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Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Canadians display skills during

Ex CLEAN HUNTER


By Lt Richard Perreault


EGGEBECK NAVAL AIR STATION, Germany - Exercise CLEAN HUNTER, a massive flying exercise, was a sweeping success for 150 CF participants.

CF-18 crews from 3 Wing Bagotville, with support from two KC-130 tactical airto-air refuelling tankers from 17 Wing Winnipeg and tactical air weapons controllers from 12 Radar Squadron in Bagotville, participated in the NATO exercise from late May to mid-June.

With more than 400 NATO aircraft participating, CLEAN HUNTER allowed Canadian F-18s to integrate into NATO flying operations in Europe, and ultimately finalized preparations for 3 Wing to resume its NATO Vanguard duties in Aviano, Italy, in July.

The missions flown by the CF-18 pilots

focussed on the air-to-air role, which allows the CF-18 to be given both defensive, CAP (Combat Air Patrol) missions, as well as offensive sweep and escort assignments.

"Sweep; and escort missions are similar to what Spitfires and Mustangs used to do during World War II-fly alongside the bombers and protect them from enemy fighter aircraft," said Lieutenant-Colonel Greg Matte, Commanding Officer of 433 Tactical Fighter Squadron (TFS).

The 36 presonnel from 17 Wing provided air-to-air refuelling during the exercise and intra-theatre airlift for 3 Wing assets.

And, how much fuel can the crews deliver a day? At a maximum, each aircraft can deliver 18 144 kg of fuel per mission. "The; interesting thing to note is that, when

a KC-130 gives fuel to an aircraft, it gives away its own fuel. The use of an internal solid tank allows us to give more fuel," said Captain Peter Jaeggi, an air navigator.

Of course, the ground crew and support personnel are a vital part of any flying operation. Without them, no aircraft would leave the ground. They become especially important during a deployment where they have to anticipate every eventuality.

"The; greater proportion of what we bring is spare parts. We even have a spare engine here in Eggebek," said Master Corporal Mario Savard, a member of 433 TFS.

As for 12 Radar Squadron, it's the first

time a Canadian radar squadron has been deployed in Europe.

Members of 12 Radar Squadron have been learning lessons since the first days of the exercise. "Even; though we have proven that we can deploy in Europe, this is the first time that we've come here to do it. We have already learned lessons as far as equipment weight is concerned-what to bring with us and what not to bring, " said Maj Sylvain Bedard. "But; up until now, everything has been running smoothly." Lt Richard Perreault is a Public Affairs Officer at 1 Wing Kingston.

Les Canadiens montrent leur savoir-faire durant l'Ex

Clean Hunter


Image: Escadre Trenton.Photo: Cpl / cpl Paul Green, 8 Wing / 8

par lt Richard Perreault


EGGEBECK NAVAL AIR STATION, Allemagne - L'Ex Clean Hunter de vol aérien; à grande échelle; a ét;é couronné de succès; pour les 150 participants des FC.

De la fin mai à la mi-juin, des équipages; de CF-18 de la 3e Escadre Bagotville, assistés; de deux avions ravitailleurs en vol tactiques KC- 130 de la 17e Escadre Winnipeg et des contrôleurs; d'armes tactiques du 12e Escadron de radar Bagotville, ont participé à l'exercice de l'OTAN.

Avec plus de 400 avions de l'OTAN qui y prenaient part, Clean Hunter a permis aux F-18 canadiens de s'intégrer; aux opérations; de vol en Europe et de finaliser les préparatifs; de reprise des fonctions Vanguard de la 3e Escadre au sein de l'OTAN, à Aviano, en Italie, en juillet.

Les missions de vol des pilotes de CF-18 visaient surtout un rôle; air-air qui permet aux CF-18 d'accomplir des tâches; défensives;, comme la patrouille aérienne; de com-

bat, et de recevoir des affectations offensives, telles que les missions de balayage et d'escorte.

« Les missions de balayage et d'escorte ressemblent à celles qu'effectuaient les Spitfire et les Mustang durant la Deuxième; Guerre mondiale : voler près; des bombardiers et les protéger; des avions de chasse ennemis », explique le lcol Greg Matte, commandant du 433e Escadron d'appui tactique (ETAC). Les 36 membres de la 17e Escadre ont assuré le ravitaillement en vol durant l'exercice et le transport aérien; intrathéâtre; pour les besoins de la 3e Escadre.

Quelle quantité de carburant les équipages; peuvent-ils livrer en une journée;? Chaque avion peut livrer une quantité maximale de 18 144 kg de carburant par mission. « Fait intéressant;, lorsqu'un KC-130 donne du carburant à un avion, il donne aussi de son propre carburant. L'utilisation d'un réservoir; intérieur; en matière; solide nous per-

A German Lynx helicopter lands behind a Canadian CF-18 at Eggebek Germany, during Exercise Clean Hunter.

Un hélicopt;ère; allemand German Lynx atterrit derrière; un CF-18 canadien à Eggebek, en Allemagne, durant l'Ex Clean Hunter.

met de donner plus de carburant », indique le capt Peter Jaeggi, navigateur aérien.;

L'équipage; au sol et le personnel de sou

tien constituent certainement une composante importante de toute opération; de vol. Sans eux, aucun avion ne décollerait.; Ils sont particulièrement; importants durant les déploiements; où ils doivent être; prêts; à toute éventualit;é.;

« Les pièces; de rechange constituent la plus grande partie de ce que nous transportons. Nous avons même; un moteur de rechange ici à Eggebek », précise; le cplc Mario Savard, du 433 ETAC.

En ce qui concerne le 12e Escadron de

radar, c'était; la première; fois qu'un escadron de radar canadien était; déploy;é en Europe.

Les membres du 12e Escadron de radar apprennent depuis les premiers jours de l'exercice. « Même; si nous avons prouvé que nous sommes déployables; en Europe, il reste que c'est la première; fois que nous y venons. Nous avons déj;à appris en ce qui a trait au poids de l'équipement; : quoi amener et ne pas amener avec nous. Mais jusqu'à maintenant, les choses vont bien », conclut le maj Sylvain Bédard.; Le lt Richard Perreault est officier d'affaires publiques à la 1re Escadre Kingston.

L'équipe; de la SMMA de retour de Sierra Leone


MAMS team back from Sierra Leone


There's only one major runway in Lungi, Sierra Leone. Members of the Mobile Air Movements Section (MAMS) handled more than 2.4-million kg of freight and baggage from the many planes which arrived on that runway during a recent deployment.

Deployed in mid-May, the 37 CF personnel returned home June 16. The 17 Wing Winnipeg team, with support personnel from 8 Wing Trenton, deployed in theatre within six days for the four-week period.

Major Randy Boucher, the task force commander, said the contingent faced some unique challenges. First, the runway was often overrun with people, vehicles and dogs. And off-loading the cargo was not as easy as it might be in Canada. At home, cargo is often on a pallet and can be unloaded with a forklift. Many of the planes landing in Lungi were bulk-loaded and the MAMS personnel were the only ones off-loading planes.

"Imagine; an Antonov aircraft filled with

par Kristina Davis


By Kristina Davis


Lungi, en Sierra Leone, ne dispose que d'une seule piste d'atterrissage. Les membres de la Section mobile des mouvements aériens; (SMMA) ont manipulé plus de 2,4 millions de kilos de marchandises et de bagages provenant des nombreux avions qui ont atterri lors d'un récent; déploiement.;

Déploy;és; à la mi-mai, les 37 membres des FC sont rentrés; au pays le 16 juin. L'équipe; de la 17e Escadre Winnipeg, accompagnée; de personnel de soutien de la 8e Escadre Trenton, a mis six jours à se déployer; dans le théâtre; des opérations; pour le séjour; de quatre semaines.

Le maj Randy Boucher, commandant de la force opérationnelle;, déclare; que le contingent s'est heurté à des défis; uniques. D'abord, la piste était; souvent envahie par des gens, des véhicules; et des chiens. De plus, le déchargement; du cargo n'était; pas une tâche; aussi facile qu'elle l'aurait ét;é au Canada. Au pays, la cargaison est souvent dépos;ée; sur une palette et peut être; décharg;ée; à l'aide d'un chariot él;évateur; à fourches, mais plusieurs des avions atterris-

sant à Lungi étaient; chargés; en vrac. « Imaginez un avion Antonov rempli (90 720 kg) de petites caisses, de sacs de farine ou de petites boîtes; devant être; déplac;és; manuellement. »

Et par 370 C et une forte humidité, le déchargement; manuel de marchandises était; un travail ardu.

À l'intérieur; du camp, où les équipes; dormaient dans des tentes, la sécurit;é était; problématique; en raison du niveau des hostilités; dans la région.; « Il y a toujours le risque que les forces ennemies contrôlent; votre position », ajoute le maj Boucher. Pour cette raison, les Canadiens étaient; confinés; au terrain d'aviation, la sécurit;é étant; assurée; par les Britanniques.

Le maj Boucher précise; que, dans l'ensemble, le rythme était; trépidant;, mais que les gens étaient; satisfaits de leur travail. L'assistance des Canadiens est arrivée; à

la suite de la demande par l'ONU d'une aide pour la circulation aérienne; à mesure que d'autres troupes onusiennes étaient; déploy;ées; dans ce pays déchir;é par la guerre.

(90,720 kg) of small crates, bags of flour or small boxes that have to be manually handled."

With temperatures up to 37°C; and high humidity, off-loading cargo by hand was hard, hot work. Maj Boucher said that while it rained at night, it did not bring much relief, as the rain was often a torrential downpour.

Inside the camp, where the teams slept in tents, security was a concern because of the level of hostility in the area. "There;'s always a chance for enemy forces to over- take your position," said Maj Boucher. For that reason, the Canadians were confined to the airfield, with the British providing security.

Overall the pace was hectic, but people were pleased with the job they did, said Maj Boucher. The Canadian assistance came after a UN request to help support the increased airflow as additional UN troops deployed to the war-torn country.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


L'excellence du personnel de la

19

e

Escadre lors du

Rimpac


Image: À Kaneohe Bay, à Hawaï, le sgt Chuck Mearns, mécanicien; de bord, répare; l'aile d'un patrouilleur maritime Aurora CP-140 basé à Comox.Flight Engineer Sgt Chuck Mearns walks the wing of a Comox-based CP-140 Aurora Maritime Patrol aircraft in Kaneohe Bay, Hawaii.

Texte et photo par le ltv John Coppard


KANEOHE BAY, Hawaï - À voir l'air épuis;é des Canadiens qui sortent le ravitaillement d'une tente vert « militaire » sous un soleil tropical, on se croirait facilement en Bosnie, sur le plateau du Golan ou dans un autre « point chaud » où des Casques bleus canadiens sont à l'oeuvre. Des membres de l'Armée; de terre? Non! Il s'agit du personnel de la Force aéri;

enne de la 19e Escadre Comox faisant voler deux patrouilleurs maritimes Aurora CP-140 dans le cadre du Rimpac, un exercice de grande envergure qui se tient au large de la côte; hawaïenne.;

Ce n'est pas une tâche; facile. La chaleur et l'humidité gru- gent l'appareillage électronique; vieux de 20 ans des avions et une multitude d'anomalies peuvent survenir (cas fréquents;) avant chaque vol. On les baptise « défectuosit;és; sur l'aire de stationnement » et leur réparation; incombe aux techniciens en systèmes; avioniques (TEC AVIO) avant chaque décollage.; S'ils échouent;, l'avion volera sous des restrictions opérationnelles; - perspective déplaisante; pour l'équipage; à la recherche de sous-marins américains; ultraperfectionnés; - ou bien le commandant annulera la mission.

« Notre pire ennemi, ce sont les contraintes de temps », explique le cpl Dan Janelle, TEC AVIO. « L'équipage; demande souvent combien de temps durera la réparation.; Si elle s'avère; longue, il faut qu'ils l'acceptent. »

« On doit faire fi de la pression et se mettre à la tâche; », ajoute le sdt John Sarginson.

Entre-temps, les TEC AERO (techniciens en systèmes; aéronautiques;), plus nombreux et connus dans le secteur privé à titre de mécaniciens; d'aéronefs;, entretiennent un horaire de maintenance rigide pour assurer un fonctionnement ininterrompu des systèmes; principaux de l'avion, comme les moteurs et les commandes de vol. Bien que la pression exercée; sur eux soit habituellement moins intense, les conséquences; d'une panne sont sérieuses.;

La 19e Escadre ne possède; aucun moyen de transport aérien; stratégique.; Les moteurs et autres composantes majeures doivent être; transportés; par les aéronefs; de transport Hercules CC-130 basés; à Winnipeg ou à Trenton ou encore par Federal Express. Les grandes décisions; concernant la retenue au sol d'un avion, la commande de pièces; ou les congés; des techniciens relèvent; du capt Chris Orrey, aéronauticien;, et de son commandant adjoint, l'adj Daniel Germain.

« L'organisation du travail et le contrôle; des pièces; constituent une vraie partie de dés;, explique le capt Orrey. Parfois nous devons recourir à des techniciens qui viennent de terminer un quart de travail de 16 heures. C'est dur, mais on n'a pas le choix si l'avion a une mission à accomplir. »

Jusqu'à présent;, le personnel navigant et les 16 techniciens de soutien de la 19e Escadre ont réussi; à accomplir chaque mission et ont remporté beaucoup de succès;, dont la localisation et la surveillance des déplacements; d'un tout nouveau sous-marin australien ultrasilencieux de la classe Collins. Aucun de ces exploits n'aurait ét;é possible sans le travail des techniciens, note le commandant d'aéronef;, le capt Ken Smith. « Leur attitude est très; positive et ils font simplement du bon boulot. »

Le détachement; Aurora de 50 personnes rassemble 1150 membres des FC, dont la plupart sont de la Marine de la côte; Ouest canadienne, avec leurs cinq détachements; embarqués; Sea King de la Force aérienne.; Au cours de l'exercice, qui durera un mois, les Canadiens collaboreront avec les forces maritimes, terrestres et aériennes; américaines;, australiennes, japonaises, sud-coréennes; et britanniques. Le Rimpac rehausse la coopération; internationale et la promotion de la sécurit;é dans la région; du littoral du Pacifique. Le ltv John Coppard est officier d'affaires publiques à la  
19
e Escadre Comox.

19 Wing personnel 'get the job done' during

RIMPAC


Text and photo by Lt(N) John Coppard


commander Capt Ken Smith. "They've got a really positive attitude and are getting the job done, pure and simple."

The 50-person Aurora detachment joins 1150 fellow CF members, most from Canada's West Coast navy, with their five embarked air force Sea King detachments. During the month- long exercise, the Canadians will continue to operate with American, Australian, Japanese, South Korean and British sea, land and air forces. RIMPAC is meant to foster international cooperation and promote security in the Pacific Rim. Lt(N) John Coppard is a Public Affairs Officer at  
19 Wing Comox.

KANEOHE BAY, Hawaii - From the look of the combat fatigue-clad Canadians toting supplies out of a green army tent under a sweltering tropical sun, one could easily imagine being in Bosnia, the Golan Heights or another foreign "hot spot" where Canadian peacekeepers keep watch. But these "soldiers" aren't soldiers at all-they're air force personnel from 19 Wing Comox, keeping two CP-140 Aurora Maritime Patrol aircraft flying in RIMPAC, a major naval exercise taking place off the coast of Hawaii.

It's not an easy job. The heat and humidity wreak havoc on the 20-year-old electronics of the aircraft, and a multitude of things can (and often do) go wrong before every flight. The problems are called "ramp snags" and it's the job of the AVS (Avionics Systems) Technicians to fix them before an aircraft takes off. If they can't, then either the aircraft will have to fly under operating restrictions-an unpleasant prospect for aircrew members searching for state-of-the-art American submarines-or the aircraft's commander will have to cancel the mission altogether.

"The ramp snags are mostly time pressure," said AVS Technician Corporal Dan Janelle. "The crew often ask how long it's going to take to fix something, and if it's going to be long they'll take it the way it is."

"You've got to just ignore the pressure and get on with it," added Private John Sarginson.

Meanwhile, the more numerous AVN (Aviation Systems) Technicians, known in the private sector as aircraft mechanics, maintain a rigid maintenance regime to keep the major aircraft systems, such as the engines and flight controls, operating smoothly. While the pressure on them is usually not as intense, the consequences of a breakdown can be severe.

Since 19 Wing doesn't have any strategic airlift capability, engines and other major components have to be flown in by CC-130 Hercules transport aircraft based in Winnipeg or Trenton, or by Federal Express. Making tough decisions about grounding aircraft, ordering parts and providing needed time off to technicians, is the job of Aeronautical Engineer Captain Chris Orrey and his second-in-command Warrant Officer Daniel Germain.

"It's a real shell game trying to make sure we have the parts and the people to get the job done," said Capt Orrey. "Sometimes you have to call people in who have just completed a 16-hour shift. It's tough, but it's got to be done if the plane's going to make the mission."

So far, 19 Wing's aircrew and 16 supporting technicians have been able to meet every mission, and have scored significant successes, including locating and monitoring the movements of a brand new, ultra-quiet Collins Class Australian submarine. None of it would have been possible, however, without the efforts of the technicians, said aircraft

Image: Escadre GreenwoodPhoto: 14 Wing Greenwood / 14

A Labrador helicopter from 413 Squadron, 14 Wing Greenwood, airlifted an ailing 50-year-old man off the cruise ship Queen Elizabeth II June 7. The ship, en route to Southampton, N.Y., from Boston, Mass., was 193 km south west of Yarmouth, N.S., when it made the emergency call to the Halifax Rescue Coordination Centre (RCC). The RCC dispatched the Labrador to the ship and a CC-130 Hercules was called in to provide communications relay overhead. The 'Lab' crew carried the passenger, who had been suffering severe gastro-intestinal bleeding, to a nearby Yarmouth hospital.

Le 7 juin, un hélicopt;ère; Labrador du 413e Escadron, 14e Escadre Greenwood, a évacu;é du navire de croisière; Queen Elizabeth II un passager malade âg;é de 50 ans. Le navire en provenance de Boston (Mass.) à destination de Southampton (N.Y.) se trouvait à 193 km au sud-ouest de Yarmouth  
(N.-É.;) lorsqu'il a lancé un appel d'urgence au Centre de coordination des opérations; de sauvetage de Halifax. Celui-ci a dép;êch;é un Labrador et mandé un Hercules CC-130 pour assurer le relais de tél;écommunications; aérien.; L'équipage; du Labrador a transporté vers l'hôpital; de Yarmouth le plus proche le passager qui souffrait d'un saignement gastro-intestinal grave.

Vol. 3, No. 24, 2000



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