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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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TALK


À VOUS


On the subject of religion and the parade square, I believe that the issue reduces itself to an issue of respect for the dignity of people.

It is true that the Charter of Rights and Freedoms guarantees freedom of religion as an individual right. It is also true that DND should reflect and respect Canadian rights and freedoms, and not infringe on the legitimate individual rights of people. In that respect, and when acting as a public person, private religious beliefs cannot be used to justify any departmental policy or activities. Justification must appeal to "neutral" public or defence values expressed and shared by the defence community and that are fair to all.

Rethinking rituals that are long-held and steeped in tradition is an emotional and difficult subject. Religious faiths run very deep. Whether or not to institutionalize blessings from any faith as part of military culture is a sensitive issue. It may be a sad loss to some, but issues of fairness and respect to all do exist.

How would a Christian feel about Islamic, Shinto, Jewish or Aboriginal blessings, and vice versa? Some would not mind and some would. The Supreme Court of Canada has ruled that the force of the state cannot be used to impose religious practices that do not respect the dignity of non-Christians, except as justified by vital national objectives. As we come to terms with this, the solution to balancing these competing values may lie in the availability of religious services and blessings separate from official public activities. Although an unfortunate loss to some, and a gain to others, the overriding issue is that no one should ever be made to feel diminished because of their legitimate religious beliefs.

Col J.P.M. Maillet

Director of Defence Ethics

The Contractor Support Project provides for contracted personnel to fill non-tactical positions in a mature theatre of operations, such as Bosnia, where the threat level has considerably diminished over the past few years. The civilian contractors will not be armed and will certainly not be used to replace soldiers in any combat or combat support roles.

Historically, the CF has used civilians to provide many non-tactical services on its overseas bases and camps. Currently, in Bosnia, the Canadian contingent employs more than 200 Locally Engaged civilian employees. The use of civilians to fulfil support functions on our deployed operations is not new. What is new with the CSP is hiring a Canadian corporation to manage those services.

LCol (Ret) Kernaghan proposes the use of reservists instead of civilian contractors. Reservists do serve today on these missions and will continue to do so. However, the current operational tempo has stretched our Regular and Reserve Force structure capacity, particularly for support, engineering and communications functions.

The point here is that we need to look at contractor support in deployed missions as a means to relieve the burden on our military personnel, by augmenting rather than replacing existing military support capability.

I would invite anyone who wishes to get more information on the CSP to visit D-Net's Current Operations Web site and look for the Operations Update Briefing dated July 6, 2000. The D-Net address is www.dnd.ca.

Col Mike Gervais

CSP - Project Director

qualifiait à tort de « mercenaire » tout civil travaillant pour les FC au Canada ou à l'étranger.;

Le Projet de soutien des entrepreneurs (PSE) permet à du personnel contractuel d'occuper des postes non tactiques dans un théâtre; d'opérations; « mûr; », comme la Bosnie, où le niveau de menace a considérablement; diminué au cours des dernières; années.; Les entrepreneurs civils ne seront pas armés; et ne seront certainement pas utilisés; pour remplacer des soldats dans n'importe quel rôle; de combat ou d'appui tactique.

Les FC ont toujours fait appel à des civils pour fournir de nombreux services non tactiques sur leurs bases et camps d'outre-mer. En Bosnie, le contingent canadien emploie actuellement plus de 200 civils recrutés; localement. L'emploi de civils dans des fonctions de soutien au sein de nos opérations; de déploiement; n'est pas nouveau. La nouveauté, c'est que le PSE fait appel à une compagnie canadienne pour gérer; ces services.

Le lcol (ret) Kernaghan propose de faire appel à des réservistes; plutôt; qu'à des entrepreneurs civils. Il y a des réservistes; qui servent actuellement dans les missions et ils continueront de le faire. Cependant, le rythme actuel des opérations; a grevé, jusqu'à la limite, la capacité de la structure de la Force réguli;ère; et de la Réserve;, en particulier dans les fonctions de soutien, de génie; et de communications.

Nous devons considérer; le soutien des entrepreneurs dans les missions déploy;ées; comme un moyen d'alléger; les pressions exercées; sur notre personnel militaire, en augmentant plutôt; qu'en remplaçant; la capacité de soutien militaire existante.

J'inviterais toute personne souhaitant obtenir plus d'information sur le PSE à consulter le site Internet de D-Net sur les opérations; en cours et à rechercher la session d'information sur les opérations;, datée; du 6 juillet 2000. L'adresse de D-Net est www.dnd.ca.

[traduction]

Col Mike Gervais

Directeur de projet - PSE

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they are entitled is certainly not a morale booster. This is also a quality of life issue. Why can't NDHQ get the medals out on time? In this era of "more work, less people", it appears that the member is the one paying the price all around for downsizing.

MCpl Juanita Cummings

RMS Clerk DCIEM, Toronto

la parole


Les CD sont en retard


Religion on the parade square


droits individuels et légitimes; des gens. À cet égard; et lorsqu'on agit à titre de personne publique, les croyances religieuses personnelles ne peuvent être; utilisées; pour justifier n'importe quelle politique ou activité ministérielle.; L'argument doit faire appel aux valeurs d'un public « neutre » ou à des valeurs d'ordre militaire qui sont énonc;ées; et partagées; par la communauté militaire et qui sont équitables; pour tous.

Réfl;échir; sur des rituels pratiqués; depuis très; longtemps et enracinés; dans la tradition est une question émotive; et difficile. Les croyances religieuses sont profondément; ancrées.; Le choix d'une bén;édiction; institutionnalisée; provenant d'une religion donnée; est un sujet délicat.; Certains peuvent y voir une perte, mais il existe envers tous une question d'équit;é et de respect.

Comment un chrétien; se sentirait-il face à une bén;édiction; islamique, shintoïste;, juive ou aborigène;, ou inversement? Certains l'accepteraient et d'autres pas. La Cour suprême; du Canada a décid;é qu'on ne pouvait pas utiliser l'autorité de l'État; pour imposer des pratiques religieuses qui manquent de respect envers les nonchrétiens;, sauf dans le cas de buts nationaux vitaux. Lorsqu'on accepte ça; et pour arriver à un équilibre; des valeurs divergentes, la solution pourrait être; de rendre accessibles des bén;édictions; et des offices détach;és; des cér;émonies; publiques. Bien que ce soit une perte pour certains et un gain pour d'autres, l'essentiel est que person- ne ne devrait se sentir abaissé pour des raisons de croyances religieuses légitimes.;

[traduction]

Col J. P. M. Maillet

Directeur du Programme d'éthique; de la Défense;

J'ai droit à une CD depuis neuf mois mais je n'ai encore rien reçu.; Dans mon unité, il y a d'autres personnes qui attendent depuis aussi longtemps que moi et même; davantage (jusqu'à un an). On m'affirme qu'il y a un retard sérieux; au bureau du QGDN qui voit à cela.

Je suis supposée; être; libér;ée; en janvier 2001. Au rythme actuel de distribution, je n'aurai pas ma CD avant mon départ.; Cependant, la médaille; est « dans le courrier » et il n'y aura ni présentation; ni témoignage; de reconnaissance pour longs et loyaux états; de service.

Quant aux autres dans mon unité, le fait de ne pas pouvoir porter une médaille; à laquelle ils ont droit n'est pas bon pour leur moral. C'est aussi une question de qualité de vie. Pourquoi le QGDN ne peut-il pas avoir les médailles; à temps? En cette époque; du « faire plus avec moins », il semble que le membre ait à payer la note pour la rationalisation.

[traduction]

Cplc Juanita Cummings

COMMIS SGR IMCME Toronto

Contractors are not 'mercenaries'


LCol (Ret) Kernaghan's argument in his letter concerning the use of contractors by the CF in Bosnia ("Civilian contractors are mercenaries," Vol. 3, No. 27, p. 7) would wrongly define any civilian working for the CF at home or abroad as a "mercenary".

Les FC et les entrepreneurs civils


Dans sa lettre concernant l'emploi d'entrepreneurs par les FC en Bosnie (« Les entrepreneurs civils sont des mercenaires », vol. 3, no 27, p. 7), le lcol (ret) Kernaghan

CDs should be presented on time


À propos de la religion sur le terrain de parade, je crois que ça; se résume; à une question de respect de la dignité humaine.

Il est vrai que la Charte des droits et libertés; assure la liberté de religion comme droit indivi- duel. Il est vrai aussi que le MDN doit refléter; et respecter les droits et libertés; des Canadiens et ne pas contrevenir aux

I have been entitled to the CD for nine months but have not received it.

As well, there are people in my unit who are also overdue by the same time and more (up to a year). The problem, I am told, is that the shop in NDHQ that handles this matter is seriously backlogged.

I am scheduled to take my release in January 2001. At the present rate of distribution, I will likely not get my CD until after release. The medal is therefore "in the mail" and there will be no presentation and recognition for long and dedicated service.

For others in my unit, the fact they cannot wear a medal to which

La religion sur le terrain de parade


Image: Royal inspection: Major John Fife, Guard Commander for the 2 RCR Royal Guard in honour of the visit of His Royal Highness, Prince Edward, to Charlottetown, P.E.I., accompanies the Prince on his inspection of the Guard in front of Province House July 14.Photo: Sgt V.M.W. Streimer

Inspection royale. Le 14 juillet dernier, devant Province House, à Charlottetown (Î.-P.-;É.;), le maj John Fife, commandant de la Garde royale du 2 RCR constituée; en l'honneur de la visite de Son Altesse Royale le prince Edward, accompagne le prince qui passe la garde en revue.

Vol. 3, No. 30, 2000



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