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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Army Editor  
Paul Mooney (613) 945-0363


Des experts conçoivent; des systèmes; de logiciel pour le combat


Experts design software systems for combat


par Susan Turcotte


By Susan Turcotte


Il est 2 h et deux soldats privés; de sommeil, sont à l'ordinateur à l'arrière; d'un Coyote, 36 heures après; le début; d'un exercice. Cependant, l'affichage de l'ordinateur est spécialement; conçu; pour de telles conditions, soit un mauvais éclairage;, du travail sur le terrain et des yeux fatigués.;

« Nous sommes conscients de l'atmosphère; dans laquelle le soldat travaille », a expliqué le capt Jacques Théberge; du Centre de génie; logiciel (Terre). « Nous mettons au point des logiciels destinés; surtout au soldat sur le terrain. »

Lorsque l'Armée; a besoin de conseils au sujet de systèmes; de logiciels tactiques requis ou acquis pour faire fonctionner son matériel; plus récent; ou modernisé, elle s'adresse à ses propres experts au Centre de génie; logiciel. Ils fournissent des services qui incluent l'élaboration;, l'entretien, la documentation, l'analyse et l'entreposage des programmes.

« Nous sommes en train de nous créer; un petit créneau; d'expertise », nous a confié le capt Théberge.; Artilleur de métier; et technicien en ordinateur par expérience;, il travaille avec cinq autres militaires, tous ingénieurs; en informatique. De concert avec deux employés; du MDN, ils font la transition entre le monde militaire et celui de la technologie. En retour, le Centre de génie; logiciel (Terre) agit comme lien transitoire entre ses clients - principalement des bureaux de gestion de projets et des gestionnaires du cycle de vie du matériel; à l'intérieur; du système; d'entretien de la Force

terrestre - et l'industrie.

Le Centre de génie; logiciel (Terre), agence auxiliaire de livraison, située; à Ottawa, embauche jusqu'à 60 entrepreneurs, à l'occasion. Des membres du personnel aident les clients à préciser; et à dresser une liste de leurs besoins, à évaluer; les propositions de l'industrie et à surveiller la livraison de produits destinés; aux usagers sur le terrain. Ils permettent également; une validation et une vérification; indépendantes; des produits, avisant leurs clients de ce qui est valable, de ce qui doit être;

changé et de ce qui pourrait causer des problèmes; sur le terrain. Et lorsqu'il manque une pièce; à un système;, soit qu'elle ait ét;é ignorée; ou abandonnée; par l'industrie, ils créent; des logiciels pour combler l'écart.;

Même; si d'habitude ses clients donnent à l'industrie le contrat d'élaboration; de systèmes;

majeurs de logiciel, le projet le plus important du Centre de génie; logiciel (Terre), le développement; d'un engin computationnel pour l'Artillerie, pourrait orienter l'avenir du Centre de génie; logiciel (Terre).

Le capt Théberge; dirige le projet du Logiciel de calculateur de tir indirect (LCTI), qui a ét;é amorcé en avril 1999. Le logiciel va calculer les données; de tir des canons de l'Artillerie, incluant le C3 et le LG1.

Au début; du projet, il a formé un groupe d'usagers de sept soldats qui se rencontrent à intervalles réguliers; pour fournir leurs commentaires au sujet du LCTI. « Si l'on veut que les soldats acceptent le nouveau système;, il faut les laisser participer », a-t-il commenté.;

Les essais sur le terrain du LCTI auront lieu en septembre, avec mise en service en janvier 2001.

It's 2 a.m. and two sleep-deprived soldiers manning a computer in the back of a Coyote are 36 hours into an exercise. The computer's dis- play, however, is designed for just such conditions-poor lighting, field work and tired eyes.

"We understand the environment the soldier works in," said Captain Jacques Theberge of the Land Software Engineering Centre (LSEC). "We develop software mainly for the soldier in the field."

When the Army needs advice about the tactical software systems it requires or acquires to operate its latest or updated equipment, it turns to its own experts at LSEC. They provide services which include developing, maintaining, documenting, analyzing and storing software.

"We are building ourselves a little niche of expertise," said Capt Theberge. A gunner by trade and computer technologist by experience, he works with five other military members, all software engineers. Along with two DND employees, they bridge the military and technological worlds. LSEC in turns acts as a bridge between its customers-primarily project management offices and life-cycle managers within the Army's maintenance system-and industry.

LSEC, an alternative delivery agency located in Ottawa, hires up to 60 contractors at any given time. Staff members help customers define and list what they need, assess bids from industry and monitor the delivery of products destined for use in the field. They also provide independent validation and verification of products, letting their customers know what is good, what needs changing and what may cause problems in the field. And when there is a piece missing in a system, either overlooked or abandoned by industry, they create software to fill the gap.

Although its customers normally contract out the development of major software systems to industry, LSEC's largest project, the development of a computational engine for the Artillery, may be the way of the future at LSEC.

Capt Theberge leads the Indirect Fire Control Computer Software (IFCCS) project which began in April 1999. The software will calculate the firing data of the Artillery's guns, including the C3 and the LG1.

Early in the project, he formed a user group of seven soldiers who meet at regular intervals to provide feedback on the IFCCS.

"If the soldiers are going to accept the new system, they need to be involved," he said.

IFCCS field trials will take place in September with fielding to follow January 2001.

Image: File Photo / Photo d'archives

L'adj Robert Montague (au centre à droite)

du 2 RCHA et le capt Théberge; du Centre de génie; logiciel (Terre) dirigent une équipe; d'entrepreneurs lors d'un entraînement; de familiarisation durant un exercice de tir réel; à Petawawa. L'équipe; est en voie d'élaborer; un système; de logiciels pour calculer les données; sur le tir des canons de l'Artillerie.

WO Robert Montague (centre right) of 2 RCHA and Capt Theberge of LSEC lead a team of contractors through familiarization training during a live-firing exercise in Petawawa. The team is developing a software system for calculating the firing data of the Artillery's guns.

Image: MCpl / cplc Marc Plante

Cet ét;é, le col Tim Grant a pris la relève; du bgén; Michel Jones comme commandant de la Force opérationnelle; en Bosnie-Herzégovine;, lors d'une cér;émonie; tenue au Camp Black Bear.

Le bgén; Jones a quitté son poste après; avoir passé près; d'une année; en Bosnie en tant que commandement des troupes canadiennes de l'Op Palladium qui relève; de l'Op Joint Forge, une mission de l'OTAN.

Avant sa nomination comme Commandant de la Force opérationnelle; en Bosnie-Herzégovine;, le col Grant a ét;é chef d'état-major; du Secteur Ouest de la Force terrestre, à Edmonton (Alb.). Le col Grant en est à sa deuxième; mission en Bosnie; il a commandé le groupement tactique du Lord Strathcona's Horse dans le théâtre; des opérations; de juillet 1997 à janvier 1998.

Colonel Tim Grant took command from Brigadier-General Michel Jones as Commander, Task Force Bosnia- Herzegovina, during a ceremony this summer at Camp Black Bear.

BGen Jones left after almost a year in Bosnia commanding Canadian troops in Op PALLADIUM under Op JOINT FORGE, the NATO-led mission.

Prior to his appointment as Commander, Task Force Bosnia-Herzegovina, Colonel Grant served as Chief of Staff for Land Forces Western Area in Edmonton, Alberta. This will be the second tour of duty in Bosnia for Colonel Grant; he commanded the Lord Strathcona's Horse Battle Group in theatre from July 1997 to January 1998.

Centre de simulation


Simulation centre


Text by Capt Patrick Rouleau, G1 Coord, LFDTS


par le capt Patrick Rouleau, coord G1, SDIFT

Le 23 juin dernier, le Centre de simulation de

l'Armée; de terre a ét;é créé à Kingston, en

Ontario. Ce centre, sous le commandement du

Système; de doctrine et d'instruction de la

Force terrestre aura comme principale mandat

d'appuyer l'armée; en ce qui a trait à l'envi

ronnement synthétique.; Cet environnement se

compose entre autres de modèles;, de simula

tions et simulateurs, de personnel et

d'équipement; réels; ou simulés; représentant;

divers él;éments; du monde. Ces él;éments; con

tribuent énorm;ément; au niveau de la

recherche afin d'améliorer; notre efficacité

opérationnelle.; Trente personnes seront affec

tées; à cette nouvelle organisation, soit une

combinaison de personnel militaire et civil.

Le 21 août;, un autre év;énement; a eu lieu au

sein du SDIFT, le col Walt Semianiw a rem

placé le col Stu Beare au poste de chef d'état-;

major. Ce dernier passera un an au Collège;

des Forces canadiennes à Toronto.

The Army Simulation Centre was established June 23 in Kingston, Ont. The Centre, under the command of Land Force Doctrine and Training System (LFDTS), will have as its main mandate the support of the Army in matters relating to the synthetic environment. This environment is made up of, among other things, simulations and simulators, of real or simulated personnel and equipment representing varied real-world elements. These elements contribute to the level of research into improvement of our operational effectiveness. A combination of 30 military and civilian personnel will be assigned to this new organization.

In another development at LFDTS, Colonel Walt Semianiw took over as Chief of Staff on 21 August. He succeeded Colonel Stu Beare, who will spend a year at the Canadian Forces College in Toronto.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédacteur; de l'Armée; de terre Paul Mooney (613) 945-0363


BGen Quinn honoured


Brigadier-General Ken Quinn, Director General Land Force Reserve, was honoured Sunday, 27 August, as he retired after 34 years of service. BGen Quinn was the Reviewing Officer at the Trooping the Colour ceremony at Rideau Hall, the last parade of the Ceremonial Guard this year. The Colour being mounted this year is that of the Canadian Grenadier Guards. BGen Quinn served as the Lieutenant- Colonel Commanding (CO) from 1975 to 1979.

"There couldn't be a better way to retire than to have this honour bestowed upon me," BGen Quinn said in a brief interview. "It is especially significant because I joined the Canadian Grenadier Guards 34 years ago. This is still my old regiment and the Governor General is my Colonel-in-Chief."

The Ceremonial Guard represents the very best of the Army Reserves, BGen Quinn said. Members are well- trained soldiers, he noted, but they also help preserve traditions and heritage while entertaining thousands of Canadians on Parliament Hill each year.

BGen Quinn also served with The Royal Regiment of Canada, The Royal Hamilton Light Infantry and 4th Battalion, The Royal Canadian Regiment.

He held significant command and staff positions at the unit, regimental and headquarters levels, including Deputy

By Paul Mooney


Commander, Land Force Western Area. During his time as Reserve Advisor to the CLS and Director General Land Force Reserve, he sought to improve conditions for Reserve soldiers while introducing initiatives designed to make the Reserves better suited to the Army of the future.

BGen Quinn made significant improvements to the Reserve pay system and introduced a high level of transparency in Reserve funding. He also developed an unprecedented degree of cooperation between the Army Reserves and their U.S. counterparts, an achievement recognized when he was awarded the Legion of Merit (Officer) by the U.S. Army.

BGen Quinn said he is optimistic that senior Army commanders will be able to strike the right balance in building the Reserves of the future. The goal, he said, is to balance respect for the Reserves' traditions and the fact that the soldiers serve part-time with the need for operationally focused forces integrated into a modern, combat-capable Army.

"The world situation has changed and there is an expectation for an enhanced role for the Army Reserves," BGen Quinn said. "This can be done while respecting their very valued traditions. I'm leaving on a high and optimistic that it can be done."

Image: Le bgén; Quinn passe en revue les membres de la Garde de cér;émonie.;Photos: Susan Turcotte

BGen Quinn inspects members of the Ceremonial Guard.

Le bgén; Quinn honoré


BGen Quinn,  
Director General Land Reserve, returns his last salute before retiring. "A Finer event could not be found for me, as a  
Guardsman," said BGen Quinn.

Le bgén; Quinn,  
Directeur gén;éral; Réserve; de la  
Force terrestre, salue une dernière; fois avant de prendre sa retraite. «Je; n'aurais pu trouver de plus belle cér;émonie; en tant que garde», nous confie le bgén; Quinn.

Image

par Paul Mooney


Le bgén; Ken Quinn, Directeur gén;éral; - Réserve; de la Force terrestre, a ét;é honoré le 27 août;, alors qu'il se retirait après; 34 années; de service. Lors du dernier défil;é de l'année; de la Garde de cér;émonie;, le bgén; Quinn était; officier de la revue à la parade des drapeaux à Rideau Hall. Le drapeau hissé, cette année;, est celui du Canadian Grenadier Guards dont le bgén; Quinn a ét;é lieutenant-colonel commandant (cmdt) de 1975 à 1979.

Dans une brève; entrevue, le bgén; Quinn a affirmé : « Cet honneur qu'on m'accorde est la plus belle façon; de prendre ma retraite. C'est particulièrement; significatif puisque je suis devenu membre du Canadian Grenadier Guards il y a 34 ans. C'est encore mon ancien régiment; et le gouverneur gén;éral; est mon colonel en chef. »

Le bgén; Quinn a ajouté que la Garde de cér;émonie; représente; les meilleurs réservistes; de l'Armée; de terre. Il a souligné que les membres sont des soldats bien entraîn;és;, qui veillent à garder les traditions et le patrimoine tout en offrant, tous les ans, un spectacle aux milliers de Canadiens sur la Colline du Parlement.

Le bgén; Quinn a aussi servi dans le Royal Regiment of Canada, le Royal Hamilton Light Infantry et le 4e Bataillon du Royal Canadian Regiment.

Il a occupé des postes importants de commandement et d'état-major; aux paliers de l'unité, du régiment; et du

quartier gén;éral;, y compris celui de Commandant adjoint du Secteur de l'Ouest de la Force terrestre. Alors qu'il était; Conseiller de la Réserve; au CEMAT et Directeur gén;éral; - Réserve; de la Force terrestre, il a cherché à améliorer; les conditions des soldats de la Réserve; tout en prenant des initiatives qui assuraient une meilleure préparation; des réservistes; de la future Armée; de terre.

Le bgén; Quinn a amélior;é de façon; importante le système; de paye des réservistes; et a élev;é le niveau de transparence dans les fonds des réservistes.; De plus, il a aussi développ;é, à un niveau sans préc;édent;, la coopération; entre les réservistes; de l'Armée; et leurs homologues des É.-U.;, un succès; reconnu par la U.S. Army qui lui a décern;é la Legion of Merit (Officer).

Le bgén; Quinn a déclar;é qu'il croit que les hauts commandants de l'Armée; arriveront à un équilibre; souhaitable dans la formation des réservistes; de l'avenir. Le but, a-t-il expliqué, est d'équilibrer; le respect des traditions des réservistes;, le fait que les soldats servent à temps partiel ainsi que le besoin d'avoir des forces opérationnelles; compétentes; dans une armée; moderne, prête; au combat.

« La situation mondiale a changé et on prévoit; un rôle; plus important pour les réservistes; de l'Armée; », a déclar;é le bgén; Quinn. « Cela peut se faire tout en respectant leurs traditions bien valorisées.; Je quitte rassuré et confiant que cela peut se réaliser.; »

Image: La Garde de cér;émonie; a mis fin à la parade du drapeau de la saison 2000 à Rideau Hall, à Ottawa, le 27 août.; The Ceremonial Guard wraps up the 2000 season with a Trooping the Colour ceremony at Rideau Hall August 27.

Ex PEACE SHIELD 2000


par le capt Len George


By Capt Len George


Sept membres de SAFT ont participé à l'Ex Peace Shield 2000, un exercice multinational de maintien de la paix, qui s'est déroul;é du 8 au 19 juillet près; de Lvov en Ukraine.

Conçue; pour promouvoir la stabilité régionale; en Europe, en facilitant la compréhension; politique et militaire et la coopération; entre les pays membres, la série; d'exercices de maintien de la paix, Peace Shield s'est tenue chaque année; depuis 1995.

En plus du Canada, des États-Unis; et de l'Ukraine, les autres participants comprenaient l'Azerbaïdjan;, la République; de Bélarus;, la Bulgarie, le Danemark, l'Estonie, la Finlande, la Géorgie;, l'Allemagne, la Grèce;, l'Italie, le Kazakhstan, la République; de Moldavie, la Norvège;, la Pologne, l'Espagne, la Suède;, la Turquie et le Royaume-Uni.

L'Ex Peace Shield 2000 a combiné un exercice en campagne de trois jours et un exercice de poste de commandement de quatre jours. On a utilisé la simulation par ordinateur pour mener le scénario; d'exercice basé sur la participation de trois brigades de la Force combinée; du

maintien de la paix (CPKFOR) déploy;ées; dans le pays notionnel d'Exlandia. Les participants de plusieurs pays se sont unis pour former les états-majors; de deux brigades multinationales auxquelles on a proposé différents; scénarios; de maintien de la paix durant l'exercice.

Le personnel canadien a comblé des postes aux trois niveaux du CPX (exercice de poste de commandement) au sein du QG CPKFOR, à l'état-major; de la 1re Brigade multinationale et à l'intérieur; des cellules de contrôle; inférieures; de la 1re Brigade et de la 2e Brigade multinationales.

Les soldats aéroport;és; américains; et ukrainiens ont exécut;é un parachutage combiné pendant l'exercice. Durant les cér;émonies; d'ouverture et de clôture;, l'Armée; ukrainienne a également; fourni des démonstrations; de combat à mains nues, d'opérations; amphibies et des expositions statiques de plusieurs véhicules; de combat.

Le capt Len George a participé à l'Ex Peace Shield 2000.

Seven LFAA members took part in Exercise PEACE SHIELD 2000, a multinational peace- keeping exercise held from 8 to 19 July near L'viv, Ukraine.

Designed to promote regional stability in Europe by enhancing political and military understanding and co-operation among member nations, the PEACE SHIELD series of peacekeeping exercises has been conducted annually since 1995.

In addition to Canada, the United States, and the Ukraine, other participants included Azerbaijan, Belarus, Bulgaria, Denmark, Estonia, Finland, Georgia, Germany, Greece, Italy, Kazakhstan, Moldova, Norway, Poland, Spain, Sweden, Turkey, and the United Kingdom.

PEACE SHIELD 2000 combined a three- day field training exercise with a four-day command post exercise. Computer simulation was used to drive the exercise scenario, which was based on a three-brigade Com-

bined Peacekeeping Force (CPKFOR) deployed to the notional country of Exlandia. Participants from several nations combined to form the two multinational brigade staffs and were presented with various peacekeeping scenarios during the exercise.

Canadian personnel filled positions at all three levels of the CPX: within CPKFOR HQ, on the staff of the 1st Multinational Brigade, and within the Lower Control cells of both 1st and 2nd Multinational Brigades.

American and Ukrainian airborne troops performed a combined drop during the exercise. During the opening and closing ceremonies, the Ukrainian Army also provided demonstrations of unarmed combat, amphibious operations, and static displays of numerous combat vehicles.

Capt Len George participated in Ex PEACE SHIELD 2000.

Vol. 3, No. 33, 2000



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