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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


8 ACCS takes control during NATO exercise


Image: MCpl Frank Malatest, a senior radar controller with 8 ACCS, co-ordinates a radar handoff of air traffic in Bogue Field from a U.S. Marine Corps air traffic controller based in Cherry Point, North Carolina.Le cplc Frank Malatesta, contrôleur; radar supérieur; du 8 ETCA, accepte à Bogue Field le transfert du contrôle; radar de la circulation aérienne; des mains d'un contrôleur; aérien; appar- tenant au Corps des Marines des États-Unis; et affecté à Cherry Point, en Caroline du Nord.

By Capt Mary Lee

CHERRY POINT, North Carolina - A Canadian Forces Mobile Air Traffic Control unit from 8 Wing Trenton successfully passed a Federal Aviation Authority (FAA) radar instrument flight check October 16 in Bogue Field, North Carolina, allowing the Squadron to control aircraft in U.S. airspace for the first time.

8 Air Communication and Control Squadron (ACCS) deployed in Cherry Point Marine Corps Air Station (MCAS) last month for Exercise UNIFIED SPIRIT 2000 (US 2000), a NATO-forces exercise involving about 160 Air Force members from across Canada. The exercise is designed to test participants' readiness capability in deploying their mobile quad radar system and to provide air traffic control services to NATO allies. More than 31 000 U.S. military personnel and 2500 Canadian Forces members-as well as troops from France, Denmark, Germany and Britain- participated.

"This; is the first time we've tested our mobility by road this distance and have been granted authority by another agency to control inside their airspace," said Master Corporal Frank Malatesta, a senior radar controller. "We; have set a precedent for 8 ACCS for future exercises and operations outside Canada."

Prior to providing air traffic control services to the NATO aircraft involved in UNIFIED SPIRIT 2000, 8 ACCS required an U.S. aviation standard flight check to be conducted on the radar system. Canadian controllers are now able to control any of the participating aircraft under all weather conditions using precision approach radar.

"We; are the only CF unit to provide the deployable precision approach radar capability," explained Captain Jeff Szumlanski, 8 ACCS Ops Team Leader. "We; are now able to support the MCAS controllers in Cherry Point and test our inter-operability with the U.S."

ACCS has often deployed to other countries. In fact, technicians and air traffic controllers must be ready to move in six hours and can deploy anywhere in the world. According to Capt Szumlanski, they have the ability to set up not one but two Instrument Flight Rules (IFR) airfields. Completely self-sufficient, they include everything from

Sgt / sgt Sandy Gallant

lighting to a power generation system. Once the entire package is unloaded from the Hercules, the team is able to land its first aircraft between four and six hours later.

The last large-scale NATO exercise took place in 1998 off the coasts of Nova Scotia and Newfoundland. They are conducted every two years. Capt Mary Lee is a Public Affairs Officer who was with the Air Force contingent at Exercise UNIFIED SPIRIT.

Letter of  
appreciation


Lettre de remerciement


Le 8 ETCA aux commandes lors d'un exercice de l'OTAN


par le capt Mary Lee

To whom it may concern,

On July 14, 2000, members of 19 Wing Comox took part in a rescue mission in the extreme northern part of the Yukon near the Beaufort Sea. A member of our group had been accidently shot in the leg and was seriously injured.

Our distress signal was picked up, and help arrived within a very short time, given the distances involved and the difficulty of reaching the site.

We would like to call to your attention the courage and determination of the two men who parachuted onto the site, and the difficulty of this feat given the limited area available to make a safe landing and the roughness of the terrain. We also wish to thank the crew of the aircraft that pinpointed our location and the support staff at 19 Wing Comox.

It was thanks to the co-ordinated efforts of these people that the life of our friend was saved.

Today, our companion is doing well. He is able to walk once more and only a 32-cm scar and a missing muscle are there to remind him of his mishap.

I would like to send a special thank-you to Sergeant Ron O'Reilly and Corporal Derek Rogers, who parachuted onto the site and saved our companion.

Thanks to all,

Michel Brunet, Montréal; Marc-André Brunet, Montréal; Giovanni Lombardi, Livorno (Italy) Gunther Kuhnlein, Calgary (injured party)

À qui de droit,

Le 14 juillet dernier, des membres de la 19e Escadre de la BFC Comox ont participé à une mission de sauvetage dans la partie extrême; nord du Yukon près; de la mer de Beaufort. Un membre de notre groupe avait ét;é blessé sérieusement; après; s'être; accidentellement tiré un projectile au niveau de la cuisse.

Notre signal de détresse; (ELT) a ét;é reçu; et les secours sont arrivés; sur les lieux très; rapidement compte tenu de la distance et de la difficulté d'accès; au lieu de l'accident.

Nous portons à votre attention le courage et la détermination; des deux militaires qui ont ét;é parachutés; sur les lieux et la difficulté de ce que cela présentait; compte tenu du peu d'espace pour un atterrissage sans risque et de la géographie; accidentée; des lieux. Nous voulons aussi remercier les membres de l'équipage; de l'avion qui nous a repér;és; ainsi que le person

nel de soutien de la 19e Escadre.

C'est grâce; à la coordination de tout ce personnel que la vie de l'un des nôtres; a ét;é sauvée.;

Aujourd'hui, notre compagnon se porte bien, il peut marcher à nouveau, seule une cicatrice de 32 cm et un muscle en moins lui rappelle sa mésaventure.;

Un merci particulier au sgt Ron O'Reilly et au cpl Derek Rogers qui ont sauté en parachute et sauvé notre compagnon.

Merci à tous,

Michel Brunet, Montréal; Marc-André Brunet, Montréal; Giovanni Lombardi, Livorno (Italie) Gunther Kuhnlein, Calgary (Alb.) (blessé)

CHERRY POINT (Caroline du Nord) - Le 16 octobre dernier, une unité mobile de contrôle; de la circulation aérienne; des FC relevant de la 8e Escadre Trenton a réussi; une vérification; de vol au radar et aux instruments de la Federal Aviation Administration (FAA) à Bogue Field, en Caroline du Nord. C'était; la première; fois que l'Escadron était; autorisé à contrôler; des aéronefs; en vol dans l'espace aérien; américain.;

Le mois dernier, donc, le 8e Escadron de transmissions et contrôle; (Air) (8e ETCA) a participé à l'Ex Unified Spirit 2000 (US 2000). Cet exercice des forces de l'OTAN, auquel avaient ét;é conviés; quelque 160 membres de la Force aérienne; servant un peu partout au Canada, s'est déroul;é à la Marine Corps Air Station (MCAS) de Cherry Point. Le but visé était; de vérifier; l'état; de préparation; des participants ainsi que leur aptitude à déployer; le système; radar quad mobile et à fournir des services du contrôle; de la circulation aérienne; aux alliés; de l'OTAN. En tout, cet exercice a rassemblé plus de 31 000 soldats américains;, 2 500 membres des FC et un certain nombre de militaires français;, danois, allemands et britanniques.

« C'est la première; fois que nous déployons; notre système; à une telle distance sur la route et qu'un organisme étranger; nous accorde la permission de contrôler; son espace aérien; », a déclar;é le cplc Frank Malatesta, contrôleur; radar supérieur.; « Nous avons créé un préc;é-; dent pour le 8e ETCA si jamais ce dernier doit participer à des exercices et mener des opérations; à l'étranger.; »

C'est qu'avant d'offrir les services du contrôle; de la circulation aérienne; aux aéronefs; de l'OTAN mis à contribution durant l'Ex Unified Spirit 2000, le 8e ETCA devait soumettre son système; radar à un

contrôle; en vol répondant; aux normes de l'aviation américaine.; Désormais;, les contrôleurs; canadiens pourront, au moyen d'un radar d'approche de précision;, diriger, par tous les temps, le vol de n'importe quel appareil participant.

« Nous sommes la seule unité des FC à disposer de cette capacité de déployer; un radar d'approche de précision; », d'expliquer le capt Jeff Szumlanski, chef de l'équipe; chargée; des opérations; du 8e ETCA. « Nous sommes maintenant en mesure d'apporter notre concours aux contrôleurs; de la MCAS de Cherry Point et de vérifier; l'interopérabilit;é opérationnelle; entre nous et les Américains.; »

L'ETCA a souvent ét;é appelé à se déployer;

dans d'autres pays. En fait, les techniciens et les contrôleurs; aériens; doivent se tenir toujours prêts;, car ils peuvent se faire dép;êcher; dans nimporte quelle région; du monde dans un délai; de six heures. D'après; le capt Szumlanski, ils sont capables de monter non pas un, mais deux aérodromes; pour les vols IFR (vols effectués; conformément; aux règles; de vol aux instruments). Ils fonctionnent en parfaite autonomie. C'est dire qu'ils disposent de tout le matériel; dont ils ont besoin, des dispositifs d'éclairage; à un système; de production du courant. Une fois que le matériel; est décharg;é d'un Hercules, l'équipe; de l'ETCA n'a besoin que de quatre

à six heures pour faire atterrir un avion.

Le dernier exercice de l'OTAN d'une telle ampleur a eu lieu en 1998 au large des côtes; de la Nouvelle-Écosse; et de Terre-Neuve. L'OTAN organise des exercices de grande

envergure tous les deux ans. Le capt Mary Lee est l'officier des affaires publiques qui a ét;é détach;é auprès; du contingent de la Force aérienne; participant à l'Ex Unified Spirit.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis fergus@intranet.ca


New standard re-affirms 400 Squadron's heritage


Text and photos by Maj Mike Minnich

Image: Chaplain General BGen Murray Farwell (right) reflected on what a unit's Colours truly represent.Le bgén; Farwell, Aumônier; gén;éral;, (ci-contre) a formulé des remarques sur le sens véritable; des couleurs d'une unité.;

Late September saw the most senior flying organization in the CF-400 (City of Toronto) Squadron, a Reserve-heavy tactical helicopter unit based at 16 Wing Borden-receive a new Standard to replace the timeworn Colours that had served the unit so faithfully since being awarded back in 1961.

The consecration service that gave the Standard the status of Colours was over- seen by the Chaplain General, Brigadier- General Murray Farwell, assisted by two Borden chaplains, Captain Tracy Moore and Capt Larry Wright.

"This; Standard does not just represent a unit on an organizational chart-it represents all the men and women who have ever served in 400 Squadron, in peace and in war," BGen Farwell said. "It; is their loyalty and sacrifice that are being remembered here today."

400 Squadron began its 68-year history as No. 10 (Army Co-operation) Squadron, Royal Canadian Air Force Auxiliary, in Toronto back in the fall of 1932. During the Second World War, it served overseas longer than any other RCAF squadron, and its duties in tactical photo-reconnaissance over Europe were the basis for the two main elements on the squadron badge: a scarlet eagle's head in front of crossed tomahawks (the latter symbolizing the Curtiss "Tomahawk" fighter aircraft that the squadron flew in 1941-42).

Today, the unit operates eight CH-146 Griffon utility/tactical-transport helicopters.

Maj Mike Minnich is the Senior Air Reserve Public Affairs Officer in Air Command.

CFB Borden chaplains Capt Tracy Moore (foreground) and Capt Larry Wright officiate during the consecration of the new 400 Squadron Standard.

Le capt Tracy Moore (au premier plan) et le capt Larry Wright, aumôniers; à la BFC Borden, officient lors de la cér;émonie; de consécration; du nouvel étendard; du 400e Escadron.

Image

Le nouvel étendard; évoque; le patrimoine du 400

e

Escadron


texte et photos du maj Mike Minnich

Fin septembre, la plus ancienne unité aérienne; des FC - le 400e Escadron (City of Toronto) - une unité tactique d'hélicopt;ères; comptant un grand nombre de réservistes; basée; à la 16e Escadre Borden - a reçu; un nouvel étendard; appelé à remplacer les couleurs qui représentent; si fidèlement; cette unité depuis 1961.

La cér;émonie; de consécration; au cours de laquelle l'étendard; a reçu; le statut de

couleurs a ét;é supervisée; par l'Aumônier; gén;éral;, le bgén; Murray Farwell, qui recevait l'appui de deux aumôniers; de Borden, le capt Tracy Moore et le capt Larry Wright.

« Cet étendard; représente; non seulement une unité à l'intérieur; d'un organigramme, mais aussi l'ensemble des hommes et des femmes qui ont servi au sein du 400e Escadron, en temps de paix et en temps de guerre », a affirmé le bgén; Farwell. « C'est leur loyauté et leurs sacrifices que nous commémorons; ici aujourd'hui. »

Le 400e Escadron a vu le jour il y a 68 ans durant l'automne de 1932 en tant qu'Escadron nº 10 (Army Cooperation Squadron) de l'auxiliaire de l'Aviation royale du Canada, basé à Toronto. Il s'agit de l'escadron ayant servi le plus longtemps

outre-mer parmi ceux de l'ARC durant la Seconde Guerre mondiale. Ce sont les fonctions de reconnaissance tactique photographique qu'il a alors remplies au-dessus de l'Europe dont témoignent; les deux principaux él;éments; de l'insigne de l'unité :

la tête; écarlate; d'un aigle devant deux tomahawks croisés; (lesquels symbolisent le chasseur Curtiss « Tomahawk » piloté par les membres de l'escadron en 1941-1942).

De nos jours, l'unité compte huit hélicopt;ères; polyvalents et de transport tactique CH-146 Griffon. Le maj Mike Minnich est l'officier des affaires publiques principal de la Réserve; aérienne; du Commandement aérien.;

The firefighter's task is not an easy one


Early October marked National Fire Prevention Week, when Canadians are reminded to test their smoke alarms and plan family escape routes. To test their own mettle, nine members of 3 Wing Bagotville's fire department participated in a provincial firefighting competition in Quebec. They learned what it takes to be a lean, mean firefighting machine.

Firefighters from 3 Wing Bagotville had an opportunity to demonstrate their skills during the 12th Annual Provincial Competition at Pintendre, near Québec; City, this summer.

The nine firefighters from 3 Wing-most competing for the first time-made up the only military team competing in the event. In addition, the wives of six of those members

made up the 3 Wing women's team. Military firefighters, professional civilian firefighters, industrial firefighters, volunteer firefighters and student firefighters from every corner of the Province of Quebec competed to measure their firefighting skills against each other.

Imagine yourself, for a moment, slipping on your student firefighter boots, donning the heavy fireproof and waterproof garments (with winter liners!), plus the helmet, on a balmy summer day. Add a little adrenaline as you dress under the watchful eye of a timekeeper and an enthusiastic audience, and you should form a fairly good picture of what the participants felt.

The competition is divided into five events: rescuing vic-

tims from a burning house; finding a way through a maze of narrow hallways to rescue a victim trapped under a collapsed ceiling; connecting water hoses; crossing an obstacle course and, finally, crossing a pool on a log. The women's team had to cross a labyrinth, connect hoses, knock down a target with a stream of water, and ventilate a house and extricate a 150-lb mannequin.

At Bagotville, training began two months before the competition, with members practising two to three times a week. Training of this kind is really unparalleled.

The competition was also an opportunity to meet a lot of people, both professional and amateur firefighters, and educate the public. As a result of this unique experience, team spirit was strengthened and lessons were learned. We are all looking forward to next year's competition in Drummondville.  
Cpl Robert Comeau is a firefighter at 3 Wing Bagotville.

By Cpl Robert Comeau

simulation d'un plancher effondré, faire des raccords de boyaux, passer une piste à obstacles de six pieds et finalement traverser une piscine sur un billot. Les équipes; constituées; des conjointes doivent passer un labyrinthe, raccorder des boyaux, abattre une cible d'un jet d'eau, ventiler une maison et sortir de celle-ci un mannequin de 150 lb. À Bagotville, l'entraînement; a commencé deux mois avant la rencontre à raison de deux à trois fois par semaine. Rien de plus agréable; et de plus enrichissant qu'un tel entraînement; : avez-vous déj;à enseigné à votre femme les rudiments de votre métier; et fait en sorte qu'elle les mette en pratique? Bien plus que d'exécuter; des circuits établis;, ces trois journées; nous ont permis de rencontrer beaucoup de gens, professionnels et amateurs du métier;, et de sensibiliser la population à celui-ci. Cette expérience; unique a solidifié un bel esprit d'équipe; et nous a permis de raffiner nos stratégies; en vue de la prochaine compétition; : un rendez-vous à ne pas manquer à Drummondville en 2001. Le cpl Robert Comeau est pompier à la 3e Escadre Bagotville.

Être; pompier c'est tout un métier;!


Début; octobre, à l'occasion de la semaine nationale de prévention; contre les incendies, les Canadiens se sont vu rappeler de vérifier; leurs détecteurs; de fumée; et les itinéraires; d'évacuation; pour la famille. Neuf membres du service des incendies de la 3e Escadre Bagotville ont, quant à eux, participé à la 12e compétition; annuelle provinciale regroupant près; de 300 pompiers du Québec.;

Les pompiers de la 3e Escadre Bagotville ont pu tester leurs habiletés; durant la 12e compétition; annuelle des pompiers du Québec; qui a eu lieu à Pintendre, en banlieue de la ville de Québec;, du 30 juin au 2 juillet.

Neuf pompiers militaires, dont la plupart en étaient; à leur première; compétition;, constituaient l'unique équipe; militaire participant à cet év;énement; tandis que les épouses; de six d'entre eux formaient l'équipe; féminine; de la 3e Escadre

Bagotville. Pompiers militaires, pompiers civils profession- nels, pompiers industriels, pompiers volontaires et él;èves; pompiers provenant de tous les coins de la province ont mesuré leurs habiletés; à combattre le feu.

Imaginez pour un instant que vous chaussez vos bottes d'apprenti pompier, que vous revêtez; l'habit complet de pompier sans oublier votre doublure de manteau et votre casque protecteur, le tout sous une douce chaleur d'ét;é.; Ajoutez une dose d'adrénaline; alors qu'un juge vous chronomètre; sous les regards d'une foule enthousiaste et vous voilà fin prêt; pour le défi.;

En tout, les pompiers doivent compléter; cinq épreuves; qui consistent à sortir des victimes d'une maison, passer dans un labyrinthe étroit; afin de secourir une victime coincée; sous la

par le cpl Robert Comeau

Vol. 3, No. 39, 2000



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