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Maple Leaf


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Image: 12 April 2000, Vol. 3, No. 13 Le 12 avril 2000, vol. 3, no 13

Reserve uniform day  
Journée; des réservistes; en uniforme Got a problem?

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Pour la mémoire; des anciens




Un missile désarm;é suscite une enquête;


Ship's missile misfire prompts investigation


La Marine enquête; sur les causes du raté de missile surface-air Sea Sparrow sans tête; active survenu le 30 mars.

Le NCSM Charlottetown effectuait des tirs d'essai dans la zone d'entraînement; de tir de la flotte de l'Atlantique au large de la côte; de Puerto Rico lorsque l'incident s'est produit.

Le missile a fait une descente en tire- bouchon pour s'écraser; dans l'océan; à environ 25 m du navire, et des fragments d'aileron de la queue ont atterri sur le pont d'envol du Charlottetown. On soupçonne; que le missile a consommé son carburant lors de son ascension.

Il n'y a eu aucun blessé.; « Même; si le missile avait atteint le navire, cela n'aurait pas ét;é tellement grave puisqu'il ne contenait pas de carburant et n'était; pas muni d'une tête; explosive », a déclar;é le capc Glenn Chamberlain, un officier des affaires publiques des MARLANT.

Le personnel du service naval ayant détermin;é a priori qu'il s'agissait d'un défaut; rare et isolé pour un Sea Sparrow, les essais de tir se sont poursuivis.

On étudie; la bande vidéo; de la trajectoire du missile pour déceler; la cause du raté.;

« Il faut découvrir; l'origine du défaut;, pourquoi cela s'est produit, et remonter jusqu'au fabricant s'il le faut », a expliqué le cam Dusty Miller, commandant des MARLANT. « Il s'agit d'une anomalie. C'est la première; fois qu'on voit ce genre d'incident, d'où les essais que nous effectuons. »

Les Sea Sparrows sont contenus dans des caissons montés; de chaque côt;é du navire et mis à feu à distance. Les missiles de 2,5 m sont lancés; à la verticale.

Image: Lors de l'Ex Blue Light, le personnel medical canadien discute de l'état; d'un «patient; » avant l'évacuation; par un hélicopt;ère; britannique Chinook près; du camps Black Bear à Velika Kladusa, en Bosnie, le 3 avril. L'exercice était; d'entraîner; l'équipe; à réagir; en situation grave.Photo: Cpl / cpl Marc Plante

CF medical personnel discuss the condition of a 'patient' prior to evacuation on a British Chinook helicopter as part of Ex BLUE LIGHT, held near Camp Black Bear in Velika Kladusa, Bosnia, on April 3. The aim of the exercise was for personnel to practise their response to a major incident.

The navy is investigating the March 30 misfire of an unarmed Sea Sparrow anti-air missile.

HMCS Charlottetown was test firing missiles on the Atlantic Fleet Weapons Training Facility range off the coast of Puerto Rico when the incident occurred.

Fragments of the missile's tail fin landed on Charlottetown's flight deck. No one was injured.

The missile corkscrewed into the ocean about 25 m from the ship. It is believed to have expended its fuel during its ascent.

"If it had struck the ship, it would not have been as serious as if it had had fuel or a warhead," said Lieutenant-Commander Glenn Chamberlain, a MARLANT Public Affairs Officer.

After an initial determination by naval staff that this was an isolated and rare incident of malfunction of a Sea Sparrow, firing on the range resumed.

Video of the weapon's trajectory is being analyzed to discover why the missile misfired.

"We've got to find out where that happened [and] why-going back to the manufacturer if necessary," said MARLANT Commander Rear-Admiral Dusty Miller. "This is an anomaly. We've never seen this kind of thing before, but that's why we have these tests."

Sea Sparrows are housed in canisters mounted on each side of the ship and fired remotely. The 2.5 m missiles are launched vertically.

Support centre celebrates first anniversary


1

er

anniversaire du Centre de soutien


By Aline Dubois

par Aline Dubois

March 30 was a great day at the Centre for the Support of Injured and Retired Canadian Forces Members and Their Families: it was the centre's first anniversary, and the staff celebrated with some positive announcements.

At the centre, located in Ottawa's Trebla Building, Minister of National Defence Art Eggleton announced two new initiatives, both resulting from a successful collaboration between DND and Veterans Affairs Canada (VAC).

First, a health card now makes it easier for soldiers to gain access to civilian health care institutions. Also, a 24-hour information line has been set up for soldiers with health problems.

Bob Wood, spokesperson for Minister of

Veterans Affairs George Baker emphasized the excellent partnership between the two departments for these initiatives.

Lieutenant-Colonel Rick McLellan, Director Casualty Support and Administration, announced that a VAC-produced videocassette explaining the process for obtaining pension and health services benefits from VAC will soon be available on all CF bases and at VAC offices.

"Initiatives; related to family aid and accommodations will be developed over the coming months. We will announce them as they are finalized," confirmed Minister Eggleton, who said he is determined to take whatever steps are necessary to make sure no one is overlooked in this area.

L'heure était; aux réjouissances; le 30 mars

dernier à l'occasion du premier anniversaire de naissance du Centre pour le soutien des militaires blessés; ou retraités; et de leurs familles, édifice; Trebla, à Ottawa. Invité pour la circonstance, le ministre de la Défense; Art Eggleton a annoncé deux nouvelles initiatives, fruits d'une collaboration réussie; entre le MDN et les ACC : la carte de santé qui facilite aux militaires l'accès; aux établissements; de santé civils et une ligne d'information à laquelle les militaires aux prises avec un problème; de santé peuvent avoir recours en tout temps. M. Bob Wood, porte-parole de  
M. George Baker, ministre des Anciens combattants, a corroboré les propos du ministre Art Eggleton et souligné l'excellent partenariat qui lie les deux ministères.;

Après; avoir félicit;é ses troupes, le lcol Rick

McLellan, directeur - Soutien aux blessés; et administration, QGDN a annoncé qu'une vidéocassette; réalis;ée; par le ministère; des Anciens combattants (ACC) et expliquant le processus des pensions et les prestations pour soins de santé offertes par ce ministère; sera bientôt; disponible dans toutes les bases des FC et les différents; bureaux d'ACC.

« Des initiatives liées;, entre autres, aux questions de maternité, d'aide aux familles, de logement, prendront forme au fil des mois. Nous en ferons l'annonce au fur et à mesure de leur concrétisation; », de confirmer Art Eggleton décid;é, en outre, à prendre toutes les mesures nécessaires; pour que les Anciens combattants ne soient plus les grands oubliés; du MDN. » Bref, le gâteau; était; bien bon. Et pour cause : la crème; n'avait rien d'articifiel.

National Defence


Défense; nationale



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Le 3 mai les réservistes; afficheront la couleur


Reservists urged to 'fly their colours' May 3


par Allison Delaney

By Allison Delaney

Le mois prochain, lorsqu'ils porteront leur uniforme des FC au travail, les réservistes; dévoileront; à leurs collègues; un autre aspect de leur vie.

Le 3 mai a ét;é choisi comme étant; la Journée; des réservistes; en uniforme. Depuis trois ans déj;à, cette journée; sensibilise le public à l'importance de la Force de réserve; au Canada. « On incite les réservistes; à porter l'uniforme à l'école; ou au travail civil, si les circonstances le permettent,» déclare; le capt Richard Gower, Programme d'approche du Conseil de liaison des FC (CLFC).

Le capt Gower indique que les membres de la Réserve; devraient en aviser le plus tôt; possible leurs employeurs, éducateurs; et professeurs et s'assurer qu'il est approprié dans leur cas de porter l'uniforme ce jour-là.; Il précise; que « la majorité des réservistes; sont dans l'armée; à temps partiel et travaillent ou étudient; dans le secteur civil. Même; si les réservistes; sont reconnus à l'échelle; nationale pour les services dont ils font état; en cas d'urgence, dans la vie de tous les jours, ils sont souvent méconnus.; »

Le Conseil des Forces armées;, un comité formé de conseillers militaires principaux auprès; du Chef d'état-major; de la Défense;, a déclar;é le premier mercredi de mai Journée; des réservistes; en uniforme. Chaque année;, c'est l'occasion pour les réservistes; d'afficher leur fierté à servir le Canada. Les employeurs et éducateurs; auront également; la chance de manifester leur appui aux réservistes; qui font partie de leur personnel ou de leur classe.

« Faire valoir leur statut dans la communauté est une bonne chose pour les réservistes;, conclut le capt Gower. La Réserve; fait le pont entre les militaires et les civils. Cette journée; leur permettra d'afficher leur couleur dans leur milieu. »

La Force de réserve; comprend la Première; réserve;, la Réserve; supplémentaire;, le Cadre des instructeurs de cadets et les Rangers canadiens.

Image: Le réserviste; m 2  
Tom Joseph, NCSM Griffon, enseigne à l'école; St. Patrick àThunder; Bay (Ont.). Reservist PO 2 Tom  
Joseph, with HMCS Griffon, teaches at St. Patrick High School, Thunder Bay, Ont.

Reservists will show civilian colleagues a different side of their lives when they wear their CF uniform to work next month.

May 3 has been designated Reserve Force Uniform Day. The event, which has been running for the past three years, fosters public awareness of Canada's Reserve Force. "We encourage reservists to wear their uniforms to their place of civilian work or study, wherever possible and appropriate," said Captain Richard Gower of the CF Liaison Council (CFLC) Outreach.

Capt Gower said all Reserve Force members should notify their employers, teachers or professors of the event as soon as possible to ensure it is acceptable to wear a uniform on this day. "The majority of reservists have civilian employment or are students in addition to their part-time military service," said Capt Gower. "Although reservists have received national recognition through their service in emergencies, they often go unrecognized in their normal day-to-day work."

The Armed Forces Council, a committee of senior military advisors to the Chief of the Defence Staff, sanctioned Reserve Force Uniform Day to take place on the first Wednesday of every May. The annual event is an opportunity for reservists to display the pride they have in serving Canada, while employers and educators show support for the reservists who work for them or are students in their classes.

"It is good for reservists to make their status known within the community," said Capt Gower. "The Reserve Force provides a bridge between the military and the community. This day allows reservists to fly their colours within their community."

The Reserve Force includes the Primary Reserve, the Supplementary Reserve, the Cadet Instructors Cadre and the Canadian Rangers.

Op

MEMORIA

: why the unknown soldier is unknown


Trench warfare in the First World War was no more ferocious than at Vimy, France, where thousands of Canadian and Newfoundland soldiers fought and died. Appropriately, it is from this region that the remains of an unknown Canadian soldier will be exhumed for entombment at the National War Memorial in Ottawa in May 2000.

In order for Canada to repatriate the remains, consent has to be given by the Commonwealth War Graves Commission (CWGC), an organization charged with caring for the war dead of the First and Second World Wars.

The CWGC, of which Canada is a member, currently cares for 1.7 million Commonwealth war dead in 150 countries. At the end of the First World War, all participating governments agreed, under the guiding principle of equality of treatment, that remains would not be returned to the home country, and this policy was reaffirmed after

the Second World War.

"Canada's request to repatriate the remains of an unknown Canadian soldier is a significant departure from the non-repatriation policy," said Mr. Daniel Wheeldon, Secretary-General of the Canadian Agency of the CWGC. "This required the approval of the full membership of the CWGC."

In the First World War, certainly in the trench warfare of the Western Front, the numbers of casualties involved and the intensity of the fighting gave little opportunity to investigate the cause of death and identity of many fallen soldiers. Any information that could be collected about an otherwise unknown casualty was recorded and appears on the headstone, such as rank or regiment.

According to Mr. Wheeldon, information the commission holds on unknown Canadian casualties is scant or non-existent. In order to ensure total anonymity, the commission took care to select a grave where no information

on the remains exists, and received Canada's assurance that it would neither seek to identify, nor assist anyone attempting to identify, this unknown Canadian soldier.

When the CWGC exhumes the remains in May, Canada will accept responsibility for their care and custody. Canada will immediately repatriate the remains to the nation's capital where he will lie in state for three days. He will then be taken by military funeral procession to the National War Memorial for final interment. This special ceremony will commemorate the sacrifices and commitments of all Canadians to the restoration of peace in the past, present, and future.

The CWGC cares for 110 000 Canadian war dead in 75 countries, of which 27 607 were denied a known grave. In various locations throughout the world the CWGC has 7000 graves marked as "an unknown Canadian."

Op

Memoria

: pourquoi le soldat inconnu demeure inconnu


La guerre de tranchées; de la Première; Guerre mondiale n'a jamais ét;é aussi féroce; qu'à Vimy en France, où des milliers de Canadiens et de Terre-Neuviens ont combattu et péri.; Il convient donc que les restes d'un soldat canadien inconnu qui seront exhumés;, pour être; mis au tombeau au Monument commémoratif; du Canada en mai 2000, proviennent de cette région.;

Pour que le Canada puisse rapatrier les restes, la Commonwealth War Graves Commission (CWGC), un organisme responsable des soins accordés; aux morts de la Première; et de la Seconde Guerre mondiale, doit d'abord donner son assentiment.

La CWGC, dont le Canada est membre, s'occupe présentement; de 1,7 millions de morts de 150 pays du Commonwealth. À la fin de la Première; Guerre mondiale, tous les gouvernements participants ont convenu, selon le principe directeur d'égalit;é de traitement, que les restes ne seraient pas retournés; au pays d'origine, et cette politique a ét;é confirmée; de nouveau au terme de la

Seconde Guerre mondiale.

« La demande du Canada de rapatrier les restes d'un soldat inconnu canadien constitue un écart; important de la politique de non-rapatriement » a déclar;é M. Daniel Wheeldon, Sécr;étaire-g;én;éral; de l'Agence canadienne de la CWGC. « Il a donc fallu obtenir l'approbation de tous les membres de la CWGC. »

Durant la Première; Guerre mondiale, et surtout dans la guerre de tranchées; du front occidental, le nombre élev;é de victimes et l'intensité des combats n'ont pas laissé beau-

coup d'occasions de vérifier; la cause des déc;ès; et l'identité des nombreux soldats tombés; au combat. Toute information, comme le grade et le régiment; ayant pu être; recueillie à l'égard; d'une victime autrement inconnue, a ét;é consignée; et apparaît; sur la pierre tombale.

Selon M. Wheeldon, l'information que la Commission détient; sur les victimes canadiennes est rare voire n'existante. Afin de conserver l'anonymat du soldat, la CWGC

choisit une tombe pour laquelle n'existe aucun renseignement et a reçu; l'assurance que le Canada ne chercherait pas à connaître; l'identité de ce soldat inconnu et n'aiderait

personne à le faire.

Lorsque la CWGC exhumera les restes en mai, le Canada en assumera la responsabilité de garde et de soins. Le Canada rapatriera immédiatement; les restes du soldat dans la capitale nationale où il reposera en chapelle ardente pendant trois jours. Il sera alors conduit par cortège; funèbre; militaire, pour son dernier repos, au Monument commémoratif; de guerre du Canada. Cette cér;émonie; spéciale; rappellera les sacrifices et les engagements passés;, présents; et à venir de tous les Canadiens, pour le rétablissement; de la paix.

La CWGC s'occupe de 110 000 victimes canadiennes de guerre dans 75 pays, dont 27 607 n'ont pas de tombe les identifiant. En divers lieux du monde, la CWGC compte 7 000 tombes portant l'inscription « Soldat inconnu canadien. »


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