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Disaster relief workers share ideas, experiences


Les secouristes échangent; idées; et expériences;


By Buzz Bourdon

par Buzz Bourdon

Working feverishly just days after an earthquake killed more than 40 000 people in Turkey on August 17, 1999, Captain Jim Chung of CFB Petawawa's 2 Field Ambulance helped treat up to 250 patients per day.

A year after that sobering experience, Capt. Chung still remembers what he saw. "Driving; around the streets (was) surreal, seeing the buildings collapsed like accordions. The other impression that lingers is the smell of those bodies that were still buried under the rubble."

A member of DART (Disaster Assistance Response Team), Capt Chung was one of 200 CF members who spent 40 days in Turkey as part of Canada's humanitarian aid effort. The earthquake measured 7.4 on the Richter scale.

DART is a CF initiative designed to quickly deploy to crisis situations anywhere in the world, from natural disasters to complex humanitarian emergencies. A field hospital with 45 medical personnel can treat up to 500 patients daily, while

an engineer troop will purify water, generate power and dispose of ordnance.

Over the past decade, the CF has provided disaster relief in places such as Rwanda, Haiti, Bosnia, Turkey and Honduras.

Working up to 12 hours a day, seven days a week, Capt Chung was cheered when the family of a two-year-old boy sick from severe dehydration and dysentery gave him a present. "After; he got better, his mother sent me a tea pot from their wrecked home," he said. "It; was very touching for me, so I kept the pot for its emotional value."

Capt Chung told his story at a training seminar held in Ottawa from September 18-20. The seminar, nicknamed "Sphere;", gave disaster aid workers a chance to share ideas and experiences.

Major Michelle Gagne of Ottawa's CF Medical Group Headquarters said Sphere was extremely useful. "We; have experts that provide a great body of knowledge from which all participants will learn."

Dans les jours qui ont suivi le tremblement de terre du 17 août; 1999 qui a tué plus de 40 000 personnes en Turquie, le capt Jim Chung, appartenant à la 2e Ambulance de campagne de la BFC Petawawa, a travaillé d'arrache-pied pour aider à traiter jusqu'à 250 patients par jour.

Un an après; cette expérience; un peu rude, le capt Chung n'a rien oublié de ce qu'il a vu. « Lorsqu'on se promenait en voiture dans les rues, la scène; avait quelque chose d'irréel.; Les bâtiments; avaient ét;é soufflés; en accordéons.; L'autre impression que je retiens, c'est l'odeur des cadavres enfouis sous les décombres.; »

Membre de la DART (équipe; d'intervention en cas de catastrophe), le capt Chung a fait partie des 200 militaires canadiens qui ont passé 40 jours en Turquie dans le cadre des opérations; de secours menées; par le Canada. Rappelons que le séisme; qui a secoué la Turquie était; d'une magnitude de 7,4 sur l'échelle; de Richter.

La DART a ét;é mise sur pied par les FC pour réagir; rapidement dès; que survient une situation de crise ailleurs dans le monde. Elle se compose d'un peloton médical; de 45 personnes appelées; à soigner jusqu'à 500 patients par jour ainsi que d'une troupe de sapeurs spécialis;és;

dans la purification de l'eau, la production d'électricit;é et la neutralisation d'explosifs.

Dans les dix dernières; années;, les FC ont apporté leur soutien lors de catastrophes touchant le Rwanda, Haïti;, la Bosnie, la Turquie et le Honduras.

Le capt Chung a dû travailler jusqu'à 12 heures par jour, 7 jours par semaine. Un geste en particulier lui a remonté le moral, lorsque la famille d'un garçonnet; de deux ans, gravement atteint de déshydratation; et de dysenterie, lui a offert un cadeau : « Une fois le petit garçon; sur pied, sa mère; m'a remis une théi;ère; qu'elle avait pu récup;érer; des ruines de sa maison. J'ai ét;é très; touché de ce geste, et j'ai gardé l'objet à cause de sa valeur sentimentale. »

Le capt Chung a raconté cette anecdote au cours d'un séminaire; de formation qui s'est tenu à Ottawa du 18 au 20 septembre. Le séminaire;, familièrement; baptisé « formation Sphere », avait ét;é organisé pour permettre aux secouristes d'échanger; idées; et expériences.;

Le maj Michelle Gagné du Quartier gén;éral; du Groupe médical; des FC d'Ottawa a trouvé le séminaire; très; utile. « Nous pouvons compter sur des experts dont les connaissances étendues; profitent à tous les participants. »

October 5 1970: In Montréal;, British diplomat James Richard "Jasper;" Cross is abducted from his Westmount bedroom by four men with submachine guns and a stolen LaSalle taxi. At noon, Montréal; radio station CKLM receives an anonymous telephone call directing news staff to a locker at the Université du Québec; à Montréal.; The locker contains a communiqué that identifies the kidnappers as members of the Cellule Libération; of the Front de Libération; du Québec; (FLQ), and states seven conditions for the release of Mr. Cross, including wide publication of the FLQ manifesto, the release of 23 people convicted or awaiting trial on criminal charges arising from FLQ bombings and robberies, and air transport for these "political; prisoners" to Cuba or Algeria.

October 7 1970: In the House of Commons in Ottawa, Minister of External Affairs Mitchell Sharp rises at 8 p.m. to speak on the kidnapping of James Cross and the terms offered for his release. With only 17 of the 265 Members of Parliament in attendance (most of the others are at a reception), Mr. Sharp rejects "this; set of demands" and hints broadly that the federal government is willing to negotiate.

October 8 1970: In Montréal;, announcer Gaetan Montreuil appears on Radio-Canada Television to read the FLQ manifesto- a slangy, slanderous document. English-language television does not broadcast the manifesto and most English-language newspapers print only an expurgated translation, so the enormity of this concession by the federal government is not apparent to most Canadians outside of Quebec.

October 10 1970: After a fruitless week of negotiating with the kidnappers of James Cross, Quebec Minister of Labour and Deputy Premier Pierre Laporte is seized on the doorstep of his home in St-Lambert, a suburb of Montréal;, by armed members of the Cellule Financière; Chénier; of the FLQ. Forced to plead for his life, Mr. Laporte pencils notes in which he seems to beg for pity but actually tries to convey information about his captors and the place he is being held. These notes are addressed to Mrs. Laporte in St-Lambert and to Premier Bourassa, who is holed up in the Queen Elizabeth Hotel.

October 11 1970: In Montréal;, Premier Robert Bourassa telephones Prime Minister Pierre Trudeau in Ottawa. He asks Mr. Trudeau to put the CF on alert and to get ready to proclaim the War Measures Act.

5 octobre 1970. À Montréal;, le diplomate britannique James Richard « Jasper » Cross est enlevé à son domicile de Wesmount, dans sa chambre, par quatre hommes armés; de mitraillettes et emmené dans un taxi LaSalle volé.; À midi, un appel anonyme est fait à la station de radio CKLM de Montréal; pour dire aux reporters de se rendre à l'Université du Québec; à Montréal; où quelque chose les attend dans une armoire-vestiaire. Il s'y trouve effectivement un communiqué qui identifie les ravisseurs comme des membres de la cellule Libération; du Front de libération; du Québec; (FLQ). Le communiqué expose aussi sept conditions pour la libération; de  
M. Cross, notamment la diffusion massive du manifeste du FLQ, la libération; de 23 personnes condamnées; ou en attente de jugement comme suite à des accusations criminelles liées; à des vols ou des attentats à la bombes commis par le FLQ, et le transport de ces personnes par avion à Cuba ou en Algérie.;

7 octobre 1970. À 20 h, à la Chambre des communes à Ottawa, le ministre des Affaires extérieures;, Mitchell Sharp, parle de l'enlèvement; de James Cross et des conditions faites pour sa

libération.; Devant 17 déput;és; seulement sur les 265 (la plu- part assistent en effet à une réception;), M. Sharp repousse ces demandes, mais fait savoir que le Gouvernement féd;éral; est disposé à négocier.;

8 octobre 1970. À Montréal;, l'annonceur Gaétan; Montreuil fait la lecture à la tél;évision; de Radio-Canada du manifeste du FLQ, un texte diffamatoire, rédig;é en termes vulgaires. La tél;évision; de langue anglaise ne le diffuse pas et la plupart des journaux de langue anglaise n'en publient qu'une traduction expurgée.; Ainsi, la concession énorme; consentie par le Gouvernement féd;éral; passe inaperçue; pour la plupart des Canadiens à l'extérieur; du Québec.;

10 octobre 1970. Après; une semaine de négociations; infructueuses avec les ravisseurs de James Cross, le ministre du Travail et vice- premier ministre du Québec;, Pierre Laporte, est enlevé à son domicile à Saint-Lambert, en banlieue de Montréal;, par des membres armés; de la cellule financière; Chénier; du FLQ. Ses ravisseurs le forçant; à demander qu'on lui sauve la vie, il rédige; au crayon des notes où, en apparence, il demande à être; épargn;é, mais cherche en réalit;é à fournir des renseignements sur ses ravisseurs et sur l'endroit où il est gardé prisonnier. Ces notes sont adressées; à Mme Laporte, à Saint-Lambert, et à M. Bourassa, qui est installé à l'hôtel; Reine-Élizabeth.;

11 octobre 1970. De Montréal;, le premier ministre du Québec;  
M. Bourassa tél;éphone; au premier ministre Pierre Trudeau à Ottawa afin de lui demander de mettre les FC en état; d'alerte et d'être; prêt; à proclamer la Loi des mesures de guerre.

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DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


FOURTH


By/par Charmion Chaplin-Thomas

Image: October 1970: Communiqué cover used by the Cellule Libération; of the FLQ (The October Crisis by Gérard; Pelletier, [Montréal;: McClelland & Stewart, 1971]).Octobre 1970 : couverture du communiqué employé par la cellule Libération; du FLQ (La Crise d'Octobre, par Gérard; Pelletier, Montréal;, McClelland & Stewart, 1971).

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



What I did on my summer vacation...


Vacances estivales : Rêves; et fantaisies nous sont permis!


Un voyage en Grande- Bretagne favorise le rapprochement père-fils;


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An adventure to remember


By Kristina Davis

It certainly wasn't bikini weather. Lieutenant Karyne Framand, an air traffic controller at 4 Wing Cold Lake, wasn't surprised, though. After all, she was vacationing in Alaska.

Lt Framand and her mother, Rollande Emond, spent the last two weeks of July touring Alaska and the Yukon. The highlight was a day cruise in Alaska. From whales to sea lions, she said there was an abundance of wildlife. And the mountains and glaciers were breathtaking. With temperatures at about 20°C;, she said the weather was pretty good, despite a bit of rainy weather in the evenings.

Weather was important, as the two chose to camp-in a tent. Lt Framand said the 4 000-km drive was impressive, seeing mountain goats, coyotes and black bears. "It;'s a good trip for people who like wildlife," she said.

« Mon séjour; au R.-U., comme membre du projet du sous-marin Upholder, m'a permis d'amener mon fils Terry en Europe pour la première; fois.

Il a 15 ans et a merveilleusement bien franchi ce passage de l'adolescence; il a su trouver l'équilibre; entre la détermination; de ne pas « se laisser impressionner » et le plaisir de pouvoir « s'émerveiller; ».; Nous avons tous deux beaucoup appris, surtout réciproquement;, et nos rôles; ont subtilement évolu;é de celui de père; et fils à celui de bons amis.

Mais les conséquences; de trop d'exercice n'ont pas épargn;é le m 2 Glen, technicien principal d'armes navales sur le NCSM Windsor qui avoue : « J'ai découvert; que trois semaines de "montagnes russes" impriment au visage quelques traits de frayeur. »  
Citations données; par Ruthanne Urquhart

Une aventure qui se signale


Trip to England brought father and son closer together


Lt Karyne Framand walks through the signpost forest in Watson Lake, Yukon Territory, home to about 45 000 signs.

Le lt Karyne Framand se promène; dans la forêt; des 45 000 panneaux de signalisation à Watson Lake, au Territoire du Yukon.

par Kristina Davis

La saison n'est pas aux bikinis. De cela, le lt Karyne Framand, contrôleur; aérien; de la 4e Escadre Cold Lake, n'était; pas surprise. Après; tout, n'a-t-elle pas choisi de prendre ses vacances en Alaska! Le lt Framand et sa mère;, Rollande Emond, ont passé les deux dernières; semaines de juillet à visiter l'Alaska et le Yukon. Elles en ont profité pour faire une croisière; d'une journée; en Alaska. Des baleines aux lions de mer, la faune est abondante. Quant aux montagnes et aux glaciers, leur vue demeure à vous couper le souffle. Les températures; se situaient aux alentours de 20 ºC;, et il a fait plutôt; beau, malgré des soirées; un peu pluvieuses.

Les conditions mét;éorologiques; avaient leur importance étant; donné que les deux voyageuses avaient décid;é de dormir sous la tente. Le lt Framand a raconté que la randonnée; de 4 000 km avait ét;é impression- nante, avec le spectacle des chèvres; des Rocheuses, des coyotes et des ours noirs. « C'est un voyage formidable pour les gens qui aiment la faune », a-t-elle conclu.

"Being; here in the U.K. as part of the Upholder submarine project provided me with the opportunity to bring my son, Terry, over on his first visit to Europe," Petty Officer, 2nd Class Stuart Glen said of his summer.

"He; is 15, and did a wonderful job of walking that teenage line between 'determined not to be impressed' and 'eyes bugging out'. We both learned a lot, especially about each other, and our roles subtly changed from father and son to good friends."

PO 2 Glen, a senior naval weapons technician in HMCS Windsor, also learned the side effects of too much fun. "I; discovered that three weeks of roller coasters results in a permanently frightened look appearing on the face." With files from Ruthanne Urquhart

A family vacation with attitude


Image: Sgt / sgt Alain Martineau, SS/ASG Valcartier

By Karina Soucy

If you think Master Corporal Eric Morin of the Valcartier range and training sector is a motorcycle fanatic, you're absolutely right! Proof of this is found in his extraordinary family vacation.

During summer leave, he hopped on his motorcycle and followed his wife and his two children, who drove ahead of him, pulling their camping trailer. Once they reached their destination, the whole family travelled around on Eric's 1982 Gold Wing.

"My; wife and I use the seat and the children ride comfortably in the motorcycle trailer," said MCpl Morin. "This; summer we were able to visit various places in Quebec, including the Saguenay-Lac-St- Jean area. On the road, there is a unique connection with nature. You can really sense the wind, the woods, the rain, the cold. It's magic!" Karina Soucy is a journalist for the Adsum newspaper.

Des vacances familiales... hors de l'ordinaire pour le cplc Éric; Morin


The Morin family saw Quebec in style - on board  
MCpl Eric Morin's 1982 Gold Wing.

C'est avec style que la famille  
Morin a parcouru le Québec.; Le cplc Morin sur sa moto Gold  
Wing 1982.

Image: PO 2 Stuart Glen and his son Terry visited some of the U.K.'s finest tourist attractions.Le m 2 Stuart Glen et son fils Terry visitent certains des sites touristiques les plus en vue en Grande-Bretagne.

par Karina Soucy

Maniaque de moto le cplc Éric; Morin, du service champ de tir et secteur d'entraînement; de Valcartier ? Sans aucun doute. La preuve, c'est qu'il ne profite pas des vacances familiales comme tout le monde. En effet, cet ét;é lors de son congé, il est parti en moto... en suivant sa femme et ses deux enfants, qui eux, voyageaient dans leur roulotte. Une fois à destination, il a profité du bonheur de rouler sur sa Gold wings 1982... en famille.

« Ma femme et moi prenons place sur le siège;, tandis que nos enfants s'installent confortablement dans la remorque de ma moto. Cet ét;é, nous avons eu la chance de visiter différents; endroits du Québec;, dont le Saguenay-Lac-St-Jean. Sur la route, le lien avec la nature est unique: on sent le vent, le bois, la pluie ou le froid. C'est magique! » Karina Soucy est journaliste au journal Adsum, à Valcartier

Vol. 3, No. 35, 2000



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