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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

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Mid-March deadline for DND civilian scholarship application


Ombudsman wants mandate amended


By Mitch Gillett

Time is running out for civilian DND employees interested in applying for a departmental scholarship.

The closing date to submit an application for the one-year scholarship is March 17, 2000. There are six scholarships available: five are open to employees in administrative support, operational, administrative and Foreign Service, technical, and scientific and professional positions; one is earmarked for an aboriginal employee.

The program provides successful candidates with financial help to get a degree, diploma or certificate of accreditation through full-time studies at a recognized Canadian education institution. The scholarship provides up to $10 000 in tuition, $2000 for books, $3000 for equipment, and other benefits, to successful applicants.

To apply, candidates must fill out a Departmental Scholarship Program application form and submit:

* A letter showing training and development activities, how the training fits into public service needs and how the program would be completed if it cannot be finished in one year;

* A career plan, résum;é, proof of education and letter confirming language profile; and  
* If the educational institution is not near a candidate's residence, a justification to attend that particular program and a rough cost of relocation and travel.  
The Deputy Minister will appoint a selection committee, made up of management and union representatives. Selection will be based on the candidate's submission, education, work history and performance.

The group is expected to meet in April. Successful candidates will be notified by telephone, followed by a letter.

Last year, the Program Management Board agreed to provide funding for the DND scholarship program. In the first year, 15 scholarships were granted. Money had been set aside to help relocate successful candidates, but not all of it was used. The leftover money was used to award additional scholarships.

In 1999 a six-person selection committee reviewed 103 applications from across the country. Of the 60 men and 43 women who applied, 89 were English-speaking and 14 were French-speaking.

Human Resource Business Managers, Service Centres and the Directorate of Continuous Learning Strategies have application forms. For more information on the program, visit: http:/hr.d-ndhq.dnd.ca/scholarship on the DND intranet.

By Allison Delaney

The DND/CF Ombudsman wants to improve the effectiveness of his office.

In his recent report, "A; Regulatory Regime for the Ombudsman," André Marin called for several amendments to his current mandate. Mr. Marin said the ministerial directives for the past six months have been working well, but they need to be fine-tuned before moving to the next stage of enshrining the Ombudsman's Office into regulations under the National Defence Act.

The first change Mr. Marin is calling for recommends the inclusion of all complaints related directly to the DND/CF. Applicants, members of allied forces and contractors do not fall within the current mandate, but this amendment would open the process to all persons who might suffer an injustice in their dealings with the DND/CF.

Second, Mr. Marin is asking for clarification on the exemptions for military judges, military lawyers and legal advisors. At present, judicial rulings and solicitor-client privilege remain exempt. The new definition would ensure the

Ombudsman has the ability to investigate other aspects of the administration of justice and the conduct of lawyers.

Enhancing the effectiveness of investigations is Mr. Marin's third recommendation. Changes are being put forth to define more clearly the Ombudsman's relationship to criminal investigations, operational requirements and matters of national security. He is recommending temporary bans on public statements during investigations by his Office, coupled with strategies to ensure greater accountability to address obstruction and failure to co-operate.

Finally, he is advocating reports be made public within 10 days of presentation to the Minister of National Defence, rather than the current 60 days. Mr. Marin said this change would make the Office more responsive to the public.

As of December 1999, the Ombudsman's Office opened 952 files: 688 have been resolved and 184 are still being worked on.

L'Ombudsman propose

un mandat modifié


par Allison Delaney

L'Ombudsman du MDN et des FC souhaite

améliorer; l'efficacité de son bureau.

Dans son dernier rapport, Un régime; de réglementation; pour l'Ombudsman, André Marin propose plusieurs modifications à son mandat actuel. Il précise; que les directives ministérielles; ont ét;é adéquates; dans les six derniers mois, mais qu'elles doivent être; affinées; avant d'enchâsser; des dispositions relatives au bureau de l'Ombudsman dans la Loi sur la Défense; nationale.

Premièrement;, M. Marin recommande de permettre l'inclusion de toutes les plaintes liées; directement au MDN et aux FC. Le mandat actuel exclut les plaintes des candidats, des membres des forces alliées; et des contractants. Cette modification permettrait à quiconque est victime d'injustice dans ses relations avec le MDN et les FC de porter plainte.

Deuxièmement;, il demande une clarification sur les exemptions accordées; aux juges et avocats militaires, et aux conseillers juridiques. Actuellement, les décisions; judiciaires et les privilèges; du secret professionnel de l'avocat sont

exemptés.; La nouvelle définition; indiquerait clairement que l'Ombudsman peut enquêter; sur d'autres aspects de l'administration de la justice et de la conduite des avocats.

Sa troisième; recommandation vise à améliorer; l'efficacité des enquêtes.; Des modifications sont suggér;ées; pour mieux définir; le rôle; de l'Ombudsman par rapport aux enquêtes; cri

minelles, aux besoins opérationnels; et aux questions de sécurit;é nationale. Il recommande d'interdire les déclarations; publiques pendant les enquêtes; menées; par son bureau et d'élaborer; des stratégies; accordant une plus grande latitude pour contrer les obstructions et les refus de coopérer.;

Finalement, il recommande que les rapports soient rendus publics dans les dix jours (plutôt; que 60) suivant leur présentation; au ministre de la Défense; nationale. Ce changement, selon lui, permettrait au bureau d'être; plus réceptif; au public.

Depuis décembre; 1999, le bureau de l'Ombudsman a reçu; 952 plaintes : 688 ont ét;é régl;ées; et 184 sont en cours de traitement.

La date limite de demande pour les bourses d'études; du ministère; est à la mi-mars


par Mitch Gillett

Il reste peu de temps aux employés; civils du MDN désirant; poser leur candidature pour obtenir une bourse d'étude; du ministère.;

Le 17 mars 2000 est la date limite pour présenter; une demande de bourse d'études; pour une année.; Sur les six bourses offertes, l'une est réserv;ée; à un employé autochtone et les cinq autres au personnel des secteurs suivants : soutien administratif, exploitation, administration et services extérieurs;, services techniques, catégorie; scientifique et professionnelle.

Le programme offre aux candidats sélectionn;és; de l'aide financière; pour faire des études; menant à un grade universitaire, un diplôme; ou un certificat d'accréditation; par des études; à plein temps dans un établissement; d'enseignement canadien reconnu. Les bourses couvrent ce qui suit jusqu'à concurrence des montants suivants : frais de scolarité, 10 000 $; livres, 2000 $; et matériel; scolaire, 3000 $. Elles comportent aussi d'autres avantages.

Pour présenter; une demande, les candidats doivent remplir le formulaire approprié et soumettre :

* une lettre exposant la formation et les activités; d'apprentissage, en quoi cette formation répond; aux besoins de la fonction publique et les moyens envisagés; pour terminer le programme s'il ne peut l'être; en une année;

* un plan de carrière;, un curriculum vitae, une preuve de scolarité et une lettre confirmant le profil linguistique;

* si l'établissement; d'enseignement n'est pas à proximité de la résidence; du candidat, les motifs qui justifient le choix du programme et le coût; approximatif du dém;énagement; et du voyage. Le sous-ministre désigne; un comité de sélection; formé de représentants; patronaux et syndicaux. La sélection; se fonde sur la demande du candidat, sa scolarité, son expérience; professionnelle antérieure; et son rendement.

Le comité devrait se réunir; en avril. Les candidats retenus seront avisés; par tél;éphone;, et une lettre suivra.

L'an dernier, le Conseil de gestion des programmes a consenti du financement au programme de bourses d'études; du MDN. La première; année;, 15 bourses ont ét;é octroyées.; Les fonds alloués; pour aider au dém;énagement; des candidats sélectionn;és; n'ont pas ét;é complètement; dépens;és.; Ce surplus a permis de distribuer d'autres bourses.

En 1999, un comité de sélection; formé de six personnes a examiné 103 candidatures de partout au pays. Des 60 hommes et 43 femmes qui ont fait une demande, 89 étaient; anglophones et 14, francophones.

On peut se procurer un formulaire de demande auprès; des gestionnaires des ressources humaines, des centres de services et de la Direction des stratégies; d'apprentissage permanent. On peut aussi obtenir des renseignements complémentaires; sur l'Intranet du MDN, à : http:/hr.d-ndhq.dnd.ca/scholarship.

Image: Regardez-moi! Une photo soumise par le cadet m 2 Jonathan Leblanc au Concours national de photographie des cadets 1999.Here's looking at you, kid: A submission to the 1999 National Cadet Photo Contest by Cadet PO 2 Jonathan Leblanc.

Vol. 3, No. 3, 2000




Need credits to graduate from high school?

Join the reserves


Pour terminer vos études; secondaires? Devenez réserviste;


By Allison Delaney

By joining the Army Reserves, Thunder Bay high school students can earn credits toward their graduation diplomas.

The alliance between 38 Canadian Brigade Group and the Thunder Bay Public School Board is a new recruiting approach being piloted at the four Army Reserve units in the area: 736 Communications Squadron, Lake Superior Scottish Regiment (LSSR), 18 Service Battalion and 18 Medical Company. Students attending one of eight high schools in the western Ontario city offering the co-operative education course can now choose the CF for their  
placement.

But it is not quite the same as working at Sports Experts. Students must meet all requirements to enroll in the Primary Reserve: be 17 years old or turn 17 before July 1, be a Canadian citizen or have permanent residence status, have a minimum of 15 high school credits and be free of any legal obligations. In addition, they must complete the CF application process, which includes aptitude testing, interviews, a medical exam and a fitness test.

"These students will become reservists. There's no change in the training, but they just have an added incentive: credits toward graduation," said Captain Dave Ratz, Army Reserve Co-op Co-ordinator. "It's a very innovative and novel approach not done in western Canada before." Capt Ratz said interested students, who are now in the recruiting process, have been made aware of the obligation this commitment entails.

While 27 students are in the midst of testing and inter- views, Capt Ratz expects approximately 25 will actually end up on the armoury floor. "It's an opportunity for young people to explore the military on a part-time basis and maybe even as a long-term goal in the Regular Force," he said. How many the Reserves retain after the semester is over remains to be seen, but 38 Brigade is optimistic.

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par Allison Delaney

En s'engageant dans la Réserve;, les étudiants; de l'école; secondaire de Thunder Bay peuvent obtenir des crédits; de fin d'études.;

L'association entre le 38e Groupe-brigade du Canada et le conseil des écoles; publiques de Thunder Bay constitue une nouvelle approche en matière; de recrutement pilotée; à partir des quatre unités; de la Réserve; de l'Armée; dans la région; : le

736e Escadron des communications, le Lake Superior Scottish Regiment (LSSR), le 18e Bataillon des services et la 18e Compagnie médicale.; Les étudiants; fréquentant; l'une des huit écoles; secondaires de l'Ouest de l'Ontario qui dispensent un enseignement coopératif; peuvent maintenant inclure les FC dans leur choix de placement.

Par contre, ce n'est pas exactement la même; chose que de travailler chez Sports Experts. Les étudiants; doivent répondre; aux exigences requises pour s'engager dans la Première; réserve; : avoir 17 ans avant le 1er juillet, être; citoyen canadien ou résidant; permanent, détenir; un minimum de 15 crédits; d'études; secondaires et ne pas avoir d'obligations juridiques. De plus, ils doivent se plier au processus d'in- scription des FC, qui comprend des tests d'aptitudes, des entrevues, un examen médical; et une évaluation; de la condition physique.

« Ces étudiants; deviendront réservistes.; La formation est la même;, mais elle comporte un incitatif : des crédits; de fin d'études; », indique le capt Dave Ratz, coordonnateur du programme d'alternance travail-études; dans la Réserve; de l'Armée.; « C'est une approche très; innovatrice, jamais utilisée; dans l'Ouest du Canada. » Le capt Ratz ajoute que les étudiants; intéress;és;, qui en sont maintenant au processus de recrutement, savent à quoi ils s'engagent.

Il estime que, sur 27 étudiants; qui en sont à l'étape; des tests et des entrevues, environ 25 deviendront réservistes; : « C'est l'occasion pour les jeunes de découvrir; l'armée; à temps partiel et peut-être; même; de faire de la Force réguli;ère; un objectif à long terme », poursuit-il. Reste à voir combien resteront dans la Réserve; après; le trimestre, mais la 38e Brigade est optimiste.

Image: Photo: Steve Russell, Toronto Star.
Image: Photo: Colin Kelley, DND/MDN

Peace breaks out: MS Richard Fillion fixes an electrical outlet and LS Frank Van den Ham removes broken glass at a civilian police academy in Dili, East Timor. They are part of a volunteer work party from HMCS Protecteur. The 650 CF members who have been involved with INTERFET have completed their mission in the troubled Indonesian region and will be back in Canada by March.

Éclosion; de la paix. Le matc Richard Fillion arrange une prise électrique; et le mat 1 Frank Van den Ham répare; la fenêtre; d'une école; de police civile à Dili, au Timor-Oriental. Tous deux font partie d'une équipe; de travailleurs bén;évoles; du NCSM Protecteur. Les 650 membres des CF impliqués; avec l'INTERFET ont rempli leur mission dans la zone de conflit indonésienne; et seront de retour au Canada d'ici la fin mars.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Stamp honours 2 nurses


Deux infirmières; honorées;


By Aline Dubois

Pauline Vanier and Elizabeth Smellie are now a part of the Canadian stamp landscape.

Canada Post is paying homage to the two courageous Canadian nurses by dedicating a stamp in their memory, and in the same breath, acknowledging Canadian compassion. "The; stamps we are unveiling today commemorate the superb heritage stemming from innumerable Canadian humanitarian efforts," declared André Ouellet, President and CEO of Canada Post, before presenting a plaque to Chief of the Defence Staff General Maurice Baril January 17 in  
Ottawa.

Elizabeth Smellie was the first woman promoted to the rank of Colonel in the CF. She helped in the organization of military medical and directed the Victorian Order of Nurses for nearly 25 years. In 1917 King George V awarded her the Royal Red Cross.

During the First World War, Pauline  
Vanier worked in Canada with the wounded and their families. During the Second World War she served with the Red Cross in Paris and London. She later participated in the creation of orphanages and collaborated in several charitable organizations.

The artwork was done by Margaret Issenman and Bonnie Ross, two Halifax artists.

Other stamps were unveiled during the evening. One paid homage to Nobel Prizewinning former prime minister Lester B. Pearson, the first to propose that the UN be responsible for monitoring cease-fires in areas of conflict. The others acknowledged the accomplishments of Lucille Teasdale, missionary and co-founder of the Sainte-Marie- Lacor Hospital in Uganda, the Ottawa Convention on the Prohibition of Anti-personnel Land Mines and the Canadian International Development Agency.

In total, 68 stamps rendered by 71 artists are a part of the Canada Post millennium collection, which is ter med an "expression; of a people, reflection of a nation".;

The stamps are available at participating post offices or by calling 1-800-565-4362.

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par Aline Dubois

Pauline Vanier et Elizabeth Smellie font désormais; partie du paysage philatélique; canadien. Postes Canada a voulu rendre hommage aux deux courageuses infirmières; canadiennes en consacrant un timbre à leur mémoire;, et saluer du même; coup la compassion des Canadiens : « Les timbres que nous dévoilons; aujourd'hui commémorent; le superbe héritage; découlant; des innombrables efforts humanitaires canadiens » a déclar;é l'honorable André Ouellet, président; directeur gén;éral; de l'organisme avant de remettre la plaque au Chef d'état-major; de la Défense;, le gén; Maurice Baril.

Elisabeth Smellie est la première; femme promue au rang de colonel au sein des Forces canadiennes. Elle a contribué à l'organisation des soins médicaux; en temps de guerre et a dirigé l'Ordre des infirmières; de Victoria pendant près; de 25 ans. En 1917, le roi Georges V lui a décern;é la Croix rouge royale.

Pendant la Première; guerre mondiale, Pauline  
Vanier a oeuvré en sol canadien, auprès; des blessés; et de leurs familles. Au cours de la Deuxième; guerre, on la retrouve à Paris et à Londres, au service de la Croix rouge. Plus tard, elle a participé à la création; d'orphelinats et collaboré à plusieurs organismes caritatifs.

La vignette est l'oeuvre de Margaret  
Issenman et de Bonnie Ross, deux artistes d'Halifax. La cér;émonie; de présentation; a eu lieu le 17 janvier dans l'auditorium Cadieux de l'immeuble Lester B. Pearson à Ottawa.

D'autres vignettes ont ét;é dévoil;ées; au cours de la soirée.; L'une rendait hommage à Lester B. Pearson, ancien premier ministre du Canada, premier à proposer que l'Organisation des Nations Unies soit chargée; de superviser le cessez-le-feu dans une zone de conflit et prix Nobel de la Paix en 1957. Les autres saluaient les réalisations; de  
Lucille Teasdale, missionnaire et cofondatrice de l'hôpital; Sainte-Marie-Lacor en Ouganda, de la  
Convention d'Ottawa sur l'interdiction des mines antipersonnel, et de l'Agence canadienne de développement; internationale (ACDI).

Au total, 68 timbres réalis;és; par 71 artistes canadiens font partie de la collection du millénaire; de Poste Canada « Expression d'un peuple, reflets d'une nation ».;

Les timbres sont disponibles dans les bureaux de poste participants ou en composant le 1-800-565-4362.

MPs to get new patrol dress


Nouvelle tenue de patrouille pour la PM


By Allison Delaney

Military Police could be wearing their new patrol dress as early as the beginning of next fiscal year.

At present, MP patrol personnel do not have a patrol dress common in functionality and appearance. The decision to reduce the number of orders of dress for Military Police was based on safety concerns with the current issued uniform and a desire for a common dress to conduct patrol duties.

"The potpourri of patrol dress uniforms not only affects the functionality of Military Police with respect to lawful identification, occupational safety and common kit training, but also has a negative effect on morale [and] unit cohesion, and detracts from the military and professional appearance of the MP," states the MP Occupational Patrol Dress Proposal to the National Defence Clothing and Dress Committee.

The new civilian-modelled patrol dress is still identifiable as a military uniform, but clearly distinguishes it from those of other CF members. The report states this is critical during emergency responses, such as traffic enforcement, crowd control situations, fires, aircraft crashes, vehicle accident scenes, Armed Forces Days and road moves.

"Failure of the public to clearly recognize and respond to an MP at an emergency scene may result, at best, in the loss of credibility to the CF and, at worst, loss of life," states the report. While being visible, the new dress takes Canadian climatic conditions and training requirements into consideration.

Canadian Forces Support Unit Ottawa (CFSUO) has been issued the new uniforms for use on a trial basis; units across the country will see theirs once the procurement phase is complete.

par Allison Delaney

Les policiers militaires pourraient endosser une nouvelle tenue de patrouille dès; le début; de la prochaine année; financière.;

Actuellement, la tenue de patrouille de la PM n'est pas uniforme tant pour l'apparence que pour la fonctionnalité.; Il a donc ét;é décid;é de réduire; le nombre de tenues réglementaires; pour des motifs de sécurit;é et d'uniformité.;

Selon les termes de la Proposition d'une tenue de patrouille pour la PM présent;ée; au Comité sur la tenue vestimentaire de la Défense; nationale, « Non seulement, la disparité des tenues de patrouille compromet la fonctionnalité de la police militaire quant à l'identification légale;, la sécurit;é professionnelle et l'équipement; commun pour l'entraînement;, mais elle a aussi un impact négatif; sur le moral et la cohésion; de l'unité et nuit à l'allure militaire et professionnelle de la PM ».;

La nouvelle tenue de patrouille inspirée; des tenues civiles est toujours identifiable comme uniforme militaire, mais elle se distingue nettement des autres uniformes des membres des FC. Le rapport indique que c'est essentiel pendant les interventions d'urgence : application des règlements; de circulation, maîtrise; des foules, incendies, accidents d'avions et de véhicules;, journées; des Forces, déplacements; par voie de terre.

Le rapport souligne que, « en situation d'urgence, le fait de ne pas pouvoir repérer; un membre de la PM et réagir; adéquatement; à ses ordres peut entraîner;, au mieux, la perte de la crédibilit;é des FC et, au pire, des pertes de vie ».; Facilement repérable;, le nouvel uniforme tient compte des conditions climatiques du Canada et des exigences d'entraînement.;

L'Unité de soutien des Forces canadiennes Ottawa (USFCO) a reçu; les nouveaux uniformes pour les mettre à l'essai. Les autres unités; du pays recevront les leurs après; la période; d'essai.

Image: Members in black: Cpl Sylvie Desrosiers and PO 2 Al  
Joanisse of CFSUO show off their new patrol dress out- side NDHQ.Des CF en noir. Le cpl Sylvie Desrosiers et le m 2 Al  
Joanisse de l'USFCO paradent dans leur nouvelle tenue de patrouille au QGDN.Photo: Cpl / cpl Jocelyn (Joe) Hebert, NDIS phototech / technicien photo du SIDN

Vol. 3, No. 3, 2000




Warfare by software


La guerre sur logiciel


By Mitch Gillett

A computer-simulated jet fighter attack mission on an armoured reconnaissance vehicle picking its way through dense forest shows how technological advances have made virtual reality the next best thing to authenticity.

The fighter aircraft changes altitude and manoeuvres for the shot, but misses. An instant reply of the mission shows what went wrong. On the operator's second try, the target is destroyed and several other armoured vehicles also fall prey to the jet fighter's precision-guided munitions.

"I think it is definitely the way of today and tomorrow. All we have to do is come up with innovative ways of finding the money to acquire this technology," said Lieutenant- Colonel Bob Jones, in the Directorate of Air Requirements office at NDHQ. "Without it, our forces are not going to go anywhere. You need this technology to do it properly and get people back alive."

LCol Jones has witnessed simulation technology develop since the days of the nowretired CF 101 Voodoo fighter-interceptor. "The industry today is willing to gear anything they have to what we want to do. It's ...finding the money and getting the interest. The customer is in the driver's seat if they have the money."

Hosted in Ottawa by Silicon  
Graphics Inc. (SGI), a U.S.-based computer-simulation company, the two-day trade show was a visual feast of the latest in virtual reality. Exhibits featured tables supporting banks of computer monitors whose screens cycled between three-dimensional images of military equipment and computer-simulated attack missions.

From part-task to full-mission simulations, the computer-generated graphics on display at the show provided participants with an in- depth look at the latest in 3-D inter- active hardware and software. Backed up by 25-minute information sessions from company representatives at the show, defence officials heard about computer mapping, charting and battlefield visualization.

Computer-simulation companies catering to the military community buy and collect satellite images of different parts of the world. The pictures are turned into computer graphics. Mixed with computer-generated forces, the simulation programs will let opera- tors review targets and missions.

Image: Photo: Mitch Gillett

par Mitch Gillett

La simulation par ordinateur d'une mission offensive d'un chasseur à réaction; contre un véhicule; de reconnaissance en pleine forêt; démontre; que, grâce; aux progrès; tech- nologiques, la réalit;é virtuelle est ce qu'il y a de mieux à défaut; d'authenticité.;

L'avion de combat change d'altitude et se prépare; à tirer, mais rate la cible. La reprise instantanée; de la mission indique ce qui a mal fonctionné.; Au deuxième; essai, la cible est détruite;, et plusieurs autres véhicules; blindés; deviennent aussi les proies des munitions à guidage de précision; de l'avion de combat.

« C'est certainement la voie d'aujourd'hui et de demain. Il ne reste qu'à trouver de nouvelles façons; de financer l'achat de cette technologie », a déclar;é le lcol Bob Jones, de la Direction - Besoins en ressources aériennes; au QGDN. Sans quoi, nos forces vont stag- ner. Nous en avons besoin pour combattre efficacement et garder notre monde en vie. »

Le lcol Jones suit l'évolution; de la technologie de simulation depuis l'époque; du chasseur intercepteur 101 Voodoo des CF, maintenant hors service. « L'industrie accepte aujourd'hui d'adapter tous ses produits à l'usage que nous voulons en faire. Il faut maintenant trouver l'argent et susciter l'intér;êt.; Le client est maître; s'il peut payer. »

Le salon commercial de deux jours organisé par Silicon Graphics Inc. (SGI), une compagnie américaine; de simulation par ordinateur, recelait les dernières; nouveautés; en matière; de réalit;é virtuelle. On y voyait notamment des tables pleines d'écrans; d'ordinateur présentant; alternativement des images de matériel; militaire en trois dimensions et des missions offensives simulées; par ordinateur.

Les images graphiques produites par ordinateur ont permis aux participants d'examiner les nouveaux ordinateurs et logiciels tridimensionnels interactifs offrant des simulations de tâches; spécifiques; ou de missions complètes.; Des séances; d'information de 25 minutes servaient à étoffer; l'information. Les fonctionnaires de la Défense; ont ainsi pu en connaître; davantage sur la cartographie, le repérage; et la visualisation de champs de bataille par ordinateur.

Les compagnies de simulation par ordinateur qui desservent le monde militaire achètent; et collectionnent des images satellites de différentes; parties du monde et les transforment en images graphiques. Combinés; à des él;éments; gén;ér;és; par ordinateur, les programmes de simulation permettront aux opérateurs; de revoir leurs cibles et leurs missions.

Deadly byte: David King, President of Silicon Graphics Inc., shoots at-and misses-an enemy helicopter that entered his airspace while flying a helicopter-attack mission. The U.S.-based computer-simulation company showed DND/CF officials the latest technology available to the military community.

Combat virtuel. David King, président; de Silicon  
Graphics Inc., vise - et rate - un hélicopt;ère; ennem i qui a pén;étr;é dans son espace aérien; lors d'une mission offensive d'hélicopt;ères.; La com pagnie

américaine; de simulation par ordinateur a m ontré

aux représentants; du MDN et des FC les plus récentes; technologies offertes aux m  
ilitaires.

'Lights, camera, action'-all at NDHQ


« Silence! On tourne! » au QGDN


Your boss wants a 10-minute video on the international role played by your unit. You have never touched a video camera and don't know anyone who has.

Before opening the Yellow Pages to find a video producer, contact the multimedia team at NDHQ.

The Audiovisual and Multimedia  
Services (AVMS) section of the Director Internal Communications, Research and Support Services (DICRSS) unit in NDHQ provides consulting and advisory services, contracting, project management and research in support of National Defence audiovisual and multimedia productions. "This section can also assist in procurement of both National Defence and commercial productions, language adaptation of audiovisual materials, and other audiovisual-related activities," said Jacques Desrochers, Head, DICRSS.

AVMS contracts all production work to private sector video/multimedia production companies from Victoria to St. John's, so there are producers near virtually all DND/CF establishments in Canada.

"Organizations needing production work should contact AVMS prior to beginning an audiovisual or multimedia project," said Mr. Desrochers. In fact, AVMS is mandated by senior management within

DND (CFAO 53-14) to manage and coordinate all audiovisual and multimedia projects for National Defence. "This ensures less duplication of effort and more value for available dollars."

Organizations are required to provide their own funding for productions; however, these funds are used only to hire a production company.

Further, the work provided by AVMS is free. "Once an organization commits to fund a production, AVMS will assist in selecting an appropriate production company, put a contract in place, manage the contract, oversee production and approval stages, and ensure that the final product is available to all who may need it within National Defence," said Mr. Desrochers.

Requesting organizations act as subject matter experts, provide logistic support and specialized advice during filming, and provide comments/approvals at various stages of the production.

AVMS also provides film-to-video conversion, specialized duplication (foreign video formats), cataloguing, and archival research.

To reach Audiovisual and Multimedia Services, contact June Pigeon at: (613) 992-7072, fax (613) 995-1958, e-mail PigeonJ@DGPA@NDHQ.

Votre patron veut un reportage de dix minutes sur le rôle; international que joue votre unité.; Vous n'avez jamais touché à une caméra; vidéo;, et personne ne peut vous aider?

Avant de chercher un producteur vidéo; dans les Pages Jaunes, faites appel à l'équipe; multimédia; du QGDN.

La section des Services audiovisuels et multimédias; (SAVM) de la direction, Communications internes, recherche et soutien (DCIRS) du QGDN fournit des services de consultation, d'établissement; de contrat, de gestion de projet et de recherche pour les productions audiovisuelles et multimédias; de la Défense; nationale. « La section peut aussi contribuer à l'acquisition de productions commerciales ou de la Défense;, à l'adaptation linguistique de matériel; audiovisuel et à d'autres activités; audio- visuelles », explique Jacques Desrochers, directeur de la DCIRS.

Le SAVM signe les contrats de production avec des entreprises de production vidéo; et multimédia; du secteur privé de Victoria à St. John's. Ainsi, des producteurs se trouvent à proximité de presque tous les établissements; du MDN et des FC au Canada.

« Les organismes qui ont besoin d'une production devraient communiquer avec le SAVM avant de commencer un projet audiovisuel ou multimédia; », conseille  
M. Desrochers. En effet, le SAVM est man-

daté par les cadres supérieurs; du MDN (OAFC 53-14) pour administrer et coor- donner tous les projets audiovisuels et multimédias.; « Cela évite; les chevauchements et permet de maximiser l'utilisation des budgets, explique-t-il. »

Les organismes doivent eux-mêmes; financer leurs productions. Ces fonds ne servent toutefois qu'à engager une entreprise de production.

De plus, les services du SAVM sont gratuits. « Quand un organisme s'engage à financer une production, le SAVM l'aidera à choisir la bonne maison de production, à établir; le contrat et à l'administrer, à super- viser les étapes; de production et d'approbation, et à assurer que le produit fini est à la disposition de tous les membres pouvant en avoir besoin », précise; M. Desrochers.

Les organismes demandeurs agissent à titre d'experts en la matière;, fournissent soutien logistique et conseils spécialis;és; pendant le tournage, ainsi que commentaires et approbations pendant les différentes; étapes; de production.

Parmi les autres services du SAVM, notons la conversion de film en vidéo;, la copie spécialis;ée; (formats vidéo; étrangers;), le catalogage et la recherche d'archives. Personne-ressource des Services audiovisuels et multimédias; : June Pigeon, 613 992-7072 (tél.;); 613 995-1958 (fax); PigeonJ@DGPA@NDHQ.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


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