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HTML Version of Maple LeafThis page contains both English and French articles. If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca. Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9 Army Editor MUSE/TCS: not just another simulatorBy Capt Dennis Rintjema The Army employs a large number of simulators for both individual and crew level training, and for units in preparing for operations. Most members are familiar with JANUS, the Command and Staff Trainer (CST), the Indirect Fire Trainer (IFT), and the Small Arms Trainer (SAT). But there is another simulator being used within the Land Force named MUSE/TCS that is not as well known despite its delivery to the Army Simulation Centre in Kingston in 1998. MUSE stands for Multiple Unified Simulation Environment and TCS for Tactical Control System. MUSE is a simulator that can provide a 3D visualization of a virtual battlespace. It simulates an Unmanned Aerial Vehicle (UAV) and places it into a 3D world. It can build an unlimited number of synthetic environments using 3D terrain models created from military digital map products or by using satellite imagery. MUSE can then populate this 3D world from its own comprehensive library of 3D symbols and objects representing both allied and opposing forces. MUSE also has the ability to visualize in three dimensions the two-dimensional battlespace depicted in JANUS. In training, this ability provides much greater battlefield visualization for Commanders, and is a new tool for after-action reviews (AARs). The Tactical Control System is operational equipment that consists of the software and hardware designed to plan and control the operation of surveillance suites on air vehicles, including UAVs. Its capabilities include mission planning for UAVs, control of different UAV platforms, and the ability to receive imagery and other sensor data from multiple sources such as UAVs, satellites, or aircraft. By using MUSE and TCS together we have the ability to realistically simulate many different UAV platforms in a 3D virtual world. At the same time we are able to realistically perform UAV missions with a real piece of operational equipment. We can then attach the MUSE/TCS simulation to another simulator such as JANUS and detect and interact with the entities in that world. The current short-term mission of MUSE/TCS is to support the development and definitions phases of the Land Forces Unmanned Aerial Surveillance and Target Acquisition project (UASTAS). In the long term, there are potentially unlimited applications for MUSE/TCS. The are many applications of MUSE/TCS now, but as with all new technologies, their real value is never known until all opportunities and avenues for their use have been explored. With this in mind, if you work in or utilize synthetic environments, then MUSE/TCS may be able to compliment or even enhance your functionality. Army Simulation Centre welcomes all requests for information regarding simulation for training or experimentation. Demonstrations of MUSE/TCS can be arranged by request. Capt Rintjema is Ops Officer, Army Stimulation Centre, Kingston. MUSE/TCS, un simulateur pas comme les autresImage: MCpl A. J. McDonald (left) and MBdr S. Lemieux operating MUSE/TCS.Ben Asselstine par le capt Dennis Rintjema Dans l'instruction tant individuelle que collective et dans la préparation; des unités; en vue des opérations;, l'Armée; utilise un grand nombre de simulateurs. La plupart des militaires connais- sent bien le JANUS, le simulateur de commandement et d'état-; major, ainsi que le simulateur de tir indirect (IFT) et le simulateur de tir aux armes lég;ères; (SAT). Cependant, la Force terrestre utilise un autre simulateur, qui est moins connu malgré sa livraison au Centre de simulation de l'Armée; à Kingston, en 1998. Il s'agit du MUSE/TCS. MUSE signifie, en anglais, environnement multiple de véhicule; aérien; tél;épilot;é, et TCS, poste de contrôle; tactique. Le MUSE est un simulateur qui permet de voir en trois dimensions (3D) un espace de bataille virtuel. Il simule un véhicule; aérien; tél;épilot;é (VAT) et le place dans un monde en 3D. Il peut construire un nombre illimité d'environnements synthétiques; à l'aide de maquettes de terrain 3D créées; à partir de produits cartographiques numériques; militaires ou à partir d'une imagerie par satellite. Par la suite, le MUSE peut introduire dans ce monde à 3D des symboles et des objets à 3D provenant de sa propre collection et représentant; des él;éments; de forces alliées; et de forces d'opposition. Le MUSE est également; capable de visualiser en trois dimensions l'espace de bataille en deux dimensions qu'on voit dans le JANUS. Pendant l'instruction, cette caractéristique; permet aux commandants de visualiser beaucoup mieux le champ de bataille et elle constitue un nouvel outil pour les révisions; post-exercice. Le poste de contrôle; tactique est un équipement; opérationnel; qui comprend les logiciels et le matériel; conçus; pour la planification et le contrôle; du fonctionnement des suites de programmes de surveillance des véhicules; aériens;, notamment les VAT. Ce poste permet l'exécution; des tâches; suivantes : la planification des missions des VAT, le contrôle; des différentes; plates-formes de VAT et la réception; de l'imagerie et des données; d'autres types de capteurs, soit des signaux provenant de sources multiples comme des VAT, des satellites ou des aéronefs.; L'utilisation conjointe du MUSE et du TCS nous permet de simuler avec réalisme; des plates-formes de VAT nombreuses et variées; dans un monde en 3D virtuel. Nous sommes du même; coup capables d'effectuer avec réalisme; des missions de VAT en utilisant une pièce; d'équipement; opérationnelle; réelle.; Ensuite, nous pouvons jumeler la simulation du MUSE/TCS à celle d'un autre système; comme le JANUS et détecter; les groupes présents; dans le monde simulé et interagir avec eux. Le MUSE/TCS a actuellement pour mission à court terme d'appuyer le projet de système; robot aéroport;é d'acquisition Le cplc A. J. McDonald, à
gauche, et le bdrc S. Lemieux
font fonctionner le d'objectifs (UASTS) de la Force terrestre pendant la phase du développement; et celle de la définition.; À longue éch;éance;, les applications du MUSE/TCS sont pratiquement illimitées.; Il existe d'ores et déj;à de nombreuses applications du genre, mais comme dans le cas de n'importe quelle nouvelle tech- nologie, la valeur réelle; du système; n'est jamais connue tant et aussi longtemps que toutes les occasions et possibilités; d'utilisation n'ont pas ét;é explorées.; Compte tenu de tout cela, si vous travaillez dans des environnements synthétiques; ou si vous en utilisez, le MUSE/TCS pourrait s'avérer; un bon complément; à la fonctionnalité de votre système; ou même; l'améliorer.; Au Centre de simulation de l'Armée;, nous accueillons avec plaisir toute demande d'information concernant la simulation de l'instruction ou l'expérimentation.; Sur demande, nous pouvons organiser des démonstrations; concernant le MUSE/TCS. Le capt Rintjema est officier des opérations; au Centre de simulation de l'Armée;, à Kingston. The statue of Brigadier Andrew "Hammy;" Hamilton Gault that has stood on the edge of Confederation Square within sight of the National War Memorial in Ottawa for the past ten years now basks in its own spotlight. In September, about 30 members of the Princess Patricia's Canadian Light Infantry Association gathered, along with their spouses, to celebrate the lighting of the statue of their founder. Brigadier Gault, a businessman from Montréal;, raised $100,000 to form the last privately funded regiment in Canada on August 10, 1914. One thousand soldiers formed the Regiment at their camp at Lansdowne Park and marched through the Square on their way to the train station and overseas later that year.Another milestone in the Regiment's history will be celebrated in July 2001 in Winnipeg to mark the 50th anniversary of the Battle Kapyong, where 2PPCLI received the U.S. Presidential Citation for its valiant action. ÀOttawa, cela fait maintenant dix ans que le brigadier Andrew« Hammy » Hamilton Gault, du haut de son socle, veille sur la place de la Conféd;ération;, à deux pas du Monument commémoratif; de guerre du Canada. Bien qu'en retrait, le voilà placé sous les feux des projecteurs depuis septembre dernier, alors qu'une trentaine de membres de la Princess Patricia's Canadian Light Infantry (PPCLI) Association et leurs conjoints et conjointes se sont réunis; au pied du monument dédi;é au fondateur de leur régiment; pour une cér;émonie; d'illumination. Il faut rappeler que le brig Gault, un homme d'affaires de Montréal;, avait collecté 100 000 $ pour mettre sur pied, le 10 août; 1914, le dernier régiment; financé par des particuliers au Canada. Partis de leur campement au parc Lansdowne, les mille soldats qui formaient le PPCLI avaient défil;é sur la place de la Conféd;ération;, en route vers la gare, avant de s'embarquer pour l'Europe la même; année.; Des cél;ébrations; qui se tiendront à Winnipeg en juillet 2001 marque- ront par ailleurs un autre jalon important de l'histoire du régiment;, à savoir le 50e anniversaire de la bataille de Kapyong, à la suite de laquelle le 2 PPCLI a ét;é décor;é de la US Presidential Citation pour ses actes de bravoure. Image: Susan TurcotteImage: Cpl / cpl Yves Gemus Image: Cpl / cpl Yves Gemus Capt Joann Glaude
distributes candies
to children at a Le capt Joann LCol Bob Kelly, CO of the National Support Element, listens as a Bosnian man explains the problems facing his family as they prepare for winter. LCol Kelly was evaluating needs in the area for possible civil-military co-operation. Le lcol Bob Kelly, commandant de l'él;ément; de soutien national, écoute; un Bosniaque expliquer les problèmes; auxquels est confrontée; sa famille alors qu'elle se prépare; pour l'hiver. Le lcol Kelly était; dans cette région; pour en évaluer; les besoins, en vue d'une possible coopération; civils-militaires. The Maple Leaf / La Feuille d'érable; Rédacteur; de l'Armée; Paul Mooney (613) 945-0363 A million mines, so little timeUn million de mines... et si peu de temps!By Capt Bonnie Golbeck par le capt Bonnie Golbeck Qu'est-ce que cela prend pour débarrasser; un pays d'environ un million de mines? Posez la question au cplc Ryan Mitchell, il vous répondra; qu'il faut une infinie patience et des équipes; du génie; dévou;ées;, comme celles avec lesquelles il travaille à Bihac, en Bosnie. Le cplc Mitchell, 25 ans, réserviste; du 8e Régiment; du génie;, à Edmonton, se trouve en Bosnie dans le cadre de l'Op Palladium. À titre de contrôleur; du déminage;, il assure la supervision de deux équipes; de déminage; des Forces armées; des entités;, qui s'emploient à rendre plus sécuritaire; la région; périph;érique; de Bihac. L'équipe; de déminage; manuel (par opposi tion à l'équipe; de déminage; mécanique;, qui utilise une machine du nom de Bozena) fonctionne en groupes de trois et par périodes; de travail de 30 minutes. Dans un silence complet, les équipiers; nettoient trois passages, pouce par pouce. Ils sont si bien accordés; à leur entourage qu'ils savent d'instinct quand leur quart est terminé.; Protég;és; par leur casque à visière; et leur veste Kevlar, les équipiers; déminent; en So, what does it take to clear a country of approximately one million mines? If you ask Master Corporal Ryan Mitchell, it takes infinite patience and teams of dedicated engineers-teams like those he works with in Bihac, Bosnia. MCpl Mitchell, 25, a Reservist from 8th Field Engineer Regiment in Edmonton is in Bosnia as part of Op PALLADIUM. His job as Mine Monitor is to supervise two Entity Armed Forces (EAF) demining teams as they make the area around Bihac a little safer. The manual team (the other team is mechanical and uses a machine called a Bozena) works in groups of three for 30-minute shifts. In utter silence, they clear three lanes, inch by inch. They are so attuned to their surroundings, they instinctively know when the time is up. Wearing helmets with visors and Kevlar vests, the team clears an average of 100 m2 per day. It is a daunting task considering that the minefield is roughly 57,000 m2. Many manual teams use metal detectors in order to identify mines, but because of the large quantity of shrapnel in the Bihac pocket, the team must rely mostly on prodding. The team only works in good weather-one needs steady hands and clear visors when looking for explosives. This summer was extremely productive for the team: due to the lack of rain they were able to work 123 out of 126 scheduled days. They've been at the minefield for about three months and so far they've found a number of unexploded rifle grenades, hand grenades and anti-personnel mines. Team leader EAF Sergeant Edin Muric knows what he does is important. He wants to make the country safer for its citizens, especially the children. He's seen what mines can do to kids. Team members are between the ages of 23 and 34, and most of them have been working together for a number of years. They're part of the 5 Corps Engineer Battalion and they specialize in demining operations. Starting in mid-November, they begin the winter routine of equipment maintenance, training in building clearance and unexploded ordnance disposal and school awareness programs. MCpl Mitchell is proud to be working with Sgt Muric and his team. "These; are some of the most professional soldiers I've worked with," said MCpl Mitchell. "Without; a doubt, they are the true heroes in the demining process," he said. This is MCpl Mitchell's second tour in Bosnia. In 1997, he was part of the 1 Combat Engineer Regiment's Field Engineer Section with the Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians) Battle Group. Capt Golbeck is Task Force PAffO, Bosnia- Herzegovina Image: MGen Rick Hillier tours one of the demining sites in Bihac with manual demining team leader, Sgt Edin Muric.Le mgén; Rick Hillier visite un site de déminage; à Bihac, en compagnie du chef de l'équipe; de déminage; manuel, le sgt Edin Muric.Cpl / cpl Yves Gemusmoyenne 100 m2 par jour. C'est un défi; de taille si l'on considère; que le champ de mines couvre approximativement 57 000 m2. De nombreuses équipes; de déminage; manuel ont recours à des détecteurs; de métal; pour repérer; les mines, mais compte tenu de la grande quantité de shrapnels dans l'enclave de Bihac, l'équipe; doit s'en remettre surtout à la recherche par sondage. En outre, les équipiers; ne travaillent que par beau temps, car il faut des mains sûres; et des visières-;écran; bien nettes dans cette recherche à tâtons; des explosifs. L'ét;é s'est rév;él;é extrêmement; productif pour l'équipe; : l'absence de pluie lui a permis de travailler 123 jours sur les 126 prévus.; Depuis quelque trois mois qu'ils sont au champ de mines, les démineurs; ont repér;é plusieurs grenades à fusil, grenades à main et mines antipersonnel non explosées.; Le sgt Edin Muric, chef de l'équipe; de déminage; manuel des Forces armées; des entités;, n'est pas sans savoir l'importance de son travail. Il vise à rendre le pays plus sécuritaire;, pour les enfants en particulier. Il a vu ce que les mines peuvent faire aux enfants. La plupart des membres de l'équipe;, âg;és; de 23 à 34 ans, travaillent ensemble depuis plusieurs années.; Ils font partie du 5th Corps Engineer Battalion et sont spécialis;és; en opérations; de déminage.; À la mi-novembre, ils entameront les activités; courantes de l'hiver relatives à la maintenance de l'équipement;, à l'entraînement; au dégagement; des bâtiments; et à la neutralisation des explosifs et des munitions, sans compter les programmes scolaires de sensibilisation aux mines. Le cplc Mitchell est fier d'être; associé au sgt Muric et à son équipe.; « Ils comptent parmi les soldats les plus professionnels avec lesquels j'ai eu l'occasion de travailler. Je n'hésite; pas à dire que ce sont les véritables; héros; de cette opération; de déminage.; » C'est la deuxième; période; d'affectation du cplc Mitchell en Bosnie. En 1997, il était; dans la section des sapeurs du 1er Régiment; du génie;, groupement tactique du Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians). Le capt Golbeck est OAP de la Force opérationnelle; en Bosnie-Herzégovine.; Image: MCpl Ryan Mitchell (far right) gives a demining briefing to Canadian MGen Rick Hillier (far left), Commander, Multi-national Division Southwest and other senior officers.Cpl / cpl Yves GemusLe cplc Ryan Mitchell, à l'extrême; droite, donne un briefing sur le déminage; au mgén; canadien Rick Hillier, à l'extrême; gauche, commandant de la Division multinationale (sudouest), ainsi qu'à d'autres officiers supérieurs.; Trois soldats exceptionnels méritent; une Citation à l'ordre du jourThree outstanding soldiers awarded Mention in DispatchesLe 10 août; 1993, le sgt Éric; le terrain exposé au feu nourri des belligérants.; Les deux militaires canadiens ont franchi les quinze mètres; qui les séparaient; de lui et l'ont emmené en lieu sûr.; Cet homme a eu la vie sauve grâce; à leur altruisme et à leur professionnalisme. Le maj John McComber était;
officier en chef de la logistique auprès; de la mission de l'ONU au Rwanda le jour où il a reçu; un
appel de détresse; de la Croix-Rouge. Cela s'est
passé en juin 1994, au moment où d'intenses
combats faisaient rage dans la capitale. L'hôpital;
de Kigali, qui devait soigner plus de 600 victimes,
venait de manquer de combustible pour alimenter sa gén;ératrice.; Le maj McComber s'est
porté volontaire pour en livrer. À son arrivée;, le
chemin menant à la gén;ératrice; était; obstrué par
des civils blessés; et par deux camions pleins de
civils tutsis qui attendaient de traverser la
zone d'attaque. Au cours des quatre heures
qui ont suivi, le
maj McComber
a aidé à déplacer;
les blessés; et à
ravitailler la gén;ératrice;, alors
que partout au-
tour sifflaient
des tirs de mortiers, d'armes
lég;ères; et de
mitrailleuses. Les premières; Citations à l'ordre du jour sont apparues en 1991. Cet insigne vise a récompenser; la conduite courageuse, l'attachement au devoir et les mérites; exceptionnels de membres des FC en service actif qui se sont distingués; au combat ou dans des conditions de quasi- combat, ainsi que de personnes travaillant avec les FC. L'insigne de bronze consiste en une feuille de chêne; posée; à l'horizontale sur le ruban approprié.; Image: Sgt / sgt Éric; BelleyImage Sergeant Éric; Major John McComber was the Chief Logistics Officer for the UN mission in Rwanda in June, 1994 when he received a distress call from the Red Cross. Heavy fighting in Kigali had left the local hospital with more than 600 casualties and the hospital generator had run out of fuel. Maj McComber volunteered to deliver the fuel. When he arrived he found the generator blocked by wounded civilians and two truckloads of Tutsi civilians waiting to cross through the front lines. For the next four hours, while under mortar, small arms and machine-gun fire, Maj McComber helped move the wounded and refuelled the generator. When the firing ceased, he helped escort the Tutsis through the front lines to safety. His dedication and disregard for his own safety saved countless lives. The Mention in Dispatches award was created in 1991 to recognize valiant conduct, devotion to duty and other distinguished service by CF members on active service in combat and near-combat conditions as well as others working with the CF. The insignia is a bronze oak leaf worn horizontally on the designated ribbon. ImageCpl / cpl Éric; Tremblay Maj / maj John McComber Vol. 3, No. 38, 2000 |
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Date Modified: 2006-01-06 | Important Notices |