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Maple Leaf


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Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Communications system of the future


A team of innovators from 8 Wing Trenton Telecommunications and Information Systems Squadron (WTISS) has created a state-of-the-art deployable communications system using material that was destined for the scrap heap.

Constructed from recycled items (including leftover paint, plywood and wire), this one-of-a-kind, high tech Deployable Main Distribution Frame (DMDF), or Comm Pod, is a self-contained and self-sufficient communications system.

The enhanced Comm Pod includes a Local Area Network (LAN) with a fibre optic backbone, a LAN air bridge that connects LAN systems in two or more locations via radio frequency, and a microwave system to link into another telephone system.

It also has a Cisco router, which will allow point-to-point communication with the Defence Wide Area Network (DWAN), which includes the Defence Information Network (DIN) and the Common E-mail System.

Conceivably, the Comm Pod could be located and in use in Bosnia while at the same time the router in the pod could be accessed by military personnel in Croatia (provided the requisite authorization is granted), explained Master Warrant Officer Howard Erickson.

In addition, the Comm Pod features its own satellite system-the International Marine Satellite System (INMARSAT)-as well as a paging system to allow the rapid recall of vital personnel in theatre. It is powered by its own generator, making it self-sufficient. The entire unit is 3.65 m (12 ft) long by 2.13 m (7 ft) wide. It is  
1.98 m (6.5 ft) high and is weatherproof. Not given to resting on their laurels, TIS personnel are in the process of creating two more Comm Pods. The first one is now fully equipped and is on loan to 14 Wing Greenwood for training. The second and third pods are in the final stages of production and should be operational by September of this year. The second pod will go to 4 Wing Cold Lake in support of Op REBOUND, and the third pod is earmarked for possible deployment overseas.

Captain Ray Idzenga, Deputy Commanding Officer of 8 TIS, was quick to stress that the Comm Pod project, though spearheaded by WTIS personnel, was very much a group effort. WTIS technicians "willingly dedicated their time and skills to the project, over and above their regular duties," he said. They were also assisted by personnel from 4 and 14 Wing. Andrea LeBlanc is a photojournalist with Contact at 8 Wing Trenton.

Image: LeBlancPhoto: Andrea

By Andrea LeBlanc


Developed by 8 Wing Trenton, the Comm pod is a state-of-the-art communications system, made largely from recycled materials.

Conçue; par la 8e Escadre Trenton, la plate- forme de communications est un système; de communications de pointe fabriqué en grande partie à partir de matériel; recyclé.;

Un système; de communications de l'avenir


par Andrea LeBlanc


Une équipe; d'innovateurs de l'Escadron des services d'information et des tél;écommunications; (SIT) de la 8e Escadre Trenton a conçu; un système; de communications déployable; de pointe, en se servant de matériel; destiné à la ferraille.

Fabriqué à partir d'objets recyclés;, (y compris des restes de peinture, de contreplaqué et de fils), ce répartiteur; principal déployable; (ou plate-forme de communications) exceptionnel et de haute technologie est un système; complet et autonome.

La plate-forme de communications amélior;ée; comprend un réseau; local (RL) doté d'un réseau; principal de fibre optique, une interface de connexion RL qui relie, par fréquence; radio, les systèmes; RL de deux emplacements ou plus, et un système;

micro-ondes permettant de se connecter à un autre réseau; tél;éphonique.;

La plate-forme est aussi équip;ée; d'un routeur Cisco, qui permet la communication entre points fixes avec le Réseau; étendu; de la Défense; (RED), lequel comprend le Réseau; d'information de la Défense; (RID) et le système; de courrier électronique; commun.

En théorie;, la plate-forme de communications pourrait être; positionnée; et utilisée; en Bosnie, pendant qu'au même; moment, du personnel militaire en Croatie accéderait; au routeur de la plate-forme (à condition d'avoir une autorisation d'accès;), explique l'adjum Howard Erickson.

De plus, la plate-forme de communications est équip;ée; de son propre système; de satellite, soit le système; international de

satellites maritimes (INMARSAT), ainsi que d'un système; de tél;éavertisseurs; permettant de rappeler rapidement le personnel vital sur le théâtre; des opérations.; La plate-forme est alimentée; par sa propre gén;ératrice;, ce qui la rend autonome. L'unité complète; mesure 3,65 m (12 pi) de longueur sur 2,13 m (7 pi) de largeur; elle a 1,98 m (6,5 pi) de hauteur et est étanche.;

Réput;é pour ne pas se reposer sur ses lauriers, le personnel des SIT monte actuellement deux autres plates-formes de communications. La première;, déj;à tout équip;ée;, est prêt;ée; à la 14e Escadre Greenwood à des fins de formation. Les deuxième; et troisième; plates-formes en sont à l'étape; finale de production et devraient être; fonctionnelles en septembre prochain. La deuxième; plate-forme

est destinée; à la 4e Escadre Cold Lake pour soutenir l'Op Rebound et la troisième; sera vraisemblablement utilisée; pour les déploiements; outre-mer.

Le capt Ray Idzenga, commandant adjoint de 8 SIT, s'empresse de mentionner que, bien que dirigé par le personnel des SIT de l'Escadre, le projet de plate-forme de communications était; avant tout un travail d'équipe.; Les techniciens des SIT de l'Escadre « ont volontairement donné de

leur temps et apporté leurs connaissances à la réalisation; du projet, en plus de s'acquitter de leurs tâches; réguli;ères; ».; Ils ont aussi reçu; l'aide du personnel de la 4e et de la 14e Escadre. Andrea LeBlanc est photojournaliste à Contact, à la 8e Escadre Trenton.

Une longue et enrichissante carrière;


par Kristina Davis


mandement. En 1987, il est muté à Geilenkirchen, en Allemagne, où il pilote des AWACS. À l'époque;, il juge que ce serait une expérience; formidable à faire

Son carnet de vol se lit comme une brochure de voyages. De l'Albanie au Ghana, de la Turquie au Vietnam, le maj Terry Bremner aura tout vu en presque 36 ans de carrière.;

Au moment de prendre sa retraite, plus tôt; cette année;, il avait le titre de navigateur qui compte le plus d'années; de service dans les FC, avec à son actif plus de 14 000 heures de vol à la commande d'au moins 10 différents; types d'aéronefs.;

Né à Kitchener (Ont.), Terry Bremner joint l'Aviation royale du Canada en mars 1964. L'année; suivante, il obtient son diplôme; d'officier radio, mais ce n'est

qu'en 1971 qu'il est reclassé comme navigateur longue distance. La même; année;, il est affecté à la 8e Escadre Trenton, où débute; réellement; son histoire d'amour avec les Hercules CC-130. En tout, il compte plus de 7700 heures à bord des « Herc ».;

Le maj Bremner raconte qu'il était; l'un de

« Au moment de prendre sa retraite, plus tôt; cette année;, il avait le titre de navigateur qui compte le plus d'années; de service dans les FC. »


vivre à ses enfants, et sa femme est d'accord. Cependant, après; avoir annoncé la nouvelle, les « plaintes et grognements » n'ont pas tardé à se faire entendre. Au terme de l'affectation, toutefois, les enfants avaient changé de discours. « Ils sont rentrés; au pays à contrecoeur. »

In 1994, il est affecté à la base aérienne; de Tuzla, en Bosnie, chose rare pour une personne de 50 ans, précise-t-il.; Il y avait peu de gens làbas; qui en était; à « cette étape; de leur vie ».;

Le maj Bremner confie qu'il « n'a pas encore annoncé » bon nombre de ses projets de retraite, mais il compte travailler activement avec les cadets de l'air.

qui rêvent; de voler et c'est pourquoi il n'a pas hésit;é à s'engager en 1964. De plus, il avait terminé sa 13e année; et voulait « vivre autre chose ».;

Au fil des ans, il est instructeur en navigation et occupe divers postes de com-

ces

enfants


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


New technology aids search and rescue efforts


Une nouvelle technique améliore; les opérations; de recherche et sauvetage


By Kristina Davis


When the Leader L sank off the coast of Bermuda last month, two Hercules pilots from 14 Wing Greenwood could only watch in horror. While they dropped life rafts which were credited with saving lives, they also dropped two Self-Locating Datum Marker Buoys (SLDMBs), which represent important Search and Rescue (SAR) technology that has proven invaluable in similar sea rescues.

The SLDMB, developed by Nova Scotia-based Seimac Limited, offers maritime SAR teams a new tool to significant- ly limit search area size by accurately calculating drift patterns. Comprised of an air-deployable buoy, Global Positioning System (GPS) beacon and ARGOS satellite data transmitter, the SLDMB drifts with the same trajectory as a life raft or person in the water.

Captain Rick Haiplik, co-pilot on the "Herc", said he really did not think there would be many survivors from the Leader L "because of the way the ship went down and how fast it went down." Still, they dropped the SLDMBs hoping they might help locate any survivors.

"We set the drift for people in the water so that if there were (any), and no one had been on scene for quite a few hours, it would mimic the drift of a human body..."

Major Chuck Grenkow, project director for the SLDMB, said it played an important role in the rescue because of its ability to transmit data in "real time" to the Rescue Coordination Centre (RCC). "It keeps your search area nice and tight," he explained. "It keeps it very small because you are getting real time information on the drift currents and winds." The SLDMB also provides information about the water temperature and direction of the wind, he said.

Lieutenant Jason Proulx, a MARLANT public affairs officer, said the SLDMB is a useful tool to focus a search. "It is an instrument necessary for the type of work we do," he said. While it was not key in locating survivors from the Leader L (because searchers already knew where the ship went down), it's very useful in situations where a plane crashes at sea or a ship sinks and searchers are trying to locate survivors after the fact.

The SLDMB was first used operationally

in a rescue in October 1997 when M/V Vanessa, a 109-metre cargo ship with 15 people on board, sank off the coast of Newfoundland. Herc crews dropped two SLDMBs and the RCC in Halifax monitored its signal. After receiving the first satellite hit from the buoy, searchers soon realized they were looking in the wrong place. The sea current was setting in a westerly direction opposite to the southeasterly direction displayed in the historical database

Using the "near real time" information obtained from the SLDMB, RCC Halifax re-oriented the search area 20 nautical miles to the west. In all, 10 of the 15 people on board were rescued.

Maj Grenkow said the  
SLDMB was developed strictly for use in SAR situations. In the case of M/V  
Vanessa, a survivor was located thanks to the search being re-orientated after input from SLDMB technology.

With files from SARSCENE, April 1998.

Image: par Kristina DavisPhoto: courtesy of / gracieuseté de Seimac Limited

Deux pilotes de Hercules de la 14e Escadre Greenwood ne pouvaient qu'observer la scène; avec horreur pendant le naufrage du Leader L, au large des Bermudes, en mars dernier. Ils ont pu ensuite larger des radeaux de sauvetage qui ont permis de sauver des vies. Ils ont aussi largué deux bouées-rep;ères; électroniques; automatiques (SLDMB), une nouvelle technique de recherche et sauvetage (SAR) qui s'est rév;él;ée; très; efficace dans des opérations; semblables.

La SLDMB, inventée; par Seimac Limited, de Nouvelle-Écosse;, offre aux équipes; maritimes de SAR la possibilité de réduire; considérablement; l'étendue; des zones de recherche en calculant avec précision; le déplacement; de l'eau.

Constituée; d'une bouée; largable des airs, d'un

Système; de position- nement global, d'une radio- b a l i s e et d'un émetteur; de données; de satellite  
ARGOS, la SLDMB dérive; selon la même; trajectoire qu'un radeau de sauvetage ou une personne à la mer.

Le capt Rick Haiplik, copilote du Hercules, était; convaincu qu'il n'y aurait pas beaucoup de survivants du Leader L, « étant; donné la façon; dont le bateau a coulé et la rapidité avec laquelle s'est déroul;é le naufrage ».; Ils ont néanmoins; largué les SLDMB dans l'espoir de repérer; des survivants.

« Nous avons régl;é la dérive; de sorte que, s'il y avait des gens à la mer et que personne n'avait ét;é sur les lieux pendant quelques heures, la bouée; reproduirait la dérive; d'un être; humain dans l'eau. »

Selon le maj Chuck Grenkow, directeur du projet de la SLDMB, la bouée; a joué un rôle; important lors du sauvetage, grâce; à son efficacité à émettre; des données; « en temps réel; » vers le Centre de coordination des opérations; de sauvetage (CCOS). « Elle confine la recherche à une zone bien délimit;ée; et restreinte. C'est possible grâce; à l'information en temps réel; qu'on reçoit; concernant les courants de dérive; et les vents. » La SLDMB procure aussi des renseignements sur la température; de l'eau et la direction du vent, ajoute-t-il.

Le lt Jason Proulx, officier d'affaires publiques des FMAR(A), précise; que la SLDMB est d'une grande utilité pour cerner une zone de recherche. « C'est un instrument nécessaire; pour le type de travail que nous faisons. » Bien qu'elle n'ait pas ét;é indispensable à la localisation des survivants du Leader L (parce que les chercheurs connaissaient l'endroit du naufrage), la SLDMB s'avère; très; utile lorsqu'un avion tombe à la mer ou qu'un navire coule et qu'on essaie de trouver des survivants après; coup.

La SLDMB a ét;é utilisée; la première; fois au cours d'une opération; de sauvetage en octobre 1997, lorsque le M/V Vanessa, un cargo de 109 m avec 15 personnes à bord, a sombré au large de Terre-Neuve. Des équipages; de Hercules ont largué deux SLDMB, et le CCOS de Halifax en surveillait les signaux. Après; réception; par satellite du premier signal de la bouée;, les chercheurs se sont vite rendu compte qu'ils cherchaient au mauvais endroit. Le courant allait vers l'ouest, soit en direction opposée; à celle du sud-est affichée; dans la base de données; historique.

À partir de cette information « en temps quasi réel; » provenant de la SLDMB, le CCOS de Halifax a réorient;é sa recherche à 20 milles marins plus à l'ouest. Au total, 10 des 15 membres d'équipage; du navire ont pu être; secourus.

Le maj Grenkow explique que la SLDMB a ét;é conçue; spécialement; pour la recherche et sauvetage. Dans le cas du M/V Vanessa, on a trouvé un des survivants grâce; à la réorientation; de la recherche après; réception; des signaux de la SLDMB.

Source : SARSCENE, avril 1998

A long and rewarding career


His logbook reads like a travel brochure. From Albania to Ghana, Turkey to Vietnam, Major Terry Bremner saw it all in a career that spanned nearly 36 years.

When he retired earlier this year, he was the longest serving active navigator in the Canadian Forces, with more than 14 000 flying hours on at least 10 different types of aircraft.

Born in Kitchener, Ont., Maj Bremner joined the Royal Canadian Air Force in March 1964. He graduated the following year as a radio officer, but it was not until 1971 that he cross-trained as a long-range navigator. In that same year, he was posted

By Kristina Davis


Image: Photo: 8 Wing Trenton / 8Escadre Trenton

to 8 Wing Trenton, where his love affair with the CC-130 Hercules really took off. In all, he has more than 7700 hours on the "Herc."

Maj Bremner said he was one of those kids who longed to fly. So, it was an easy decision for him to sign up back in 1964. Besides, he said, he'd finished grade 13 and wanted to "get out of town".

Over the years he worked as a navigation instructor and held various command positions. In 1987, he was posted to Geilenkirchen, Germany, where he flew AWACS. At the time he felt the move would be a great opportunity for his chil-

dren, and his wife agreed. But, he said, there was a lot of "moaning and groaning" when the children were told about the move. By the end of his posting, though, they had changed their tune. "They came home kicking and screaming," he said.

In 1994, he was posted to Tuzla Airbase in Bosnia, which he said was uncommon for someone his age. At 50 there weren't a lot of other people there "in that stage of life," he said.

Maj Bremner said many of his plans for retirement are "to be announced", but he intends to stay active working with air cadets.

Maj Terry Bremner hugs wife Barbara and daughter Krista after his last trip at 436 Squadron.

Le maj Terry Bremner avec sa conjointe, Barbara, et leur fille, Krista, au retour de sa dernière; mission avec le 436e Escadron.

Vol. 3, No. 14, 2000



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