Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


Collaboration entre forces policières; civiles et militaires


Military and civilian police join forces


par Allison Delaney

Grâce; à des partenariats avec certaines agences policières; civiles, le Service national des enquêtes; des Forces canadiennes (SNEFC) contribue de plus en plus à faire respecter la loi.

Le maj Denis Lachaine a ét;é agent de la police militaire avec le Service canadien du renseignement de sécurit;é (SCRS), unité nationale intégr;ée; de renseignements composée; d'agents de police de diverses agences du pays. Pendant deux ans, le maj Lachaine, a examiné des questions liées; au crime national, ce qui constitue un domaine relativement nouveau pour le SNEFC.

« Nous nous sommes regroupés;, car nous reconnaissons qu'il est impossible de lutter seuls, contre le crime organisé, » a-t-il remarqué.; «Nous; nous penchons sur des questions relatives au crime national, donc nous avons une stratégie; nationale commune visant à combattre le crime organisé au Canada. »

« Depuis toujours, [certains] groupes sont impliqués; dans le trafic international de drogue, l'extorsion, la prostitution, le vol d'automobiles, la contrebande d'armes, de munitions et d'explosifs, a-t-il dit ».; «Le; MDN a un attrait quelconque pour certaines de ces organisations en raison de son rôle;, son personnel et son équipement.; »

Le maj Lachaine a indiqué que ces organisations préc;édentes; recherchent le genre de personnes que l'on trouve dans les FC, car le personnel militaire a accès; à des magasins qui ne sont pas ouverts au grand public. « Si les gens des FC font partie de la communauté, et c'est le cas, ils peuvent devenir victimes sans même; le savoir , » a-t-il ajouté.;

Par exemple, le maj Lachaine a dit qu'il pourrait s'agir tout simplement de quelques membres des FC qui se rendent dans une boîte; de striptease ou qui se procurent des cartouches de cigarettes de contrebande. « Vous pourriez contribuer au crime organisé , » a-til dit. « Ces dollars sont ensuite réinvestis; dans l'infrastructure criminelle et utilisés; pour l'achat de drogue ou pour financer d'autres activités; illicites.

À première; vue, l'activité semble innocente, mais lorsqu'on l'examine dans un plus grand contexte, elle est dangereuse. « Ces groupes posent un risque à notre tissu social. Par ailleurs, ils constituent une menace à notre démocratie;, » a-t-il indiqué.;

Le maj Lachaine a dit que le fait d'établir; des partenariats entre forces policières; offre des avantages, il augmente, entre autres, la capacité de lutter contre le crime organisé.; Les FC deviennent de plus en plus visibles au sein de la sociét;é, d'autre part, les membres de la police militaire apprennent des autres en plus d'élargir; leurs connaissances et d'accroître; leurs compétences.;

Les personnes ressources sont importantes dans le domaine policier. « Vous ne pouvez pas fonctionner dans ce milieu sans connaître; beaucoup de gens, » a-t-il remarqué.; « À l'heure actuelle, lorsque le SNEFC et la police militaire mènent; des enquêtes; et qu'ils doivent partager de l'information ou obtenir de l'assistance dans un domaine qui leur est inconnu, ils peuvent avoir de l'aide et elle est gratuite.»

Le maj Lachaine est assistant prév;ôt; à la Gestion des ressources où il fournit un appui administratif, logistique et financier au SNEFC.

By Allison Delaney

Through partnerships with civilian policing agencies, the Canadian Forces National Investigative Service is contributing more and more to law enforcement policing.

Major Denis Lachaine was the first Military Police officer to work with Criminal Intelligence Service Canada (CISC), a national integrated-intelligence unit comprising police officers from various agencies across the country. For two years Maj Lachaine focussed on national crime issues, which is an area relatively new to the CFNIS.

"We have joined other forces because we realize we can't fight organized crime alone," he said. "We focus on issues of national crime, so we have a common national strategy to combat organized crime in Canada.

"Traditionally, [certain] groups are involved with the international trade of drugs, extortion, prostitution, stolen vehicles, smuggling of weapons, ammunition and explosives," he said. "DND is attractive to some of these organizations by virtue of our role, personnel and equipment."

Maj Lachaine said these organizations seek out the type of people you find in the CF because military personnel have access to stores the general public cannot get its hands on. "If you make [CF] members a part of the community-and we are-a person can be victimized by this sort of activity without even knowing it," he said.

For example, Maj Lachaine said it could be as easy as a few members attending a strip club or purchasing an illegal carton of cigarettes. "You could be contributing to organized crime," he said. "Those dollars are then being reinvested within their [criminal] infrastructure and used to buy drugs or finance other illegal activities."

On the surface, the activity appears harmless; but when analyzed in a larger context, it is dangerous. "These groups pose a risk to our social fabric," he said. "They are also a threat to our democracy."

Maj Lachaine said the benefits of partnerships among police forces include more than an increased ability to fight organized crime: not only does the CF become more visible within society, but also Military Police members get to learn from others and expand their knowledge and expertise.

Who you know also becomes important when working in the field of law enforcement. "You cannot operate in this environment without knowing people," he said. "Now, when the CFNIS and Military Police conduct investigations and they need to share information or get assistance in an area that is unknown to them, they can get that help, and there's no cost associated to that."

Maj Lachaine is Deputy Provost Marshal Resource Management offering administrative, logistical and financial support to the CFNIS.

May 25 1870: Making one of their last attacks on Canada, Fenians cross the border from Vermont into the Eastern Townships of Quebec. At Eccles Hill, near Knowlton, they meet Militia units from Montréal; and Mississquoi County, and a brief battle ensues. Two Fenians are killed; several are wounded.  
1952: In South Korea, at an American prisoner-of-war camp on the island of Koje-Do, a company of The Royal Canadian Regiment arrives at the request of the U.S. Army to help restore order after a major insurrection. Koje-Do has 160 000 North Korean and Chinese POWs living in compounds of about 6000 men each and, until now, the Americans have operated it alone. The RCR contingent performs very well: without any bloodshed, the Canadians organize their part of the camp and regain control of the prisoners. Unfortunately, the American request for assistance did not go through the correct diplomatic channels. Ottawa formally protests that the RCR at Koje-Do are under U.S. command, which is contrary to the terms of their service in Korea. The infuriated Americans quiet- ly relieve the RCR of their POW duty on July 8.

May 26 1940: As the German army completes its conquest of France, a massive boat-lift (code-named Operation DYNAMO) begins at Dunkirk. By June 4 about 350 000 Allied soldiers and air force personnel (including more than 100 000 French), and hundreds of refugees, are rescued from Dunkirk's beaches and harbour quays by the Royal Navy and a huge, impromptu flotilla comprising every type of Channel craft: ferries, coast- ers, fishing boats, yachts, even an admiral's gilded barge.

May 31 1866: Making their second attack on Canada, about 800 Fenians cross the Niagara River at Buffalo, capture Fort Erie and prepare to move inland. Meanwhile, the colony's Militia is preparing to turn back the invasion. 1902: At Pretoria, capital of the Transvaal, representatives of Great Britain and the Boer states sign the Peace of Vereeniging, and end the Boer War.

Image

FOURTH


Image: Dunkirk, 1940: Members of the 2nd Battalion, Royal Ulster Rifles, wait for rescue on a "lorry jetty," a wharf improvised from vehicles. (Royal Ulster Rifles Museum)

25 mai 1870 : Lors d'une de leurs dernières; attaques contre le Canada, les Fenians traversent la frontière; entre le Vermont et les Cantons de l'Est au Québec.; À Eccles Hill, près; de Knowlton, ils croisent des unités; de la milice de Montréal; et du comté de Mississquoi. Une bataille s'ensuit; deux Fenians sont tués; et plusieurs autres blessés.; 1952 : À la demande de l'Armée; américaine;, une compagnie du Royal Canadian Regiment arrive à un camp de prisonniers de guerre sur l'île; de Koje-Do en République; de Corée;, pour y rétablir; l'ordre après; une émeute.; Koje-Do compte 160 000 prisonniers de guerre (PG) nord-coréens; et chinois détenus; dans des enceintes pouvant contenir 6000 hommes chacune, et jusqu'alors, les Américains; avaient assuré la garde du camp par eux-mêmes.; Le contingent du RCR se montre très; efficace : sans verser de sang, les Canadiens organisent leur secteur du camp et parviennent à mater les prisonniers. Malheureusement, la demande d'aide des Américains; n'ayant pas suivi la voie diplomatique réglementaire;, Ottawa proteste officiellement que le RCR est sous le commandement américain; à Koje-Do, ce qui va à l'encontre de leur mandat en Corée.; Furieux, les Américains; relèvent; discrètement; le RCR de ses fonctions au camp de PG le 8 juillet.  
26 mai  
1940 : Alors que l'Allemagne a presque terminé sa conquête; de la France, une énorme; évacuation; par bateau (nom de code Op DYNAMO) se trame à Dunkirk. Le 4 juin, environ 350 000 soldats alliés; et aviateurs (y compris plus de 100 000 Français;) et des centaines de réfugi;és; sont secourus des plages et des quais du port de Dunkirk, par la Royal Navy et par une immense flottille impromptue composée; d'embarcations de toutes sortes naviguant sur la Manche : des traversiers, des caboteurs, des bateaux de pêche;, des bateaux de plaisance, même; une barge dorée; d'amiral.  
31 mai  
1866 : Lors de leur deuxième; attaque contre le Canada, environ 800 Fenians traversent la rivière; Niagara à Buffalo, capturent Fort Erie et se préparent; à pén;étrer; dans les terres. Entre-temps, la milice de la colonie se prépare; à repousser l'invasion.  
1902 : À Prétoria;, capitale du Transvaal, des représentants; de Grande-Bretagne et des États; Boers signent la paix de Vereeniging et mettent fin à la Guerre des Boers.

DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


By/par Charmion Chaplin-Thomas

Dunkirk, 1940 : Des membres du 2 bataillon du Royal Ulster Rifles attendent du secours sur une « jetée; de camions », un quai improvisé fait de véhicules.; (Royal Ulster Rifles Museum)


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Image
Image: Members of the  
Queen's Own  
Rifles of Canada strap the full combat load on a visitor at the Regiment's parachute trainer.Des membres du  
Queen's Own  
Rifles of Canada fixent leur charge complète; sur le dos d'un visiteur lors de l'entraînement; de parachutistes du Régiment.;

Open houses mark change in recruiting strategy


In March the Canadian Forces Recruiting Group (CFRG) sponsored two open houses in Toronto and Montreal marking a change in how the CF brings recruiting opportunities to the attention of Canadians.

Working with the navy, army and air force to put this together, this was the first time the CF had participated in a fully tri-service recruiting event billed as a career fair.

Why the change? First, CFRG is looking at different ways to attract Canadian youth to possible careers in the CF.

Our recruiters often participate in job fairs and high school tours that give young people entering the job market a chance to see a variety of different jobs; but when the booth space is only about 3 m x 3 m, it is hard for one or two recruiters staffing the display to provide information about the more than 130 available CF occupations for NCMs and officers.

CFRG was able to provide visitors to the events with first-hand information from CF personnel representing more than 70 occupations while at the same time, featuring new equipment and training simulators. "Who better to explain the military than the people who actually do the jobs on a daily basis?" said Captain(N) Bryn Weadon, Commander CFRG.

CF personnel provided visitors with a balanced look at the military. Both the pros and cons of life in the CF were discussed to ensure our future prospects could make informed decisions about their career paths. High school, CEGEP, college and university students, and career counsellors were invited to the events as well as community groups representing the diverse cultural make-up of the population.

Second, as a national institution and government organization, we have a responsibility to attract, recruit and sustain a CF population representative of the Canadian workforce as a whole. This is not an easy task and it will take some time; but the current recruiting targets for employment equity groups are attainable: women, 28 percent; visible minorities, 9 percent; and aboriginal persons, 3 percent. The events were designated as Diversity Recruiting Events in an effort to raise the awareness within Employment Equity communities and groups about CF job opportunities.

Some CF members do not understand the big push for the CF to be a diverse organization. In essence, it is a matter of changing demographics within Canada. If CF policies and practices do not encourage designated group members to enroll, the CF will face a shrinking labour pool from which to seek the best- and most-qualified recruits.

Third, the Canadian public on the whole does not realize that the CF is actually recruiting. So we wanted to stage a couple of large events to get the word out-and we did just that.

In Toronto attendance at the event was lower than originally anticipated, but the media coverage, local, regional and even national, was outstanding. For instance, on Canada AM, Jeff Hutchinson gave the weather and sports reports live from Toronto's Moss Park Armoury.

Media coverage in Montréal; was just as positive. Support from schools in Quebec was outstanding with busloads of students arriving to find out information about CF careers. In all, 1500 people visited Olympic Stadium to see what we have to offer.

Was it successful? It is difficult to say how many people will enroll as a direct result of these events. At a cost of $350,000 to produce, the events were not cheap; but they did achieve all of the intended aims:  
* We reached our target audience directly: probably 1200 visitors were in the primary target group of 17- to 24-year-olds.

* We reached our secondary audience of "influencers" (parents, teachers, guidance counsellors and community leaders) through direct contact at the events and through the media coverage received.

* We were able to strengthen ties with leaders in visible-minority groups and with national aboriginal leaders. "I would like to thank all of the participants and organizers from all environments for their professionalism and hard work at bringing the open houses to a successful conclusion," said Capt(N) Weadon.

The events are being evaluated to determine whether similar career fairs will be organized in the future.

Nouvelle stratégie; de recrutement : les journées; d'accueil


En mars dernier, le Groupe de recrutement des Forces canadiennes (GRFC) a tenu, à Toronto et à Montréal;, des journées; d'accueil, marquant ainsi un tournant dans la façon; dont les CF présentent; des occasions de recrutement aux Canadiens.

Travaillant en collaboration avec la Marine, l'Armée; et la Force aérienne;, c'était; la première; fois que les FC participaient à une activité de recrutement impliquant les trois armées; sous la bannière; d'un salon des carrières.;

Pourquoi ce changement? Premièrement;, le GRFC tente de trouver différents; moyens d'intéresser; les jeunes Canadiens à faire carrière; dans les FC.

Nos recruteurs participent souvent à des salons de l'emploi, et à des visites d'écoles; secondaires pour offrir aux jeunes qui arrivent sur le marché du travail la chance de se familiariser avec une variét;é d'emplois. Toutefois, dans un kiosque qui mesure environ 3 m sur 3 m, il n'est pas facile pour un ou deux recruteurs de fournir des renseignements détaill;és; sur les quelque 130 emplois des FC disponibles pour les MR (militaires de rang) et les officiers.

Grâce; à la participation d'employés; des  
FC représentant; plus de 70 professions, le GRFC a pu fournir aux visiteurs des informations de première; main, tout en leur présentant; le nouvel équipement; et les simulateurs d'entraînement.; « Qui donc peut expliquer l'armée; mieux que les gens qui y travaillent? », a déclar;é le capv Bryn Weadon, commandant du GRFC.

Le personnel des FC a offert aux visiteurs une image équilibr;ée; de l'armée.; Les pour et les contre de la vie au sein des FC ont ét;é abordés; pour que nos futurs candidats puissent prendre des décisions; de carrière; éclair;ées.; Les étudiants; des écoles; secondaires, des cégeps;, des collèges; et des universités;, des conseillers en carrières; ainsi que des représentants; de divers groupes culturels avaient ét;é invités.;

Deuxièmement;, en tant qu'institution nationale et organisme gouvernemental, nous avons la responsabilité d'attirer, de recruter et de maintenir au sein des FC des gens qui représentent; l'ensemble de la population active canadienne. Cette tâche; n'est pas facile et elle exige du temps, mais les objectifs actuels de recrutement pour les groupes désign;és; par l'équit;é en matière; d'emploi sont réalisables; : les femmes, 28 %; les minorités; visibles, 9 %; les autochtones, 3 %. Les év;énements; ont ét;é désign;és; comme étant; des « év;énements; de recrutement diversifié » visant à sensibiliser les communautés; et les groupes désign;és; par l'équit;é en matière; d'emploi aux occasions

d'emploi au sein des FC.

Certains membres des FC ne comprennent pas pourquoi nous cherchons tant à diversifier les FC. En somme, c'est une question de changements démographiques; au Canada. Si les politiques et les pratiques des FC n'encouragent pas les membres des groupes désign;és; à s'enrôler;, les FC devront trouver les recrues les mieux qualifiées; dans un bassin de main-d'oeuvre de plus en plus restreint.

Troisièmement;, le public canadien ne se rend pas toujours compte que les FC font du recrutement. Nous avons organisé ces deux grands év;énements; pour répandre; la nouvelle. C'est tout ce que nous avons fait.

À Toronto, la participation a ét;é moins importante qu'escomptée;, mais la couverture médiatique;, locale, régionale; et même; nationale, a ét;é remarquable. Par exemple, Jeff Hutchinson a présent;é le bulletin de la mét;éo; et celui des sports en direct de Canada AM depuis la manège; militaire de Moss Park à Toronto.

La couverture médiatique; à Montréal; a ét;é tout aussi satisfaisante. Les écoles; du Québec; ont donné un soutien remarquable en fournissant des autobus aux nombreux étudiants; venus s'informer sur les carrières; offertes par les FC. En tout, 1500 personnes ont visité le Stade olympique pour voir ce que nous avions à leur offrir.

Peut-on parler de succès;? Il est difficile de déterminer; combien de personnes s'enrôleront; par suite directe de ces activités.; Au coût; de réalisation; de 350 000 $, ce n'était; pas donné, mais tous les objectifs visés; ont ét;é atteints :

* Nous avons directement rejoint notre public cible : quelque 1200 visiteurs faisaient partie du groupe cible primaire des jeunes de 17 à 24 ans.

* Nous avons atteint notre public cible secondaire des « influenceurs » (les parents, les enseignants, les conseillers en orientation et les dirigeants communautaires) par le contact direct lors des év;énements; et par la couverture médiatique.;

* Nous avons pu renforcer les liens avec les représentants; des groupes de minorités; visibles et des autochtones.

« Je tiens à remercier tous les participants et les organisateurs de tous les milieux pour le professionnalisme et le travail qu'ils ont investi dans la résussite; des journées; d'accueil », a souligné le capv Weadon.

Une analyse plus approfondie de ces év;énements; permettra d'évaluer; la faisabilité de tenir d'autres salons de l'emploi.

Image: En mars, des membres du 7 Régiment; Toronto (Artillerie royale canadienne-ARC) expliquent le fonctionnement d'un obusier de 105 mm.Members of 7 Toronto Regiment (RCA) explain how a 105 mm howitzer works.

Vol. 3, No. 19, 2000



This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)