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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Navy Editor  
Ruthanne Urquhart navyeditor@ottawa.com


Du sirop d'érable; aux antipodes


par l'ens 2 Morgan Bailey

RIMPAC


Au cours d'une visite à bord du HMAS Adelaide dans le cadre du Personnel Exchange Program (PEP), on pouvait entendre l'accent canadien parmi les intonations clairement australiennes qui ressortaient du groupe de chemises grises.

Le ltv Dan Hynes, 39 ans, originaire de Peterborough (Ont.), est maintenant un authentique marin australien. Officier du Centre des opérations; (O C Op) dans la Marine australienne, il n'a toutefois pas renoncé au sirop d'érable; pour son petit déjeuner.;

Officier des opérations; maritimes de surface et sous-marines (MAR SS) pendant 14 ans, le ltv Hynes s'engage dans la Marine australienne en 1996, à la suite des compressions et des réductions; qui ont affecté les FC.

« À cette époque; de ma carrière;, explique le ltv Hynes, les politiques changeaient constamment. Je ne voyais aucune possibilité d'avancement et je ne savais même; pas si j'allais pouvoir finir mes vingt ans dans la Marine. »

Pendant son service dans la Marine canadienne, le ltv Hynes sert à bord des NCSM Mackenzie, Saskatchewan, Miramichi et Ottawa. Il passe ensuite trois ans sur le Cataraqui, l'unité de la Réserve; navale, à Kingston (Ont.), en qualité d'officier d'état-major; de la Force réguli;ère.; Après; avoir joint les destroyers Kootenay et Huron, il sert au Cambodge pendant un an.

« Mon expérience; du Cambodge n'a pas ét;é bonne, rév;èle-t-il.; Des gens mutés; ailleurs ont eu plus de chance. J'ai vu bien des choses que j'aurais préf;ér;é ne pas voir. De retour au Canada, j'ai eu du mal à oublier. »

En 1966, le ltv Hynes joint la Section N61 des Communications des FMAR(P), où il travaille au Bureau des allocutions publiques. Il parle à divers groupes du vrai visage du maintien de la paix.

« Il fallait vraiment que j'en parle pour me libérer;, poursuit-il. C'était; thérapeutique; pour moi et instructif pour eux. »

La grande affaire a ét;é de dém;énager; sa famille en Australie, mais on s'est montré partout très; accueillant et très; gén;éreux.; Mandy, sa conjointe, a repris ses études;, et maintenant elle enseigne. Leurs fils, Joshua, 13 ans, et Adam, 11 ans, se sont vite adaptés.; Ils adorent l'Australie et ont tous deux remplacé les sports d'ici par le cricket.

La famille vit actuellement à St. Claire, près; de Perth. Elle a la double citoyenneté et compte rester en Australie.

Pour le ltv Hynes, la doctrine navale canadienne ressemble beau- coup à certaines opérations; menées; par l'Australie, notamment les combats de surface et la signalisation tactique.

« C'est extraordinaire de participer au RIMPAC et de voir les navires canadiens sans être; à bord. La communication est facile entre nos deux pays. Pour certaines raisons, nous nous identifions vraiment les uns aux autres. Presque tous nos grades sont identiques, et nous avons pratiquement la même; organisation et les mêmes;  
traditions. Nos sentiments d'amitié  
sont réciproques.; »

L'ens 2 Morgan Bailey est officier

d'affaires publiques stagiaire actuellement rattaché au NCSM Algonquin.

Succès; des lancements Sea Sparrow et Standard


During a Personnel Exchange Program (PEP) visit to HMAS Adelaide, a Canadian accent could be heard amid the grey- jumper-clad, distinctly Australian-sounding group.

Lieutenant(N) Dan Hynes, 39, originally of Peterborough, Ont., is now a bona fide Australian sailor-an Operations Room Officer (ORO) in the Australian Navy-who still enjoys maple syrup with his breakfast.

Lt(N) Hynes, a Maritime Surface/Subsurface (MARS) officer for 14 years, joined the Australian Navy in 1996 after the CF under- went cut backs and downsizing.

"At that particular point in my career, policies kept changing," he said. "I couldn't see the possibility of advancing or even being able to finish my 20 years in the Navy."

During his years in the Canadian Navy, Lt(N) Hynes served in HMC Ships Mackenzie, Saskatchewan, Miramichi and Ottawa before a three-year posting to naval reserve unit Cataraqui in Kingston, Ont., as a Regular Force staff officer. He joined Kootenay and Huron, and was deployed to Cambodia for a year.

"My experience in Cambodia was not a good one," he said. "Some people posted to different areas had a better time. I saw a lot of things I wish I never had to. It was difficult, when I came back to Canada, to forget."

PEARL HARBOR, Hawaï - Les NCSM Winnipeg et Algonquin et l'Établissement; de maintenance de la flotte à Esquimalt ont reçu; des éloges; bien mérit;és; durant RIMPAC 2000, grâce; au succès; des lancements des systèmes; de missiles Sea Sparrow et Standard.

Le cmdre Ken McMillan, commandant de la Flotte du Pacifique, qui a servi à bord du USS Abraham Lincoln comme commandant du combat sur mer durant RIMPAC, a attribué le succès; des lancements des missiles aux mois d'entraînement;, de travail d'équipe; et de disponibilité technique de la Flotte du Pacifique.

« Je tiens à remercier les multiples organisations qui ont travaillé étroitement; avec les équipes; des navires afin de faire un succès; de cet év;énement; », a-t-il souligné, faisant allusion plus particulièrement; aux techniciens civils de l'Établissement; de maintenance de la flotte. Le cmdre McMillan a également; félicit;é les officiers et équipages; des navires. « Ils ont travaillé inlassablement durant plusieurs mois et durant l'exercice RIMPAC pour s'assurer que ces lance

ments de missiles seraient exécut;és; de façon; entièrement; professionnelle. »

Le NCSM Winnipeg a lancé avec succès; le Sea Sparrow, un missile à guidage radar hautement maniable, le 16 juin, à la Pacific Missile Range Facility (PMRF) de la U.S. Navy, à Barking Sands, au large de la côte; de l'île; hawaïenne; de Kauai, attaquant deux redoutables drones tél;écommand;és.; En premier lieu, on a estimé le premier missile comme étant; un demi-échec; et le second comme un coup au but. Une analyse subséquente; des données; de tél;émesure; sera utilisée; afin de confirmer les résultats.;

Le NCSM Algonquin a lancé trois des missiles à plus longue portée; Standard, le 21 juin, à la PMRF. Bien qu'aucune analyse complète; du lancement n'ait encore ét;é faite, le premier essai comportant un missile unique contre une cible unique a ét;é considér;é comme réussi.; Dans un second exercice, plus difficile, le Algonquin a lancé deux missiles Standard, engageant le combat simultanément; contre deux cibles.

Les missiles Sea Sparrow et Standard, qui constituent une défense; à moyenne et à longue portée; contre des missiles et des aéronefs;, sont communément; en usage parmi les forces maritimes des pays de l'OTAN.

Les résultats; des lancements de missiles obtenus par le Canada sont semblables à ceux de nos alliés.; Comme les cibles tél;écommand;ées; peuvent être; manoeuvrées; de façon; à présenter; un profil réaliste; de vol de missile, ces épreuves; ne sont pas des plus faciles. Afin de bén;éficier; au maximum de l'entraînement; et aider au développement; de nos tactiques de défense; aérienne;, la Marine spécifie; des « profils de drones » explicitement exigeants et de tacticité réaliste.; Les données; de tél;émesure; de la PMRF, les drones cibles et les capteurs embarqués; seront analysés;, fournissant de l'information névralgique; sur les capacités; de défense; aérienne; de la Marine. Quoiqu'on puisse accomplir énorm;ément; en utilisant la simulation par ordinateur, il demeure que les él;éments; importants, tels que l'entraînement; du personnel et l'efficacité des systèmes; de combat, peuvent seulement être; pleinement évalu;és; en temps de paix sous des conditions réelles; de feu, contrôl;ées; par des règlements; de sécurit;é de l'aire de désamor;çage.; Ces essais sont notre assurance que les navires sont prêts; techniquement et que leurs équipages; sont bien entraîn;és.;

Image: Lt(N) / ltv Dan Hynes

Maple syrup down under


By A/SLt Morgan Bailey

Lt(N) Hynes joined MARPAC's  
Fleet Communications Section N61 in 1996, working within the Public Speaking Bureau, talking to various groups about the realities of peacekeeping.

"I just really needed to talk about it in order to get it out," he said. "It was therapeutic for me and educational for them."

It was a big thing to move his family to Australia, but everyone's been very welcoming and accommodating. Lt(N) Hynes' wife, Mandy, went back to school, and now teaches. Their sons, 13-year- old Joshua and 11-year-old Adam, have adapted quickly. They love Australia, and both have traded Canadian sports for cricket.

The family, now living in St. Claire, near Perth, has dual citizen- ship and will remain in Australia.

Lt(N) Hynes feels Canadian naval doctrine is very similar to Australia's operations in areas such as surface engagements and tactical signals.

"It's unique to be at RIMPAC, looking across at the Canadian ships and not being in them. It's easy for our countries to communicate. For some reason, we really identify with each other. We share almost identical ranks, divisional systems, and traditions. It's a mutual friendship."  
A/SLt Morgan Bailey is a Public Affairs Officer trainee currently attached to HMCS Algonquin.

Image: Le NCSM Charlottetown, en route vers Puerto Rico pour des opérations; de préparation; au combat, navigue en pleine mer tout en étant; ravitaillé par le NCSM Preserver.Photo: MCpl / cplc Barry Lake, CFB / BFC Halifax

HMCS Charlottetown, en route to Puerto Rico for Combat Readiness Operations, takes some sea along with an at-sea replenishment from HMCS Preserver.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Marine  
Ruthanne Urquhart (613) 567-7643


Tous les marins du monde...


C 2000


A (nautical) mile in their shoes


By A/SLt Morgan Bailey

While crew members of HMC Ships Algonquin, Protecteur, Regina and Winnipeg participated in Rim of the Pacific (RIMPAC) 2000 in Hawaii in June, they had an opportunity to see first-hand how other navies operate.

The Personnel Exchange Program (PEP) allowed ships' personnel from Canada, Australia, Chile, Japan, South Korea and the U.S. to visit other ships for 24 hours.

"It's a good way to observe and learn about our navies' differences and similarities," said HMCS Protecteur CO Commander Randy Maze. "Usually, there are more similarities because we all understand a common navy lifestyle."

Designed to give Pacific Rim navies exposure to each other on a more personal level, the program was popular with ships' companies. PEP personnel were typically given a tour of the ship with special attention paid to their own trade area.

"It gives our sailors the opportunity to see what sorts of issues we all deal with," said HMAS Adelaide Executive Officer Lieutenant-Commander Peter Quinn. "Sometimes, they come back with really good suggestions and ideas."

Adelaide used the program as a sort of motivational tool for the ship's company. "There are always more names than spaces available," said LCdr Quinn, "so we pick people who have been showing a great deal of effort throughout the exercise."

Adelaide radar technician Able Seaman Brad Cawain noted the Canadian systems are compatible with the Australian ones he uses daily. Midshipman Sue Bedingfield, an Australian supply officer, was particularly impressed with Protecteur 's spacious facilities and inventories.

HMCS Winnipeg 's padre, Captain Doug Friesen, visited Adelaide to meet the Australian chaplain. "I had such a great time meeting everyone," Capt Friesen said. "Our humour and culture are really similar. Everyone seems to be in great spirits."

RIMPAC activities ended June 27, with Canadian ships heading back to Honolulu, Oahu, for a five-day visit before returning to Esquimalt July 10. A/SLt Morgan Bailey is a Public Affairs Officer trainee currently attached to HMCS Algonquin.

par l'ens 2 Morgan Bailey

En participant à l'exercice RIMPAC 2000, tenu en juin dernier dans le Pacifique, près; des îles; hawaïennes;, les équipages; des NCSM Algonquin, Protecteur, Regina et Winnipeg ont pu voir de près; comment fonctionnent d'autres marines.

Le Personnel Exchange Program (PEP) a permis aux équipages; de navires canadiens, australiens, chiliens, japonais, sud-coréens; et américains; de visiter d'autres navires pendant 24 heures.

« C'est une bonne façon; d'observer et de connaître; nos différences; et nos ressemblances », souligne le capf Randy Maze, commandant du NCSM Protecteur. « Nos ressemblances sont gén;éralement; plus nombreuses que nos différences;, car nous comprenons tous un style de vie marin qui nous est commun. »

Conçu; pour permettre aux marines du Pacifique de frayer plus ouvertement, le programme a ét;é appréci;é des équipages.; Les membres du PEP étaient; normalement invités; à visiter le navire, où on portait particulièrement; attention à leurs spécialit;és; professionnelles.

« Nos marins peuvent ainsi constater les problèmes; dont nous nous occupons tous », commente le capc Peter Quinn, commandant en second du HMAS Adelaide. « Ils reviennent parfois, ajoute-t-il, avec d'excellentes idées; et suggestions. »

L'Adelaide s'est servi du programme comme d'un instrument de motivation pour son équipage.; « Il y a toujours plus de demandes que de places disponibles, explique le capc Quinn. Nous choisissons donc ceux qui ont fait beaucoup d'efforts au cours de l'exercice. »

Le technicien-radariste de l'Adelaide, le mat 2 Brad Cawain, a remarqué que les systèmes; canadiens sont compatibles avec les systèmes; australiens dont il a l'habitude. L'aspirant de marine australien Sue Bedingfield, qui est officier d'approvisionnement, a ét;é particulièrement; impressionnée; par l'étendue; des installations et par l'abondance des stocks du Protecteur.

L'aumônier; du NCSM Winnipeg, le capt Doug Friesen, s'est rendu sur l'Adelaide pour rencontrer l'aumônier; australien. « J'ai eu bien du plaisir à voir tout le monde, déclare; le capt Friesen. Notre sens de l'humour et notre culture sont très; voisins, et le moral de tous les membres d'équipage; me paraît; excellent. »

Les activités; du RIMPAC se sont terminées; le 27 juin. Les navires canadiens ont mis le cap sur Honolulu et Oahu, pour une visite de cinq jours avant leur retour à Esquimalt le 10 juillet. L'ens 2 Morgan Bailey est officier d'affaires publiques stagiaire actuelle

ment rattaché au NCSM Algonquin.

Sea Sparrow,  
Standard firings successful


PEARL HARBOR, Hawaii - HMC Ships  
Winnipeg and Algonquin and Fleet Maintenance Facility Esquimalt earned some well-deserved praise during RIMPAC 2000 with successful firings of Sea Sparrow and Standard missile systems.

Canadian Pacific Fleet Commander  
Commodore Ken McMillan, who served in USS Abraham Lincoln as Sea Combat Commander during RIMPAC, credited the successful missile firings to the training, teamwork and technical readiness of the Pacific Fleet.

"I would like to thank the many organizations that worked closely with the ships' teams to make this event a success," he said, referring specifically to the civilian technicians of the Fleet Maintenance Facility. Cmdre McMillan also praised the ships' companies, saying they "have worked tirelessly over several months and during the RIMPAC exercise to ensure that these missile firings were executed in a thoroughly professional manner."

HMCS Winnipeg successfully fired the highly manoeuvrable Sea Sparrow radar- guided missile June 16 at the U.S. Navy Pacific Missile Range Facility (PMRF) at Barking Sands, off the coast of the Hawaiian Island of Kauai, engaging two very challenging remote-controlled drones. The first missile was initially assessed as a near miss and the second missile was determined to be a hit. Further analysis of the telemetry data will be used to confirm the results.

HMCS Algonquin fired three of the longer-range Standard missiles June 21 at the PMRF. Although a full analysis of the firing has yet to be carried out, the first test, involving a single missile against a single target, was considered a success. In a second and more difficult exercise, Algonquin fired two Standard missiles, successfully engaging two targets simultaneously.

Both Sea Sparrow and Standard missiles, medium- and long-range defence against missiles and aircraft, are widely used among navies of NATO countries.

Canada's missile-firing results are similar to those of our allies. Because the remote- controlled targets can be manoeuvered to present a realistic missile flight profile, the tests are not "like shooting fish in barrel". In order to get the maximum training benefit and to assist in the development of our air defence tactics, Navy specifies "drone profiles" that are particularly challenging and tactically realistic. Data from the PMRF telemetry, drone targets and ships' sensors will be analyzed, providing critical information on the Navy's air defence capability. While much can be achieved through computer simulation, important elements such as personnel training and combat system performance can only be fully evaluated in peacetime under real firing conditions controlled by range safety regulations. These tests ensure ships are technically ready and their crews well- trained.

Not forgotten


Members of the 164th Civil Engineering Squadron, Memphis, Tennessee Air National Guard honoured long-fallen comrades in a June 23 ceremony in Halifax.

Deadman's Island, Northwest Arm, is the resting place of 188 American prisoners and Black refugees who died of typhoid at nearby Melville Island's British Admiralty military prison during the War of 1812.

Personnel from the 164th CivEng Squadron installed 188 small American POW/MIA flags at the burial site. MARLANT's Lt(N) Blair Eavis and MSgt Steve Black of the 164th CivEng Squadron, accompanied by personnel from the 78th Highlanders, Citadel Hill, formed a colour party. Piper MBdr Jeremy Blackburn, Land Forces Atlantic, played "Amazing Grace". Padre John Barrett of the MARLANT Fleet Chaplain's Office delivered the commemoration. Canadian Corps of Commissionaires bugler Sgt Harry Bryan played "Taps".

Following the ceremony, there was a flag presentation at Halifax City Hall to His Worship Walter Fitzgerald, Mayor of the Halifax Regional Municipality.

Image

In memoriam


Image: Photos : Sgt / sgt Darryl Barton, CFB / BFC Halifax

Des membres du 164th Civil Engineering Squadron de la Garde nationale aérienne; de Memphis, au Tennessee, ont rendu hommage à des camarades déc;éd;és; depuis longtemps, lors d'une cér;émonie; tenue à Halifax le 23 juin dernier.

Deadman's Island, dans le bras Northwest, est devenue le lieu de repos de 188 prisonniers et réfugi;és; noirs américains;, morts sur l'île; voisine, Melville Island, à la prison militaire de l'Amirauté britannique, durant la Guerre de 1812.

Les membres du 164th CivEng Squadron ont planté 188 petits drapeaux américains; POW/MIA sur les lieux d'inhumation. Le ltv Blair Eavis, des FMAR(A), et le sgtm Steve Black, du 164th CivEng Squadron, avec des membres des 78th Highlanders, de la Citadelle, ont formé une garde du drapeau. Le cornemuseur, le bdrc Jeremy Blackburn, de la Force terrestre de l'Atlantique, a joué « Amazing Grace ».; L'aumônier; militaire, le ltv John Barrett, de l'aumônerie; de la flotte des FMAR(A), a prononcé l'oraison commémorative.; Le sgt Harry Bryan, clairon du Corps canadien des commission- naires, a joué « Taps ».;

Après; la cér;émonie;, il y a eu présentation; du drapeau, à l'hôtel; de ville de Halifax, au maire de la municipalité régionale; de Halifax, Walter Fitzgerald.

Vol. 3, No. 26, 2000



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