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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Les FC quittent le Timor-Oriental


CF ceases operations in  
East Timor


ZUMALAI, Timor-Oriental - Le 12 mars, pendant une brève; cér;émonie; au camp Maple Leaf, la descente du drapeau des Nations Unies a marqué la fin des opérations; de 225 membres de la compagnie d'infanterie renforcée; du Royal 22e Régiment.;

Cette compagnie était; le dernier él;ément; de la participation canadienne au Timor-Oriental, qui a déj;à compté environ 650 membres. Son commandant, le maj Alain Gauthier, a remis le drapeau bleu clair au lgén; Jaime De Los Santos, commandant de la force de maintien de la paix au Timor-Oriental.

Cette compagnie, normalement basée; à

Valcartier, faisait partie de la Force internationale pour le Timor-Oriental (INTERFET) depuis le 29 octobre 1999. Elle a travaillé brièvement; avec l'Administration transitoire des Nations Unies au Timor-Oriental (UNTAET) à qui l'INTERFET venait de transmettre, fin février;, la responsabilité d'assurer la paix et la sécurit;é.;

Faisant partie du 1er bataillon du Royal New Zealand Infantry Regiment, les troupes canadiennes avaient la tâche; de patrouiller une énorme; bande de terrain depuis Ainaro à l'est jusqu'à Suai à l'ouest.

En plus de leur rôle; militaire, les soldats ont réalis;é une série; de projets d'aide humanitaire dans leur zone : enseigner l'anglais,

réparer; l'école; et l'hôpital; de Zumalai, fournir des soins de santé él;émentaires; et distribuer vêtements; et vivres.

La participation du Canada à l'INTERFET et à l'UNTAET est une preuve

tangible de son engagement envers la paix et la sécurit;é dans le monde. Elle comprend aussi des opérations; d'approvisionnement menées; de la fin de septembre au début; de février; au large des côtes; du Timor- Oriental par le NCSM Protecteur, un navire de 22 000 tonnes. De septembre à décembre; 1999, deux Hercules CC-130 ont aussi effectué 130 missions de transport aérien; lourd, qui ont nécessit;é la présence; d'une centaine de membres à bord et au sol.

ZUMALAI, East Timor-The United Nations flag was lowered during a short ceremony at Camp Maple Leaf March 12, marking the end of operations by the 225-member reinforced infantry company group from the Royal 22e Régiment.;

The company was the last remaining component of a larger Canadian contribution to peace in East Timor that numbered about 650 at its largest point. The light blue flag was handed over to Lieutenant-General Jaime De Los Santos, commander of the peacekeeping force in the half-island territory, by company commander Major Alain Gauthier.

The troops, normally based in Valcartier, Quebec, had been part of the International Force in East Timor (INTERFET) since October 29, 1999. The contingent operated briefly with the United Nations Transitional Administration in East Timor (UNTAET) following the transfer of responsibility for peace and security from INTERFET to UNTAET late last month.

As part of the First Battalion Royal New Zealand Infantry Regiment, the Canadian troops were responsible for patrolling an enormous swath of territory from Ainaro in the east to Suai in the west.

In addition to their military role, the soldiers also worked on a variety of humanitarian aid projects throughout their area of responsibility. The projects included English language instruction, the repair of the school and hospital in Zumalai and the distribution of basic sanitation needs, clothing, and containers.

Canada's participation in INTERFET and UNTAET is a tangible example of its commitment to peace and security throughout the world. The Canadian contribution to this operation included the 22,000-tonne naval supply ship HMCS Protecteur, which operated off the coast of East Timor from late-September until early-February, and two CC-130 Hercules heavy airlift aircraft with about 100 airand ground-crew members who flew 130 missions between September and December 1999.

Image: Sgt Luidgi Castonguay of the Royal 22e Régiment; speaks with a Portugese army officer during Op TOUCAN in East Timor. Canada's role in the operation ended March 12.Photo: Cpl / cpl Colin Kelley

Le sgt Luidgi Castonguay, du Royal 22e Régiment;, parle avec un officier de l'armée; portugaise pendant l'Op Toucan, au Timor-Oriental. Le mandat du Canada dans cette opération; a pris fin le 12 mars.

Destruction accidentelle des dossiers de l'UES


Destruction of SIU records an accident


par Mitch Gillett

By Mitch Gillett

Le Commissaire à la protection de la vie privée; du Canada, John Reed, a conclu que le MDN n'avait pas délib;ér;ément; soustrait au public des documents de la défunte; Unité des enquêtes; spéciales; (UES). Les dossiers que le Ministère; n'a pu fournir en réponse; à une demande d'accès; à l'information ont ét;é détruits; par inadvertance, a ajouté le Commissaire.

« À mon avis, ce qui rend cette erreur plus troublante, c'est que le MDN a choisi de n'informer [...] aucune instance indépendante; de cet incident », constate le Commissaire dans un rapport daté du 29 février; dernier. « Cette décision; me paraît; d'autant plus étrange; que les hauts dirigeants du Ministère;, à l'exception du Ministre, étaient; au courant de la destruction des dossiers et de son impact négatif; sur le droit d'accès; à l'information. »

L'enquête; du Commissaire découle; de

plaintes portées; contre le MDN en vertu de la Loi sur l'accès; à l'information.

Le 29 juin 1998, le MDN est prié de produire les dossiers des opérations; de l'UES de 1995 à 1998. Les responsables de la Police militaire récup;èrent; les dossiers du 1er janvier 1995 au 1er octobre 1997.

Les dossiers classifiés; sont transportés; à la salle des rapports du Grand prév;ôt;, le

21 septembre 1998, et placés; en lieu sûr.; Trois jours plus tard, les responsables sont incapables de les retrouver.

Une enquête; sommaire du MDN conclut à la destruction accidentelle de la boîte; contenant les dossiers. Enfouie sous six « sacs à brûler; », la boîte; aurait par méprise; ét;é envoyée; à la destruction avec d'autres documents.

Le 26 novembre 1998, le MDN fournit 137 pages de dossiers qui ne satisfont que partiellement à la demande.

Le 12 octobre 1999, The Ottawa Citizen rapporte que des documents réclam;és; au MDN en vertu de la Loi sur l'accès; à l'information ont ét;é détruits.; Le Ministère; a communiqué avec le bureau du Commissaire quelques jours plus tard pour inviter le Commissaire à examiner les circonstances entourant la destruction des documents. Le Commissaire lance son enquête; le 18 octobre 1999.

Le sous-ministre adjoint, Finances, Bob Emond, responsable des demandes d'accès; à l'information, souligne que, l'automne dernier, une directive du Ministère; rappelait aux fonctionnaires leurs responsabilités; dans le traitement des documents classifiés.; « Nous rappelons sans cesse aux gens de bien gérer; les documents. Un accident peut toujours arriver », conclut-il.

The federal government's Information Commissioner has concluded DND did not deliberately withhold from public view documents about the now-defunct Special Investigation Unit (SIU).

Records, possibly related to an Access to Information Act request, were destroyed accidentally, commissioner John Reid said.

"It; is also my view that this error of inadvertence became more troubling because ND (National Defence) chose not to inform...any independent authority of the incident," he said in a February 29 report.

"This; decision was, to me, all the more puzzling because the most senior officials of the ND, with the exception of the Minister, were made aware of the records destruction and its negative impact on the right of access."

The commissioner's investigation stemmed from complaints against DND concerning its failure to supply documents following an Access to Information request.

On June 29, 1998, DND was asked to produce all records about SIU operations from 1995 to 1998. Military Police officials retrieved files from January 1, 1995, to October 1, 1997.

The classified files were brought from storage to the CF Provost Marshal's orderly room September 21, 1998, and

put in a secure area. Three days later, officials were unable to find the documents.

A summary investigation conducted by the department found the box containing the files was accidentally destroyed. It was buried under six "burn; bags" and removed inadvertently from the safe with other documents slated for destruction.

On November 26, 1998, DND provided 137 pages of records that responded to a redefined and narrowed scope of the request.

On October 12, 1999, The Ottawa Citizen reported that records requested from DND under the Act had been destroyed. DND contacted the commissioner's office days later and invited the commissioner to review the circumstances surrounding the destruction of documents. The commissioner launched his investigation October 18, 1999.

Assistant Deputy Minister of Finance Bob Emond, whose section handles Access to Information requests, said a department directive was issued last fall reminding people of their responsibilities when it comes to handling documents and processing requests under the Act.

"We; continue to have to be diligent to remind people of good records management," said Mr. Emond. "There; are times when an accident will happen."

Vol. 3, No. 10, 2000




CF ski championships Championnat des FC


3 mars - Le bdrc Erick Gosselin, du 5e Régiment; d'artillerie lég;ère; du Canada, se concentre sur ses cibles au pas de tir 50 km.

March 3 - Master Bombardier Erick Gosselin of the 5 RALC takes aim at his targets from the 50-m firing point.

Image: Photo: Stéphanie; Noël;

March 1 - Women's 10-km military ski patrol competition. The picture shows the women's team from the 5 RALC, whose members included Master Bombardier Linda Migneault, Corporal Guylaine Grenier, MBdr Valérie; Brochu, and MBdr Hél;ène; Bonneau. The team finished second with a time of 1:42:30 behind the 5th CBT ENRG REGT team composed of Captain Elisha Sloan, Cpl Jeanie Sarault, Cpl Geneviève; Dionne, and Sapper Geneviève; Bouchard. The women's team from the 5th RGC completed the circuit in 1:28:46.

1er mars - Épreuve; patrouille de ski militaire (femmes) 10 km. Sur la photo, l'équipe; fémi-; nine du 5e Régiment; d'artillerie lég;ère; du Canada, composée; du bdrc Linda Migneault, du cpl Guylaine Grenier, du bdrc Valérie; Brochu et du bdrc Hél;ène; Bonneau. L'équipe; a terminé en seconde place avec un temps de 1:42:30 derrière; l'équipe; du 5e Régiment; du génie; de combat, composée; du capt Elisha Sloan, du cpl Jeanie Sarault, du cpl Geneviève; Dionne et du sap Geneviève; Bouchard. L'équipe; du 5 RGC a complét;é le circuit

en 1:28:46.

Image: Photo: Cpl / cpl Gabriel Leclerc
Image: Photo : Cpl / cpl Sylvain Desmarquis
Image: Photo: Geneviève; Dupras, École; Trait Carré

March 1 - Men's military ski patrol competition, 15 km. The teams made two stops at the range to fire their C- 7 rifles, first from a prone position and then from a standing position. Each team member was expected to hit the target, which was 200 m away, with all five bullets.

1er mars - Épreuve; patrouille de ski militaire (hommes)15 km. À deux reprises, les équipes; devaient s'exécuter; au champ de tir, respectivement dans les positions couchée; et debout, avec le fusil C-7. À une distance de 200 m, chaque membre de l'équipe; devait atteindre sa cible avec ses cinq balles.

29 février; - Épreuve; individuelle biathlon 15 km. Le cpl Sylvie Boudreault (81), du 713e Escadron des communications, entre dans le champ de tir. Elle s'est classée; deuxième; avec un temps de 1:00:47. Le cvr Marÿke; Ciaramidaro, du King's Own Calgary Regiment, a terminé première; avec un temps de 00:58:35, et le sdt Lindzay May, également; du KOCR, est arrivée; troisième;, avec un temps de 1:06:48.

February 29 - Individual competition, 15-km biathlon. Corporal Sylvie Boudreault (81), of the 713th Communications Squadron, enters the firing range. She placed second with a time of 1:00:47. Trooper Marÿke; Ciaramidaro, of the King's Own Calgary Regiment, finished first with a time of 00:58:35, and Private Lindzay May, also of the KOCR, came third with a time of 1:06:48.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Ballistic missile strategy important to Canada


Early in October 1999, the United States successfully used one missile to shoot down another. The target, an unarmed intercontinental ballistic missile, was launched from California. Thirty-two minutes later it was successfully destroyed by the interceptor missile-launched from the Marshall Islands in the Pacific Ocean-and destroyed.

Ballistic missiles, especially in the hands of terrorists or rogue states, threaten Canadians on international operations. In the years ahead (5 to 10 years, according to some defence specialists), they could pose a potential risk to Canada itself.

For its part, the U.S. is taking ballistic missile defence very seriously, having announced its intention to move forward with a National Missile Defense (NMD) system as soon as it is feasible. The U.S. is increasingly concerned about defence in light of the proliferation of ballistic missile technology and weapons of mass destruction.

NMB will be different from the so-

called "Star; Wars" system proposed in the 1980s by then-president Ronald Reagan. NMD will be founded on a ground-based system designed to intercept a missile with a missile using existing technology. The Star Wars concept was built around a space-based "laser; shield" using technology that has not been proven. The most significant difference, however, is that NMD is a very limited system to defend against very few incoming warheads-not an umbrella against a mass attack.

For Canada, Ballistic Missile Defence (BMD) promises to be an important issue. So far, Canada has limited its activities to research and consultation with the U.S. and other nations. This reflects the 1994 Defence White Paper, which specifies that our potential role in ballistic missile defence will not be determined in isolation, but in conjunction with the evolution of North American and possible NATO-wide aerospace defence arrangements.

Both the 1994 Defence White Paper and the department's public Report on Plans and Priorities to Parliament lay out guidelines for addressing the issue in the months ahead. Both documents stress that, if Canada decides to participate, involvement would have to be cost-effective, make an unambiguous contribution to Canadian defence requirements, and build upon missions already performed by the CF, such as surveillance and communications. Canadian participation would also depend on the proposed system's compliance with the 1972 Anti-Ballistic Missile Treaty (or an updated treaty negotiated with Russia) and on our existing arms-control and disarmament agreements.

There are, however, additional considerations, particularly with respect to the future of Canadian defence and Canada- U.S. defence relations. As the 1994 Defence White Paper points out, if the government decided to reduce the level of bilateral defence co-operation with the

U.S., Canada would still have to rely on the U.S. for help in protecting its territory and approaches. In the absence of NORAD, this help would come on strict- ly American terms.

According to Lieutenant-General George Macdonald, Deputy Commanderin-Chief of NORAD, "BMD; is a huge issue for Canadians. Canada and the United States share one of, if not the most successful, defence relationships in the world. As a sovereign nation, we have a responsibility to make a meaningful contribution to the defence of North America. We need to be sensitive to U.S. security concerns, albeit with a clear view towards our own interests, values, and capabilities. In my view, BMD will play a critical role in the future of Canada-U.S. defence relations."

Reprinted from Defence Performance Outlook 2000: Making a difference at home and abroad.

Défense; contre les missiles balistiques


Au début; d'octobre 1999, les États-Unis; ont réussi; à abattre un missile au moyen d'un autre missile. La cible, un missile balistique intercontinental sans tête; active, avait ét;é lancée; depuis la Californie. Trente-deux minutes plus tard, un missile intercepteur lancé depuis les îles; Marshall, situées; dans le Pacifique, l'abattait.

Les missiles balistiques, notamment ceux que possèdent; les terroristes ou les États; parias, représentent; déj;à une menace pour les Canadiens qui participent aux opérations; internationales. Au cours des prochaines années; - d'ici 5 à 10 ans selon certains spécialistes; de la défense; -, ils pourraient même; constituer un danger pour le Canada.

Aux États-Unis;, on prend très; au sérieux; la défense; contre les missiles balistiques. Les Américains; ont d'ailleurs annoncé qu'ils envisagent de mettre en place un système; de défense; nationale contre les missiles (NMD) dès; que la chose sera possible. Les États-; Unis se soucient de plus en plus de la défense; de leur pays étant; donné la prolifération; de la technologie des missiles balistiques et des armes de destruction massive.

Le système; NMD différera; toutefois du

système; « guerre des étoiles; » proposé par le président; Ronald Reagan dans les années; 1980. Le système; NMD sera fondé sur un système; de défense; basé à terre capable d'intercepter un missile au moyen d'un autre missile grâce; à la technologie existante. Le système; « guerre des étoiles; » était; fondé sur le concept d'un « écran; laser » spatial ayant recours à une tech- nologie non éprouv;ée.; La différence; majeure toutefois réside; dans le fait que le NMD ne peut riposter qu'à un nombre restreint d'ogives - il ne s'agit pas d'un bouclier capable de réagir; à une attaque d'envergure.

Pour le Canada, le système; de défense; contre les missiles balistiques (DMB) promet de devenir un important enjeu au cours des mois et des années; à venir. Jusqu'à présent;, le Canada a limité ses activités; à la recherche et aux consultations avec les États-Unis; et d'autres pays. Pareille approche s'inscrit dans le cadre du Livre blanc sur la défense; de 1994, lequel précise; que le rôle; éventuel; du Canada en matière; de défense; antimissiles balistiques ne sera pas défini; isolément;, mais à la lumière; de l'évolution; des dispositions pour la défense;

de l'Amérique; du Nord et de celles de l'OTAN en matière; de défense; aérospatiale.;

Le Livre blanc sur la défense; de 1994 ainsi que le Rapport sur les plans et priorités; de 1998-1999 dépos;é devant le Parlement précisaient; des lignes directrices pour aborder la question dans les mois prochains. Les documents soulignent que si le Canada décide; de participer à une telle initiative, son intervention devra non seulement être; rentable et représenter; une contribution non équivoque; s'inscrivant dans le cadre des impératifs; de défense; du Canada, mais aussi s'appuyer sur les missions déj;à exécut;ées; par les Forces canadiennes, comme les missions de surveillance et de communications. La participation du Canada pourrait aussi être; tributaire de la conformité du projet aux dispositions du Traité concernant la limitation des systèmes; antimissiles balistiques de 1972 ou d'un traité actualisé avec la Russie. Elle serait aussi tributaire des accords visant le contrôle; et la réduction; des armements auxquels le Canada a souscrit.

Il faut toutefois tenir compte de considérations; additionnelles, notamment en ce qui a trait à l'avenir de la défense; du Canada et des relations canado-américaines; en

matière; de défense.; Comme le soulignait le Livre blanc sur la défense; de 1994, si le gouvernement décidait; de réduire; sa collaboration bilatérale; avec les États-Unis; en matière; de défense;, le Canada serait néanmoins; obligé de se fier aux États-Unis; pour protéger; son territoire et ses approches.

« Le DMB est un enjeu considérable; pour le Canada, souligne le lgén; Georges Macdonald, commandant adjoint du NORAD. Le Canada et les États-Unis; participent à l'un des accords les plus avantageux du monde, sinon le plus avantageux, en matière; de défense.; En tant que pays souverain, il nous incombe d'apporter une contribution sérieuse; à la défense; de l'Amérique; du Nord. Nous devons être; sensibles aux soucis des Américains; en matière; de sécurit;é, sans toutefois perdre de vue nos propres intér;êts;, valeurs et capacités.; Le système; DMB exercera une influence décisive; sur les relations futures du Canada et des États-Unis; en matière; de défense.; »

Source : Réalisations; de la Défense; et perspectives 2000. La contribution de la défense; au Canada et à l'étranger.;

A delicate balance


Difficile équilibre;


By Anne Boys

Echoing working women across Canada, female CF members say it's hard to meet the demands of having a family and a career. "What; do you do when you are a single parent and you need to get 24-hour day care for a week or a month when you are sent on training? It's not easy to get," said Major Sue Wigg, Defence Women's Advisory Organization (DWAO) military co-chair, at a March 6 meeting of DWAO members in Ottawa.

The DWAO was established following the enactment of the 1996 Employment Equity Act. Its mandate is to promote gender equality within DND/CF by identifying systemic issues, providing advice to senior leadership and developing a national network for women.

"The; purpose in organizing this session at this time was to recognize women's accomplishments during International Women's Week," said Captain Heather MacQuarrie of the Defence Ethics Program. "A; second reason for organizing this session was to begin the process of identifying and dialoguing on the issues that affect women."

Co-sponsored by the DWAO and the Directorate of Defence Ethics, the meeting focussed on the results of a membership survey conducted in February. "It; was significant that such a level of concern continues to exist in many basic areas, such as family and the work-life bal  
ance," said Capt MacQuarrie.

According to one survey respondent, "All; opportunities must be given to both genders, but we must not discriminate against women (or men) who choose to put family or other considerations ahead of career."

On-site day care, working at home, work sharing and part-time employment were highlighted as alternatives that would support personnel with families.

par Anne Boys

Faisant écho; aux travailleuses de tout le Canada, les femmes membres des FC trouvent difficile de concilier famille et carrière.; « Que fait-on quand on est seule et qu'on a besoin d'une gardienne 24 heures par jour pendant une semaine ou un mois pour aller en formation? Pas facile à trouver », convenait le maj Sue Wigg, présidente; conjointe militaire de l'Organisation consultative des femmes de la Défense; (OCFD), à une réunion; des membres, le 6 mars, à Ottawa.

L'OCFD a ét;é créée; dans la foulée; de la Loi sur l'équit;é en matière; d'emploi de 1996. Elle a pour mandat de promouvoir l'égalit;é des sexes dans les FC et au MDN en cernant les problèmes; systémiques;, en conseillant les officiers supérieurs; et en développant; un réseau; national pour les femmes.

« Cette rencontre avait pour but de souligner les réalisations; des femmes durant la Semaine internationale des femmes, explique le capt Heather MacQuarrie, du Programme d'éthique; de la Défense.; On voulait aussi commencer à déterminer; les questions qui touchent les femmes et ouvrir le dialogue. »

Parrainée; conjointement par l'OCFD et la Direction de l'éthique; de la Défense;, la réunion; portait principalement sur les résultats; d'une enquête; menée; en février; auprès; des membres. « Il est clair que les préoccupations; sont encore nombreuses dans des domaines fondamentaux comme l'équilibre; entre vie familiale et travail », reconnaît; le capt MacQuarrie.

Comme le soulignait une participante au sondage : « Hommes et femmes ont droit aux mêmes; possibilités;, mais il ne faut pas discriminer les femmes (ni les hommes) qui choisissent de faire passer la famille ou d'autres considérations; avant la carrière.; »

On a suggér;é des solutions comme les garderies en milieu de travail, le travail à domicile, à temps partagé et à temps partiel pour aider les membres qui ont une famille.

Image: Photo: Cpl / cpl Daren Kraus

Vol. 3, No. 10, 2000




Recruiters shoot to score with hockey ads


Les recruteurs des FC au hockey comptent sur la publicité


By Mitch Gillett

par Mitch Gillett

The CF will take a shot at enhancing its recruiting strategy during the Memorial Cup.

As an associate sponsor of Canada's major junior hockey championship, the military will receive space for an on-ice logo near the centre line and advertising on two rink boards. The logo and one rink board will be highly visible when the games are televised.

"We; are one of Canada's largest employers," said Lieutenant(N) Chuck Dufton, who coordinates advertising support for CF recruiters. "We; have various job opportunities...and we want people to think about us."

The CF paid $60 000 to co-sponsor the tournament. About 90 000 people will attend the games, organizers predict. As well, some 2.3 million spectators will watch the action on television, according to an independent media monitoring group.

The DND logo will be featured prominently on all printed material promoting

the games. Two kiosk areas at the arena will be reserved for CF information booths.

The target market for the advertising campaign is comprised of 17- to 24-year- olds. Research suggests the CF needs to do more to present itself as a major employer to people in this age category, Lt(N) Dufton said. "We; are hoping to bring awareness up a little bit (at the Memorial Cup)."

Each year four Canadian Hockey League teams-the host city's team and one each from the Western Hockey League, the Ontario Hockey League and the Quebec Major Junior Hockey League-compete for the Memorial Cup.

Although the CF's sponsorship arrangement is new, its connection with the tournament is long-standing. The championship trophy was donated in 1919 as a tribute to those amateur hockey players who made the ultimate sacrifice in the First World War.

This year's tournament will be held in Halifax, beginning May 20.

Les FC profiteront de la Coupe Mémorial; pour renforcer leur stratégie; de recrutement. En tant que commanditaire associé du championnat de hockey junior canadien, elles auront leur logo sur la glace près; de la ligne du centre et deux panneaux sur la rampe de la patinoire. Le logo et un panneau seront très; visibles pendant la tél;é-; diffusion des matches.

« Au Canada, nous sommes l'un des gros employeurs, déclare; le ltv Chuck Dufton, coordonnateur de la publicité des recruteurs des FC. Nous avons toutes sortes de possibilités; d'emploi [...] nous voulons que les gens les considèrent.; »

Il en coûte; 60 000 $ aux FC pour être; un des commanditaires de la Coupe Mémorial;, qui devrait attirer quelque 90 000 spectateurs, selon les organisateurs. S'y ajouteront près; de 2,3 millions de tél;éspectateurs;, d'après; un groupe indépendant; de rétroaction; médias.;

Le logo du MDN sera en évidence; sur tout le matériel; promotionnel de la Coupe. Deux emplacements sont réserv;és; dans

l'aréna; aux stands d'information des FC.

La campagne de publicité vise les 17-24 ans. Les recherches montrent que les FC doivent se faire valoir comme employeur d'envergure auprès; de ce segment de la population. Comme le dit le ltv Dufton, « nous espérons; nous faire connaître; un peu plus [à la Coupe Mémorial;] ».;

Chaque année;, quatre équipes; de la Ligue canadienne de hockey se disputent la Coupe Mémorial;, soit l'équipe; de la ville hôte; et les équipes; championnes de la Ligue de hockey de l'Ouest, de la Ligue de hockey de l'Ontario et de la Ligue junior majeure du Québec.;

Quoique ce genre d'entente soit nouveau pour les FC, elles ont depuis longtemps des liens avec ce tournoi. En effet, le trophée; du championnat a ét;é offert en 1919 en souvenir des joueurs de hockey amateurs tombés; au champ d'honneur pendant la Première; Guerre mondiale.

Le tournoi de cette année; se déroulera; à Halifax à compter du 20 mai.

Image

Les recruteurs des FC passent à l'attaque


Canadian Forces recruiters increase visibility


OTTAWA - Les recruteurs des FC se montrent plus dynamiques dans leur recherche de candidats qualifiés; pour le service militaire.

« Pendant une certaine période;, jusqu'à il y a deux ans, nous n'avions pas beaucoup recruté.; La rumeur circulait donc que les FC n'embauchaient pas », soutient le capv Bryn Weadon, commandant du Groupe de recrutement des FC, CREIFC Borden. « Nous tentons maintenant de faire passer le mot que les portes sont de nouveau ouvertes. »

Les FC s'efforcent de recruter 2600 militaires du rang pour du service à temps plein dans la Force réguli;ère.; À la fin de la présente; saison de recrutement, on s'attend à être; à court de 400 candidats qualifiés;, principalement dans l'effectif technique de la Marine. Les FC tentent d'enrôler; annuellement environ 6000 personnes pour la Première; réserve; et jusqu'à 1000 officiers pour le Cadre des instructeurs de cadets.

« Nous avons eu de la difficulté à doter

par Mitch Gillett

By Mitch Gillett

des postes de MR de la Force réguli;ère; dans des CGPM techniques, particulièrement; pour la Marine, affirme le capv Weadon. Nous sensibilisons actuellement la population au fait qu'on embauche et que de nombreux postes techniques sont offerts. Nous recherchons tout un éventail; de compétences.; »

Le taux élev;é d'emplois au Canada signifie que les FC, le plus gros employeur féd;éral; du pays, doivent concurrencer avec les entreprises en expansion du secteur privé pour trouver des candidats. « C'est un marché hautement concurrentiel, les possibilités; sont multiples dans le domaine technique », reconnaît; le capv Weadon.

Par le passé, les FC misaient énorm;ément; sur la publicité à la tél;é, à la radio et dans les journaux pour attirer des candidats. Cette année;, elles ont adopté une campagne plus dynamique qui comprend une tournée; des centres commerciaux, l'achat d'espace publicitaire au match de la

Coupe Mémorial; et le ciblage de nouveaux secteurs où recruter.

OTTAWA-Canadian Forces recruiters have become more aggressive in their search for qualified candidates for military service.

"We; went through a period, until two years ago, where we were not recruiting large numbers, so the word on the street was the CF was not hiring," said Captain(N) Bryn Weadon, commander of the CF Recruiting Group, CFRETS Borden. "What; we are trying to do is get the word out that, in fact, we are in business."

The CF is recruiting about 2600 full- time Regular Force non-commissioned members. At the end of this year's recruiting season it expects to be short about 400 qualified candidates, mainly for naval technical trades. The CF tries to recruit about 6000 people annually for the Primary Reserve and up to 1000 officers for the Cadet Instructor Cadre.

"We; have had difficulty in filling the Regular Force NCM positions for technical MOCs, especially for the Navy,"

Capt(N) Weadon said. "We; are raising awareness that we are hiring and we have lots of technical opportunities available. We are looking for a full range of skill sets."

Canada's high employment rate means the CF, the country's largest federal employer, must compete with growing private sector companies for candidates. "It;'s a highly competitive market (and) there are lots of opportunities available in the technical field," Capt(N) Weadon observed.

In the past, the CF relied heavily on television, radio and newspaper advertising to recruit new members. This year it has adopted a more aggressive recruiting campaign that involves a cross-country mall tour, buying advertising space at the Memorial Cup hockey game and targeting areas where the CF has not traditionally recruited.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


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