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Maple Leaf


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Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Marching with pride


Marcher avec fierté


By Lt(N) John Coppard

par le ltv John Coppard

BFC COMOX - Les habitants de Comox Valley ont peut-être; cru à une invasion, le mois dernier, lorsque 37 membres de la 19e Escadre en tenue de combat ont entrepris un entraînement; intensif en vue de participer à la marche historique de Nimègue;, qui aura lieu du 18 au 21 juillet dans les Pays-Bas. L'escadre était; l'une des quatre unités; de la Force aérienne; choisies pour prendre part à cette marche d'une durée; de quatre jours, sur une distance de 160 km dans la campagne.

CFB COMOX - Comox Valley residents may be forgiven for thinking they were being invaded last month when 37 members of 19 Wing dressed in combat fatigues began a gruelling training regimen for the historic Nijmegen march taking place July 18-21 in the Netherlands. The Wing was one of four air force units selected to participate in the four day, 160 km cross- country march.

The Nijmegen march began in 1909 as a public demonstration of soldiers' abilities to go long distances by foot. It has since evolved to include mostly civilian teams, although 6000 military members still participate. Canada has sent military teams every year since the end of the Second World War.

"It's a real honour for 19 Wing to be chosen to send a team," says Wing Commander Colonel Bill Neumann. "Canadian troops gave their lives to free Holland in the Second World War, so the march has special significance for those of us in uniform."

Although 37 volunteers chose to begin training, only 11 will make the final grade. Team leader Major Kevin Bryski says physical and mental toughness will be key factors in the selection process.

"Our folks have to be highly motivated and in excellent physical shape," says Maj Bryski, who will lead the mostly first-time participants on route marches ranging from five to 40 km. "We're going to have to train hard to be able to go 40 km per day for four

days straight with 10 kg packs on our backs."

The third day is especially significant for the Canadian Forces participants, who take time out of the march to pay their respects to fallen comrades at the Groesbeek Cemetery, the site of 2300 Canadian military graves.

"It's pretty emotional," said 19 Wing's Captain Bryan Akerstream, who participated in the 1998 march. "Even though you're tired, you feel what you're doing is nothing compared with what they went through. Your blisters seem to melt away and you feel re-energized to do the last 10 km."

On the final day of the march, more than 250 000 people have traditionally lined the streets of Nijmegen to welcome participants, who this year are expected to number more than 35 000. Lt(N) John Coppard is a Public Affairs Officer at 19 Wing Comox.

La première; marche de Nimègue;, en 1909, avait pour but de démontrer; la capacité des soldats à parcourir de longues distances à pied. Depuis, elle a évolu;é et comprend surtout des équipes; de civils, bien que 6000 militaires y prennent toujours part. Chaque année; depuis la fin de la Deuxième; Guerre mondiale, le Canada y dél;ègue; des équipes; de militaires.

« La 19e Escadre est très; fière; d'avoir ét;é choisie pour former une équipe; », souligne le commandant de l'escadre, le

Image: Photo: Cpl / cpl Joseph Morin

Members of 19 Wing's Nijmegen team march past the Snowbirds, who were in Comox for their annual work-ups preparing for their 30th Anniversary North American tour.

Des membres de l'équipe; de Nimègue; de la 19e Escadre défilent; devant les Snowbirds, qui étaient; à Comox pour leur entraînement; annuel en vue de leur 30e tournée; nord-américaine.;

Un réserviste; fier de porter l'uniforme


Reservist proud to be in uniform


By Kristina Davis

par Kristina Davis

Depuis trois ans, on encourage les réservistes; à porter l'uniforme des FC à leur emploi civil pour souligner la Journée; des réservistes; en uniforme. Aujourd'hui, 3 mai, les réservistes; portent leur uniforme avec fierté, et le capt Stan French ne fait pas exception.

Infirmier navigant à la 22e Escadre North Bay, il porte depuis 11 ans l'uniforme bleu de la Force aérienne;, tout en menant de front une carrière; d'infirmier à plein temps au service de médecine; légale; de l'hôpital; psychiatrique de North Bay. À l'escadre, il coordonne l'équipe; responsable de la gestion du stress causé par un incident cri

tique et sert de renfort à l'équipe; d'Airevac de la 8e Escadre Trenton.

Le capt French a toujours eu le désir; de piloter. Adolescent, il obtient sa licence dans le cadre du programme de formation des cadets de l'air et pose sa candidature pour devenir pilote de la Force réguli;ère.; Sa candidature à la formation de pilote n'étant; pas retenue, il s'inscrit à l'université, où il étudie; en kinésith;érapie.;

Après; être; dém;énag;é à North Bay, le capt French entreprend des études; en soins infirmiers, estimant que ce métier; lui conviendrait. « Comme j'avais ét;é instructeur en premiers soins dans les cadets de l'air et que je m'étais; orienté en médecine; sportive lors de mes études;

en kinésith;érapie;, ma formation se prêtait; naturellement aux soins infirmiers. »

Le capt French se spécialise; d'abord en soins d'urgence, mais comme les emplois sont rares, il accepte un poste à l'hôpital; psychiatrique. Il fait partie d'une équipe; multidisciplinaire qui déter-; mine si un patient est apte à subir un procès; ou s'il doit être; déclar;é criminel alién;é en raison d'une maladie mentale. Il a également; contribué à la révision; du manuel de soins d'urgence de l'hôpital; en se servant des connaissances acquises dans le cadre de deux cours militaires.

Il précise; que sa formation militaire est souvent utile dans son travail civil et vice-versa, et ajoute que son superviseur à l'hôpital; se montre très; accommodant.

« L'hôpital; [...] m'a beaucoup aidé.; Mon patron me donne presque carte blanche [...] en ce qui concerne mes absences. Si je reçois; un appel d'urgence [...], je l'appelle pour l'informer que je dois m'absenter du travail. » On lui permet de remplir les formulaires nécessaires; à son retour seulement. « Il y a vraiment un bon esprit de collaboration. »

It's a day when reservists wear their uniforms with pride, and Captain Stan French is no exception.

May 3 has been designated Reserve Force Uniform Day. For the past three years, reservists have been encouraged to wear their CF uniforms that day to their civilian jobs.

Capt French, a flight nurse at 22 Wing North Bay, has been wearing air force blue for 11 years while juggling a full-time career as a nurse in the forensic unit at the North Bay Psychiatric Hospital. On the Wing, he co-ordinates the Critical Incident Stress Management Team and augments the 8 Wing Trenton Airevac team.

Capt French always wanted to fly. He got his pilot's license as a teenager through the air cadet program and applied to the regular force as a pilot. He wasn't accepted into direct pilot training, so he went to university, to study kinesiology.

Image: Le capt Stan French porte son uniforme de réserviste; pendant son travail à l'hôpital; psychiatrique de North Bay.Photo: MCpl / cplc Attilio Cartori

Capt Stan French wears his uniform to work at the North Bay Psychiatric Hospital.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


col Bill Neumann. « Des soldats canadiens ont donné leur vie pour libérer; la Hollande pendant la Deuxième; Guerre mondiale. Cette marche a donc une signification particulière; pour ceux qui portent l'uniforme. »

Bien que 37 volontaires aient commencé l'entraînement;, seulement 11 seront choisis. Le chef d'équipe;, le maj Kevin Bryski, affirme que l'endurance à la fois physique et mentale est le facteur clé du processus de sélection.;

« Nos membres doivent être; très; motivés; et en excellente forme physique », poursuit le maj Bryski, par ailleurs responsable de guider les nouveaux participants lors des marches, qui couvrent de 5 km à 40 km. « Nous devrons nous entraîner; très; fort pour parcourir 40 km par jour pendant quatre jours consécutifs; avec des sacs à dos de 10 kg. »

La troisième; journée; est particulièrement; importante pour les participants membres des Forces canadiennes, puisqu'ils s'arrê-; tent pour saluer quelque 2300 militaires canadiens morts au combat et enterrés; au cimetière; Groesbeek.

« C'est un moment plutôt; émouvant; », dit le capt Bryan Akerstream, de la 19e Escadre, qui a participé à la marche en 1998. « Même; si on est fatigués;, on a le sentiment que ce qu'on fait est banal en comparaison de ce que ces gens ont enduré.; Les ampoules n'ont plus d'importance et on trouve l'énergie; nécessaire; pour parcourir les 10 km qui restent. »

À la dernière; journée; de la marche, plus de 250 000 personnes se rassemblent dans les rues de Nimègue; pour accueillir les marcheurs. Cette année;, il y aura plus de 35 000 participants. Le ltv John Coppard est officier d'affaires publiques à la 19e Escadre Comox.

Image: CWO Don Lane, the longest-serving SAR Tech in the history of the trade, will retire in May. Photo: MCpl / cplc Danielle Bernier

L'adjuc Don Lane, le Tec SAR qui compte le plus d'années; d'ancienneté

dans les annales de la profession, prendra sa retraite en mai.

Le Tec SAR ayant le plus d'ancienneté tire sa rév;érence;


par Kristina Davis

After moving to North Bay, Capt French studied nursing because he thought he'd be good at it. "When I was an air cadet, I was a first aid instructor and (I) did sports medicine with the kinesiology, so my training lent itself to it," he says.

Initially, Capt French specialized in emergency nursing, but he took a job at the psychiatric hospital because of a lack of openings in that specialization.

Capt French works as part of a multi- disciplinary team which determines if a patient is fit to stand trial or if they should be declared not criminally responsible due to a mental disorder. He also helped to rewrite the emergency care manual for the hospital with knowledge he gleaned from two courses he took with the military.

Capt French says he's often able to use his military training at work and vice versa. His supervisor at the hospital has been very accommodating, he adds.

"The...hospital has been very helpful," he says. "My boss has pretty well given me a blank cheque... as far as my time off. If there was an emergency call... I would just call in and let them know that I had to go." Only after he returned would he have to fill out the appropriate paperwork. "It's really good co-operation," he says.

Correction

The article, "EX UNITAS benefits Aurora crew", which appeared in Vol. 3, No. 12 of The Maple Leaf, should have been credited to Captain Jeff Manney, a reserve public affairs officer at 19 Wing Comox.

Rectificatif

L'auteur de l'article « Les équipages; des

Aurora profitent de l'Ex UNITAS », paru dans La Feuille d'érable;, vol. 3, no 12, est plutôt; le capt Jeff Manney, officier réserviste; d'affaires publiques à la 19e Escadre Comox.

L'adjuc Don Lane a 472 sauts à son actif.

On croirait qu'à la longue, il s'en serait lassé, mais il semble que le saut en parachute lui procure encore des sensations fortes.

À 53 ans, l'adjuc Lane est le plus ancien Technicien en recherche et sauvetage (Tec SAR) des FC. Il a fait son dernier saut avec le 424e Escadron à la 8e Escadre Trenton, le 19 avril. Fin mai, il prendra sa retraite des FC au terme d'une carrière; de 36 ans, dont 31 en tant que Tec SAR. Dans les annales de la profession, c'est lui qui compte le plus d'années; d'ancienneté.;

Mais l'adjuc Lane n'a pas toujours sauté des avions. En fait, sa carrière; a début;é dans la Marine à bord du NCSM Bonaventure. Il a posé sa candidature pour un poste de sauveteur-parachutiste, comme on les appelait à l'époque;, parce qu'il cherchait un plus grand défi.; Et il ne s'est pas trompé.;

Il s'entraîna; pendant plus de sept mois, puis encore et encore. Selon lui, alors que le volet physique de l'entraînement; serait le même; aujourd'hui, les connaissances techniques requises sont maintenant bien différentes.; Le champ d'activités; est plus vaste, les Tec SAR doivent connaître; plus de types d'avion.

Le sauvetage le plus pénible; qu'il ait accompli a ét;é un saut qui lui a mérit;é la mention élogieuse; du CEMD. « Nous étions; en exercice de formation de nuit dans la région; de Chilliwack lorsqu'on a reçu; un appel nous informant qu'un hélicopt;ère; naval américain; de l'État; de Washington avait ét;é porté disparu », explique-t-il. Ils captent un signal et trouvent finalement l'hélicopt;ère; écras;é, mais l'atteindre se rév;èle; toute une aventure.

Entouré de falaises à pic, le pilote de SAR dirige le Labrador vers un affleurement sur le

flanc de la montagne. L'adjuc Lane et trois autres Tec SAR sautent avec leurs trousses médicales.; Ils attachent les survivants sur la civière;, puis commencent à les hisser vers l'hélicopt;ère.; Soudain, ils perdent de vue l'hélicopt;ère; et la civière.;

Des nuages s'étaient; installés.; Et si le pilote avait déplac;é l'hélicopt;ère; de seulement quelques pouces dans l'épais; brouillard, il aurait pu s'écraser; sur le flanc de la montagne, les tuant tous. « Le Labrador ressemble à un gros vieux Buick, raconte-t-il. Il aurait pu s'écraser; sur nous. »

L'adjuc Lane ne prévoit; pas une retraite

aussi aventureuse. Dans le cadre de sa dernière; affectation au QGDN, il poursuivra son travail d'achat de nouveau matériel; SAR jusqu'au 24 mai. Et après;? « Je ne joue pas au golf. Je m'adonnerai donc à la nage en hamac. » Source : Dossiers de Andrea LeBlanc

Longest-serving SAR Tech retires


By Kristina Davis

He's done it 472 times. You'd think it would be old hat by now, but for Chief Warrant Officer Don Lane, it seems jumping from airplanes still gives him a thrill.

CWO Lane, 53, is the most senior Search and Rescue Technician (SAR Tech) in the CF. He made his final jump with 424 Squadron at 8 Wing Trenton April 19. At the end of May, CWO Lane will retire from the CF after 36 years of service-31 of them as a SAR Tech. He is the longest-serving member in the history of his trade.

But CWO Lane wasn't always jumping from planes. In fact, he started his career in the navy on board HMCS Bonaventure. He applied for para-rescue, as it was then called, because he was looking for a bigger challenge. He found it.

For more than seven months he trained,

and trained some more. While he says the physical component would be the same as today's SAR training, the technical expertise required now is far different. The level of service is broader today, requiring SAR Techs to be familiar with more aircraft types, he says.

His most harrowing rescue was a jump for which he received a CDS commendation. "We were on an overnight training exercise in the Chilliwack area when we got a call that a U.S. naval helicopter from Washington State had gone missing overnight," he recalls. They picked up a signal and eventually found the downed plane. But reaching it would be another story.

Surrounded by sheer cliffs, the SAR pilot was forced to put the nose of the Labrador on an outcropping on the side of the moun-

tain. CWO Lane and three other SAR Techs jumped out with their medical kits. Strapping the survivors into the litter, they began hoisting them to the helicopter. Suddenly, they lost sight of the litter and the helicopter. The clouds had moved in. And if the pilot had moved the helicopter mere inches in the thick haze, he might have struck the mountainside, killing them all.

"The Lab is like a big old Buick," he says. "And it could have come down on all of us."

CWO Lane doesn't expect his retirement to be anywhere near that harrowing. On his last posting, he'll continue to work until May 24 acquiring new SAR equipment at NDHQ. And after that?

"I don't golf," he says. "So I plan to take up hammock swinging." With files from Andrea LeBlanc.

Vol. 3, No. 16, 2000



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