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Hart Trophy winner served with RCAF


Un ancien gagnant du Trophée; Hart qui a servi au sein de l'ARC


par Mitch Gillett

Milton Schmidt a un sens aigu du devoir et c'est certainement ce dont cinq des six équipes; originales de la Ligue nationale de hockey avaient besoin.

Redoutable près; du filet, ce joueur de centre qui maniait fort habilement son bâton; était; membre de l'une des équipes; de hockey les plus illustres de l'his

toire de la LNH. M. Schmidt a échang;é l'uniforme des Bruins de Boston contre celui de l'Aviation royale du Canada, de 1942 à 1945.

Ce joueur de centre de six pieds et de 185 livres, qui a marqué 229 buts et inscrit 575 points au cours de sa carrière; dans la LNH, a aidé l'équipe; de hockey de l'ARC d'Ottawa à remporter la Coupe Allan.

Exception faite des trois années; qu'il a passées; comme lieutenant d'aviation au sein de l'ARC,  
M. Schmidt a passé sa carrière; à jouer au hockey avec les Bruins de Boston, de 1936 à 1955, année; où il a accroché ses patins pour devenir l'entraîneur; de l'équipe.; Après; sept saisons derrière; le banc, il est passé au niveau de gestion et a servi de directeur gérant; jusqu'en 1972.

Ayant la réputation; d'être; un joueur de centre robuste qui ne cédait; pas la rondelle facilement,  
M. Schmidt jouait entre les deux ailiers Woody Dumart et Bobby Bauer. Les trois formaient une unité surnommée; la « ligne Kraut ».; Après; la Seconde Guerre mondiale, il est retourné au hockey profession- nel et a gagné plus tard le Trophée; Hart de la LNH, décern;é au joueur le plus utile de son équipe; au cours de la saison 1951-1952.

Patineur puissant et rapide, M. Schmidt a joué avec deux équipes; ayant remporté la Coupe Stanley, celles de 1938-1939 et de 1940-1941. Il a également; ét;é choisi comme membre de la première; équipe; des étoiles; de la Ligue à trois reprises.

By Mitch Gillett

Milton Schmidt's overwhelming sense of duty was quite likely the best thing for five of the original six National Hockey League teams.

Dangerous around the nets, the clever stick-handling centre belonged to one of the most potent hockey lines in NHL history. But Schmidt traded his Boston Bruins uniform for Royal Canadian Air Force blue from 1942 to 1945.

The six-foot tall, 185-pound centre-who scored 229 goals and racked up 575 points during his NHL career-helped the Ottawa RCAF hockey team win the Allan Cup.

With the exception of his three years as a  
Flying Officer in the RCAF, Schmidt spent his hockey career playing for Boston from 1936 to 1955, when he gave up playing to become the team's coach. After seven seasons behind the bench, he moved up to management level and served as general manager until 1972.

Known as a powerful, hard-hitting centre who never gave up the puck without a fight, Schmidt played between Woody Dumart and Bobby Bauer on a unit dubbed "The; Kraut Line".; After the Second World War, he returned to professional hockey and later won the NHL's Hart Trophy as the most valuable player to his team in 1951-52.

A strong, hard skater, Schmidt played for two Stanley Cup-winning teams: 1938-39 and 1940-41. He was also voted three times to the league's First All-Star Team.

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Milton Schmidt helped the  
Boston Bruins win two Stanley Cups and led the Ottawa  
RCAF hockey team to an Allan Cup victory.

Milton Schmidt a aidé les Bruins de Boston à gagner la  
Coupe Stanley à deux reprises. Il a aussi mené l'équipe; de

hockey de l'ARC d'Ottawa à la victoire dans le championnat de la Coupe Allan.

November 2 1869: In the Red River Colony (present-day southeast Manitoba), 120 Métis; men, including a 25-year-old notary named Louis Riel, occupy Fort Garry, the Hudson's Bay post at the confluence of Red and Assiniboine rivers. Their goal is to prevent the transfer of Rupert's Land and the Northwest Territories (property of the Hudson's Bay Company) to the new Dominion of Canada by establishing an independent government. The occupation of Fort Garry is the prelude to the Red River Rebellion, which ends with Louis Riel exiled as a dangerous radical, and Manitoba in Confederation.

November 4 1956: In New York, Canada's Ambassador to the United Nations, Lester B. Pearson, convinces the UN General Assembly that an international force under the UN flag can stop the Suez Canal crisis without fighting. The United Nations Emergency Force (UNEF), made up of trained soldiers from leading UN nations not involved in the dispute, will move in between the belligerent armies. With the UNEF troops in place, the belligerents will have to go through the peacekeepers to attack each other.

November 7 1900: At Liliefontein Farm, near the Komati River in the Transvaal, a force of more than 1200 Boer cavalry attacks Canadian troops guarding the withdrawal of a British infantry column. The Canadian force comprises 90 officers and men of The Royal Canadian Dragoons and two Royal Canadian Artillery 12-pounder field guns. The Boers want the guns, for which they already have ammunition, seized a few days earlier. Dragoon lieutenants Richard Turner and Hampden Cockburn order their men to dis- mount and deploy in line to defend the guns, and the Boers launch their only full-scale cavalry charge of the war right at the middle of the Dragoon line. The Dragoons stand fast, giving the gunners time to get away, but the Boer charge veers to their left flank, held by Sergeant Edward Holland with a carriage-mounted Colt machine- gun. When his horse is blown right out from under him, Sgt Holland grabs the white-hot barrel of the Colt and disconnects it from the breach. Clutching the gun barrel, Sgt Holland staggers toward a retreating field gun, and one of the gunners jumps down from the limber and hoists him and the barrel aboard. During the Liliefontein engagement, three Dragoons are killed and 11 are wounded. Later, Lt Cockburn, Lt Turner and Sgt Holland each receive the Victoria Cross for preventing the capture of the guns.

2 novembre 1869. Dans la colonie de la rivière; Rouge (aujourd'hui le sud-est du Manitoba), 120 hommes métis; dont un notaire de 25 ans nommé Louis Riel, occupent Fort Garry, le poste de la Compagnie de la Baie d'Hudson au confluent des rivières; Rouge et Assiniboine. Leur but est d'empêcher; que la Terre de Rupert et les Territoires du Nord-Ouest (terres appartenant à la Compagnie de la Baie d'Hudson) soient transfér;és; au nouveau Dominion du Canada de par l'établissement; d'un gouvernement autonome. L'occupation de Fort Garry est le prélude; de la Rébellion; de la

rivière; Rouge qui prit fin avec l'exil de Louis Riel, perçu; comme un extrémiste; dangereux, et l'entrée; du Manitoba dans la Conféd;ération.;  
4 novembre  
1956. À New York, l'ambassadeur du Canada aux Nations Unies, Lester B. Pearson, convainc l'Assemblée; gén;érale; de l'ONU qu'une force internationale dirigée; par l'ONU pourrait mettre fin à la crise du

canal de Suez sans combat. La Force d'urgence des Nations Unies (FUNU), formée; de soldats qualifiés; provenant des principaux pays membres de l'ONU non mêl;és; à la dispute, ira s'installer entre les deux armées; ennemies, les obligeant pour s'attaquer à passer par les gardiens de la paix.  
7 novembre  
1900. À la ferme Liliefontein, près; de la rivière; Komati, dans le Transvaal, une force de plus de 1 200 cavaliers boers attaque les troupes canadiennes qui assuraient la garde lors du retrait d'une colonne d'infanterie britannique. La force canadienne comprend 90 officiers, sousofficiers et hommes de troupe des Royal Canadian Dragoons et deux canons de campagne de 12 livres de l'Artillerie royale canadienne. Les Boers convoitent les canons, dont ils ont déj;à saisi les munitions quelques jours plus tôt.; Les lieutenants Richard Turner et Hampden Cockburn, des Dragoons, donnent à leurs hommes l'ordre de mettre pied à terre et de se positionner pour défendre; les canons. Les Boers lancent alors leur seule charge de cavalerie de guerre pour couper la ligne des Dragoons. Ces derniers se défendent; et permettent aux artilleurs de s'échapper;, mais la charge des Boers vire vers le flanc gauche tenu par le sgt Edward Holland, équip;é d'une mitraillette Colt montée; sur un chariot. Lorsque son cheval est atteint, le sgt Holland saisit le canon incandescent du Colt et l'arrache à son support. Étreignant; le canon de la mitraillette Colt, le sgt Holland se rend en titubant vers un canon de campagne en retraite. L'un des artilleurs le hisse alors avec la mitraillette

dans le chariot. La bataille de Liliefontein compte 3 morts et 11 blessés; chez les Dragoons. Plus tard, le lt Cockburn, le lt Turner et le sgt Holland sont tous les trois décor;és; de la Croix de Victoria pour avoir évit;é que les canons soient saisis.

Image

DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


FOURTH


By/par Charmion Chaplin-Thomas

Image: November 28, 1956: Sapper Ed Leathwood and Sapper Brock Matthews of the Royal Canadian Engineers locating mines near the Suez Canal. CFPU photo by Hunt / USPFC, Hunt

Le 28 novembre 1956. Les sapeurs Ed Leathwood et Brock Matthews, du Corps royal du génie; canadien, détectent; des mines près; du canal de Suez.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



A closer look at combat rations


By Aline Dubois

The combat rations given to military personnel are increasingly prompting them to "come; back for more".; New dishes slated for 2001 are promising to continue this trend.

"What; we are trying to do is to put a little bit of Canada into our menus," said Nicole Bélanger-Drapeau;, director of the project management office that oversees the military's combat rations. "We; want deployed CF members to find tastes they are familiar with on their plates."

So beef stroganoff, stewed apples and raspberries, and caramel apples should make their appearance late in 2001. While these new dishes are being developed, Bélanger-Drapeau;, who cooked up the caramel apples, dreams of putting oranges, grapefruit and other citrus fruits-not to mention lamb dishes-into the combat rations. "Lamb; would have been unthinkable ten years ago. But with all the Greek restaurants in Canada and roast lamb on everyone's menu, people's tastes have become more varied," she said.

The job of selecting combat rations is not taken lightly. Each ration must contain a minimum of 1200 calories. Rations ordered from suppliers or suggested by them are exhaustively evaluated using precise criteria that range far beyond the food's nutritional qualities. Appearance, texture, flavour and aroma are all taken into account. Every year volunteer tasters from the three elements taste the new dishes being proposed. "The; tasting process lasts about a month and a half, and every product is carefully screened," said Bélanger-Drapeau.; I'm in the habit of telling tasters that they might end up eating the dishes they select today if they leave on mission a year from now. They take their work very seriously. Even the Chief of the

Defence Staff generally participates in the tasting process. He wants to know what the deployed soldiers are eating."

There is a trend, particularly among young service personnel, towards vegetarianism. The CF offers combat rations of this sort, including omelettes, pasta and salmon filets. "Since; the food services we offer are still limited and strict vegetarians cannot find what they want, we have engaged the services of an American company that specializes in vegetarian, kosher and Halal foods," said Bélanger-Drapeau.; "However;, most people who call themselves vegetarians eat eggs and poultry. I am currently negotiating to have three poultry entrees added to our vegetarian menus."

Thanks to top-quality sterilization rather than preservatives, Canadian combat rations have a shelf life of three years. Vegetarian rations from the United States, on the other hand, have a shorter life-span because they contain nuts that tend to turn rancid over time.

If the bread found in today's combat rations no longer amazes anyone, it nonetheless represented a small revolution in food preservation when oxygen absorbers first made it possible ten years ago.

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Nicole Bélanger-;  
Drapeau studied dietetics in the CF. Later on, she married a soldier. "For; most of my life, I have been steeped in the military lifestyle," she says. "I; know what CF members like and don't like to eat, just from hearing them talk."

Jeune fille, Mme Nicole Bélanger-Drapeau; a étudi;é la diét;étique; au sein des FC. Elle a par la suite épous;é un membre de l'Armée; de terre. « J'ai baigné dans l'ambiance militaire la

majeure partie de ma vie. À force de les entendre parler, je sais ce que les militaires aiment et n'aiment pas manger », se plait-elle à dire.

Engineers from 3 troop, 5e Régiment; de Génie; de Combat, eating combat rations.

Des ingénieurs; de la 3e troupe, 5e Régiment; de Génie; de combat, mangent des rations de combat.

Qu'en est-il des rations de combat?


Image: Sgt / sgt Serge PetersDeployed soldiers, have your say!

An anonymous menu evaluation form can be found in every combat ration or on the Intranet.

When you get the urge for a treat

Deployed soldiers prefer  
Coffee Crisp over any other candy bar or treat. This is evident because soldiers tend to choose rations that contain the famous bars.

Soldats déploy;és;, exprimez-vous!


Un formulaire anonyme d'appréciation; des menus offerts se trouve dans chaque ration de combat ou sur l'Intranet.

Gourmandise, quand tu nous tiens!

De toutes les barres sucrées; et autres gâteries;, le Coffee Crisp est le grand favori des soldats déploy;és.; Comment s'en est-on rendu compte?

Tout simplement parce que ceux-ci choisissent de préf;érence; les rations qui contiennent les fameuses barres.

par Aline Dubois

Les rations de combat proposées; aux militaires déploy;és; ont un goût; de plus en plus prononcé de « revenez-y ».; Et les nouveautés; culinaires signalées; pour 2001 s'inscrivent dans cette même; trajectoire.

« Ce que nous essayons de faire, de préciser; Mme Nicole Bélanger-Drapeau;, Directeur - Bureau de gestion de projet du Programme national des rations de combat, c'est d'apporter un peu de Canada dans nos menus. Nous voulons que les militaires déploy;és; retrouvent, dans leur assiette, des saveurs qui leur sont familières.; »

Ainsi, un ragoût; de boeuf stroganoff, une compote pomme et framboise et des pommes au caramel devraient faire leur apparition sur le terrain fin 2001. Et tandis que ces nouveautés; sont en préparation;, Mme Bélanger-Drapeau;, créatrice; des pommes au caramel, rêve; d'intégrer; dans les rations de combat oranges, pamplemousses et autres agrumes, ainsi que des plats à base d'agneau : « Proposer de l'agneau aurait ét;é impensable il y a dix ans. Mais avec tous les restaurants grecs qu'il y a au Canada et les méchouis; organisés; un

peu partout, les goûts; se sont diversifiés; ».;

Le choix des rations de combat n'est pas fait à la lég;ère.; Chaque ration doit représenter; 1200 calories au minimum. Les rations commandées; aux fournisseurs, ou proposées; par ces derniers, sont scrutées; à la loupe en fonction de critères; précis; qui vont bien au-delà des qualités; nutritionnelles. Apparence, texture, saveur, arôme; entrent aussi en ligne de compte. Chaque année;, des dégustateurs; volontaires issus des trois él;éments; goûtent; les nouveautés; proposées; : « Le processus de dégustation; dure environ un mois et demi. Chaque produit est passé au crible. J'ai l'habitude de dire aux dégustateurs; que les plats qu'ils choisissent aujourd'hui, ils devront peut-être; les manger l'an prochain s'ils partent en mission. Ils prennent leur travail très; au sérieux.; Même; le Chef d'état; major participe gén;éralement; à la dégustation.; Il veut savoir ce que les soldats déploy;és; mangent », de déclarer; Mme Bélanger-Drapeau.;

Parmi, surtout, les jeunes gén;érations; de militaires, la tendance est au vég;étarisme; et les FC fournissent des rations de combat du

genre, comprenant omelette, pâtes; alimentaires et filets de saumon : « Les choix de nos services alimentaires étant; encore limités; et les vég;étaliens; purs n'y trouvant pas leur compte, nous avons fait appel à une compagnie américaine; spécialis;ée; dans le vég;étarisme;, la nourriture kasher et halal », confirme Mme Bélanger-Drapeau.; « Mais, ajoute-t-elle, la plupart des gens qui se disent vég;étariens; consomment des oeufs et de la volaille. Je négocie; en ce moment pour ajouter trois choix de volaille à nos menus vég;étariens.; »

Grâce; à une stérilisation; de qualité, et non à des agents de conservation, les rations de combat canadiennes ont une durée; de vie de trois ans. Du fait de contenir des noix qui peuvent rancir avec le temps, les rations vég;étariennes; provenant des États-Unis; ont une durée; de vie moins longue.

Si le pain que l'on retrouve aujourd'hui dans les rations de combat n'étonne; plus personne, il n'en constituait pas moins une petite révolution; alimentaire lorsqu'il a vu le jour il y a dix ans, grâce; à l'utilisation d'un absorbeur d'oxygène.;

Vol. 3, No. 39, 2000



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