them for military use." The R and D branch's physicists, engineers, chemists and other professionals work on mission-driven projects aimed at meeting the immediate and future needs of the CF. Canada's DND scientists are internationally known for their work. During the 1960s they were leaders in aerospace technologies, and many of their projects were adapted for commercial use in the airline industry. The rapidly changing world of information technology, however, mixed with a reduced R and D budget, meant the defence scientist had to let the private sector lead the way. "The technology is being driven very much by the civilian sector [but] the military is not standing by: there are a number of programs where we are bringing a lot of this technology on board," said Dr. Leggat. "We don't need to do fundamental research and development; it is being done for us. The challenge is being able to predict or project where the technology is going to be, and then be there and be prepared to use it when it appears." Although DND scientists continue to work on a variety of projects, Mr. Leggat said there is an increased emphasis on developing simulation technology that lets them link a variety of elements together to simulate a specific environment. Computer-simulated training is commonplace in the CF, but defence scientists want to advance the technology. This will allow for mission rehearsals whereby a number of scenarios and options can be run faster than in real time so commanders can look at the outcomes. Key to the synchronous development of future doctrine and technology was last year's twoday symposium on the Revolution in Military Affairs. The second day of the conference featured a full day of workshops in which 165 participants divided into groups to discuss issues fac- ing the military. Organizers of the symposium are incorporating the key findings of the working groups, which tackled issues such as operations, human resources and research and development, into a concept paper on Canadian Defence Beyond 2010, expected to be released this March. "[The concept paper] will help us focus on those areas of science and technology in which we need to concentrate right now," said Mr. Leggat. "Because of the time it takes us to shift direction in research and development, a lot of programs are still kind of rooted in the Cold War era. We are certainly moving more and more resources into the area of information, surveillance, and command and control technology, and toward the integration of all of those." Image: Bilal Awada (à droite) informe le lgén; Bill Leach, chef d'état-major; de l'armée;, et John Leggat, chef de la direction de la R et D, des derniers développements; relatifs à un projet.LGen Bill Leach, (left) Chief of the Land Staff and John Leggat, head of the Research and Development branch are briefed by Bilal Awada on one of the branch's many projects. La Direction de la R et D-Tournée; vers l'avenirpar Mitch Gillett La technologie de demain constitue le défi; d'aujourd'hui pour les chercheurs de la Direction de la recherche et du développement; de la défense; (DRDD). « Nous prenons actuellement des décisions; très; difficiles au sujet de ce que nous devons entamer et de ce que nous devons abandonner, pour adapter notre programme à l'horizon 2020- 2025 plutôt; qu'à l'horizon 1995 », explique M. John Leggat, chef de la DRDD et titulaire d'un doctorat en science appliquée.; « Le défi; consiste à prévoir; les grandes percées; technologiques et à les adapter aux usages militaires. » Les physiciens, ingénieurs;, chimistes et autres professionnels de la DRDD réalisent; des projets axés; sur les résultats; pour combler les besoins immédiats; et futurs des FC. Les scientifiques du MDN sont réput;és; dans le monde entier. Dans les années; 1960, ils étaient; à la fine pointe des technologies aérospatiales;, et nombre de leurs projets ont ét;é repris à des fins commerciales par l'industrie du transport aérien.; L'évolution; rapide de la tech- nologie de l'information, combinée; à la réduction; des budgets de R et D, a toutefois amené les scientifiques de la défense; à passer la main au secteur privé.; « L'évolution; de la technologie est dans une large mesure dictée; par le secteur privé, mais les militaires ne se tournent pas les pouces : nombre de nos programmes reprennent cette technologie, affirme M. Leggat. Nous n'avons pas besoin de nous consacrer à la recherche pure et au développement; quelqu'un d'autre le fait pour nous. Notre défi; consiste à prédire; ou prévoir; l'évolution; de la technologie et à nous tenir prêts; à profiter des percées.; » Selon M. Leggat, les scientifiques du MDN travaillent tou- jours à divers projets, mais l'ac- cent porte de plus en plus sur le développement; de technologie de simulation qui permet de lier divers él;éments; pour recréer; un environnement donné.; La formation basée; sur la simulation informatique est chose courante dans les FC, mais les scientifiques de la défense; veulent perfectionner la technologie. Il serait alors possible d'exécuter; plus rapidement que dans la réalit;é divers scénarios; applicables aux missions, pour que les commandants puissent prendre des décisions; éclair;ées.; Le développement; synchronisé de la doctrine et de la technologie s'est confirmé l'an dernier lors d'un symposium de deux jours sur la révolution; dans les affaires militaires. Une journée; a ét;é consacré à des ateliers où 165 participants ont discuté en petits groupes des défis; auxquels les militaires sont confrontés.; Les organisateurs du symposium intègrent; actuellement les grandes conclusions des groupes de travail, qui ont examiné des aspects comme les opérations;, les ressources humaines et la R et D, en un document de travail sur la Défense; du Canada au-delà de 2010, qui devrait paraître; en mars. « Le document de travail nous
aidera à nous concentrer sur les
secteurs de la science et de la
technologie dont nous avons
besoin à l'heure actuelle, précise; maines. » The Maple Leaf / La Feuille d'érable; D-NEWSD-NOUVELLESMD's prescription for military doctor shortageOrdonnance pour une pénurie; de médecins; militairesBureau du SNEFC sur la côte; ouest Le Service national des enquêtes; des FC affecte trois officiers à Esquimalt cet ét;é, pour assurer une présence; permanente dans cette base navale de l'île; de Vancouver. Par souci d'indépendance;, la nouvelle unité relèvera; du Grand Prév;ôt; des FC, basé à Ottawa. Le SNEFC a créé quatre détachements; régionaux; en septembre 1997. On ignore encore si la nouvelle unité sera un prolongement du détachement; de l'Ouest, basé à Edmonton, ou une entité autonome. Soldat emprisonné Un ancien militaire, déclar;é coupable d'agressions contre des hommes à la garnison Edmonton, a ét;é condamné à 90 jours de prison. Le cpl Marcel Joseph Paré, 36 ans, a plaidé coupable à une accusation d'agression sexuelle et à une accusation d'agression contre trois victimes. Accusé en juin 1998, le cpl Paré a ét;é suspendu sans solde. Il a démissionn;é des forces en août.; Accusé d'infraction d'ordre sexuel Un militaire de 36 ans qui a brièvement; comparu devant la Cour provinciale de Trenton reviendra devant la cour le 30 mars pour une audition avant le procès.; Le cplc Derrick Steeves, de la 8e Escadre Trenton, a ét;é accusé le 8 janvier d'agression sexuelle et d'exploitation sexuelle. Les accusations au criminel ont ét;é portées; à la suite d'une enquête; du SNEFC sur des allégations; d'attouchements non désir;és; lors d'un incident qui s'est produit à Trenton entre le 6 et le 23 août; 1998. La présum;ée; victime est une jeune femme de 16 ans. Entrée; gratuite au musée; le samedi Les services de recherche et les collections du Musée; canadien de la guerre à Ottawa ouvriront leurs portes gratuitement tous les samedis de 10 h à 16 h jusqu'à l'entrée; en vigueur des heures d'ét;é, en juin. Allez admirer les véhicules; militaires et les pièces; d'artillerie de la Galerie de la technologie militaire, où l'Association des amis du Musée; canadien de la guerre offre des visites guidées; et aide les visiteurs à comprendre l'évolution; de la technologie militaire, du canon du XVIIe siècle; au char de combat principal Chieftain. Le Musée; est situé au 221, avenue Champagne nord. Pour plus de renseignements : (613) 776-8600. more pay and training, fewer onerous deploymentssolde et formation accrues; moins d'affectations astreignantesBy Mitch Gillett A physician assigned to CFB Petawawa's Royal Canadian Dragoons (RCD) is leaving the CF for a civilian career. Captain Paul Bradford said his decision was not an easy one: "I felt very strongly about staying. I enjoyed the army and I enjoyed the jobs I have had in the military." One of the reasons he is leaving is the itinerant lifestyle facing CF doctors. Since arriving at CFB Petawawa four years ago, Capt Bradford spent one year in Bosnia, worked on the 1997 flood and 1998 ice storm, and was recently deployed to Central America for six weeks with the Disaster Assistance Relief Team. He is now back on base after a short tour in Toronto to help Canada's largest city dig out from a snowstorm. At the same time, he is on standby as a replacement doctor if a physician serving in Bosnia gets sick and has to be sent back to Canada. "When anyone pulls the plug, there is a reason," he said. "I have not been able to do any continuing medical education because of the training schedule and other things. There are a number of courses for the military's doctors, but I have been too busy. To me, it seems to be the same 30 doctors doing the deployments." Pay is also part of the problem for Capt Bradford. While full- time general practitioners in the CF earn about $80 000 annually, this salary is not a true measure of their earning power. Lieutenant-Colonel Henry Flaman, a doctor who works in office of the Assistant Chief of Staff, said that many fee-for-service doctors only work part time and earn less than $80 000, which ratchets down the average salary used by the federal government as a benchmark for paying federally employed doctors. Married, with a baby on the way, Capt Bradford now plans to return to school for a year to become a certified anesthesiolo- gist. Ontario's Ministry of Health is subsidizing his training on the condition that he will spend two years in one of the province's underserved areas. Although Capt Bradford's mind is made up about leaving the military, he has a suggestion that might help the military to retain their physicians. He said the CF might consider giving doctors a pay raise, tours of duty that have been lowered from six months to three months, and no further deployments for one year after a tour. He also recommends offering doctors postgraduate education and maintaining a military doctor's membership in the Canadian College of Family Physicians. He also said the CF should be fairer when it comes to selecting doctors for the military's medical specialist courses. For its part, DND is working to
address the issue of doctor
recruitment and retention.
Treasury Board is now considering a proposal that will address
the difference in pay between
military doctors and their
civilian counterparts. At
the same time, they
are considering a
recruitment allowance for doctors who come "For the sort of things the military has to do, we have to have medical support. The number of medical officers in our outfit is based on the requirement to support CF operations," said LCol Flaman. "What we would like to do is keep people like Capt Bradford by offering them a pay increase to bring them in line with their civilian counterparts and provide the clinical work and deployments to keep them challenged. This is part of our fix. It may not be enough to keep guys like Capt Bradford, but there will be doctors willing to do this in the military." Un médecin; affecté aux Royal Canadian Dragoons (RCD) de la Base Petawawa s'apprête; à quitter les FC. Le capt Paul Bradford explique que sa décision; n'a pas ét;é facile car il aime la vie militaire et les emplois qu'il a occupés.; L'une des raisons de son départ; est le mode de vie itinérant; auquel doivent faire face les médecins; militaires. Depuis son arrivée; à Petawawa, il y a quatre ans, le capt Bradford a passé un an en Bosnie et il a participé aux opérations; de secours liées; aux inondations de 1997 et à la tempête; de verglas de 1998. Il a récemment; ét;é déploy;é en Amérique; centrale pendant six semaines au sein d'une équipe; d'intervention. De retour à la base après; une brève; incursion à Toronto pour aider la plus grande ville du pays à se relever des suites d'une importante tempête; de neige, il est de réserve;, au cas où un médecin; affecté en Bosnie tomberait malade et devrait être; rapatrié.; « Quand on
décide; de partir, il
y a toujours une
raison, expliquet-il. Le calendrier
d'entraînement; et
d'autres facteurs
m'ont empêch;é
de poursuivre ma
formation continue en médecine.; Pour lui, la rémun;ération; est un autre aspect du problème.; Les omnipraticiens militaires à plein temps touchent environ 80 000 $ par année; et, selon le lcol Henry Flaman, médecin; rattaché au Groupe médical; des FC, plusieurs médecins; rémun;ér;és; à l'acte ne travaillent qu'à temps partiel et gagnent ainsi moins de 80 000 $, ce qui rabaisse le salaire moyen utilisé par l'État; comme point repère; pour déterminer; la rémun;ération; des médecins; employés; au féd;éral.; Marié, avec un enfant qui s'en par Mitch Gillett Imagevient, le capt Bradford s'apprête; à retourner aux études; pendant un an en vue de devenir anesthésiste.; Le ministère; de la Santé de l'Ontario subventionnera ses études; s'il s'engage à passer deux ans dans l'une des régions; mal desservies de la province. Même; s'il a décid;é de quitter la vie militaire, il présente; un certain nombre de suggestions qui pourraient permettre aux FC de retenir leurs médecins.; Il propose notamment d'augmenter la solde, de ramener la durée; des affectations à l'étranger; de six à trois mois et, après; un retour d'affectation, d'éviter; de redéployer; les praticiens avant une autre année.; Il propose aussi d'offrir aux médecins; l'occasion de poursuivre des études; supérieures; et il estime que les FC devraient défrayer; le coût; de leur adhésion; au Collège; des médecins; de famille du Canada. De même;, affirme-t-il, une plus grande équit;é devrait présider; au choix des médecins; autorisés; à suivre les cours de formation spécialis;ée; dispensés; par les FC. De son côt;é, le MDN s'emploie à remédier; aux problèmes; de recrutement et au maintien de l'effectif médical.; Le Conseil du Trésor;, quant à lui, examine une proposition pour pallier à la disparité salariale entre les médecins; militaires et leurs homologues civils. On envisage accorder une indemnité de recrutement aux médecins; qui se joignent aux FC une fois leurs études; terminées; et qui arrivent munis d'un permis d'exercer et prêts; à se mettre au travail. « La mission des FC nécessite; un soutien médical.; Notre effectif de médecins; est fonction du soutien que nous avons à apporter aux opérations; des FC, déclare; le lcol Flaman. Nous aimerions être; en mesure de conserver les services de personnes tel le capt Bradford en leur offrant une solde accrue qui correspondrait mieux à la rémun;ération; de leurs homologues du civil et en leur proposant du travail clinique et des affectations qui leur offriraient un défi; continuel. Cela ne suffira peut-être; pas à retenir des personnes comme le capt Bradford, mais il se trouvera sûrement; des médecins; qui seront prêts; à relever ce défi.; » Damage control in Halifax Construction began January 11 on a new damage-control training
facility at CFB Halifax. As reported in The Maple Leaf (Vol. 1, No. 6, Contrôle; des avaries Les travaux de construction ont commencé le 11 janvier à la Base Halifax où l'on érige; un centre de formation du contrôle; des avaries. Comme le signalait La Feuille d'érable; (Vol. 1, no 6, p. 32), ces installations de 14 M$ remplaceront du matériel; désuet; et peu écologique; de lutte contre les avaries. Vol. 2, No. 3, 1999 D-NEWSD-NOUVELLESChanging times in
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Date Modified: 2006-01-06 | ![]() |
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