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Selon une étude; américaine;, une politique des FC serait un succès;


CF sexual orientation policy is working: U.S. study


Critics feared that morale and performance would be undermined when the CF lifted its ban on homosexuals serving in the military eight years ago; but research by a U.S. think tank indicates our professionalism has triumphed over personal differences.

"Despite potential differences, personnel appear to be able to get their jobs done in a manner that does not compromise their effectiveness," concluded a 40-page report released this month by the Center for the Study of Sexual Minorities in the Military (CSSMM) at the University of California at Santa Barbara.

"Our report looked at the effects of the change in policy toward sexual minorities in the Canadian military," said researcher Rhoda Evans. "It's become a non-issue. Even people who said they were concerned about the policy at first said it's no problem now."

The CF sexual orientation policy has evolved from a total ban on homosexuals serving, to a softening of the ban in 1988, followed by the removal of all restrictions in 1992. CF members were granted same-sex benefits in 1996.

The CSSMM researchers analyzed existing CF data on personal and sexual harassment, media reports, and other external studies, and conducted inter- views with CF members and Canadian academics. Their research concluded that "the policy change has not resulted

par Anne Boys


By Anne Boys


Il y a huit ans, quand les FC ont permis aux homosexuels de s'engager, les détracteurs; craignaient que la morale et le rendement en prenne un coup. Pourtant, une étude; menée; par l'équipe; d'un centre de recherche améri-; cain indique que le professionnalisme l'a emporté sur les différences; personnelles.

« Malgré les différences; possibles, le personnel semble pouvoir effectuer ses tâches; de façon; efficace », conclut un rapport de 40 pages rendu public ce mois-ci par le Center for the Study of Sexual Minorities in the Military (CSSMM) de l'université de Californie à Santa Barbara.

« Notre rapport traite de l'impact du changement de politique envers les minorités; sexuelles dans les FC, explique la chercheuse Rhoda Evans. Cela devient un faux problème.; [...] Même; ceux qui se disaient inquiets n'y voient plus de problème; aujourd'hui. »

La politique des FC en matière; d'orientation sexuelle a évolu;é de telle sorte qu'on est passé d'une interdiction complète; de l'engagement des homosexuels à un assou

plissement en 1988, suivi de la levée; des restrictions en 1992. En 1996, les membres obtenaient le droit aux avantages sociaux pour les partenaires de même; sexe.

Les chercheurs du CSSMM ont examiné les données; actuelles des FC sur le harcèlement; personnel et sexuel, des rapports des médias; et d'autres études; externes. Ils ont aussi inter- viewé des membres des FC et des universitaires canadiens. Leur conclusion: « Le changement de politique n'a pas entraîn;é une augmentation des actes d'inconduite sexuelle,

des plaintes de violation des droits de la personne ni des cas de harcèlement; sexuel. »

En concentrant leur attention sur le comportement des membres des FC, plutôt; que sur leurs convictions, les officiers supérieurs; ont contribué au succès; de cette politique, indique le rapport. « Les attitudes et choix personnels des soldats sont respectés;, mais les soldats sont tenus de mettre leurs convictions personnelles de côt;é pour répondre; aux objectifs des FC et pour respecter la loi. »

Les soldats en désaccord; avec la politique s'y conforment, note le rapport. « J'ai choisi de prendre la chose avec un grain de sel. Beaucoup de choses dans les Forces ne sont pas de notre ressort. La politique est très; claire », déclarait; un soldat des FC dans une entrevue en 1993.

Un homosexuel membre des FC commentait récemment;: « J'imagine que certains se sentent mal à l'aise face à nous, mais ils sont assez professionnels pour ne pas le faire sentir. Ce qui compte, c'est que le travail se fasse, et qu'on aille de l'avant. »

Ce n'est pas la première; fois que des étrangers; s'intéressent; à la politique des FC en matière; d'orientation sexuelle. En 1996, l'armée; britannique, qui depuis janvier 2000 accepte des homosexuels dans ses rangs, a ét;é impressionnée; par la politique lors d'une visite d'observation. La politique a également; ét;é l'objet de plusieurs études; américaines.; Au printemps, le CSSMM distribuera son rapport final au Congrès;, aux militaires et aux médias.;

in increased levels of sexual misconduct, human rights violation complaints or rates of sexual harassment."

The focus of leaders on the behaviour of CF members rather than on their beliefs helped ensure the successful implementation of the policy, the report said: "The personal attitudes and decisions of individual soldiers would be respected, but soldiers would be expected to put personal feelings aside to accomplish military objectives and to uphold the law."

Soldiers who disagreed with the policy still followed it, the report found. "My attitude is grin and bear it," said a CF soldier in a 1993 media interview. "There's a lot in the military that's out of your hands. The policy is very clear."

"I do suspect there are more people who are uncomfortable about us, but they're professional enough to keep their opinions to themselves," reported one homosexual CF member recently. "The bottom line is that the job gets done, and let's get on with it."

This is not the first time non-Canadians have studied the CF sexual orientation policy. The British military, which lifted its ban on homosexuals in January 2000, was impressed by the policy after a fact-finding visit in 1996. Several U.S. studies have also looked at CF policy. The CSSMM expects to deliver its final report to Congress this spring.

April 27 1813: On the north shore of Lake Ontario, a 1700- strong American force abandons its plan to take Kingston and heads for York (now Toronto), a lesser prize but the site of a British shipyard. They burn the legislature building and occupy the town. April 28  
1817: Acting U.S. Secretary of State Richard Rush and Britain's minister in Washington, Sir Charles Bagot, conclude the Rush-Bagot Treaty, setting the diplomatic foundation of the undefended Canada- U.S. boundary we enjoy today. The two powers agree to a limit of one ship each on Lake Ontario and Lake Champlain, and two ships each on the upper Great Lakes.

April 30 1945: In a bunker deep below embattled Berlin, Reichskanzler Adolf Hitler commits suicide by poison and gunshot; his wife Eva (née; Braun) and his dog die with him.

May 1 1997: The monstrously swollen Red River spills over the Winnipeg floodway and rolls through the city. Operation ASSISTANCE, the DND effort to help the people of southern Manitoba fight the flood of the century, has brought thousands of CF members from all over Canada to build floodwalls and breakwaters, set up and tend pumps, and do whatever they can to help residents defend themselves and their property.

May 2 1885: Near Cut Knife Hill, North-Western Territory (now Saskatchewan), the Battleford Column of the North-West Field Force under Colonel William Dillon Otter attacks the camp of Poundmaker's band. The Cree drive off the Canadians.

May 3 1915: At a field hospital near Ypres, Belgium, medical officer Major John McCrae gazes across the nearby temporary graveyard and then spends about twenty minutes composing a three-stanza poem on a scrap of paper. As he goes back to work, McCrae drops the paper in the grass. Another officer picks it up, reads the poem, and submits it to the popular English magazine Punch, which will publish it without attribution on December 8, 1915, under the title In Flanders Fields.

27 avril 1813 : Sur la rive nord du lac Ontario, une force américaine; de 1700 hommes abandonne son plan de capturer Kingston et se dirige plutôt; sur York (maintenant Toronto), un trophée; de moindre valeur, mais le lieu d'un chantier naval britannique. Ils brûlent; l'édifice; législatif; et occupent la ville.  
28 avril  
1817 : Richard Rush, secrétaire; d'État; intérimaire; des É.-U.; et Sir Charles Bagot, ministre de l'Angleterre à Washington, signent le traité Rush-Bagot, établissant; ainsi la fondation diplomatique de la frontière; non défendue; entre le Canada et les États-Unis;, dont nous jouissons aujourd'hui. Les deux puissances s'entendent sur la limite d'un navire chacune sur les lacs Ontario et Champlain, et de deux navires chacune sur les autres lacs du secteur supérieur; des Grands Lacs.  
30 avril  
1945 : Dans un bunker bien enfoui sous la ville assiég;ée; de Berlin, le Reichskanzler Adolf Hitler se suicide par poison et par balle; son épouse; Eva (née; Braun) et son chien meurent avec lui.

1er mai 1997 : Les eaux de la rivière; Rouge regorgent par dessus le canal de dérivation; de Winnipeg et se déversent; dans la ville. Op Assistance, l'effort du MDN pour aider la population du sud du Manitoba à combattre l'inondation du siècle;, mobilise des milliers de membres des FC venus de partout au Canada; ils construisent des murs de sacs de sable et des digues, veillent à l'installation et à l'entretien de pompes, et font tout leur possible pour aider les résidants; à se défendre; et à protéger; leur propriét;é.;  
2 mai  
1885 : Près; de Cut Knife Hill, anciennement partie des Territoires du Nord-Ouest (maintenant Saskatchewan), la colonne Battleford de la North-West Field Force, sous le commandement du col William Dillon Otter, attaque le campement de la bande de Poundmaker. Les Cris repoussent les Canadiens.  
3 mai  
1915 : Dans un hôpital; de campagne près; d'Ypres en Belgique, le maj John McCrae, médecin; militaire, contemple le cimetière; provisoire qui se trouve à proximité, puis consacre environ vingt minutes à composer un tercet sur un bout de papier. McCrae laisse tomber le papier dans l'herbe en retournant travailler. Un autre officier le trouve, le lit et l'envoie au magazine anglais populaire Punch, qui le publie anonymement, le 8 décembre; 1915, sous le titre « Au champ d'honneur ».;

Image

FOURTH


DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


By/par Charmion Chaplin-Thomas


Image: In its début; issue (January 1998), The Maple Leaf published this salute to the troops who took part in Op ASSISTANCE.Dans son premier numéro; (janvier 1998), La Feuille d'érable; a publié ce salut aux troupes qui ont participé à l' Op Assistance.

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Alex Colville, peintre de guerre


Alex Colville, war artist


texte et photo d'Aline Dubois


Text and photo by Aline Dubois


An elegantly dressed Alex Colville appeared April 9, before many admirers who had come to listen to-and honour- him during his visit to the Canvas of War exhibition at the Museum of Civilization in Hull, Que.

The man who has been called "the; people's painter" went straight to the heart of his subject: his work as an official war artist during the Second World War.

"The; first half of the twentieth century was a real disaster, he said. "And; the notion that Canada was born out of this bloodbath is not completely true; war is not a good thing".;

Alex Colville enlisted in the 1st Canadian Army in 1942 with the firm intention of becoming a war artist. He took officer training in Brockville, Ont., then, after a short stint in Fredericton, N.B., was transferred to CFB Petawawa.

In May 1944, as an infantry lieutenant, Mr. Colville was sent to Canadian Army Headquarters in London, England. After being appointed a war artist, he was loaned to HMCS Prince Henry, an attack corvette of the Royal Canadian Navy, en route to Corsica.

"I; drew sketches of what I thought was appropriate," he said. "Nobody; told me what to do, even though some people have said otherwise."

He was then transferred to Belgium, where he stayed until the end of the war, in 1945.

Of his paintings from that period, he said they have a look of sad praise. But he also said you should not look for passion, patriotism or a message in them: "I; was in some ways a visual reporter."

Of the war paintings he made, three are included in the Canvas of War exhibition.

In one, Infantry near Nijmegen, Holland, the face in the foreground is that of his father. "Works; of art," explained Mr. Colville, are manufactured, shaped. Art doesn't exist in nature, it is a creation of man."

Two other paintings were inspired by the Belsen death camp: Study for a Body in a Ditch and Body in a Ditch. They made a lasting impression on the artist: "It; was a profoundly affecting experience. Obviously it would be, unless a person was a complete fool".;

Alex Colville was born in Toronto on August 24, 1920, and studied painting at Mount Allison University in New Brunswick. After the war, he returned to his alma mater as an art teacher. He stopped teaching in 1963 to devote himself exclusively to painting. The National Gallery of Canada will present an exhibition of his works in June.

C'est avec une él;égance; extrême; qu'Alex Colville s'est livré, le dimanche 9 avril dernier, au public nombreux venu lui rendre hommage à l'occasion de son passage au Musée; des civilisations de Hull. Costume prince de Galles, cravate de soie à pois gris souris sur fond jaune paille, celui qui se surnomme le peintre du peuple a plongé d'emblée; dans le sujet de sa conférence; : son oeuvre en tant qu'artiste officiel de guerre pendant la Deuxième; Guerre mondiale. L'entrée; en matière; s'est faite sans ambiguït;é : « La première; moitié du 20e siècle; a ét;é un véritable; désastre;, a-t-il déclar;é.; Et la notion voulant que le Canada ait pris forme grâce; à ces bains de sang n'est pas tout à fait correcte. La guerre n'est pas une bonne chose ».;

Alex Colville s'est engagé dans la 1re Division d'infanterie canadienne en 1942 avec la ferme intention de devenir artiste de guerre. Il a suivi la formation d'officier à Brockville, en Ontario, puis a effectué un bref séjour; à Fréd;éricton;, avant d'être; muté à Petawawa. Devenu lieutenant d'infanterie en mai 1944, il a ét;é envoyé au quartier gén;éral; de l'armée; canadienne à Londres, en Angleterre. Nommé artiste de guerre, il a ét;é prêt;é au HMCS Prince Henry, une corvette d'assault de la Marine royale du Canada en partance pour la Corse : « Je dessinais des esquisses de ce qui me semblait approprié.; Personne ne me disait quoi faire, même; si certains ont prétendu; le contraire. » Puis il a ét;é transfér;é en Belgique jusqu'à la fin de la guerre, en 1945.

De ses tableaux de l'époque;, il dira qu'ils ont un certain air d'éloge; triste, mais qu'il ne faut y chercher ni ardeur, ni patriotisme, ni message : « J'étais; en quelque sorte un journaliste visuel », ajoutera-t-il.

Trois de ses toiles de guerre font partie de l'exposition Tableaux de guerre : Chefsd'oeuvre du Musée; canadien de la guerre, présent;ée; au Musée; canadien des civilisations de Hull Fantassins près; de Nimègue;, en Hollande, dont le visage du soldat en avant plan est celui de son père; : « Les oeuvres d'art, explique Alex Colville, sont fabriquées;, façonn;ées.; L'art n'existe pas en nature. C'est une création; de l'homme. » Les deux autres toiles, inspirées; du camp de la mort de Belsen, Étude; pour un corps dans une fosse et Corps dans une fosse ont marqué le peintre qui se souvient : « Ce fut une expérience; profondément; émouvante.; Il ne pouvait en être; autrement, à moins d'être; un parfait imbécile.; »

Alex Colville est né à Toronto le 24 août; 1920. Il a étudi;é la peinture à l'Université Mount Allison de Sackville. Après; la guerre, il est retourné à Mount Allison, mais à titre de professeur d'art. Il a cessé d'enseigner en 1963 pour se consacrer exclusivement à la peinture. Le musée; des Beaux-Arts du Canada présentera; une exposition de ses oeuvres dès; juin prochain.

Image: Alex Colville devant Fantassins près; de Nimègue;, en Hollande. (CN12172.CWM)Alex Colville and his painting Infantry near Nijmegen, Holland. (CN12172.CWM)

A painter on the Pacific


Patrick Cowley-Brown, peintre de guerre


Text and Photo by Aline Dubois

It is 1944. On Canada's West Coast, Canadian soldiers are on the alert. They had helped to retake the Aleutian Islands from the Japanese a year earlier, but the threat of invasion still hung in the air.

Among them, a young Patrick Cowley-Brown, 26, draws sketches. An official war artist, he is serving as a Flight Lieutenant in the RCAF. The West Coast, including the American coast to the north, was the combat theatre assigned to Mr. Cowley-Brown in the Second World War. Armed with pencils, ink and paper, he sketched scenes as they unfolded before his eyes: Hurricanes, Anson Avros, Mosquitoes and Catalinas braving the fog, defying storms and chasing Japanese submarines with the RAF's Coastal Command: "I could do pretty much whatever I wanted; however, my work had to have an historic dimension; time often worked against me."

Although more than fifty years have passed, Mr. Cowley-Brown still talks about his companions in misfortune as though it was yesterday. He remembers clearly soldiers whom destiny had brought, despite themselves, to isolated coastal posts. They were young people accustomed to the hubbub of the city, lost with no points of reference, bogged down in a pitiless no-man's-land: "To give more realism to my sketches, I had to develop a feeling for the emotions felt by the soldiers," he said.

Based on his sketches, Mr. Cowley-Brown painted about 150 pictures in Ottawa after the war in one of the rooms of the Victoria Memorial.

One of his works, Air to Ground is currently on display as part of the Canvas of War exhibition, currently at the Museum of Civilization in Hull, Que. The others are kept at Vimy House in Ottawa awaiting public exhibition when the new Canadian War Museum is built.

After the war, Mr. Cowley-Brown settled in Ottawa, where he continued to paint, mostly landscapes. His works have been shown in several Canadian cities and a number of other countries. Some have been featured on book covers.

Image: Patrick Cowley-Brown devant une de ses toiles : Air-sol. (CN11078.CWM)Patrick Cowley-Brown and his painting Air to ground. (CN11078.CWM)

texte et photo d'Aline Dubois

On est en 1944 et sur la côte; ouest du Canada, les soldats canadiens sont aux aguets car si les Îles; Aléoutiennes; ont ét;é reprises aux Japonais un an plus tôt;, la menace d'une invasion plane toujours. Parmi eux, le jeune Patrick Cowley-Brown, 26 ans, dessine. Artiste officiel de guerre, il sert comme capitaine de l'Armée; de l'air au sein de l'ARC.

Un espace de combat lui est attribué : la côte; ouest canadienne et, plus au nord, l'améri-; caine. Armé de crayons, d'encre et de papier, il croque les scènes; qui se déroulent; sous ses yeux : Hurricanes, Anson Avro, Mosquitoes et Catalinas, bravant le brouillard, défiant; les tempêtes;, chassant le sous-marin japonais avec le Coastal Command de la RAF : « Je travaillais assez librement. Mon travail devait toutefois avoir une dimension historique. Le temps jouait souvent contre moi ».;

Plus de cinquante ans ont passé et il parle de ses compagnons d'infortune comme si c'était; hier. Il se souvient fort bien des soldats que le destin avait conduits malgré eux dans les stations isolées; de la côte;, des jeunes gens habitués; à l'agitation des villes, perdus de se retrouver sans points de repère;, embourbés; dans un impitoyable no mans land : « Pour donner plus de véracit;é à mes croquis, j'ai du développer; une sensibilité aux émotions; ressenties par les soldats », explique-t-il.

Les toiles, 150 environ, Patrick Cowley Brown les peindra après; la guerre à Ottawa, en s'inspirant de ses croquis, dans une des salles du Memorial Victoria. L'exposition Tableaux de guerre : Chefsd'oeuvre du Musée; canadien de la guerre, en montre actuellement au Musée; des civilisations d'Ottawa, accueille l'une d'entre elles, Air-sol. Quant aux autres, elles se trouvent à la maison Vimy, en attendant d'être; exposées; au public lorsque le nouveau Musée; canadien de la guerre sera construit.

Après; la guerre, Patrick Cowley-Brown s'est installé à Ottawa et a continué à peindre, des paysages surtout. Ses oeuvres ont ét;é exposées; dans plusieurs villes canadiennes ainsi que dans plusieurs pays du monde. Certaines ont fait la couverture de livres spécialis;és.;

Vol. 3, No. 15, 2000



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