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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Le Canada signe le Protocole facultatif pour la sauvegarde des enfants


par Mitch Gillett

Le projet de loi S-18, qui confirme la politique des FC de ne pas déployer; de person- nes de moins de 18 ans dans un secteur hostile, a reçu; la sanction royale le 29 juin dernier et est maintenant devenu loi.

« Cette modification apportée; à la Loi sur la défense; nationale consacre sur le plan juridique les mesures de protection déj;à établies; par les Forces canadiennes pour veiller à ce que les personnes de moins de 18 ans ne soient pas affectées; dans un théâtre; d'hostilités; », a rappelé Art Eggleton, ministre de la Défense; nationale, dans un communiqué de presse.

« Par ailleurs, les FC continueront à déployer; des efforts pour réduire; les effets de la guerre sur les enfants partout où

elles mènent; des opérations; », a poursuivi le ministre.

Le Canada a ét;é à l'avant-garde de la campagne internationale visant à établir; des lois pour protéger; les enfants des ravages de la guerre. Il a ét;é le premier pays à signer, le 6 juin dernier, le Protocole facultatif des Nations Unies concernant l'impli- cation d'enfants dans les conflits armés.; Au cours des six dernières; années;, les Nations Unies ont accentué leurs efforts en vue de l'élaboration; et de l'adoption d'un proto

cole facultatif le plus ferme possible.

« Il s'agit d'une mesure importante pour la protection des enfants piég;és; au milieu d'un conflit », a ajouté le ministre des Affaires étrang;ères;, Lloyd Axworthy.

Une étude; menée; par les Nations Unies en 1996 démontre; que les armées; gouvernementales ou rebelles recrutent fréquemment; des garçons; et des filles pour servir comme combattants, cuisiniers, porteurs, esclaves sexuels, semeurs de mines ou espions. L'étude; indique également; que plusieurs des enfants-soldats ont moins de 10 ans.

Les représentants; de l'ONU estiment à environ 300 000 le nombre d'enfants qui servent présentement; dans des armées; réguli;ères; ou rebelles. Selon eux, deux millions d'enfants auraient perdu la vie dans des conflits armés; durant les 10 dernières; années;, plus de 10 millions seraient devenus des sans-abri ou auraient souffert

de traumatismes psychologiques consécutifs; à la guerre et 20 millions d'enfants auraient ét;é déplac;és; dans leur pays ou vers l'extérieur; par suite de la guerre.

Le Protocole facultatif veut assurer la protection des enfants en établissant; de nouvelles normes internationales en ce qui concerne leur implication dans les conflits armés.; L'âge; minimum de l'engagement obligatoire est établi; à 18 ans

et celui de l'engagement volontaire, à 16 ans. Les pays doivent prendre toutes les mesures possible pour s'assurer que les membres de leurs forces armées; qui ont moins de 18 ans ne prennent pas directement part aux conflits.

Canada signs Optional Protocol to safeguard children


By Mitch Gillett

The CF policy not to deploy persons under the age of 18 to hostile areas is now a law.

On June 29, Bill S-18 on Non-Deployment of Persons under the Age of 18 Years to Theatres of Hostilities was given Royal Assent.

"The change to the National Defence Act enshrines in law the safeguards that we have in place to ensure that the CF do not deploy persons under the age of 18 to theatres of hostility," said Art Eggleton, Minister of National Defence, in a press release.

"At the same time, the Canadian Forces will continue to work to reduce the effects of war on children wherever they operate."

Canada has been at the forefront of an international drive to develop laws to protect children around the world from the ravages of war. Canada was the first country to sign the Optional Protocol on the Involvement of Children in Armed Conflict on June 6. Over the past six years, the UN has worked hard toward the development and adoption of the strongest possible optional protocol.

"This is an important step toward the protection of children trapped in the midst of conflict," said Minister of Foreign Affairs, Lloyd Axworthy.

A study conducted by the UN in 1996 shows that government and rebel armies frequently recruit boys and girls to serve as fighters, cooks, porters, sexual slaves, mine layers or spies. The study also shows that many of the child soldiers are 10 years of age or younger.

UN officials estimate that about 300,000 children are currently serving in regular armies and guerrilla forces. They also estimate that two million children have been killed in armed conflict in the last 10 years, that over 10 million children suffer from the psychological trauma of

war, and that 20 million children have been displaced by war within and outside their country.

The Optional Protocol seeks to protect children from involvement in hostilities by establishing new international standards. The minimum age for compulsory recruitment is set at 18 years, that of voluntary recruitment is set at 16, and countries are required to take all feasible measures to ensure that members of their armed forces who are under 18 do not take a direct part in hostilities.

New generation of peacekeeping injury: Dallaire


« Les Forces canadiennes n'échapperont; pas à cette nouvelle gén;ération; de problèmes; reliés; au maintien de la paix »


By Mitch Gillett

A media letter written by Retired Lieutenant-General Roméo; Dallaire highlights the positive and negative effects peacekeeping missions can have on Canada's military personnel.

"Everyone of those in military uniform who has served outside our magnificent country, comes home with a stronger desire to defend it, to love it, to protect it and to live within it with dignity and respect," wrote LGen (Ret) Dallaire, who commanded the UN mission to Rwanda in 1994.

LGen (Ret) Dallaire, an advocate for the support and treatment of CF members who suffer from operational stress-related injuries, also wrote that Canada will see personnel "suffering from this new generation of peacekeeping injury."

With approximately 4000 CF members participating in more than 20 operational missions in 1999, and Canada's continued involvement in UN missions, LGen (Ret) Dallaire's letter resonates for many.

Toronto-based Major Stéphane; Grenier, communications director for Land Forces Central Area, did a UN tour in Rwanda. He knows how a peacekeeping tour can change a person's priorities.

Even now, Maj Grenier said, he finds Canadians have "mixed-up" priorities.

"People are used to getting everything when they want it and when they need it. When it doesn't happen that way, people get upset or uptight. I look around and think, 'hey, you don't know how bad it can be. Be thankful you live here.'"

On his good days, Maj Grenier says life is great-but on his bad days, memories of Rwanda haunt him. To help alleviate these negetive effects Maj Grenier works to attract experts in post- traumatic stress to lecture in Canada.

Upon hearing some members of the Rwanda mission were having difficulty dealing with their memories, Maj Grenier began spending his off-hours finding and talking to experts in treating post-traumatic stress.

Although he has found a few specialists with the right qualifications and experience, he has yet to get any to make the trip to Canada to lecture. All is not lost however: Maj Grenier is writing a paper on post-traumatic stress that he hopes will enhance the services already available to CF members.

Image: Thursday February 24, 2000. Mitrovica, Kosovo. Cpl Greg Whitman of Dukes Company, 1st Battalion, The Royal Canadian Regiment directs the crowd back near the West Bridge over the Ibar river. The bridge seperates the city from the ethnic Albanians and the Serbian Kosovars.Photo: MCpl / cplc Ken Allan

par Mitch Gillett

Une lettre aux médias; du lgén; (ret) Roméo; Dallaire met en évidence; les effets positifs et négatifs; que peuvent avoir les missions de maintien de la paix sur les militaires canadiens.

« Quiconque a servi à l'extérieur; de notre grand pays revient dans sa patrie plus ardent à la défendre;, à l'aimer, à la protéger; et à y vivre dans le respect et dans la dignité », écrit; le lgén; (ret) Dallaire, qui a commandé une mission des Nations Unies au Rwanda en 1994.

Le lgén; (ret) Dallaire, qui prône; qu'il faut soutenir et traiter les membres des FC souffrant de problèmes; reliés; au stress opérationnel;, écrit; aussi que « les Forces canadiennes n'échapperont; pas à cette nouvelle gén;ération; de problèmes; reliés; au maintien de la paix ».;

La participation, en 1999, d'environ 4000 membres des FC à plus de 20 missions opérationnelles; et le rôle; permanent du Canada au sein des missions des Nations Unies donnent tout son sens, aux yeux de plusieurs, à la lettre du lgén; (ret) Dallaire.

Le maj Stéphane; Grenier, de la base de Toronto, directeur des communications pour le Secteur du centre de la Force terrestre, a ét;é affecté au Rwanda. Il sait donc comment une mission de maintien de la paix peut changer les priorités.;

Les Canadiens, constate le maj Grenier, ont du mal à distinguer leurs priorités.; « Les gens ont l'habitude d'obtenir tout ce qu'ils veulent, quand ils le veulent et quand ils en ont besoin. Faute de quoi, ils se fâchent; et se crispent. J'ai envie de leur dire : « Si vous saviez comme vous êtes; heureux de vivre ici! »

Quand les choses vont bien, le maj Grenier se dit que la vie est belle. Quand ses mauvais souvenirs reviennent le hanter, il essaie de les surmonter en invitant des spécialistes; du stress post-traumatique à venir faire des conférences; au Canada.

Ayant appris que des membres de la mission envoyée; au Rwanda avaient des troubles de mémoire;, le maj Grenier a décid;é de consacrer ses heures libres à communiquer avec des spécialistes; du traitement du stress post-traumatique.

Il en a bien trouvé quelques-uns pourvus des compétences; et de l'expérience; nécessaires;, mais il lui reste à les convaincre de venir au Canada. Cependant, tout espoir n'est pas perdu : le maj Grenier est en train de rédiger; un mémoire; sur le stress post-traumatique. Il espère; que ce travail accroîtra; les services déj;à offerts aux membres des FC.

Mitrovica, Kosovo, le jeudi 24 février; 2000. Le cpl Greg Whitman, de la Compagnie D, 1er Bataillon, The Royal Canadian Regiment, fait reculer la foule près; du pont Ouest, sur la rivière; Ibar. Le pont marque le clivage de la ville entre le secteur des Serbes et celui des Albanais du Kosovo.

Vol. 3, No. 26, 2000




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Exercise a learning experience for CF medical specialists


By Mitch Gillett

CAMP LEJEUNE, North Carolina - Working in the midday heat and humidity of a typical North Carolina afternoon, CF medical specialists dressed for combat "saved" the lives of mock casualties suffering from a range of battle wounds.

When the doors of a land ambulance or helicopter flung open and stretcher-bearers carried the wounded to the first stage of treatment, CF medics responsible for assessing the wounded combat soldiers had to be prepared for every emergency.

Treating mock casualties with everything from combat stress to gunshot wounds, 52 Regular and Reserve Force medical specialists from across Canada worked hand-in-hand with their American counterparts during Exercise PURPLE CADUCEUS -the medical part of Exercise

ROVING SANDS 00-to keep the wounded alive.

"It was an extremely successful joint, allarms operation," said Captain Suzanne Mclean, a critical care and flight nurse at Ottawa's 2 Health Services Operational Training Unit (HSOTU) who performed casualty management and triage during the training exercise. "The U.S. personnel had their strengths and we had ours. We complemented each other's skills quite well."

CF members brought flexibility in training to the table because they are part of a tri-service military, Capt Mclean said. "One U.S. naval officer told me he would trade three of his marine men for one of our female medics. They were quite impressed with the physical and mental strengths of our female medics."

During the course of the training exercise about 800 mock battlefield casual- ties-more than all the casualities sustained by the Allied forces in the Gulf War-were treated by front-line medical specialists or experts on board a hospital ship or at the field surgical unit.

Ex PURPLE CADUCEUS held at Camp Lejeune, North Carolina, integrated elements of the United States Army, Navy medical commands and the CF Medical Service. Twenty-six CF medical special- ists were on board the USNS Comfort, a hospital ship anchored off the North Carolina coast; 14 CF medical specialists were at Camp Lejuene's Fleet Hospital and 13 were attached to a surgical company and trauma deployed to the field.

The joint training exercise allowed them to share ideas and practice medical techniques learned through experience.

Sergeant Jeff Hopping, a Medical Assistant at Ottawa's 2 HSOTU who was attached to a surgical company from Camp Lejeune's 2nd Medical Battalion, was in the field for the exercise. The chance to train at a mass casualty exercise was extremely rewarding, he said.

"For the most, it was a lot of review. But working in triage or patient assessment in the advance trauma life-support capacity was a learning experience," he said. "We had three emergency room doctors- ones who do this for a living-and they were fantastic. They taught us a lot about assessment."

Un réserviste; des FC reçoit; un certificat du  
Corps des Marines des États-Unis;


Image: Cpl Joel Shoihet of 28 Medical Company receives a Certificate of Appreciation from Capt James Need (second from right), CO of the 2nd Medical Battalion at Camp Lejeune, North Carolina, and HMCM (SW) Ed Rowntree (right), Command Master Chief, 2nd Medical Battalion.Photo: Capt / capt Suzanne Mclean

par le capt Suzanne Mclean

CAMP LEJEUNE, Caroline du Nord - Un réserviste; des FC de la 28e Compagnie médicale; a reçu; un certificat d'appréciation; du 2e Bataillon médical; du Corps des Marines des États-Unis;, pour ses efforts durant l'Ex Roving Sands/Purple Caduceus.

Le cpl Joel Shoihet a reçu; le certificat en reconnaissance de son dévouement; à la réussite; de la mission, alors qu'il servait comme assistant médical; dans une unité de soins intensifs avec la Compagnie chirurgicale B. Au cours de l'exercice, qui a eu lieu du 13 au 25 juin, le cpl Shoihet a ét;é perçu; comme un membre indispensable de l'équipe.; Il a fait preuve d'initiative et s'est rapidement intégr;é au personnel de la direction médicale; de la U.S. Navy et du Corps des Marines des États-Unis.; Il a coordonné, pour l'unité de soins intensifs, un système; de suivi qui a permis d'accél;érer; le déplacement; des patients et d'accéder; immédiatement; à leurs dossiers.

Treize membres du personnel médical; des FC ont ét;é affectés; au 2e Bataillon médical; pendant l'exercice. Ils étaient; membres reconnus de la Compagnie chirurgicale et de trois pelotons de traumatologie. Le capt Suzanne Mclean est infirmière; en soins de phase aiguë et de vol à la 2e Unité d'instruction opérationnelle;, Services de santé, à Ottawa.

Le cpl Joel Shoihet, de la 28e Compagnie médicale;, reçoit; un certificat d'appréciation; du capt James Need, deuxième; à droite, commandant du 2e Bataillon médical; au camp Lejeune, en Caroline du Nord, et du HMCM (SW) Ed Rowntree, à droite, chef-maître; du commandement, 2e Bataillon médical.;

CF reservist receives certificate from U.S. Marine Corps


By Capt Suzanne Mclean

CAMP LEJEUNE, North Carolina - A CF reservist with 28 Medical Company was given a Certificate of Appreciation by the U.S. Marine Corps, 2nd Medical Battalion, for his efforts during Exercise ROVING SANDS/PURPLE CADUCEUS.

Corporal Joel Shoihet was recognized for his dedication to mission accomplishment while serving as a Medical Assistant in an intensive care unit with Bravo Surgical Company. During the June 13 to 25 exercise, Cpl Shoihet was observed establishing himself as a "team player" by displaying initiative and rapidly integrating with the U.S. Navy Medical Department and U.S. Marine Corps personnel. He co-ordinated a tracking system for the intensive care unit that expedited patient flow and allowed instant retrieval of patient information.

Thirteen CF medical personnel took part in the exercise. They deployed with 2nd Medical Battalion and were core members of the Surgical Company and three Shock Trauma Platoons. Capt Suzanne Mclean is a critical care and flight nurse at Ottawa's 2 Health Services Operational Training Unit.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



En avant la musique!


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par le capt Darren Steele

Image: Le sgt Jeff Hopping, à gauche, 2e Unité d'instruction opérationnelle;, Services de santé, et le matc A.R. Pittman, 3e Unité d'instruction opérationnelle;, Services de santé, dans le feu de l'action pendant l'Ex Roving Sands.Photo : Capt / capt Suzanne Mclean

Sgt Jeff Hopping (left), 2 HSOTU, and MS A. R. Pittman, 3 HSOTU, busy at work during Ex ROVING SANDS.

Un exercice formateur pour les spécialistes; médicaux; des FC


par Mitch Gillett

CAMP LEJEUNE, Caroline du Nord - Dans la chaleur et l'humidité d'un après-midi; typique de Caroline du Nord, les spécialistes; médicaux; des FC, portant leur tenue de combat, ont sauvé la vie de victimes simulant une gamme de blessures de guerre.

Lorsque les portes d'une ambulance terrestre ou d'un hélicopt;ère; s'ouvraient et que les brancardiers portaient les blessés; à la première; étape; du traitement, les infirmiers des FC responsables d'évaluer; l'état; des soldats blessés; devaient être; prêts; pour tout type d'urgence.

Traitant de fausses victimes souffrant de tout, du stress de combat aux blessures par balles, 52 spécialistes; médicaux; de la Force réguli;ère; et de la Réserve;, venant de partout au Canada, ont travaillé main dans la main avec leurs vis-à-vis; américains; durant l'Ex Purple Caduceus, la partie médicale; de l'Ex Roving Sands, afin de garder en vie les blessés.;

« Il s'agit là d'une opération; conjointe toutes armes couronnée; de succès; », affirme le capt Suzanne Mclean, infirmière; en soins de phase aiguë et de vol à la 2e Unité d'instruction opérationnelle;, Services de santé, à Ottawa, qui assurait la prise en charge et le tri des victimes durant l'exercice d'entraînement.; « Le personnel américain; avait ses points forts et nous avions les nôtres.; Chacun complétait; admirablement les compétences; de l'autre. »

« Les membres des FC ont démontr;é de la flexibilité parce qu'ils font partie d'unités; interarmées;, souligne le capt Mclean. Un officier naval des États-Unis; m'a confié qu'il échangerait; trois de ses fusiliers marins contre une de nos assistantes médicales.; Ils ont ét;é fortement impressionnés; par la force

physique et la force de caractère; de nos assistantes médicales.; »

Au cours de l'exercice d'entraînement;, environ 800 fausses victimes de campagne, soit plus que toutes les victimes des forces alliées; de la guerre du Golfe réunies;, ont ét;é traitées; par des spécialistes; de première; ligne ou des experts à bord d'un navirehôpital; militaire ou à l'unité chirurgicale de campagne.

L'Ex Purple Caduceus, qui avait lieu au camp Lejeune, en Caroline du Nord, comprenait des él;éments; de la U.S. Army, des commandements médicaux; de la Marine et du Service médical; des FC. Vingt-six spécialistes; médicaux; des FC étaient; à bord du USNS Comfort, un navire-hôpital; militaire ancré au large des côtes; de Caroline du Nord. Il y avait 14 spécialistes; médicaux; au Fleet Hospital du camp Lejeune, dont 13 étaient; affectés; à une compagnie de chirurgie et trauma déploy;ée; sur le terrain.

L'exercice d'entraînement; conjoint leur a

permis de partager des idées; et de mettre en pratique des techniques médicales; apprises sur le tas.

Le sgt Jeff Hopping, assistant médical; à la 2e Unité d'instruction opérationnelle;, Services de santé, à Ottawa, affecté à une compagnie chirurgicale du 2e Bataillon médical; du camp Lejeune, était; sur le terrain pour l'exercice. Il reconnaît; que l'occasion de s'entraîner; lors d'un exercice dénombrant; un grand nombre de victimes a ét;é extrêmement; satisfaisant.

« En gén;éral;, il s'agissait de beaucoup de révision.; Mais travailler au tri ou à l'évaluation; des patients à l'unité avancée; de réanimation; de trauma a ét;é une expérience; formatrice. Il y avait trois vrais urgentologues qui ont ét;é sensationnels. Ils nous ont enseigné plein de choses au sujet de l'évaluation.; »

Les Musiques des FC interpréteront; Fortissimo 2000 sur la colline du Parlement, du 20 au 22 juillet, à 19 h 30. Fortissimo a ét;é conçu; pour répondre; aux besoins de la cér;émonie; traditionnelle de la retraite. Plus de 300 soldats de la Force réguli;ère; et de la Réserve;, marins et membres de la Force aérienne; participent à ce spectacle éblouissant; de deux heures.

Le premier Fortissimo a ét;é produit en 1997 afin de faire partager au public le riche patrimoine des FC. Plus beau d'une année; à l'autre, le spectacle réjouit; des milliers de visiteurs de partout dans le monde.

Cette année;, l'auditoire de Fortissimo entendra diverses oeuvres nouvelles et traditionnelles jouées; par six formations d'instruments à cuivres et à vent et deux ensembles de cornemuses. On y présentera; aussi un spectacle de marche de précision; avec les compagnies de carabiniers de la Garde de cér;émonie.; Le clou de la soirée; sera l'Ouverture 1812 de Tchaïkovsky;, adaptée; pour incorporer une véritable; artillerie - fournie par le 30e Régiment; d'artillerie de campagne, Artillerie royale canadienne - et de vraies cloches, jouées; par le carillonneur du Dominion dans la tour de la Paix.

La « retraite » est l'appellation militaire de la routine de fin de journée; où les

troupes, avant de retourner à la garnison, baissaient le drapeau et barraient les portes de la ville pour la nuit. Un coup de canon annonçait; à ceux de l'extérieur; des murs qu'on devait attendre au matin pour entrer dans la ville. On battait le tambour pour ordonner cette routine.

Les portes fermées;, la veille de nuit débutait.; Les soldats qui n'étaient; pas de garde devaient tous être; rentrés; à la caserne au moment où la dernière; sentinelle arrivait à son poste. Cette partie de la cér;émonie; nous a donné les sonneries de cor communément; appelées; « première; sonnerie » et « dernière; sonnerie ».; On peut encore les entendre aux installations des FC comme la BFC Shilo. Entre la première; et la dernière; sonnerie, pendant que le commandant de la garde faisait le tour du périm;ètre; où était; postée; la veille de nuit, la fanfare de la garnison jouait des marches, des hymnes et des mélodies; populaires, clôturant; gén;éralement; avec l'hymne national.

Fortissimo 2000 invitera les participants et les spectateurs à associer la cér;émonie; de la retraite à d'autres aspects de notre histoire militaire. Le capt Darren Steele est l'officier d'affaires publiques de Fortissimo 2000.

Image: The Stadacona Band of the Maritime Forces Atlantic, one of six brass and reed bands that will perform at Fortissimo 2000 on Parliament Hill July 20-22.Photo: Cpl / cpl G. Andrews

L'ensemble Stadacona des Forces maritimes de

l'Atlantique, l'une des six formations d'instruments

à cuivres et à vent qui joueront à Fortissimo 2000, sur la colline du Parlement, du 20 au 22 juillet.

Strike up the bands


By Capt Darren Steele

The Canadian Forces Massed Bands will perform Fortissimo 2000 on Parliament Hill at 7:30 p.m. each evening from July 20 to July 22. Fortissimo is the Massed Bands' answer to the traditional Beating Retreat ceremony and involves more than 300 Regular and Reserve Force soldiers, sailors and Air Force personnel in a spectacular two-hour show.

The first Fortissimo was staged in 1997 as a way to share part of the CF's rich heritage with the public. The show becomes more sophisticated each year and is enjoyed by thousands of visitors from around the world.

Audiences at this year's Fortissimo will hear a variety of new and traditional works performed by six brass and reed bands and two pipe bands. They will also see a dis- play of precision drill by rifle companies of the Ceremonial Guard. The highlight of the evening will be Tchaikovsky's 1812 Overture, specially orchestrated to include real artillery-provided by the 30th Field Regiment, Royal Canadian Artillery-and real bells, played by the Dominion Carillonneur in the Peace Tower.

"Retreat" is the army's name for the sunset routine in which troops in garrison turned out, lowered the flag and secured the town gates for the night. A gun was fired to announce to those outside the walls that they would have to wait until morning to enter the town. The calls that ordered this routine were beaten on drums, so it became known as "beating retreat".

With the gates closed, the night watch was set. All soldiers not on duty had to be in barracks by the time the last sentry was placed at his post. This part of Retreat gave us the familiar "First Post" and "Last Post" bugle calls, which can be heard at CF installations like CFB Shilo even today. Between the First Post and the Last Post, while the guard commander worked his way around the perimeter posting night watch, the garrison band would play marches, hymns and popular tunes, generally ending with the National Anthem.

Fortissimo 2000 will give participants and spectators a link to the Beating Retreat ceremony and other aspects of our military past. Capt Darren Steele is the Public Affairs Officer for Fortissimo 2000.

Vol. 3, No. 26, 2000




Image: Under the watchful eye of British instructors, soldiers from the three Entity Armed Forces in Bosnia conduct a familiarization shoot with the British SA-80 rifle at Longmoor Camp in southern England. Photo : Capt / capt Glen MacNeil

Sous l'oeil avisé des instructeurs britanniques, les soldats des trois forces armées; d'entité de Bosnie exécutent; des tirs de familiarisation à l'aide du fusil britannique SA-80, au camp Longmoor, dans le sud de l'Angleterre.

Des compagnons d'armes en Bosnie


Brothers in arms in Bosnia


par le capt Doug Allison

By Capt Doug Allison

BANJA LUKA, Bosnie - Chacune des anciennes factions adverses en Bosnie (Serbes, Croates et Musulmans) entretient une armée; permanente, appelée; Force armée; d'entité (FAE), et l'une des principales tâches; de la Force de stabilisation de l'OTAN (SFOR) consiste à surveiller ces FAE.

Récemment;, quelques pays participant à la SFOR ont commencé à diriger leurs efforts vers l'amélioration; du profession- nalisme des FAE, en forgeant des liens plus étroits; entre les FAE et en cherchant à fusionner les trois entités; en une armée; professionnelle bien formée; pour la Bosnie.

En avril, cinq officiers de chaque FAE se sont rendus dans le sud de l'Angleterre dans le cadre d'un programme soutenu par le ministère; britannique de la Défense.; Le groupe est allé au camp Longmoor suivre un cours d'une semaine offert par l'équipe; consultative britannique des Nations Unies en matière; de formation.

Le capt Glen MacNeil, des Forces canadiennes, actuellement en poste au quartier gén;éral; de la Division multinationale (Sud-Ouest), à Banja Luka, accompagnait le groupe. Il explique que cette formation avait un double objectif. « D'une part, ils sont allés; observer le type de formation qu'un pays membre de l'OTAN offre à ses soldats pour les préparer; à une mission de maintien de la paix. Dans le cas présent;, environ 400 soldats britanniques étaient; en formation pour un déploiement; en Bosnie ou au Kosovo. »

« D'autre part, les membres de chaque FAE ont pu en profiter pour établir; des relations professionnelles avec les membres de leurs armées; respectives ainsi qu'entre elles. »

Les visiteurs ont pu à la fois observer la plupart des aspects de la formation et y participer. La formation touchait les inspections des sites d'entreposage, le secourisme, la sensibilisation aux mines, la familiarisation aux armes, les règles; d'engagement et la portée; des armes. Ils ont également; assisté à des scénarios; de formation conçus; pour exposer les soldats à des situations types auxquelles ils pourraient faire face dans le théâtre; d'opérations.; La sensibilisation au théâtre; d'opérations; et les séances; de familiarisation, le bien-être; des troupes ainsi que les questions d'ordre administratif et logistique ont également; ét;é abordés.;

« Dans l'ensemble, ils ont touché aux questions gén;érales; ayant trait à la préparation; des soldats en déploiement; pour une opération; de maintien de la paix », rapporte le capt MacNeil.

Selon lui, la formation a marqué les visiteurs. « Ils ont ét;é impressionnés; par les techniques de formation utilisées; par l'Armée; britannique pour préparer; ses sol

dats. Bon nombre d'entre eux ont affirmé qu'ils importeront ces techniques de formation en Bosnie pour les appliquer à la formation au sein de leur propre armée.; » Le capt Doug Allison est SO3 Impression et publication, QG de la division multinationale (Sud-Ouest), à Banja Luka, en Bosnie.

BANJA LUKA, Bosnia - Each of the former warring factions in Bosnia-Serbs, Croats, and Muslims-maintains a standing military known as an Entity Armed Force (EAF), and one of the main tasks of NATO's Stabilization Force (SFOR) is to monitor them.

Recently, some SFOR nations began working to improve the professionalism of the EAFs to forge closer links between the EAFs and to move toward the integration of the three entities into one well-trained professional military for Bosnia.

In April five officers from each EAF visited southern England under a program supported by the British Ministry of Defence. The group went to Longmoor Camp for a week-long course run by the British United Nations Training Advisory Team.

CF Captain Glen MacNeil, currently working at Multinational Division (South- West) Headquarters in Banja Luka, accompanied the group. He said the purpose of the training was twofold. "They went to observe the typical training that a NATO country undertakes to prepare its soldiers for a peacekeeping mission. In this case, it was about 400 British soldiers training to deploy either to Bosnia or to Kosovo."

"Second, it was an opportunity for members of each of the EAFs to develop professional contacts within and among their respective militaries."

The visitors had an opportunity to both observe and take part in most aspects of the training. Instruction was given on cantonment site inspections, first aid, mine awareness, weapons familiarizations, rules of engagement stands and weapons ranges. They also observed training scenarios set up to expose the soldiers to typical situations they may encounter in theatre. As well, theatre awareness and familiarization briefings, troop welfare, and administration and logistic issues were discussed.

"In all," said Capt MacNeil "they covered the general preparation for soldiers deploying on a peacekeeping mission."

The training they observed left a mark on the visitors, according to Capt MacNeil. "They were quite impressed by the training techniques used by the British Army to prepare their soldiers," he said. "Many of them stated that they would take these training techniques back to Bosnia and apply them when conducting training within their own militaries." Capt Doug Allison is SO3 Media Production, Multi-National Divisional HQ Southwest in Banja Luka, Bosnia.

Chief Justice of Canada joins Vimy Award Jury


La juge en chef du Canada membre du jury de la Distinction honorifique Vimy


The Right Honourable Beverly McLachlin, Chief Justice of Canada, will be a member of the Vimy Award Jury for year 2000, the Conference of Defence Associations Institute (CDAI) announced recently.

Ms. McLachlin, who was first called to the bar in 1969, is a former lecturer and professor at the University of British Columbia. She was appointed to the Supreme Court of Canada in March 1989 and became Chief Justice in January of this year.

The CDAI promotes public awareness of Canada's security situation and the vital role played in our society by the Canadian Forces. It also sponsors the Vimy Award, which is given each year to a Canadian who made "a significant and outstanding contribution to the defence and security of our nation and the preservation of our democratic values."

Previous recipients of the Vimy Award include General John de Chastelain, Vice- Admiral Larry Murray, Lieutenant-General Charles H. Belzile, and Majors-General Lewis MacKenzie, Bill Howard and Roméo; Dallaire.

The announcement of this year's recipient is expected in August.

L'Institut de la Conférence; des associations de la défense; (ICAD) a annoncé récemment;

que la très; honorable Beverly McLachlin, juge en chef du Canada, fera partie du jury de la Distinction honorifique Vimy 2000.

Admise au Barreau en 1969, Madame la juge McLachlin a d'abord ét;é chargée; de cours, puis professeure à l'University of British Columbia. Nommée; à la Cour suprême; du Canada en mars 1989, elle en est devenue la juge en chef en janvier dernier.

L'ICAD tente de sensibiliser le public à la sécurit;é du Canada et au rôle; indispensable

joué par les Forces canadiennes dans notre sociét;é.; Il parraine aussi la Distinction honorifique Vimy, remise annuellement à une Canadienne ou à un Canadien ayant apporté « une contribution extraordinaire à la sécurit;é ou à la défense; de notre nation et à la préservation; de notre démocratie; ».;

Parmi les récipiendaires; de la Distinction honorifique Vimy, on retrouve le gén; John de Chastelain, le vam Larry Murray, le lgén; Charles H. Belzile et les mgén; Lewis MacKenzie, Bill Howard et Roméo; Dallaire.

La nomination du récipiendaire; de cette année; est prévue; pour le mois d'août.;


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


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