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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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This page contains both English and French articles.

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Federal tax reductions now in effect


The decrease in the federal portion of personal income tax announced by the Minister of Finance in the govern- ment's Budget for Fiscal Year 2000-01 is now reflected in your net pay.

For example, in Ontario and Quebec, a four-person family with a single annual income of $40 000 will see a tax reduction of $550 in 2000, while a couple with two children and an annual income of $70 000 will see a $1200 reduction. (These figures do not include child benefit or family allowances.)

The effect on individuals in CF and DND depends, to a large degree, on personal family financial situations. To determine the federal reduction applicable to your salary, consult the Finance Department Web site at www.fin.gc.ca/newse00/00-051e.html.

Keep in mind the tax reduction is further amplified by provincial and territorial changes-budgets for Nova Scotia, Prince Edward Island, New Brunswick, Ontario, Manitoba, Saskatchewan, the Yukon and Quebec also

contain tax changes.

Highlights of the federal government's five-year tax reduction include:  
* the restoration of full indexation of the personal income tax system to protect taxpayers against tax increases caused by inflation, effective January 1, 2000. This benefits all DND employees and CF members;

* the reduction of the middle tax rate to 23 percent from 26 percent, starting with a two-point reduction to 24 percent in July;

* an increase in the amount that Canadians can earn tax- free to at least $8000, and an increase in the amounts to which the middle and top rates apply to at least $35 000 and $70 000, respectively;

* an enrichment of the Canada Child Tax Benefit over five years until the maximum benefits reach $2400 for a first child and $2200 for a second child;

* the elimination of the five-percent surtax on middle- income Canadians with incomes up to $85 000 as of

July 1 2000, and the complete elimination of the surtax by 2004. This measure will have an impact on CF members at the rank of Captain, Incentive Level 7 and above. Under the new rules, the surtax will affect Lieutenant- Colonels and above, as well as some specialists such as pilots, doctors and lawyers at the rank of Major;

* an increase to 25 percent for 2000 and to 30 percent for 2001 to the permissible foreign content of investment in Registered Pension Plans (RPPs) and Registered Retirement Savings Plans (RRSPs); and  
* the lowering of capital gains taxes by the reduction in the amount of capital gains included in income for tax purposes from three-quarters to two-thirds. While the income tax reduction from province to province, salary scale and family situation differ, military personnel will see an annual income tax reduction from July onward. These income tax reductions will improve the quality of life for military members and their families. Source: Director Accounts Processing, Pay and Pensions (DAPPP).

Réductions; d'impôt; féd;érales; en vigueur maintenant


Canadian Forces to deploy military trainers to Sierra Leone


Defence Minister Art Eggleton announced July 19 that Canada is sending up to 10 military members to fill positions with the UK-led International Military Advisory Training Team (IMATT) in Sierra Leone. They will arrive in Sierra Leone in early September 2000. With the five UN Military Observers currently serving in Sierra Leone, this deployment will bring the total number of Canadians serving there to fifteen.

"Our CF members will provide advice and training to help the Government of Sierra Leone re-build a new, effective and democratically accountable Armed Forces in line with the Lomé Peace Agreement, signed between the belligerents in July 1999," said Mr. Eggleton. "The efforts of the Canadian Forces and its allies are vital to the long-term restoration of peace, security and stability in this country."

This is a one-year commitment for Canada. CF members will serve for periods of six months in such positions as chief instructors for infantry battalions and as members of the Sierra Leone Army's (SLA) Recruit Screening Center.

Les réductions; annoncées; à l'impôt; féd;éral; sur le revenu des particuliers pour l'exercice financier 2000-2001 apparaissent dès; maintenant sur votre salaire net.

Ainsi, au Québec; et en Ontario, une famille de quatre personnes avec un revenu annuel unique de 40 000 $ bén;éficiera; d'une réduction; d'impôt; d'environ 550 $ en 2000, tandis qu'un couple avec deux enfants ayant un revenu annuel de 70 000 $ bén;éficiera; d'une réduction; de 1200 $. Ces montants ne comprennent pas les prestations fiscales pour enfants ni les allocations familiales.

Soulignons que ces calculs font abstraction des réductions; d'impôt; provinciales et territoriales. Les budgets de la Nouvelle-Écosse;, de l'Île-du-Prince-;Édouard;, du Nouveau-Brunswick, de l'Ontario, du Manitoba, de la Saskatchewan, du Yukon et du Québec; contiennent également; des changements.

Voici les faits saillants du programme gouvernemental de réduction; sur cinq ans :  
* À compter du 1er janvier 2000, rétablissement; de l'indexation totale du système; d'impôt; sur le revenu des particuliers, afin de protéger; les contribuables contre les hausses d'impôt; dues à l'inflation. Cette mesure va profiter à tous les membres des FC et employés; du MDN;

* Le taux moyen d'impôt; passera de 26 p. 100 à 23 p. 100, en commençant; par une réduction; à 24 p. 100 en juillet 2000;  
* Augmentation du revenu que les Canadiens peuvent gagner sans frais d'imposition, soit jusqu'à au moins 8000 $, et augmentation des montants auxquels les taux moyens et élev;és; s'appliquent, soit jusqu'à au moins 35 000 $ et 70 000 $, respectivement;

* Hausse de la prestation fiscale canadienne pour enfants étal;ée; sur 5 ans, alors que le maximum des prestations atteindra 2400 $ pour un premier enfant et 2200 $ pour un second;

* À compter du 1er juillet 2000, élimination; de la surtaxe de 5 p. 100 sur les revenus allant jusqu'à 85 000 $, puis élimination; complète; de la surtaxe d'ici 2004. Cette mesure va toucher les membres des FC ayant le grade de capitaine, niveau de prime de rendement 7 et plus. Selon les nouveaux règlements;, la surtaxe affectera seulement les lieutenants-colonels et ceux de grade supérieur;, ainsi que certains spécialistes;, tels que les pilotes, médecins; et avocats ayant le grade de major;

* Augmentation de 25 p. 100 pour 2000 et de 30 p. 100 pour 2001 du contenu étranger; admissible des investissements en régimes; de pension agréés; (RPA) et en régimes; enregistrés; d'épargne-retraite; (REER);

* Diminution des trois-quart aux deux-tiers de l'impôt; applicable aux gains de capital, grâce; à la réduction; du montant des gains de capital inclus dans le revenu à des fins d'imposition.  
Bien que l'incidence de ces mesures sur les membres des Forces canadiennes et les employés; du MDN dépende; en grande partie de la situation financière; familiale et personnelle, les réductions; d'impôt; contribueront certainement à améliorer; la qualité de vie des militaires et de leurs familles.

Pour déterminer; les réductions; applicables à votre salaire, vous pouvez consulter le site Web du ministère; des Finances, à www.fin.gc.ca/news/00/00-15f.html. Source : Direction - Traitements des comptes, soldes et pensions (DTCSP)

Les FC enverront des instructeurs militaires en Sierra Leone


Le ministre de la Défense;, Art Eggleton, a annoncé le 19 juillet que le Canada enverra jusqu'à 10 membres des FC en Sierra Leone afin de combler des postes dans l'Équipe; militaire internationale consultative en matière; d'instruction (IMATT), dirigée; par le R.-U. Leur arrivée; en Sierra Leone est prévue; pour le début; de septembre 2000. Avec les cinq observateurs militaires de l'ONU déj;à en poste, cet envoi portera à 15 le nombre de Canadiens affectés; en Sierra Leone.

« Nos militaires conseilleront et donneront de l'instruction afin d'aider le gouvernement de la Sierra Leone à rebâtir; des forces armées; nouvelles, efficaces et responsables devant la démocratie;, en conformité avec l'accord de paix de Lomé signé entre les belligérants; en juillet 1999, a déclar;é le ministre Eggleton. Les efforts déploy;és; par les Forces canadiennes et leurs alliés; sont cruciaux pour le rétablissement; de la paix, de la sécurit;é et de la stabilité à long terme dans ce pays. »

Il s'agit pour le Canada d'un engagement d'un an, à compter du 1er septembre prochain. Les membres des FC seront affectés; pendant des périodes; de six mois, notamment comme instructeurs-chefs de bataillons d'infanterie et membres du Centre de sélection; des recrues de l'armée; de la Sierra Leone (ASL).

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Photo: Mitch Gillett

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Vol. 3, No. 28, 2000




Image: Pte / sdt  
Jason Hanson

Image: Pte / sdt  
Ron Henschel

Reservists learn the military 'basics'


By Mitch Gillett


The sun is well above the horizon at Land Force Central Area Training Centre Meaford, but the soldiers standing on the parade square are still groggy with sleep.

"Steady up," barks the Sergeant. "Squad; attention! Stand at ease. Stand easy. Squad; attention! Move to the right in threes; right turn." The Sergeant's head snaps to the side when he spots one of his charges turning the wrong way. The severity of the motion makes it seem like his head could go all the way around.

"As you were. Right turn. I said right turn! Where you going, Private? Which is your right? Let's get it together! Let's try this again! Now, steady up. Right turn. Better. Much better. See how easy it is?"

And so it goes for about 600 Reserve  
Force members from across Ontario who are taking basic military training at Meaford. From July into August, a cadre of about 100 Regular Force and Reserve instructors will turn these recruits into soldiers.

Not all the candidates will graduate.  
Some will quit because they find the military life is not for them. Others, for a variety of reasons, will not pass.

Infantry recruit Pte Jason Hanson of  
London, Ont., said the discipline, training and life skills he is learning will serve

him well when he applies to become a police officer. "They really keep us busy and teach us a lot. I really liked our navigation training. We slept outside and did a day and night compass march. That was fun. But the rucksack marches are hard, especially in the hot sun. They are exhausting and hard on the shoulders."

Dressed in full fighting order, the semi- awake soldiers on the parade square get barked at by an instructor and then march to the 300 m rifle range. For the next three days, the concepts of marksmanship, "centre of mass" and range safety will dominate the lives of this section of Reserve Force infantry recruits. Three weeks ago, many of the soldiers in this group had just finished school. Now they are concentrating on putting five rounds in the centre of a paper target 100 m down range.

Many of the new soldiers have never held a weapon of any description. Now they can load, aim and fire a rifle with enough accuracy to stop an advancing enemy soldier. Once they have qualified on the ranges, it is on to other phases of basic training-more drill, more room inspections and more fitness training.

For Pte Ron Henschel of London, Ont., joining the Reserves has been a lifelong dream. "I have always been interested in physical activities. I try to challenge myself and strive to do the best I can," he said. "The instructors are quite stern and I have gained a lot of respect for them. They are quite demanding, but that is part of being in the infantry. The training has to be tough."

Image: Sur la ligne de feu, le sgt S.J. Cunningham, du Toronto Scottish Regiment, agit à titre d'entraîneur; de tir et donne des conseils à un réserviste; sur la façon; d'améliorer; son adresse au tir. Photos: Mitch Gillett

On the firing line, Sgt S.J. Cunningham of the Toronto Scottish Regiment acts as a shooting coach, giving a Reservist pointers on how to improve his marksmanship.

Image: A day at the rifle range is more than just shooting at targets for Reservists completing basic training. (From left) Pte Fraser Cook, Pte Eric Filmere and Pte Chris Malvis, all from the Queen's Own Rifles of Canada, load magazines before moving up to the firing line.

Les réservistes; apprennent les rudiments de la vie militaire


par Mitch Gillett


Le soleil est levé depuis un bon moment au  
Centre d'entraînement; du Secteur du Centre de la Force terrestre, à Meaford, mais les soldats debout sur le terrain de parade titubent encore de sommeil.

« Immobile! crie le sergent. Escouade, garde à vous! En place, repos. Repos. Escouade, garde à vous! Vers la droite, en trois, à droite, tournez. » Le sergent tourne brusquement la tête; de côt;é lorsqu'il voit un de ses hommes tourner dans la mauvaise direction. Le mouvement est d'une telle ampleur qu'on pourrait croire que sa tête; pourrait faire une révolution; complète.;

« Au temps! À droite, tournez. J'ai dit: à droite. Soldat, où allez-vous? Où est votre droite? Refaisons-le ensemble. Encore une fois! Bon, immobile. À droite, tournez. Ça; va mieux. Bien mieux. Voyez-vous comme c'est facile? »

Et c'est ainsi que ça; se passe pour environ 600 membres de la Force de réserve; venus de partout en Ontario pour leur entraînement; militaire de base à Meaford. En juillet et août;, un cadre d'environ 100 instructeurs de la Force réguli;ère; et de la Réserve; va transformer ces recrues en soldats.

Ce ne sont pas tous les candidats qui vont réussir.; Certains vont abandonner parce qu'ils découvrent; qu'ils ne sont pas faits pour l'armée.; D'autres échoueront; pour toutes sortes de raisons.

Le sdt Jason Hanson, de London (Ont.), croit que la discipline, l'entraînement; et les connaissances de base qu'il acquiert vont être; utiles lorsqu'il sollicitera un emploi comme policier. « Ils nous tiennent réellement; occupés; et nous enseignent un tas de choses. J'ai vraiment aimé l'entraînement; à

la navigation. Nous avons dormi à l'extérieur; et fait une marche au compas, de jour et de nuit. C'était; amusant. Mais les marches sac au dos sont ardues en plein soleil. Elles sont épuisantes; et douloureuses pour les épaules.; »

Habillés; de leur attirail complet de combat, les soldats à moitié endormis se font hurler des ordres par un instructeur puis marchent vers le champ de tir de 300 m. Durant les trois jours suivants, les concepts d'adresse au tir, de « centre de masse » et de sécurit;é de champ de tir vont dominer la vie de cette section de recrues de la Force de réserve; de l'infanterie. Il y a trois semaines, pour plusieurs d'entre eux, c'était; la fin des classes. À présent;, ils se concentrent pour essayer de placer cinq coups au centre d'une cible de papier distante de 100 m.

Plusieurs des nouveaux soldats n'avaient jamais tenu une arme dans les mains. À présent;, ils peuvent charger, pointer et tirer de la carabine avec assez de précision; pour arrêter; l'avance d'un soldat ennemi. Après; s'être; qualifié au champ de tir, il faut passer à d'autres phases de l'entraînement; de base : plus d'exercices militaires, plus d'inspections de chambres et plus de conditionnement physique.

Pour le sdt Ron Henschel, de London (Ont.), faire partie de la Réserve; était; le rêve; de sa vie. « J'ai toujours ét;é intéress;é par les activités; physiques. Je me pose des défis; et m'efforce de faire de mon mieux. Les instructeurs sont sév;ères; et j'ai acquis beaucoup de respect à leur égard.; Ils sont plutôt; exigeants, mais ça; fait partie de la vie dans l'infanterie. L'entraînement; doit être; rude. »

Pour les réservistes; qui terminent leur formation de base, une journée; au champ de tir ne consiste pas uniquement à tirer sur des cibles. De gauche à droite, les sdt Fraser Cook, Eric Filmere et Chris Malvis, tous du Queen's Own Rifles of Canada, chargent des magasins avant de se placer sur la ligne de feu.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Entretien d'un parc qui perpétue; la mémoire; d'un soldat


Work on park preserves soldier's memory


par le capt Neville Rabadi

L'entrée; du parc LaRose, un terrain de sport de LOGBATT, sur le plateau du Golan, se distingue par une enseigne portant l'écusson; du Génie; électrique; et mécanique; (GEM) et est flanqué d'une dépanneuse; lourde de 5 tonnes M543-A2 nommée; Rosy. Il ne s'agit pas ici d'un terrain de balle ordinaire.

Les membres du peloton de maintenance de LOGBATT, muté avec le Contingent canadien de la Force des Nations Unies chargée; d'observer le désengagement; (CCFNUOD), ont consacré leurs fins de semaine et leurs heures creuses à remettre à neuf l'entrée; du parc, nommé en l'honneur de leur camarade, le cpl Gregory John (Rosy) LaRose.

Le cpl LaRose, 32 ans, technicien de véhicules; et membre du peloton de maintenance, est déc;éd;é d'un anévrisme; le 8 mai 1993, alors qu'il servait avec le CCFNUOD. Il avait auparavant servi dans la Marine pendant 10 ans.

Le parc LaRose a ét;é rouvert le 15 mai dans le cadre des cél;ébrations; du 56e anniversaire de la branche du GEM, dont la devise est Arte et Marte (Par habileté et par combat). Les festivités; comprenaient également; des tournois sportifs et des barbecues. Le capt Neville Rabadi est officier de la maintenance auprès; du Contingent canadien de la Force des Nations Unies chargée; d'observer le désengagement;, sur le plateau du Golan.

By Capt Neville Rabadi

The entrance to LaRose Park, a LOGBATT sports field in Golan Heights, is marked by a sign bearing the Electrical and Mechanical Engineering (EME) crest, and is flanked by an M543-A2 Kaiser five-ton Wrecker named Rosy. This isn't a typical ballpark.

Members of the Maintenance Platoon of LOGBATT, deployed with the Canadian Contingent United Nations Disengagement Observer Force (CCUNDOF), dedicated their weekends and after-duty hours to refurbish the park entrance, named in honour of their comrade Corporal Gregory John "Rosy" LaRose.

Thirty-two-year-old Cpl LaRose-a Vehicle Technician and member of the Maintenance Platoon-died of an aneurysm while serving with CCUNDOF on May 8, 1993. He previously served 10 years in the Navy.

LaRose Park re-opened May 15 as part of the celebrations of the 56th anniversary of the EME Branch, the motto of which is Arte et Marte (by skill and by fighting). The day's festivities also included sports tournaments and barbecues. Capt Neville Rabadi is a Maintenance Officer with the Canadian Contingent United Nations Disengagement Observer Force, Golan Heights.

Image: LCol David Erickson (second from the right) acknowledges the work by maintainers on LaRose Park, including (from left to right): Cpl Ken Kennedy, Cpl Dave Remus, WO Dave Zong, Cpl Brad Belbin, and Capt Neville Rabadi.Photo : MWO / adjum Dave Otto

Le lcol David Erickson, deuxième; à droite, apprécie; le travail accompli au parc LaRose par les spécialistes; de la maintenance : de gauche à droite, le cpl Ken Kennedy, le cpl Dave Remus, l'adj Dave Zong, le cpl Brad Belbin et le capt Neville Rabadi.

MFRCs provide deployment support to reservists' families


Les CRFM offrent un programme d'appui au déploiement; destiné aux familles des réservistes;


By Allison Delaney


par Allison Delaney


Les Centres de ressources pour les familles des militaires (CRFM) reçoivent; maintenant des fonds dont une partie sert au soutien des réservistes; et de leurs familles avant, pendant et après; les déploiements; outre-mer ou au pays.

Le rapport du Comité permanent de la défense; nationale et des anciens combat- tants (CPDNAC) souligne qu'on n'a jamais vu autant de réservistes; affectés; outre-mer. Mais alors que les membres des Forces réguli;ères; ont toujours bén;éfici;é des services des CRFM, les réservistes; devaient plutôt; compter sur eux-mêmes.; Or, ils ont maintenant le Programme d'appui aux réservistes; pour les aider, eux-mêmes;, leurs conjoints de droit ou de fait, leurs proches et leurs amis.

Grace Betts, coordonnatrice de l'éducation; et de la qualité de vie auprès; du Directeur - Service aux familles des militaires (DSFM), estime que les réservistes; affectés; outre-mer ont les mêmes; tâches; que les membres de la Force réguli;ère; et méritent; donc le même; type d'appui. « Avant cette nouvelle initiative, lorsque les réservistes; revenaient d'outremer, ils assistaient parfois à une séance; d'information de post-déploiement;, mais c'était; à peu près; tout. Pour le CPDNAC, c'était; inacceptable et un soutien plus durable était; nécessaire.; »

Aujourd'hui, les réservistes; bén;éficient; de tous les avantages offerts aux membres de la Force réguli;ère; quant aux services d'appui au déploiement.; Après; une affectation au pays, par exemple lors des inondations à Winnipeg et de la tempête; de verglas au Québec;, les membres des FC et leurs familles reçoivent; tous un soutien de suivi pendant un an de la part de leur CRFM. Les affectations outre-mer donnent droit à ce soutien pendant deux ans.

Le service, qui remonte à la fin de 1999, doit surmonter le fait que la plupart des unités; de la Réserve; ne sont pas postées; près; d'un CRFM. Chaque centre est responsable de certaines unités; de la Réserve; et ce sont les sections régionales; qui sont chargées; de desservir ces unités;, précise; Mme Betts.

« Le personnel des CRFM a noué des liens avec des commandants d'unité.; Ses membres utilisent également; des bulletins d'information et vont parfois visiter des postes loin- tains. Le pays est traversé par un vaste réseau; d'aide aux familles conçu; pour soulager le stress lié aux déploiements.; Maintenant, les réservistes; peuvent rejoindre leur poste sans s'inquiéter; pour leur famille. »

La politique des CRFM stipule que les familles des réservistes; en service actif ont droit à tous les programmes du CRFM, soit les services de programmation, d'information, d'orientation et de dépistage;, les soins aux enfants, les interventions d'urgence et les programmes de qualité de vie. Mme Betts ajoute que la plupart des réservistes; affectés; au maintien de la paix sont plutôt; jeunes et encore célibataires.; Ce sont donc leurs parents qui sont informés; et soutenus pendant que leurs enfants servent outre-mer.

« La Force de réserve; semble beaucoup apprécier; cette nouvelle initiative. Le CPDNAC a reconnu l'existence d'un vrai besoin, et nous avons maintenant l'argent et les ressources pour y répondre.; »

Pour plus de renseignements sur le Programme de soutien aux réservistes;, veuillez communiquer avec votre CRFM et demander le coordonnateur de l'appui au déploiement.;

Local Military Family Resource Centres (MFRCs) now receive funding to include support for Reservists and their families before, during and after overseas and domestic deployments.

The SCONDVA (Standing Committee on National Defence and Veterans Affairs) report highlighted the fact that more Reservists than ever before are heading on overseas tours. While Regular Force members have always benefited from MFRC services, Reservists tended to be left to their own devices. Now they have the Reservist Support Program to assist them, their spouses, common-law partners, siblings and friends.

Grace Betts, Education and Quality of Life coordinator in Director Military Family Support (DMFS), said Reservists, when on a tour, do the same jobs as members of the Regular Force and deserve the same kind of support. "Prior to this new initiative, when Reservists came home from a tour, they might have received a post- deployment briefing, but that was about it," she said. "SCONDVA said that is unacceptable and more long-term support is needed."

Today, everything offered to the Regular Force in terms of deployment support is now being offered to Reservists. After tours within Canada, such as the Winnipeg Floods and the Quebec Ice Storm, all CF members and their families receive a year of follow-up support from local MFRCs. Overseas tours warrant two years of follow-up support.

The challenge in delivering this service, which kicked off in late 1999, is that the majority of Reserve units are not located near a MFRC. Every MFRC across the country is responsible for certain Reserve units, and Mrs. Betts said local chapters have mandates to reach out to these units.

"MFRC staff have made connections with unit commanding officers. They also use newsletters and occasionally visit distant units," she said. "There is a strong network throughout the country to support families and help buffer the stresses related to deployments. Now Reservists can go away and do what they have to do without worrying about home."

DMFS policy states families of Reservists on active duty will have access to all programs available at the MFRCs. This includes programming; information, referral and outreach; child care; crisis emergency intervention; and quality of life programs. In addition, Mrs. Betts said the majority of Reserve peacekeepers are fair- ly young and have not yet married. Therefore, parents are considered next-ofkin and are now being provided with information and support while their children are serving overseas.

"The Reserve Force seems to really appreciate this new initiative," she said. "SCONDVA recognized a need that was definitely there, and now we have the dollars and resources to provide it."

For more information on the Reservist Support Program, contact your local MFRC and ask for the Deployment Support Coordinator.

Image: Le sdt Tiffany Webber, de Owen Sound (Ont.), réserviste; dans l'Armée; pour les Grey and Simcoe Foresters, vérifie; son équipement; après; un long voyage en autocar à Fort Knox, au Kentucky, pendant l'Ex Southern Drive. Photo: MCpl / cplc Rick Ruthven, Combat Camera, Ottawa

Pte Tiffany Webber of Owen Sound, Ont., an Army reservist with the Grey and Simcoe Foresters, checks her kit after a long bus ride to Fort Knox, Kentucky, for Exercise SOUTHERN DRIVE.

Vol. 3, No. 28, 2000




Chasseur de livres


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par Aline Dubois


Depuis 1993, le maj Michel Litalien, officier réserviste; à l'emploi de Histoire et Patrimoine, au MDN, traque le livre d'histoire militaire du Canada. Pour satisfaire son penchant de collectionneur, il parcourt le Canada en tous sens, furetant dans les librairies, les congrès; de collectionneurs, les marchés; aux puces. Résultat; : il possède; aujourd'hui 1300 titres, soit la plus imposante collection privée; du genre au Canada.

Dans la bibliothèque; de son appartement, à Ottawa, où chaque livre habite méticuleusement; son espace,

le maj Litalien circule d'un volume à l'autre les yeux fermés; et quand il brandit ses trophées; de chasse, il a des étoiles; plein les yeux. « Voici mon préf;ér;é : When Your Number's Up: The Canadian Soldier in the First World War, de Desmond Morton. Nos croisés;, ou histoire anecdotique de l'expédition; des volontaires canadiens à Rome pour la défense; de l'Église;, d'un auteur anonyme, et Journal des opérations; de l'Armée; américaine; lors de l'invasion du

Canada en 1775-1776, par J. D. Badeaux, publiés; en 1871, sont les plus anciens que je possède.; »

Au cours de ses pér;égrinations; livresques, le maj Litalien a fait d'heureuses découvertes.; « Dans un lot de vieux exemplaires de la revue britannique Punch

publiés; de 1914 à 1919, j'ai mis la main sur le numéro; où le cél;èbre; poème; du lieutenant-colonel canadien John McCrae, In Flanders Fields, a ét;é publié pour la première; fois. J'ai aussi acheté, pour une somme très; modique, un exemplaire américain; de l'histoire illustrée; de la Guerre de 1914-1918

(publié en 1919) avec photo et signature authentique de l'as canadien Billy Bishop! »

Manquent à sa collection : The Fighting Newfoundlanders, de G.W.L. Nicholson (1964), et Merry Hell: A Dane with the Canadians, de Thomas Dinesen (1931).

Le maj Litalien a aussi d'autres passions. Admirateur inconditionnel de Joséphine; Baker, de la musique swing et des peintres abstraits du début; du XXe siècle;, c'est aussi un grand connaisseur de bières.; Il en aurait goût;é à ce jour environ 1200 marques.

Né en Allemagne d'un père; membre des FC, le maj Litalien, qui a servi pendant 17 ans auprès; de l'Unité de réserve; du 51e Bataillon de service de Saint-Hubert (Qc), est cofondateur de l'association des familles Létoile; et Litalien, ses ancêtres.; Il est aussi membre de l'Ordre de Saint-Jean, récompense; attribuée; pour son implication au sein de l'Ambulance Saint-Jean. Il pré-; pare actuellement un mémoire; de maîtrise; sur l'hôpital; militaire gén;éral; no 6 de l'Université Laval, en opération; pendant la Première; Guerre mondiale.

The book hunter


Le maj Michel Litalien dans son antre, entouré de quelques-uns des 1300 livres de sa collection sur l'histoire militaire du Canada.

Maj Michel Litalien in his den, surrounded by some of his 1300 books on Canadian military history.

By Aline Dubois

Major Michel Litalien, a reserve officer working in History and Heritage, has searched "high and low" for Canadian military history books since 1993. To satisfy his collector's urge, he crisscrosses Canada to browse in bookstores, scours collectors' conventions and rummages at flea markets. The result? Maj Litalien owns more than 1300 titles and boasts the most impressive private collection of its kind in Canada.

In the meticulously kept library of his Ottawa apartment, where each book is in its place, Maj Litalien moves from one volume to the next with his eyes closed.

"Here is my favourite: When Your Number's Up: The Canadian Soldier in the First World War, by Desmond Morton," he says. "Nos croisés;, ou histoire anecdotique de l'expédition; des volontaires canadiens à Rome pour la défense; de l'Église;, by an anonymous author, and Journal des opérations; de l'Armée; améri-; caine lors de l'invasion du Canada en 1775- 1776, by J. D. Badeaux, published in 1871, are the oldest I have."

During his bibliophilic journeys, Maj Litalien made some happy discoveries. "In a bundle of British Punch magazines, published in the 1915-1919 period, I found the edition in which Canadian Lieutenant-Colonel John McCrae's poem In Flanders Fields was first published," he said.

"For a very reasonable price, I also bought a 1919 copy of an American illustrated history of the 1914-1918 war that has a photo, complete with authentic signature, of Canadian ace Billy Bishop."

Still missing from Maj Litalien's collection are: The Fighting Newfoundlanders, by G. W. L. Nicholson (1964), and Merry Hell: A Dane with the Canadians, by Thomas Dinesen (1931).

Maj Litalien's passions are not limited to books. He is also an admirer of Josephine Baker, swing music, and abstract paintings from the beginning of the 20th century. As well, he is a beer connoisseur: Maj Litalien has sampled some 1200 brands.

Born in Germany to a CF member father, Maj Litalien, who has served 17 years with the 51st Service Battalion from Saint Hubert, Que., is cofounder of the Létoile; and Litalien Families Association, which represents his ancestry. He is also a Member of the Order of St. John, an award granted in recognition of his service with St. John Ambulance. Currently, Maj Litalien is preparing a Master's thesis on the Number 6 Military Hospital of Laval University, which operated during the First World War.

JTF 2 recruiting campaign continues


Joint Task Force 2 (JTF2) is the CF unit responsible for the federal level of counter terrorism and hostage-rescue operations.

Its mandate demands that unit personnel possess very specific personal attributes and capabilities. JTF2 is looking for mature, intelligent individuals who are mentally, emotionally and physically fit with above average recognition and reaction skills.

The program is now open for competition on a continuous basis. PSOs began screening CF volunteers for category A (Assaulters) and category B (Mobility) year- round as of April 1, 2000. Applications for selection 2000 must be received by Dwyer Hill Training Centre (DHTC) no later than September 29, 2000.

The basic eligibility requirements are:  
* Medical category minimum 32225;

* Minimum of three years of service; and  
* Reservists must have a minimum of three years of service and be prepared to commit to a three-year period of service on completion of skills training.

The recruiting campaign will be conducted as follows:  
* Phase 1: Candidates must volunteer through their chain of command. Application for Service with JTF2 is to be completed by applicant's unit. Application forms are available at PSO offices. The applicant will under- go the JTF2 physical fitness evaluation. Phases 1 and 2, with pre-selection screening at the unit/base level, will run from April 1 to September 29.

* Phase 2: This screening is conducted at PSO locations, including a diagnos-

tic test to assess cognitive ability and an interview.

* Phase 3: Successful phase 2 applicants selected will be invited to one of three 6-day selection sessions, conducted at DHTC between October 22 and November 26, 2000.

* Phase 4: Successful applicants will be course loaded on the five-month Special Operation Assaulter Course or Mobility Skills Training, from March to August 2001.

JTF2 provides extremely challenging and rewarding employment to its members. If you have any questions regarding JTF2 screening and selection, contact the recruiting sergeant using the toll-free number, 1-800-959-9188 or refer to CANFORGEN 035.  
DARE TO BE CHALLENGED.

La campagne de recrutement de la FOI 2 se poursuit


La Force opérationnelle; interarmées; 2 (FOI 2) est l'unité des FC responsable des opérations; féd;érales; de lutte contre le terrorisme et du sauvetage en cas de prise d'otages.

En vertu du mandat qui leur est confié, les membres de cette unité doivent posséder; des qualités; et des capacités; personnelles bien définies.; La FOI 2 recherche notamment des personnes sérieuses; et intelligentes qui, sur les plans mental, émotionnel; et physique, font preuve d'habiletés; de reconnaissance et de réaction; au-dessus de la moyenne.

Le programme est désormais; ouvert en permanence aux candidats qui désirent; s'y inscrire. Depuis le 1er avril 2000, les officiers de sélection; du personnel font la prés;élection; des volontaires des FC de la catégorie; A (assaut d'opération; spéciale;) et de la catégorie; B (mobilité) toute l'année.; Les demandes des candidats pour la sélection; de 2000 doivent parvenir au Centre d'entraînement; de Dwyer Hill (CEDH) au plus tard le 29 septembre 2000.

Les critères; d'admissibilité de base sont :  
* Catégorie; médicale; minimum 32225;  
* Minimum de trois ans de service;  
* Les réservistes; doivent avoir un minimum de trois ans de service et consentir à servir pour une période; de trois ans suivant l'acquisition de leurs nouvelles compétences.;

La campagne de recrutement se déroulera; comme suit :  
* Phase 1 : Les candidats doivent se porter volontaires par l'entremise de leur chaîne; de commandement. La demande de service auprès; de la FOI 2 doit être; remplie par l'unité du candidat. Les formulaires peuvent être; obtenus auprès; du bureau des officiers de sélection; du personnel. Les candidats doivent se soumettre à l'évaluation; de forme physique de la FOI 2. Les phases 1 et 2 (la prés;élection; étant; effectuée; à l'unité ou à la base) se dérouleront; du

1er avril au 29 septembre.

* Phase 2 : La prés;élection;, qui se fait dans les bureaux des officiers de sélection; du personnel, comprend une épreuve; diagnostique permettant d'évaluer; la compétence; cognitive ainsi qu'une entrevue.

* Phase 3 : Les candidats choisis ayant réussi; la phase 2 seront invités; à participer à l'une des trois séances; de sélection; de six jours tenues au CEDH du 22 octobre au 26 novembre 2000.  
* Phase 4 : Les candidats ayant franchi les étapes; précit;ées; seront admis à la formation de cinq mois en Assaut d'opération; spéciale; ou Mobilité, donnée; à compter de mars en 2001.

La FOI 2 offre à ses membres des postes extrêmement; stimulants et enrichissants. Pour toute question concernant la prés;élection; et la sélection; de la FOI 2, communiquez avec le sergent recruteur en composant sans frais le 1-800-959-9188 ou reportez-vous au CANFORGEN 035. ACCEPTEZ LE DÉFI;!


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


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