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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Army Editor  
Paul Mooney (613) 945-0363


Image: A student uses garden shears to prepare his nest or concealment area. Un él;ève; se sert de cisailles pour préparer; sa cachette.

Les membres des FC s'unissent pour soutenir une famille de l'Armée;


par Paul Mooney

Pour la seconde fois, la tragédie; frappe une famille de l'Armée;, et la grande famille des FC se rallie pour lui venir en aide. Vanessa Wheeler, 12 ans, fille de feu le cplc Rick Wheeler, a ét;é attaquée; récemment; par un pitbull à Victoria (C.-B.).

Le cplc Wheeler, membre du 2e Bataillon du PPCLI, a trouvé la mort à Suffield en avril 1992 lors d'un accident survenu pendant une séance; d'entraînement.; La famille habite maintenant Victoria. Un monument en mémoire; du cplc Wheeler se dresse dans la zone d'exercice de Suffield.

Le 2 PPCLI recueille actuellement des fonds pour la famille. Le Club de la flotte à Esquimalt et la formation musicale régionale; Triple Shot donneront un concert le 14 juillet prochain pour amasser des fonds afin de payer les frais médicaux; et dentaires de Vanessa. Le premier guitariste de Triple Shot, Charlie Paluch, se dit heureux, lui et ses amis musiciens, de venir en aide à Vanessa et à sa mère.; « L'assurance ne couvre qu'en partie les frais médicaux; et, en plus, il lui faut des soins de dentiste qui ne sont pas couverts. »

La mère; de Vanessa est tout simplement stupéfaite; devant la réaction; de la communauté.; « Je sais que cela a beaucoup aidé Vanessa. Nous en sommes très; reconnaissantes. »

Le chien s'en est pris à Vanessa pendant qu'elle jouait avec lui dans une cour d'école.; Pourtant, l'animal la connaissait bien, mais pour une raison inexpliquée;, il l'a attaquée; violemment au visage. Vanessa a déj;à subi des interventions en chirurgie réparatrice; mais devra poursuivre ce traitement pendant quelques années.;

« Je suis assuré que les militaires donneront leur soutien puisque nous avons déj;à fait la même; chose pour des gens dans le besoin », de déclarer; le matc Guy Spearns, gestionnaire du Club de la flotte.

Les commerçants; de l'endroit ont déj;à donné des prix de présence; et des boissons pour la soirée.; Les cuisiniers du Club de la flotte et les serveuses du mess des maîtres; et premiers maîtres; travailleront bén;évolement; pour la circonstance.

Des dons peuvent être; faits au Compte d'aide aux victimes Vanessa Wheeler au Pacific Coast Savings Credit Union : numéro; de compte 4223628, 3750, rue Shelbourne, Victoria  
(C.-B.) V8P 4H4 Tél.; : (250) 477-9561

Megan Latimer, rédactrice; à Lookout, a collaboré à cet article.

CF members rally to help Army family


By Paul Mooney

Tragedy has struck an Army family for the second time and the CF family is rallying to help. Vanessa Wheeler, the 12- year-old daughter of the late Master Corporal Rick Wheeler was badly mauled recently by a pit pull in Victoria, B.C.

MCpl Wheeler, a member of 2 Battalion, PPCLI, was killed in a training accident at Suffield in April, 1992. His family has since settled in Victoria. There is a monument to MCpl Wheeler at the Suffield training area.

2 PPCLI is now collecting funds for the family. The Fleet Club at Esquimalt, along with local band Triple Shot, will hold a concert July 14 to raise money for Vanessa's medical and dental expenses. Charlie Paluch, Triple Shot's lead guitarist, said the band is pleased to help Vanessa and her mother. "Medical is covering some of the costs, but not all of it and she needs some dental work, which isn't covered."

Vanessa's mother says she's amazed at the community response. "I know it's really helped Vanessa a lot," Christine Wheeler said. "We're very grateful."

The dog attacked Vanessa while she was playing with it in a schoolyard. The dog was familiar to her, but on that occasion it lunged at her, severely wounding her face. She has received some re-constructive surgery but will need several more operations over the next few years.

"I think the military community will support this venture because we have a history of helping others in times of need," said Master Seaman Guy Spearns, Fleet Club mess manager.

Local businesses have donated raffle prizes and refreshments for the evening. Fleet Club cooks and Chiefs and Petty Officer's mess waitresses will donate their time to cook and serve at the event.

Donations can be made through The Vanessa Wheeler Victims Assistance Account at The Pacific Coast Savings Credit Union: Account # 4223628, 3750 Shelbourne St., Victoria, B.C., V8P 4H4, (250) 477-9561 Megan Latimer, a staff writer for The Lookout, contributed to this report.

Sneaking up on the enemy


Text and photos by Susan Turcotte

Eleven soldiers, covered with grass and shredded burlap, take five minutes to conceal themselves in an open field-ready for a serious game of hide and seek-before training their weapons on two observers sitting on a grassy hill 200 metres away.

For the next hour, the soldiers must be patient, avoiding any careless movements, or risk being ejected from the concealment exercise. From their makeshift observation post, two experienced snipers scan the field's scrubby vegetation watching for movement or unnatural shadows, colours and shapes. They are instructors testing their students.

The students, members of the Royal Canadian Regiment, were midway through 3 RCR's seven-week basic sniper course that began in May at CFB Petawawa. Last year the course was conducted in Gagetown by 2 RCR.

"It is the most challenging QL4 course in the infantry. It has a high attrition rate," said one instructor. "The standards come as a bit of a shock and are inflexible. We can't have even a minor error."

The need for snipers and training in the Canadian Forces increased in the last decade as the types and frequency of overseas missions increased. The snipers provide security and protection for CF troops.

Snipers-highly trained infantry soldiers-work themselves into position, stay there for extended periods of time under difficult conditions and can kill selected enemy at long ranges.

"It's the normal infantry skills taken off the scale," said another instructor. The sniper course is designed to build on the students' soldiering skills.

In the early weeks of the course, three students returned to their units after failing to meet shooting requirements. The remaining 11 students had to learn to stalk or sneak up on their targets undetected and judge distances across hundred of metres. Of the 11, only 5 passed.

"Every day's a learning experience," said one student who wanted to gain the respect of his peers by becoming a sniper. "You have to scrape and fight for each point you earn."

He has learned to take care of the little things like lens paper for his scope and a pencil, which he can sharpen-not a pen, which may run out of ink.

"I love to do this stuff," said another student. "It's actually designed for a soldier. You're always learning about field craft, using the ground more, the weapon, the optics, the ghillie suit, what's out there and what they can see. It's one of the better courses the infantry offers."

Image

Using a spotting scope, students observe a designated area, sketch it and locate at least 9 of 12 unknown objects from a bayonet in an tree to a compass in the grass.

Se servant d'un télescope; d'observation, les participants surveillent un secteur précis;, le découpent; et identifient au moins 9 des 12 objets inconnus qui s'y trouvent, d'une baïonnette; dans un arbre à une boussole dans l'herbe.

S'approcher en douce de l'ennemi


Texte et photos de Susan Turcotte

Il faut cinq minutes à onze soldats, recouverts d'herbe et de tissus déchiquet;és;, pour se dissimuler dans un champ découvert; - prêts; à entreprendre une sérieuse; partie de cache-cache - avant de pointer leurs armes vers deux observateurs postés; sur une colline herbeuse à 200 mètres.;

Au cours de l'heure suivante, les soldats doivent faire preuve de patience et éviter; les mouvements imprudents, s'ils ne veu- lent pas être; retirés; de l'exercice de camouflage. Deux tireurs d'élite; expériment;és; surveillent la vég;étation; disparate afin de détecter; des mouvements ou toute ombre, couleur ou forme inhabituelle. Il s'agit d'instructeurs supervisant les participants.

Ces derniers, membres du Royal Canadian Regiment (RCG), sont à mi-chemin du cours de tireur d'élite; de base de sept semaines donné par le 3 RCR. Le cours a début;é en mai à la BFC Petawawa. L'an passé, le cours avait ét;é donné à Gagetown par le 2 RCR.

« C'est le cours NQ4 le plus difficile de l'infanterie. Le taux d'abandon est très; élev;é, rév;èle; un des instructeurs. Les normes en surprennent plusieurs et elles n'offrent aucune souplesse. On ne peut se permettre la moindre erreur. »

Au cours de la dernière; décennie;, les besoins en matière; de tireurs d'élite; et de formation des Forces canadiennes ont augmenté au fur et à mesure que les types et la fréquence; des missions outre-mer croissaient. Les tireurs d'élite; offrent sécurit;é et protection aux troupes des FC.

Les tireurs d'élite; sont des fantassins qui ont obtenu une formation avancée.; Ils se placent en position, y demeurent pendant de longues périodes; dans des conditions difficiles et sont en mesure de tuer des ennemis qui se trouvent à de longues distances.

« On pousse les compétences; du fantassin au-delà de l'échelle; normale », ajoute un autre instructeur. Le cours de tireur d'élite; est conçu; pour approfondir davantage les compétences; des soldats.

Trois participants sont retournés; à leurs unités; dans les premières; semaines du cours parce qu'ils ne satisfaisaient pas aux normes de tir. Les onze autres ont dû apprendre à poursuivre ou à s'approcher de leurs cibles sans être; détect;és; et à évaluer; les distances sur des centaines de mètres.; Seulement cinq d'entre eux ont réussi; le cours.

« On découvre; quelque chose de nouveau tous les jours », affirme un participant qui voulait mériter; le respect de ses collègues; en devenant tireur d'élite.; « Il faut se battre pour chaque point qu'on obtient. »

Il a appris à se préoccuper; des détails; : du papier optique pour son télescope; et un crayon, qu'il peut tailler, pas un stylo, qui pourrait manquer d'encre.

« J'adore faire ça;, s'exclame un autre participant. C'est vraiment de l'ouvrage de soldat. On ne cesse d'apprendre des choses sur notre métier; : comment mieux se servir du terrain, de son arme, des dispositifs optiques, de la tenue camél;éon;, détecter; ce qui se trouve sur les lieux et ce que l'ennemi peut voir. C'est un des meilleurs cours donné par l'infanterie. »

Image: Students check their answers with instructors following a distance judging exercise. Des participants vérifient; leurs réponses; avec les instructeurs à la suite d'un exercice d'évaluation; de distance.

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédacteur; de l'Armée; de terre Paul Mooney (613) 945-0363


Developing combined arms warfighting skills


Diefenbunker


Image: Photo: Susan Turcotte

Visitors enter the Diefenbunker through a long blast tunnel, massive blast doors and an airlock. Located 30 km west of Ottawa, the four-storey underground complex of 335 rooms was designed and constructed in secret as an emergency relo- cation centre for the federal government and as the communication station for the Canadian Forces. It operated from 1961 to 1994. For information: www.diefenbunker.ca.

Les visiteurs pén;ètrent; dans le Diefenbunker par un long tunnel blindé et franchissent des portes blindées; massives et un sas. Situé à 30 km à l'ouest d'Ottawa, le complexe souterrain de quatre étages;, qui contient 335 chambres, a ét;é conçu; et construit dans le plus grand secret pour servir de refuge d'urgence au gouvernement féd;éral; et comme centre de communications des Forces canadiennes. Il a ét;é exploité de 1961 à 1994. Pour plus amples renseignements, consulter le site www.diefenbunker.ca.

A Leopard C1 tank sits protected beneath camouflage netting, 3 m of concrete and 8 m of crushed rock. The scale model tank is part of The Army and the Cold War exhibit in the General Jean- Victor Allard Gallery, which opened June 12 at the Diefenbunker Canada's Cold War Museum.

Un char Leopard C1 est protég;é par un filet de camouflage, 3 m de béton; et 8 m de pierre concassée.; Le char modèle; réduit; fait partie de l'exposition L'Armée; et la guerre froide, présent;ée; à la galerie du Gén;éral-Jean-Victor-Allard;, dont l'ouverture a eu lieu le 12 juin au Musée; canadien de la guerre froide, le Diefenbunker.

Image: Photo: Denis Ouellette
Image: Photo: Denis Ouellette

Gen Bill Leach, CLS, presented souvenir books to Michèle; Allard and Lt(N) Andrée; Allard, daughters of Gen Jean-Victor Allard (1913-1996). A prominent Canadian officer during critical phases of the Cold War, Gen Allard served as Military Attaché to Moscow from 1945 to 1948. In 1961, he became the only Canadian to command a British Division. He was appointed Chief of the Defence Staff in 1966, a post he held until his retirement in 1969.

Le gén; Bill Leach, CEMAT, présente; des cahiers souvenirs à Michèle; Allard et au ltv Andrée; Allard, filles du gén; Jean-Victor Allard (1913-1996). Officier canadien de marque durant les étapes; critiques de la guerre froide, le gén; Allard a ét;é attaché militaire à Moscou de 1945 à 1948. En 1961, il devient le seul Canadien à commander une division britannique. Il a ét;é nommé chef d'état-major; de la Défense; en 1966, poste qu'il a occupé jusqu'à sa retraite en 1969.

By Maj Steve Nash


Tactics School at Gagetown ran the Combat Team Commander's Course from May 1 to June 4 with a mixture of 24 armour, infantry, artillery, engineer, and signals students. The aim was to develop the ability to command a combat team within a Battle Group environment in all operations of war. The School used a series of cloth model, simulation and Tactical Exercises Without Troops. A 17-day field deployment followed, allowing students to develop tactical prowess using a full-fledged Battle Group.

Deploying on the night of May 17 with mosquito bar, bug juice, sunscreen and parka, the Tactics School joined up with the 12 RBC Battle Group, which had travelled from CFB Valcartier to conduct their own field training and to support the School. The 12 RBC Battle Group supported the School with a tank squadron, an infantry company from 2 R22eR and one from 3 R22eR, a close support troop from 5 RGC, and a FOO party from 5 RALC. They provided a squadron-sized enemy force consisting of a Coyote squadron from the 12 RBC, along with all support requirements. 403 Squadron also participated, providing airlift support to the airmobile operation.

Manoeuvre Warfare was the approach and the pace was quick. Students such as Majors Mike Gagne and Steve Nash who had been riding a desk for the past few years, rotated command positions, moving from from combat team commanders to tank squadron/infantry coy commander, FOO, engineer troop, tank troop and infantry platoon commander. The aim was to destroy vehicles with the odd-coloured flags, which identified the ever-elusive enemy force. Flag combinations were elaborate, so anyone colour blind was out of luck. The trick was not to get bogged down in the training area; it was springtime and we all know how dry it is at this time of year. You could always find Captain Kevin Cameron on the objective, standing out as the model for the new disruptive pattern issue.

A battle of wits developed with the enemy force as the Battle Group attempted to define the enemy and attack it uphill, on reverse slopes and through swamps. A Squadron of the enemy force was visible and unique in their Coyotes. We could not have kept moving if not for the drivers and support staff from militia units and the 12 RBC. Corporals Macey and Pelletier kept the Commandant's and Chief Instructor's carriers supplied with hotdogs and fried bologna sandwiches for the mid-day meal, while other drivers rotated through a series of student crew commanders. Captain Ron Bertin coordinated the beans and bullets back at the Tank Park to keep the troops going.

This was arguably the best Combat Team Commander's Course that Tactics School has ever run, thanks to excellent support from the 12 RBC Battle Group, a cohesive and dynamic group of students and a wily group of veteran instructors from across the country.  
Maj Nash was a student on CTCC 2000.

Image: Photos: Lt / lt Laura Oberwarth

Le développement; de compétences; de combat interarmes


A Leopard Tank, complete with mine roller, is led across an armoured vehicle-launched bridge. The tanks played a vital role clearing a minefield and bridging an anti-tank ditch - two traps the enemy had set.

Un Leopard, équip;é d'un rouleau de déminage;, franchit un pont lancé par véhicule; blindé.; Les chars ont joué un rôle; de premier plan dans le déminage; d'un champ de mines et le pontage audessus d'un fossé antichar, deux pièges; tendus par l'ennemi.

par le maj Steve Nash


Le Cours de commandant d'équipe; de combat s'est donné à l'École; des opérations; tactiques de Gagetown du 1er mai au 4 juin. Vingt-quatre membres des blindés;, de l'infanterie, de l'artillerie, du génie; et des transmissions y ont participé.; Le cours avait pour objectif de développer; l'aptitude à commander une équipe; de combat au sein d'un groupement tactique devant affronter toutes les opérations; de guerre. Pour ce faire, l'École; a utilisé des maquettes en tissu, des simulations et des exercices tactiques sans troupes. Ont suivi 17 jours de déploiement; au cours desquels les participants ont démontr;é leurs prouesses de tacticiens dans un groupement tactique officiel.

Arrivant dans la nuit du 17 mai avec des briquettes à moustiques, de l'insecticide, de la crème; solaire et des parkas, l'École; a rejoint le groupement tactique du 12 RBC, qui venait de la BFC Valcartier pour mener ses propres manoeuvres et donner son soutien à l'École.; Le groupement tactique du 12 RBC a fourni un escadron de blindés;, une compagnie d'infanterie du 2 R22eR et du 3 R22eR, une troupe de soutien rapproché du 5 RGC, et un groupe OOA du 5 RALC. Ils ont prêt;é une force ennemie composée; d'un escadron Coyote du 12 RBC et le soutien nécessaire.; L'escadron 403 a fourni le transport aérien; pour l'opération; aéromobile.;

On a privilégi;é la guerre de manoeuvre comme approche et une cadence rapide. Des participants comme les maj Mike Gagne et Steve Nash qui, depuis quelques années;, abattaient du travail

de bureau, ont fait la rotation des postes de commandement, allant de commandant d'équipe; de combat à commandant d'escadron de blindés;/compagnie d'infanterie, d'OAA, de troupe de génie;, de troupe de chars et de section d'infanterie. L'objectif était; de détruire; des véhicules; surmontés; de drapeaux aux couleurs bigarrées; servant à identifier l'ennemi. L'amalgame des couleurs était; si disparate que toute personne daltonienne n'avait aucune chance de s'y retrouver. L'astuce : ne pas s'enliser dans la zone d'entraînement;, surtout au printemps, alors que le sol est tout sauf sec. Il n'était; pas difficile de cibler le capt Kevin Cameron, qui se distinguait dans le nouvel habillement de camouflage.

Un combat axé sur la ruse s'est engagé avec les forces ennemies lorsque le groupement tactique entreprit d'identifier l'adversaire pour l'attaquer en montée;, en contre-pente et dans les marais. Un escadron de la force ennemie pouvait difficilement se dissimuler avec ses Coyote. De notre côt;é, nous n'aurions pu poursuivre la manoeuvre sans les chauffeurs, le personnel de soutien des unités; de milice et le 12 RBC. Les cpl Macey et Pelletier s'assuraient que les véhicules; du commandant et de l'entraîneur-chef; étaient; bien stockés; de hot-dog et de sandwichs au saucisson frit pour le repas du midi, alors que d'autres chauffeurs faisaient la rotation, passant d'un commandant d'équipe; à un autre. Le capt Ron Bertin coordonnait l'approvisionnement en nourriture et en munitions près; de la flotte de chars pour soutenir les soldats.

À vrai dire, ce fut le meilleur cours de commandant d'équipe; de combat que l'École; des opérations; tactiques ait jamais donné et ce, grâce; à la coopération; du groupement tactique du 12 RBC, au dynamisme et à l'esprit de corps des participants, ainsi qu'à l'astuce d'un groupe d'entraîneurs; d'expérience;

venus de partout au pays.

Le maj Nash participait au Cours de commandant d'équipe; de combat 2000.

Image

LCol John Collin, Commanding Officer, 12 RBC, and LCol James Ferron, Commandant Tactics School, oversee the final combat team attack led by one of the students on the course.

Le lcol John Collin, commandant du 12 RBC, et le lcol James Ferron, commandant de l'École; des opérations; tactiques, supervisent l'attaque finale de l'équipe; de combat sous le commandement d'un participant au cours.

Vol. 3, No. 24, 2000



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