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Air Force Editor  
Kristina Davis fergus@intranet.ca


Air Force maintains presence in Aviano


It's the nature of the business. No matter where he is in the world, no two days are ever the same for avionics technician Corporal Nicholas Kolotylo.

Posted to Aviano, Italy, Cpl Kolotylo and other Air Force personnel-largely from 4 Wing Cold Lake-maintain Canada's presence over Kosovo with a fleet of six CF-18s.

While hostilities cooled more than a year ago and the pace of operations has slowed over the former Yugoslavia, the Canadians' role has not changed. "We're flying the same sort of missions that we would have flown during the conflict," said Captain Jason Paquin, a CF-18 pilot, "but without live weapons."

Flying a variety of missions, there are normally four planes launched per day. From

close air support to tactics exercises, training in Aviano has many facets. Canadian pilots also participate in combined exercises, where they fly with a variety of other countries. Simulating an air war, some countries are tasked as the "bad guys", while others must protect the home base.

Capt Paquin said he sees the importance of their contribution. Receiving intelligence briefings, he and the other pilots are keenly aware of the instability in the region. "People are still suffering there," he said. "The last thing we'd want to see is another conflict start up."

Unlike support personnel, who are posted to Aviano for six months at a time, pilots are only posted to Italy for two months-and not because they don't like

the scenery. CF-18 pilots must fly a variety of missions to maintain their skills. Ultimately, the kind of flying they are doing in Aviano doesn't maintain those skills. If they stayed longer than the two months, they would actually have to take remedial training back home.

As for Cpl Kolotylo, this is his second European tour. Working either the morning or the evening shift, his hours differ from week to week. On the a.m. shift, technicians prepare the plane for its flight, while on the p.m. shift they fix any "snags" or problems that the CF-18 might have. Cpl Kolotylo says the work is an interesting mix. "You go to work in the morning or evening and you never know what's going to happen," he said.

Image: LCol / lcol Steve Whiteley

By Kristina Davis

Cpl Nicholas Kolotylo works on a CF-18 in Aviano. He's been overseas since early March. In all about 110 Canadians call Camp Maple Leaf home. Personnel from 4 Wing Cold Lake will be replaced in July by fresh faces from 3 Wing Bagotville.

Le cpl Nicholas  
Kolotylo travaille sur un CF-18 à Aviano. Il est affecté outre-mer depuis le début; de mars. Environ 110 Canadiens servent présentement; au camp Maple Leaf. Les membres de la 4
e Escadre Cold Lake seront remplacés; en juillet par des membres de la  
3
e Escadre  
Bagotville.

Image: Photos: Sgt / sgt France Dupuis

Cpl Kolotylo said there's plenty to do in the area, including enjoying an Italian passion: soccer. He says the fans are pretty wild. "It's almost as much fun watching the fans as it is watching the soccer game."

Lieutenant-Colonel Steve Whiteley is the detachment commander in Aviano. With 110 Canadian personnel, there's a lot of activity at Camp Maple Leaf, including a lot of packing and unpacking-not of suitcases, but of the camp itself. In fact, the physical location of the camp has changed a number of times since Operation ALLIED FORCE, with one more move still scheduled.

LCol Whiteley says his team under- stands the importance of its role. From the support of NATO operations, to helping KFOR or SFOR, on any given day pilots could be flying over Kosovo or Bosnia.

"We provide a visible presence," he explained, "to convince people it's in their best interest to work towards peace."

Personnel have good morale and are able to keep in constant contact with their families through telephone calls and e-mail, said LCol Whiteley. And there's lots of opportunity for travel. "It's beneficial," he explained. "For people to keep their inner batteries charged to get away from work."

In July, the group from Cold Lake will hand over the vanguard duty to personnel from 3 Wing Bagotville.

Un défi; écologique.; Le 11 juin dernier, à l'occasion de la Semaine de l'environnement, des réservistes; du 700e Escadron des communications et du 400e Escadron tactique d'hélicopt;ères;, tous de la 16e Escadre Borden, ont participé au Eco Challenge, le quatrième; défi; écologique; annuel du comté de Simcoe Sud. Ils ont reçu; l'aide de civils de la Nottawasaga Valley Authority et de la Nottawasaga Steelheaders Association.

Eco Challenge 2000 a ét;é conçu; pour aménager; une voie de migration pour la truite arc-enciel en éliminant; une impasse sur la rivière; Boyne, située; à quelque 80 kilomètres; au nord de Toronto. L'équipe; de militaires et de civils a nettoyé un chenal d'un mètre; de largeur dans l'im- passe afin de permettre aux truites de frayer plus loin en amont dans des eaux claires. En enlevant l'impasse, il est également; plus facile de contrôler; les eaux de crue dans la région.;

Le sgt Roger Caron, du 700e Escadron des communications, qui a organisé les quatre derniers Eco Challenge, est ici en train d'opérer; une scie mécanique.; Il pense déj;à au projet de nettoyage écologique; de l'an prochain. « C'est une excellente façon; d'engendrer la collaboration au sein de la communauté et d'avoir en même; temps un impact positif sur l'environnement. »

Clean challenge: Reservists from 700 Communication Squadron and 400 Tactical Helicopter Squadron, all from 16 Wing Borden, along with civilians from the Nottawasaga Valley Conservation Authority and the Nottawasaga Steelheaders Association, participated in the fourth annual South Simcoe County Eco Challenge June 11 during Environmental Week.

Eco Challenge 2000 was designed to clear a rainbow trout migration route by removing a logjam on the Boyne River, located approximately 80 km north of Toronto. The combined CF and civilian environmental team cleared a one-metre channel through the logjam to allow trout to spawn further upstream in clear headwaters. Removing the logjam also helps control floodwaters in the area.

Sergeant Roger Caron of 700 Communication Squadron, who organized the last four Eco Challenges, is pictured running the chainsaw. He is already looking to next year's environ- mental clean-up project. "It's a great way to foster co-operation with the local community, as well as making a positive impact on the environment," he said.

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis (819) 776-2814


La Force aérienne; maintient sa présence; à Aviano


Image: Le capt Jason Paquin dans son CF-18. Il a ét;é affecté à Aviano, en Italie, pour deux mois. Photo: Sgt / sgt France Dupuis

par Kristina Davis

Peu importe où il se trouve dans le monde,pour le technicien en avionique, le cpl Nicholas Kolotylo, les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Ça; fait partie de son travail.

Affecté à Aviano, en Italie, le cpl Kolotylo et d'autres membres de la Force aérienne;, surtout de la 4e Escadre Cold Lake, main- tiennent la présence; canadienne au Kosovo grâce; à un parc de six CF-18.

Bien que les hostilités; aient cessé il y a plus d'un an et que le rythme des opérations; ait ralenti dans l'ex-Yougoslavie, le mandat des Canadiens n'a pas changé.; « Nous avons les mêmes; missions aériennes; que durant le conflit », constate le capt Jason Paquin, pilote de CF-18, « mais sans armes réelles.; »

D'habitude, quatre avions décollent; tous les jours et effectuent diverses missions. L'entraînement; à Aviano consiste en une

gamme variée; d'activités;, allant notamment de l'appui aérien; rapproché aux exercices tactiques. Les pilotes canadiens participent aussi à des exercices conjoints, où ils volent en compagnie de pilotes de divers autres pays. Lors de simulations d'attaques aériennes;, certains pays jouent le rôle; des « méchants; » tandis que les autres doivent défendre; leur sol.

Le capt Paquin croit à l'importance de leur contribution. Lorsque d'autres pilotes ou lui-même; ont un briefing sur le renseignement, ils se rendent bien compte à quel point la région; est instable. « Les gens

Capt Jason Paquin poses in his CF-18. He was posted to Aviano, Italy, for two months.

souffrent encore là-bas.; La dernière; chose que nous voulons, c'est d'un autre conflit. »

Contrairement au personnel de soutien, qui est affecté à Aviano pour six mois à la fois, les pilotes ne restent en Italie que deux mois - et ce n'est pas parce qu'ils n'aiment pas le paysage. Les pilotes de CF-18 doivent varier les missions afin de conserver leurs habiletés.; Les types de vols qu'ils font à Aviano ne leur permettent pas de conserver ces habiletés.; S'ils y demeuraient plus de deux mois, ils devraient se recycler à leur retour au Canada.

Quant au cpl Kolotylo, il s'agit de sa deuxième; période; de service en Europe. Il travaille par quarts, soit le matin ou le soir, donc ses heures changent d'une semaine à l'autre. Durant le quart du matin, les tech- niciens préparent; l'avion pour le vol;

l'après-midi;, ils réparent; les « pannes » ou les problèmes; du CF-18. Le cpl Kolotylo souligne qu'il y a beaucoup à faire dans le secteur, y compris la passion italienne, le soccer. Les fans sont pas mal excités.; « C'est tout aussi amusant d'observer les spectateurs que de regarder le match. »

Le lcol Steve Whiteley commande le détachement; à Aviano. Avec un personnel de 110 Canadiens, il y a beaucoup d'activités; au camp Maple Leaf, y compris l'emballage et le déballage;, non pas des bagages, mais du camp lui-même.; En fait, l'emplacement du camp a changé à plusieurs reprises depuis l'Op Allied Force, et un autre dém;énagement; est prévu.;

Le lcol Whiteley indique que son équipe; comprend l'importance de son rôle.; Que ce

soit pour l'appui des opérations; de l'OTAN ou l'aide apportée; à la KFOR ou à la SFOR, des pilotes sont en mesure de survoler le Kosovo ou la Bosnie en tout temps.

« Nous offrons une présence; visible, explique-t-il, afin de convaincre les gens qu'il y va de leur intér;êt; de travailler pour la paix. »

Les membres possèdent; un bon moral et ils peuvent rester en communication constante avec leurs familles par l'intermédiaire; du tél;éphone; et du courriel, indique le lcol Whiteley. Il existe, par ailleurs, beaucoup d'occasions de voyager. « C'est bon pour les gens de s'éloigner; du travail pour recharger leurs batteries. »

En juillet, le groupe de Cold Lake remettra le service d'avant-garde au personnel de la 3e Escadre Bagotville.

Image: Photo: Mike Reyno

La sécurit;é avant tout. Une enquête; sur la sécurit;é des vols a confirmé qu'une fissure dans la ferrure de la boîte; d'engrenage principale a forcé un Sea King de la 12e Escadre Shearwater à se poser, le 17 avril dernier. L'équipage; du Sea King a atterri après; avoir noté plusieurs indices de fuite de l'huile de la transmission principale. Une première; analyse a indiqué que la ferrure n'était; pas défectueuse.; La défaillance; serait due à une « fissuration sous contrainte », probablement causée; par un serrage excessif lors de l'installation.

Le 17 juin, une deuxième; ferrure fissurée; de manière; similaire a ét;é trouvée; dans un Sea King, sur la côte; du Pacifique. La découverte; de la seconde fissure a entraîn;é une inspection du parc aérien; au complet. Jusqu'à maintenant, les techniciens ont inspecté et approuvé 21 des 28 Sea King dotés; de la pièce; en question.

Entre-temps, les techniciens responsables de l'installation de ces dispositifs ont tous ét;é avisés; du problème.; On leur a rappelé les procédures; d'installation adéquates; afin d'éviter; que le problème; ne se reproduise. Cette inspection n'a eu qu'un très; faible impact sur les activités; de vol à Shearwater.

Safety first: A flight safety investigation confirmed that a cracked fitting on the main gearbox led to the impromptu landing of a Sea King from 12 Wing Shearwater on April 17. A Sea King crew landed the helicopter after noting multiple indications of an oil transmission leak. Initial analysis indicated the fitting is not defective but was likely a failure caused by "stress cracking", possibly due to over-tightening during installation.

A second, similarly cracked fitting was discovered on a West Coast Sea King on June 17. The discovery of the second cracked fitting prompted a fleet-wide inspection. So far, technicians have inspected and cleared 21 of the 28 Sea Kings with the part installed.

In the meantime, all technicians responsible for installing these components have been alerted to the problem and reminded of correct installation procedures to prevent recurrence. This inspection has had a very minor impact on flying activities at Shearwater.

Vol. 3, No. 26, 2000



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