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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Army Editor

Paul Mooney (613) 945-0363

The Commander discusses Y2K


Le passage à l'an 2000 vu par le commandant


The Army is taking on Y2K at a time when it faces enormous change, heavy tasking and a tautly stretched budget. The Commander, Lieutenant-General Bill Leach, recently discussed questions raised by many in the Army.

Q: Why is the Army, whose primary goal is maintaining combat-capable forces, involved in Y2K?

LGen Leach: Under the Land Force  
Strategic Direction and Guidance Document, the Army is responsible for a whole range of things. Predominant among these is combat-capable forces.

But the Army also serves and it is part of the nation. If communities, provinces or other organizations need help, they ask. If we are available, we will do it.

Y2K could create a difficult situation: it falls in midwinter and could jeopardize lives. So if we are going to err, let it be on the side of the people we serve. We will not jeopardize our ability to be combat-ready; we are simply discharging one of the Army's other responsibilities.

Q: How do you respond to those who say they do not anticipate problems in their area so they should simply carry on with their regular duties?

LGen Leach: I would suggest-I am being very blunt-that anyone who says that is being rather naïve; and selfish and is disregarding our obligation to the country as a whole.

First, absolutely no one can predict with certainty what problems might arise. Having said that, when the lights went out in Quebec and Ontario last year, they stayed on in other parts of the country. We were able to move troops to areas where there was a problem.

I hope that if problems do arise, there are great parts of this country where absolutely nothing goes wrong, because that is where we will get resources to help those who need assistance.

Q: Will Y2K duties downgrade training levels this year?

LGen Leach: We will meet our commitments to train for the Palladium Rotations and for other outside-Canada operations, and we will keep the DART and the Immediate Reaction Force Land ready.

But there is another commitment that is monumental: to ensure that the Regular Force is trained at the level of a sub- unit within a unit: a company, squadron or battery within the regiment or battalion.  
We must also ensure that the Reserve  
Force-this is even more challenging because it is spread across Canada-is trained to the level of a platoon within the company.

So while we have taken on a training task this year that may not be at as high a level as some people would like in their own little area, in terms of the total  
Army, it is much more difficult and ambitious than anything we have set for ourselves for some time.

Q: Will Y2K affect the introduction of the LAV III, TCCCs, ERP and other major Army projects?

LGen Leach: No. Even before this became an issue, we anticipated the millennium change and planned so that the flexibility was there if needed. For example, we built a three-month cushion into the LAV III introduction program. Staff at all levels have done a super job to ensure that everything can happen simultaneously and in a co-ordinated way. I am proud of them.

Q: What effect will Y2K have on an already overstretched budget? Are there any guarantees we will recover funds spent on Y2K?

LGen Leach: The department has obtained loans from central agencies to meet a fair amount of our anticipated expenses.

Are there guarantees for compensation? No. That is like someone calling the fire department when their house is ablaze and being asked whether they have paid their taxes. We do what we have to because that is the nature of humanitarian support.

There are, however, government regulations and procedures that identify what is recoverable from provinces and other government departments. In most cases, those rules apply, and we are compensated.

L'armée; doit faire

face au passage de l'an 2000 alors qu'elle traverse une période; de boule- versements, que son calendrier de missions est surchargé et que son budget est extrêmement; réduit.; Son commandant, le lgén;  
Bill Leach, a récemment; discuté des questions qui intéressent; bien des militaires.

Q : Pourquoi l'armée;, dont le rôle; principal est de maintenir une force apte au combat, s'intéresse-t-elle; au passage de l'an 2000 (A2M)?

Lgén; Leach : Suivant le document d'orientation stratégique; de la Force terrestre, l'armée; assume la responsabilité de nom

breuses fonctions, et surtout du maintien d'une force apte au combat.

Mais l'armée; est aussi au service de la nation. Si les collectivités;, les provinces et d'autres organisations ont besoin d'aide, elles se tournent vers l'armée.; Si nous le pouvons, nous répondons; à leur appel.

Le problème; A2M pourrait créer; une situation difficile : il surviendra au milieu de l'hiver et pourrait menacer des vies. Nous préf;érons; pécher; par excès; de prudence. Nous ne réduisons; pas nos capacités; de combat, mais nous allons nous acquitter de l'une de nos autres responsabilités.;

Q : Que répondez-vous; à ceux qui soutiennent n'éprouver; aucun problème; et veulent fonctionner comme si de rien n'était;?

Lgén; Leach : À mon avis ces personnes font preuve de naïvet;é et d'égo;ïsme; et elles oublient totalement nos obligations d'envergure nationale.

Personne ne peut prédire; avec certitude ce qui se passera. Quand tout s'est éteint; au Québec; et en Ontario l'an dernier, la vie continuait ailleurs au pays. Nous avons pu dép;êcher; des soldats dans les régions; touchées.;

J'espère; que s'il y a des problèmes;, ils seront localisés.; Les ressources nécessaires; pour aider ceux qui en ont besoin viendront des régions; où la situation est normale.

Q : Est-ce que les tâches; liées; à l'A2M se répercuteront; sur les niveaux d'instruction cette année;?

Lgén; Leach : Nous allons tenir nos engagements et préparer; les rotations pour l'opération; Palladium et d'autres opérations; à l'étranger.; La DART et la Force de réaction; immédiate; seront prêtes; à intervenir.

Mais nous avons un autre engagement très; lourd : veiller à ce que la Force réguli;ère; suive une instruction au niveau de la sousunité - compagnie, escadron ou batterie dans le cas d'un régiment; ou d'un bataillon. Nous devons aussi veiller à ce que la Réserve; soit formée; au niveau du peloton - tâche; encore plus difficile en raison de la dispersion des réservistes; au pays.

Alors, si l'instruction que nous organisons cette année; n'est pas partout au niveau auquel certains aspirent dans leur petit univers, l'entreprise demeure de plus grande envergure que tout ce que nous nous sommes fait depuis quelque temps.

Q : Est que l'A2M se répercutera; sur l'adoption du VBL III, du STCCC et d'autres grands projets de l'armée;?

Lgén; Leach : Non. Nous planifions depuis longtemps déj;à pour le nouveau millénaire; et pour disposer de la souplesse nécessaire.; Nous nous sommes ménag;é une marge de trois mois pour l'introduction du VBL III. Tout le personnel a fait de l'excellent boulot pour que tout se passe

simultanément.; J'en suis très; fier.

Q : Quel effet aura l'A2M sur un budget déj;à serré? Sommes-nous certains de recouvrer les fonds consacrés; au règlement; des problèmes; du passage à l'an 2000?

Lgén; Leach : Le ministère; a obtenu des prêts; des organismes centraux pour payer une bonne partie des dépenses; anticipées.;

A-t-on des garanties en ce qui concerne les compensations? Non. Si vous appelez les pompiers parce que votre maison brûle;, on ne vous demande pas si vous avez payé vos taxes. Nous faisons notre devoir, c'est la nature même; de l'aide humanitaire.

Des règles; et des procédures; définis-; sent ce qui peut être; remboursé par les provinces et les ministères; féd;éraux.; Dans la plupart des cas, ces règles; s'appliquent, et nous serons remboursés.;

Image: LGen/lgén; Bill Leach

Commander to stay for another year


Mandat prolongé d'un an


Lieutenant-General Bill Leach, Chief of the Land Staff, has agreed to serve another year as Commander of the Army. LGen Leach said he was honoured by the government's request that he stay on past his scheduled departure date. The Commander also said he is pleased that things are improving steadily for the Army: new kit is arriving, soldiers are starting to feel better about the future, and Quality of Life issues are being addressed.

"The new kit that is coming on-stream is the future," LGen Leach observed. "We are not talking about the Army of Tomorrow here; the kit starting to arrive is going to be here 20 years from now. The future is right on our doorstep.

"I feel good about the things that are starting to happen for our people-with more to come. If I can make a contribution and have an opportunity to nail all that down a little more firmly, I am pleased to be asked and I am ready to do it."

Le lgén; Bill Leach, chef d'état-major; de la Force terrestre, a accepté de demeurer à la tête; de l'armée; encore un an. Le lgén; Leach s'est dit honoré par cette demande du gouvernement. Il se réjouit; que la situation de l'armée; s'améliore; : la distribution du nouvel équipement; commence, les soldats ont meilleur moral et on s'attaque aux questions de qualité de vie.

« Le nouvel équipement; vient à point nommé.; Nous ne parlons pas de l'armée; de demain! L'équipement; que nous recevons nous servira encore dans 20 ans. L'avenir est à nos portes. »

« Je suis heureux que les choses se replacent pour nos gens - et ce n'est pas terminé.; Si je peux apporter encore une contribution valable et assurer plus solidement les acquis, et puisqu'on me le demande, je le ferai avec plaisir. »


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédacteur; de l'armée; de terre

Paul Mooney (613) 945-0363

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LFRR: Another step toward One Army


LFRR Schedule


January 1999 to May 31, 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . LFRR Implementation Planning  
May 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ministerial Approval  
June 1, 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Strategic Operations Resource Direction 2000  
January 1, 1999 to December 1, 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Final Unit Evaluation  
June 1, 1999 to February 1, 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Detailed planning at Area level  
June 1, 1999 to February 1, 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Area Consultative Working Groups  
November 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Area Strategic Ops Resource Plans briefed  
December 1, 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ministerial approval  
April 1, 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Implementation begins

By Paul Mooney

With the publication of the Land Force Reserve Restructure (LFRR) Commander's Planning Guidance on February 4, the Army Reserves entered a dynamic period in which fundamental change is imminent. The major decisions on LFRR are to be taken later this year by the Minister of National Defence. The document points the way towards a more cost-effective Reserve with meaningful roles that are complementary to those of the Regular Force.

LFRR will be implemented in the context of "One Army". The Reserve Component will be designed with priority given to capabilities likely to be needed in stages 1 and 2 of mobilization-capabilities that are certain to be useful for domestic operations in Canada and for the sustainment of international operations. They also include capabilities that are needed to mount larger deployments, such as the SABRE brigade group and Canadian Support Group, but which cannot be maintained in sufficient quantities in the standing forces.

Achieving this "complementary" status will necessitate re-roling some units. The eventual end state will see a different balance between capabilities resident in the Regular and Reserve components. Indeed, it is possible that some capabilities will only exist in the Reserves.

"The main thrust of LFRR is to fundamentally improve conditions of service on the armoury floor," says the Reserve Advisor, Brigadier-General Ken Quinn. "That means better training, adequate resources and access to the necessary equipment. But LFRR is just one part of an overall Land Force restructure. Reserve restructure will link roles and tasks to essential de- fence requirements. The Army Reserves will be inextricably linked to the Army mission and an essential part of the Army team."

He stressed that embracing change is essential if the Army Reserves are to be an effective combat-capable force for the next century. "We all feel a deep sense of pride in our units, traditions and accomplishments," BGen Quinn noted. "But we cannot simply cling to the past and defend the status quo. This is not to say we will toss away past successes-we'll build on them. But change is inevitable. Rather than become irrelevant, we must embrace this opportunity, design the change ourselves and control it ourselves."

Lieutenant-Colonel Michael Kampman is the LFRR Project Director. He stressed that irrespective of the out- come of restructure, there will be a new emphasis on effectiveness and accountability.

"Units will be expected to be able to perform their tasks," LCol Kampman stressed. "Different tasks may demand different states of readiness. We will be assessing units on a regular basis to ensure that they are at the appropriate level. The Regular Army won't be able to carry out defence commitments without the Reserves."

Whatever new roles are assigned, units can maintain their identification as other re-tasked units have done in the past, LCol Kampman added. "For the most part, LFRR has been planned by Reservists for Reservists in consultation with senior Army commanders."

The implementation date for LFRR is April 1, 2000. BGen Quinn emphsized that the process won't be completed overnight: it will be an on going process as the Army evolves.

Starting this spring, Area and senior Reserve Commanders will begin designing the new structure based on Army requirements, unit evaluations and other data. Nothing will be done in isolation: members of the Army leadership team will meet with stakeholders and units across Canada to talk about and explain LFRR. The end result will be an Army Reserve based on the four pillars of LFRR: essential, relevant, viable and sustainable. BGen Quinn said he's confident the Army will reach that goal.

"There will be many hurdles in getting an end product that's much better than we have today, but the senior Army lead- ership is committed to this."

Éch;éancier; RRFT


Janvier 1999 au 31 mai 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Planification de la mise en oeuvre de la RRFT  
Mai 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Approbation ministérielle;  
1 juin 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Directives sur les ressources des opérations; stratégiques; 2000  
1 janvier 1999 - 1 décembre; 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Évaluation; finale des unités;  
1 juin 1999 - 1 février; 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Planification détaill;ée; au niveau du secteur  
1 juin 1999 - 1 février; 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Groupes consultatifs de secteur  
Novembre 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Plans des ressources des op stratégiques; de secteur  
1 décembre; 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Approbation ministérielle;  
1 avril 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Début; de la phase de mise en oeuvre

Bientôt; l'armée; « unique »


par Paul Mooney

Le bgén; Quinn souligne qu'il est indispensable d'accueillir favorablement ce changement pour que la Réserve; terrestre puisse être; une force efficace et apte au combat au XXIe siècle.; « Nous éprouvons; tous un sentiment de fierté à l'égard; de nos unités;, de nos traditions et de nos réussites;, observe le bgén; Quinn. Nous ne pouvons cependant pas nous cramponner au passé et défendre; le statu quo. Cela ne veut pas dire que nous ferons table rase de nos succès; passés; - bien au contraire, nous nous en inspirerons. Il demeure que le changement est inévitable.; Plutôt; que de devenir inopérants;, nous devrons profiter de l'occasion qui nous est offerte et concevoir et contrôler; nous-mêmes; les modalités.; »

Le lcol Michael Kampman est directeur du projet RRFT. Il fait remarquer qu'indépendamment; du résultat; de la restructuration, l'efficacité et la responsabilité revêtiront; une nouvelle importance.

« On attendra des unités; qu'elles soient capables d'exécuter; leurs tâches;, déclare-t-il.; L'état; de préparation; peut varier selon les tâches;, et nous évaluerons; réguli;èrement; les unités; afin de nous assurer que leur niveau est approprié.; L'armée; ne sera pas capable d'assumer ses engagements en matière; de défense; sans la Réserve.; »

« Quels que soient leurs nouveaux rôles;, les unités; pourront maintenir leur identité comme l'ont fait avant elles d'autres unités; dont la mission avait ét;é redéfinie;, poursuit le lcol Kampman. La plus grande partie de la RRFT a ét;é planifiée; par des réservistes; pour des réservistes;, en consultation avec les dirigeants de l'armée.; »

La mise en oeuvre de la RRFT doit commencer le 1er avril 2000. Le bgén; Quinn insiste sur le fait que c'est une opération; de longue haleine représentant; un processus continu d'évolution.;

À compter du printemps prochain, les commandants responsables commenceront à concevoir la nouvelle structure en fonction des exigences de l'armée;, de l'évaluation; des unités; et d'autres données.; Rien ne se fera isolément; : des membres de l'équipe; de direction de l'armée; rencontreront les unités; de tout le Canada afin d'expliquer ce qu'est la RRFT. Tout cela devrait aboutir, selon le bgén; Quinn, à une Réserve; terrestre qui s'appuiera sur les quatre piliers de la RRFT : ce qui est essentiel, pertinent, viable et durable. Le bgén; Quinn est convaincu que l'armée; atteindra cet objectif.

« Nous devrons travailler d'arrache-pied pour produire un résultat; très; supérieur; à ce dont nous disposons aujourd'hui, mais les dirigeants de l'armée; s'y sont clairement engagés.; »

La publication, le 4 février;, du Guide de planifi- cation du commandant pour la restructuration de la Réserve; de la Force terrestre (RRFT) marque le début; d'une période; de profondes transformations. Le ministre de la Défense; nationale doit prendre cette année; des décisions; importantes au sujet de la RRFT, et le document annonce l'avènement; d'une Réserve; plus rentable, dont les rôles; viendront compléter; ceux de la Force réguli;ère.;

La RRFT sera mise en oeuvre dans le contexte de « l'armée; unique ».; Le volet Réserve; sera réam;énag;é en vue d'offrir les capacités; que pourraient requérir; les étapes; 1 et 2 de la mobilisation - des capacités; utiles dans le cadre des opérations; nationales au Canada et pour le maintien des opérations; à l'étranger;, qui permettront aussi d'organiser de vastes déploiements; -  
p. ex. le groupe-brigade SABRE et le Groupe de soutien du Canada - auxquels les seuls effectifs des forces permanentes ne suffiraient pas.

« L'objectif principal de la RRFT est d'amener une amélioration; fondamentale des conditions de service », déclare; le conseiller de la Réserve;, le bgén; Ken Quinn. « Cela signifie que la Réserve; bén;éficiera; d'une meilleure instruction, de ressources suffisantes et de l'accès; nécessaire; au matériel.; La RRFT ne couvre cependant qu'une partie de la restructuration gén;érale; de la FT. Cette restructuration permettra d'harmoniser les rôles; et les tâches; avec les exigences essentielles en matière; de défense.; Les membres de la Réserve; se confondront avec ceux de la Force réguli;ère; et deviendront un él;ément; essentiel de l'équipe.; »

Les Calgary Highlanders scrutent l'horizon du fond de leur tranchée; d'artillerie, pendant l'exercice Savage Bear qui s'est déroul;é en août; dernier à Wainwright (Alb.).

Image: Calgary Highlanders scan the horizon from a machine gun trench during Exercise SAVAGE BEAR last August in Wainwright, Alta.Photo: unit archives

Design/Conception: Capt T im Lourie

Image: Photo collage of 32 Canadian Brigade Group soldiers in action during the past exercise year.Montage photographique de 32 soldats du groupe-brigade du Canada à l'exercice, l'an dernier.

Vol. 2, No. 4, 1999


 



Army Editor

Paul Mooney (613) 945-0363

International Women's Day and the CF


March 8 is International Women's Day (IWD), the highlight of International Women's Week, held March 8 to 14. IWD is a global celebration of women's accomplishments. It is also a time to honour the women who touch us in our everyday lives: our colleagues, friends, mothers and sisters.

Established in 1911 to protest women's working conditions, IWD has become an important opportunity to focus on women's issues of the day.

In the Army we can celebrate the IWD by acknowledging our recent successes in removing the systemic barriers that have prevented women from participating in all occupations.

That said, we have a lot left to do. Attitudes are changing, but too slowly. Our comprehensive Leadership in a Diverse Army program deals with this and other issues directly related to women. Each area and NDHQ has a number of activities during the week. Contact your local co-ordinator, and get out and participate. Congratulations to all, and have a great IWD.

Image: Caption for photo of Lt Jennifer
Image: Photos : MWO Rhoda Frampton

Le maj Natalie Brely, G4 Entraînement;, QG SAFT : « J'éprouve; de la fierté à travailler à l'intérieur; des FC car je crois que c'est une

organisation noble et au service de notre pays et de sa population. Depuis quelques années;, bien des changements ont ét;é adoptés; afin de permettre une meilleure intégration; des femmes dans l'Armée.; Nous devons cependant continuer à évoluer; afin de pouvoir respecter les nouvelles normes sociales et familiales qui forment cette sociét;é que nous voulons représenter; et défendre.; »

Your greatest concerns


Our National Investigation Service (NIS) and military justice system are two of the greatest concerns of most, if not all, units. The implementation of the massive reform of these two systems is an arduous business.

The comments that follow are a sample of opinions expressed by the CF members with whom I have spoken:

"NIS investigations drag on forever." "Investigation results are blown way out of proportion." "The wheels of justice turn extremely slowly." Although the underlying causes of these statements are difficult to pinpoint, the situation needs to be studied by those at the very top of the chain of command.

As a result of these discussions, it is my opinion that information sessions on these major changes have failed to properly address their impact on day-to-day life. It is extremely difficult to motivate, and in some cases to even assign to duty, a person awaiting the outcome of an interminable legal pro  
cedure.

The discussions also touched on possible ways of dealing with the situation. All agree that the entire matter should be discussed at forums in which the top people in these organizations could bring field leadership a clearer understanding of the course charted by the two systems.

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Vos grandes préoccupations;


Notre service national des enquêtes; et le système; de justice militaire comptent parmi les grandes préoccupations; de la majorité, sinon l'ensemble de nos formations. La mise en oeuvre des grandes réformes; de ces deux systèmes; ne se fait pas sans heurt. Voici, en résum;é, les commentaires qui expriment l'opinion de la plupart des militaires avec qui j'ai pu m'entretenir à ce sujet.

« Les enquêtes; du SNE s'étendent; sur des périodes; interminables. »

« Les résultats; de ces enquêtes; prennent des dimensions exagér;ées.; » « L'exercice de la justice qui s'ensuit est d'une lenteur inacceptable. » Bien qu'il soit difficile d'en cerner toutes les causes, cette situation devra être; examinée; au plus haut niveau de la chaîne; de commandement. Il m'apparaît;, à travers ces discussions, que les séances; d'information sur ces grands changements n'ont pas adressé suffisamment l'impact de ces bouleversements sur le rythme de nos activités.; Il est très; difficile de motiver ou même; d'employer - dans certains cas - à des tâches; militaires une personne en attente de procédures; judiciaires qui prennent trop de temps.

Mes discussions ont aussi porté sur la façon; dont nous pourrions s'attaquer à cette situation. Tous s'entendent pour dire que la situation devrait être; discutée; dans des forums où les responsables de ces organisations pourraient donner une meilleure compréhension; du cours de la justice et des enquêtes; au leadership de terrain.

CWO / Adjuc Maurice Dessureault


2Lt Jennifer Fraser, infantry platoon commander, 1 Nova Scotia Highlanders, Pictou, N.S.: "I; strongly encourage females to join the Combat Arms. I feel that all trades should be viewed as gender-neutral, and that if you want something, go after it. The only barriers are those that are self-imposed. So take the challenge-go all the way!"

Le slt Jennifer Fraser, chef d'un peloton d'infanterie, 1 Nova Scotia Highlanders, Pictou  
(N.-É.;) : « J'encourage fortement les femmes à joindre les armes de combat. Je crois qu'on devrait voir tous les métiers; sans discrimination sexuelle; si cela vous intéresse;, allez-y! Les seuls obstacles sont souvent ceux que l'on s'impose soi-même.; Relevez le défi;! »

Les FC soulignent la Journée; internationale de la femme


Le 8 mars, Journée; internationale de la femme (JIF), est le point fort de la semaine internationale de la femme (du 8 au 14 mars). Dans le monde entier, la JIF cél;èbre; les réalisations; des femmes. C'est aussi le moment d'honorer les figures féminines; de nos vies quotidiennes : nos collègues;, nos amies, nos mères; et nos soeurs.

Instaurée; en 1911 pour protester contre les conditions de travail des femmes, la JIF est devenue une tradition qui permet de s'arrêter; sur les grandes questions féminines; de l'heure.

Dans l'armée;, la JIF est l'occasion de reconnaître; les dernières; réussites; dans la lutte contre les obstacles systémiques; qui ont empêch;é les femmes d'exercer tous les métiers; militaires.

Évidemment;, il reste encore beaucoup à faire. Les attitudes évoluent;, mais trop lentement. Le programme Leadership dans une Armée; de terre diversifiée; porte sur cette question ainsi que sur d'autres qui touchent directement les femmes. Tous les secteurs et le QGDN ont prévu; diverses activités; au cours de la semaine. Communiquez avec le coordonnateur local pour en savoir plus et participez aux cél;ébrations.; Félicitations; à toutes et à tous, et profitez bien de la JIF!

Maj Natalie Brely of G4 Maint, LFAA HQ: "I am proud to work within the Canadian Forces. This is a fundamentally noble and traditional Canadian institution that proudly serves our country and its population. In the last years, many changes have been adopted in order to allow a better integration of women in the Army. We must, however, keep on evolving in order to respect and reflect the new social and family norms that form this society we want to represent and defend."

ERRATUM


The Army pages in the February 1 edition of The Maple Leaf featured an article on Cadet MCpl Jerry Saad in which the photo credit was omitted. The picture was taken by Lt Eric Haldenby. The Army editor regrets the oversight.

Dans l'édition; du 1er février; de La Feuille d'érable;, le cadet cplc Jerry Saad fait l'objet d'un article dans les pages de l'armée.; La mention de la source de la photo a ét;é omise. Elle est du lt Eric Haldenby. La rédaction; s'en excuse.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédacteur; de l'armée; de terre

Paul Mooney (613) 945-0363

In Theatre


By Capt. Kevin Weidlich

G Company, 2nd Royal Canadian Regiment, recently concluded a smooth and effective handover from O Company, 3rd Royal Canadian Regiment, in Bosnia-Herzegovina.

The soldiers from Petawawa, who have just concluded their tour here, could not have been happier to see us arrive. I suppose after our seven months in the former Yugoslavia, many of us will be feeling the same: anxious to return home to friends and loved ones.

For the time being, however, members of G Company are focused on the mission and are pleased to have been selected for overseas duty. As part of the Canadian Contingent Stabilization Force (CCSFOR) in Bosnia-Herzegovina, G Company has platoons in Velika Kladusa, Coralici (Coy HQ) and Bihac.

One of the company's primary tasks is to help provide a secure environment. The last troops arrived on February 5, settling into a routine consisting of gate duty, vehicle/dismounted patrols and a quick-reaction force.

Another task is the distribution of humanitarian aid. Deterrent patrols often deliver articles of clothing, food, toys and other items to scho-

ols, hospitals, and families struggling to make ends meet. The standard of living for some people here is far below what Canadians would tolerate. The distribution of humanitarian aid is therefore one of the most rewarding aspects of our patrols. It feels good to see the faces of the elderly and young light up from gifts donated by generous Canadian citizens and organizations. Through these humanitarian relief efforts, our personal relations with the public, especially the children, are becoming increasingly comfortable.

When it is time to relax, many of the soldiers can be found in the physical fitness centres, on running trails, in the lounges watching movies or participating in organized sports. Between work, meals, time off and platoon-led training, most soldiers find the time flies by.

All in all, the soldiers of G Coy expects a challenging and satisfying tour. We would like to say "hello, we miss you" to family and friends. We will see you in August. Pro Patria! Captain Weidlich is the Public Affairs Officer with 2RCR BG in Coralici, Bosnia.

Image: Cpl Caines with daughter Natasha during the departure gathering at the 2RCR drill hall.Le cpl Caines avec sa fille Natasha au cours du rassemblement des familles à la salle d'exercices du 2 RCR.Photos: CT APC Imaging Gagetown

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Image: Cpl Whalen, 2RCR spends a few moments to play one last game with his daughter before leaving the Moncton airportLe cpl Whalen du 2 RCR profite de quelques instants avant son départ; pour jouer avec sa fille dans le terminal de Moncton.
Image: Cpl O'Mahony shares a private moment with his family during the departure gathering for families of 2RCR.Le cpl O'Mahony partage un moment d'intimité avec sa famille au cours du rassemblement des familles avant le départ; du 2 RCR.

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En affectation


par le capt Kevin Weidlich

En Bosnie-Herzégovine;, la compagnie G du 2 RCR vient de relever la compagnie O du 3 RCR.

Au terme de leur tour de service, les militaires de Petawawa étaient; plus qu'heureux de voir arriver leurs confrères.; Je suppose qu'après; sept mois en ex-Yougoslavie, bien des membres de la compagnie G auront aussi hâte; de rentrer.

Pour l'instant, les soldats se concentrent sur leur mission et sont heureux d'avoir ét;é choisis pour cette affectation. En tant qu'él;ément; du contingent canadien de la Force de stabilisation (CCSFOR) en Bosnie-Herzégovine;, la compagnie G a des pelotons en poste à Velika Kladusa, Coralici (PC de la compagnie) et Bihac.

L'une de ses tâches; principales consiste à contribuer à l'établissement; d'un climat sécuritaire.; Les derniers militaires sont arrivés; le 5 février; et ont entrepris la routine : tours de garde, patrouilles motorisées; et à pied et participation au détachement; à réaction; rapide.

La distribution d'aide humanitaire est une autre activité des plus gratifiantes. Les patrouilles de dissuasion livrent souvent

vêtements;, nourriture, jouets et autres articles aux écoles;, hôpitaux; et familles qui ont peine à joindre les deux bouts. Le niveau de vie de certains résidants; est bien audessous de ce qu'un Canadien tolérerait;, et il est touchant de voir les visages des gens âg;és; et des jeunes s'illuminer quand ils reçoivent; des dons de citoyens et d'organismes canadiens. Grâce; aux efforts de secours humanitaire, les relations personnelles des militaires canadiens avec la population, particulièrement; avec les enfants, sont de plus en plus ouvertes.

Quant vient le moment de se reposer, bien des militaires prennent le chemin des gymnases, pistes de jogging, salles de cinéma; ou centres de sports organisés.; Pour la majorité d'entre eux, travail, repas, congés; et entraînement; du peloton font que les journées; passent vite.

Somme toute, ils s'attendent à une affectation exigeante mais satisfaisante. Ils saluent familles et amis qu'ils reverront en août.; Pro Patria !

Le capt Weidlich est OAP du GT 2 RCR à Coralici, Bosnie.

Image: Col Daniel Pepin, Commander of the 5th Mechanized Brigade Group, was at the Quebec City Airport on January 25 to bid farewell to troops of Rotation 4 headed to Bosnia. Le col Daniel Pepin, commandant du 5e Groupe- brigade mécanis;é, s'est rendu à l'aéroport; de Québec;, lundi le 25 janvier 1999, pour dire au revoir aux troupes de la Rotation 4 qui s'envolaient vers la Bosnie.

Vol. 2, No. 4, 1999



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