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Maple Leaf


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10-11 AirForce

Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Today Kilimanjaro, tomorrow Everest


Image

Looking peaked:

Sgt Warden's next stop in his bid to summit the highest peak on each of the seven continents will be Mount Everest, the granddaddy of them all.

Piqué par les hauteurs!

La prochaine étape; du sgt Warden à l'escalade du plus haut sommet de chacun des sept continents le mènera; à l'aïeul; de tous, le mont Everest.

Text and photo by Sgt Jeff Warden

I am in the middle of Africa and the air is -20 C. Walking over snow and ice feels alien considering I am just south of the equator. At sunrise, the sky is an iridescent red as I trudge across a crater in the thin atmosphere en route to the top of the African continent: the summit of Mount Kilimanjaro.

After many weeks of planning and preparation, I had reached the third peak in my quest to climb the highest mountain on each of the seven continents.

Although Kilimanjaro is not technically difficult, its altitude, at 5895 m (19 340 ft.) proves to be the biggest obstacle to its many climbers, who approach from all sides. As many as 40 percent of the trekkers trying "Kili;" succumb to the altitude and eventually turn around in defeat; however, the fact that most attempt the summit in three and half days, it's no surprise most come down with altitude mountain sickness, or worse, pulmonary edema.

But I, too, attempted the summit after only a short acclimatization period. Feeling exhausted, I persevered, tagged the summit, took a quick photo of the rising sun, then headed back down the mountain while dodging the multi- coloured spew from those less fortunate in their attempts.

With Kilimanjaro out of the way it's now time to focus on a more pressing matter: Sagamartha, or as she is better known, Mount Everest. This will mean a whole new set of rules, and at the same time, command the deepest respect.

Scheduled to join an international team of two Americans, a Pole and an Italian, I will take nothing for granted, as this mountain should prove to be anything but routine.

With a planned departure in April 2000, I plan to transmit the climb interactively via the air force Web site at www.airforce.dnd.ca.

Aujourd'hui le Kilimanjaro, demain l'Everest


Texte et photo du sgt Jeff Warden

Je suis au coeur de l'Afrique. Dehors, il fait un 20 ºC.; Le fait de marcher sur de la glace et de la neige me donne l'impression d'être; un étranger;, d'autant plus que je me trouve juste au sud de l'équateur.; À l'aube, alors que je traverse difficilement un cratère;, le ciel s'illumine d'un rouge irisé dans la fine couche atmosphérique.; Je suis en route vers le toit du continent africain : le sommet du Kilimanjaro.

Ce n'est qu'après; plusieurs semaines de planification et de préparatifs;, que j'atteignai le troisième; pic dans ma quête; d'escalader le plus haut sommet de chacun des sept continents.

Même; si, techniquement, l'escalade du Kilimanjaro n'est pas difficile, son altitude, 5895 m (19 340 pi), représente; l'obstacle le plus important pour les nombreux grimpeurs

qui l'approchent de tous côt;és.; Jusqu'à 40 p. 100 des randonneurs qui se mesurent au « Kili » succombent à son altitude et font demi-tour. Quand on pense que la plupart des gens l'attaquent en seulement trois jours et demi, rien d'étonnant; que la plupart souffrent de mal de montagne ou, pire,

d'oedème; pulmonaire.

Moi aussi j'ai tenté le sommet après; une période; d'acclimatation. Fatigué, j'ai persév;ér;é, marqué le sommet, pris une photo rapide de l'aurore, et je suis redescendu en esquivant les pics de glace multicolores des moins chanceux dans leurs essais.

Maintenant que le Kilimanjaro est derrière; moi, il est temps de me concentrer sur un projet plus urgent : Sagamartha, mieux connu sous le nom de l'Everest. Ce défi; comporte des règles; du jeu complètement; différentes; et commande un très; grand respect.

Je dois me joindre une équipe; internationale de deux Américains;, un Polonais et un Italien. Je ne tiendrai rien pour acquis, car cette montagne a prouvé qu'on ne s'y frôle; pas de façon; routinière.;

Le départ; est prévu; pour avril 2000 et j'envisage de rendre cette aventure interactive sur le site de la Force aérienne; à www.airforce.dnd.ca.

La 14

e

Escadre détecte; des pollueurs marins


14 Wing helps nab marine polluters


par le cplc Dean Hancock

À la fin de février; 2000, les preuves fournies par la 14e Escadre avaient déj;à permis de mener des poursuites contre deux navires pollueurs.

Ce problème; ne sera sans doute jamais enrayé, car certains pays ont des critères; d'immatriculation très; relâch;és; qui donnent libre cours à des navires à la navigabilité suspecte et aux équipages; peu qualifiés.;

Cependant, la 14e Escadre, en collaboration avec d'autres unités; du MDN et Transport Canada, continuera à pourchasser ces contrevenants pour leur imposer des amendes sév;ères; dans l'espoir de freiner la pollution par effet dissuasif. Le cplc Hancock est analyste du renseignement en images à la 14e Escadre.

By MCpl Dean Hancock

Les pollueurs sont au large et, pour les attraper, il faut une bonne surveillance, un équipement; adéquat; et, idéalement;, une photo.

La surveillance aérienne; pour les ministères; de l'Environnement, du Transport et des Pêches; et des Océans; devient de plus en plus prioritaire à la 14e Escadre Greenwood. Cette surveillance a grandement aidé à engager des poursuites contre les nombreux navires, trop souvent des pollueurs, qui violent des lois dans les eaux canadiennes.

Quand un équipage; surprend un navire en train de polluer, il recueille des renseignements et fait un rapport. Les rapports écrits; ont certes une grande valeur, mais y joindre des photos ajoute un él;ément; difficilement récusable; si l'on pense que l'image vaut mille mots!

La plupart des navires cessent de polluer quand ils aperçoivent; un avion de surveillance de la 14e Escadre, aussi l'équipage; doit-il s'assurer que les photos identifient précis;ément; le navire et sa position par rapport aux eaux polluées.;

La mét;éo; influence beaucoup la qualité des preuves visuelles. Les photos doivent montrer la pollution dans le sillage du navire et l'eau claire à l'avant. La position du soleil dicte l'angle de vol idéal; pour la série; de clichés.;

En 1999, la 14e Escadre a réussi; à signaler trois pollueurs.

Le 8 février;, pendant un exercice de responsabilité opérationnelle; de l'équipage; 2 du 415e Escadron, celui-ci a repér;é un navire à quelque 240 milles marins au sud d'Halifax. Le navire a ét;é identifié au nom de Nordholt. L'observation plus poussée; a confirmé qu'il polluait. Grâce; aux preuves recueillies, Transport Canada a pu engager des poursuites et exiger une amende de 35 000 $.

The polluters are out there, and to catch them, you need good surveillance, the right equipment and ideally, a picture.

The responsibility of air surveillance in support of Environment Canada, Transport Canada, and the Department of Fisheries and Oceans has become an increasingly higher priority at 14 Wing Greenwood. Surveillance provided by the Wing has greatly assisted in the prosecution of numerous marine vessels violating various laws in Canadian waters, including polluters all too frequently.

When a crew sights a vessel polluting, it gathers information and files a report upon landing. Although written reports signed by the crew are very important, it is equally important to supplement the reports with imagery evidence, as a picture is worth a thousand words.

Most ships will stop polluting when they notice a 14 Wing surveillance aircraft; therefore, the aircrew must ensure the imagery they collect provides the precise identification of the ship and its position relative to the polluted water.

Weather greatly affects the quality of imagery collected. The overview photos must show pollution in a ship's wake and clean water ahead of the vessel. The angle of the sun will dictate how each run for evidence collection will be flown.

In 1999, 14 Wing successfully reported three polluters.

On February 8, while 415 crew 2 was conducting a correlation exercise (COREX), they sighted a vessel approximately 240 nautical miles south of Halifax. The vessel was identified as the Nordholt. Further observation confirmed the vessel was polluting in Canadian waters. With the evidence gathered by crew 2, Transport Canada was able to prosecute the vessel and fine it $35 000.

By the end of February 2000, 14 Wing had already forwarded evidence of two pollution violators that have resulted in prosecutions.

The problem of marine vessels polluting our waters will probably never go away: some countries have extremely lax criteria for registration, resulting in vessels of questionable seaworthiness operated by crews of poor calibre.

However, 14 Wing, teamed up with other DND units and Transport Canada, will continue to seek out these violators and impose stiff fines on them. Hopefully, this will provide the deterrence required to curb the problem. MCpl Hancock is a 14 Wing Intelligence Imagery Analyst.

Image: EscadrePhoto: 14 Wing file photo / photo d'archives de la 14

Pas de pollution! Les équipages; de la 14e Escadre surveillent les navires pour s'assurer qu'ils ne polluent pas les eaux canadiennes. Des photos, comme celle-ci prise en 1998, servent de preuves dans les poursuites.

No Dumping! Ships are monitored by aircrew from 14 Wing to make sure they are not polluting Canadian waters. Photos, like this one taken in 1998, are used as evidence for prosecutions.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


Image: Escadre TrentonPhoto: 8 Wing photo / la 8

Potential pilots test their wings


By Capt Andy Coxhead

Eleven young Canadians and four Jamaicans listen carefully to Major Cecil Lohnes, Commanding Officer, Canadian Forces Aircrew Selection Centre. Apprehension and tension are just two of the emotions these aspiring pilots feel.

These future CF aviators must successfully complete a series of procedures over the next three days while alone in a full- motion tester. Though it looks like a small aircraft simulator, it is not: the Canadian Automated Pilot Selection System (CAPSS) is a full-motion tester that evaluates the psychomotor abilities of potential candidates for the CF pilot training program.

"My; eventual dream is to fly in the Snowbirds," said Sophie Furnivall an 18- year-old Ottawa native who has applied to Royal Military College. Ms. Furnivall, who was conditionally accepted at RMC based on passing aircrew selection, felt the pressure. "I; was really nervous. I was told by others that the pass rate was low, so I was prepared for a challenge."

The goal of CAPSS is to realistically predict the pilot success rate to wing standard, reducing the amount of resources expended on actual flight training attrition. CAPSS evaluates candidates by objectively assessing their abilities to assimilate instructions and "fly;" the tester according to those instructions. Successful candidates learn

from their mistakes and progressively accomplish more demanding tasks. All instructions, guidance, warnings and feedback are computer-generated, reaching candidates via a headset and two video screens inside the tester.

"It; has always been my dream to be a pilot," said Jonathan Setlack, a 17-year-old native of Kamsac, Sask., who applied to RMC under the Regular Officer Training Plan for a degree in engineering or science.

Mr. Setlack, who received his glider pilot's licence last summer through the 633 Kamsac Air Cadet Squadron, said, "You; get nervous, there is pressure to do well, but you have to try to take the pressure off. I didn't go in thinking I had to pass, I just gave it my best shot and hoped for the best. Flying a glider is a lot easier than flying that."

Both Ms. Furnivall and Mr. Setlack successfully completed the CAPSS test. For now their dreams remain intact. Next they must pass a two-day medical in Toronto.

The Canadian Aircrew Selection Centre, with a staff of four, process about 630 candidates per year on the five CAPSS testers. It has been an integral 8 Wing unit in Trenton since January 1997. Capt Andy Coxhead is a Public Affairs Officer at 8 Wing Trenton.

Le maj Cecil Lohnes, commandant du Centre de sélection; du personnel navigant des FC, règle; les commandes extérieurs; du simulateur de contrôle; intégral.;

Maj Cecil Lohnes, CO of CF Aircrew Selection Centre, adjusts the exterior controls of a full- motion tester.

Les aspirants pilotes sont mis à l'épreuve;


Onze jeunes Canadiens et quatre Jamaïcains; écoutent; attentivement le maj Cecil Lohnes, commandant du Centre de sélection; du personnel navigant des FC. L'appréhension; et la tension font partie de la gamme d'émotions; que ressentent ces aspirants pilotes.

En trois jours, ces futurs aviateurs des FC doivent réussir; par eux-mêmes; une série; de procédures; en simulateur de contrôle; intégral.; Bien que ressemblant à un petit simulateur d'aéronef;, le Système; canadien automatisé de sélection; des candidats (SCASP) est en fait un appareil de contrôle; intégral; qui évalue; les fonctions psychomotrices d'éventuels; candidats au programme d'entraînement; des pilotes des FC.

« Mon rêve; serait de piloter un Snowbird », confie Sophie Furnivall, d'Ottawa, une candidate de 18 ans acceptée; au Collège; militaire royal à condition de passer le test de sélection.; Elle en ressent la pression. « J'étais; très; nerveuse. On m'a dit que le taux de réussite; est faible. Je sais donc que ce sera difficile. »

Le SCASP vise à prédire; de façon; réaliste; le taux de réussite; des pilotes en fonction des critères; des escadres pour réduire; l'attrition et les frais d'entraînement; au pilotage. Le SCASDP évalue; les candidats en estimant de manière; objective leur habileté à assimiler des instructions et à « voler » d'après; ces instructions. Les candidats qui réussissent; apprennent de leurs erreurs et

passent progressivement des tâches; plus exigeantes. Les instructions, directives et rétroactions; et mises en garde sont gén;ér;ées; par ordinateur et retransmises dans un casque d'écoute; et sur deux écrans; vidéo; à l'intérieur; du simulateur.

« J'ai toujours rêv;é d'être; pilote », affirme Jonathan Setlack, un candidat de 17 ans, originaire de Kamsac (Sask.), qui veut s'inscrire au Programme de formation (officiers de la Force réguli;ère;) du CMR en génie; ou en science.

L'ét;é dernier, il a acquis sa licence de pilote de planeur du 633e Escadron des cadets de l'Air de Kamsac. « Même; si on est nerveux et tendu parce qu'on veut bien faire, mais il faut essayer d'être; calme. Je ne me suis pas dit qu'il fallait que je passe, j'ai juste fait de mon mieux. Un planeur est beaucoup plus facile à piloter que ça;! »

Mme Furnivall et M. Setlack ont tous deux réussi; le test du SCASP. Pour l'instant, leur rêve; demeure possible. La prochaine étape; est un examen médical; de deux jours, à Toronto.

Le Centre de sélection; du personnel navigant compte quatre employés; et cinq simulateurs SCASP. On y évalue; environ 630 candidats par année.; Depuis janvier 1997, il fait partie intégrante; de l'unité de la 8e Escadre Trenton. Le capt Andy Coxhead est officier d'affaires publiques à la 8e Escadre Trenton.

Image: NewspaperThe Aurora

Photo:

Looking down the road: Cpl William E. Street, above, from 14 Wing Greenwood, is part of the Airfield Security Force Military Police Section, whose members have been patrolling the perimeter and standing guard at the gates of Camp Donja Koretica (Camp DK) in Kosovo.

Regard à l'horizon : Le cpl William E. Street, en haut, de la 14e Escadre Greenwood, fait partie de la Force de protection d'aérodrome;, unité de la Police Militaire, dont les membres ont quadrillé le quartier et monté la garde à l'entrée; du camp Donja Koretica (camp DK) au Kosovo.

par le capt Andy Coxhead

Vol. 3, No. 11, 2000



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