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Biathlete sets sights on 2002 Olympics Une biathlète; vise les Jeux olympiques de 2002


Image: Photos: Jocelyne BernierCpl / cpl Albert: Fire in the belly / Feu sacré

By Réal; Labbé

Since the Nagano Olympic Games,  
Corporal Albert has been doing whatever it takes to get back where she was two years ago. After having to watch the other members of the Canadian team compete in the Olympics, she had the best moments of her biathlon career in the World Cup trials that same year. Then last season she experienced health problems that set her back.

All that is in the past now. This biathlete from Rimouski is starting up again with even more enthusiasm than before. "I; trained very hard this summer and I am hoping to get back to where I was two years ago when I had such a great end to the season. Last year I had to deal with health problems, but all that is under control now."

Cpl Albert suffers from exercise-induced asthma, an illness common in skiers and swimmers, and caused by irritated bronchial tubes.

That has been dealt with now, both physically and psychologically. "I; know the problem and I can easily control it. When competing, you can lose a good 10% of your performance capabilities because of this illness. And at my level, that is very significant. Last year I was pounding my head against the wall because I didn't know how to control the effects of this problem."

Near the top 25

Cpl Albert recovered quickly, and her performance in the first half of this season was quite good. "The; results from my last series of 1999 races were positive, especially because, at the beginning of the season, the teams showcase their best members so that they can qualify for the Red Group, which entitles them to be invited free of charge to the World Cup events. After the holidays, it's not unusual to see girls who were ranked 30th at the beginning of the season reaching the top 10."

Psychologically, things are also going well for the 26-year-old. "I; am close to reaching the top 25 and I can't wait. When I get up in the morning, I want to compete, to fight. I have a fire in my belly and I want to put it to advantage on the course."

She remembers all too well the year of the Nagano Games, particularly the months leading up to the event, and above all, the selection of the team. "It; was a nightmarish beginning to the season, but luckily, it ended on a triumphant note. I trained hard for the Olympic Games, but the selection process didn't work out for me. I was at the top of my form for the Games, but I hadn't been chosen. That was a huge disappointment."

It is often said that adversity helps shape champions. Cpl Albert is no exception. "My; experience during the year of the Olympics made me learn a great many things. Getting through it was a great victory for me. Those difficult times taught me that I love my sport for itself, and that winning is not everything. It also taught me that I have the strength of character to get through the tough times. It was a difficult situation, but I learned a lot."

'Always Strange'

All athletes will tell you that the selection trials are harder to get through than big events like the Olympic Games or the World Championships. The biathlon is no different.

"The; selections are always strange. There are always surprises. For many athletes, it's like the end of the world. In many cases, a loss makes us doubt ourselves. Many of my friends stopped competing for that very reason, because they experienced too many disappointments.

"For; several months, you train hard and you neglect those around you in order to give a good performance during the selection trials. Your dream of being chosen for the national team is almost a reality, but then all kinds of things happen before the trials, or the selection process changes. Suddenly, your beautiful dream is crushed."

One thing is certain: in the mind of this biathlete, the history of the season preceding the Nagano Games will not repeat itself for the Salt Lake City Games in 2002: "I; am the type to doubt myself and my abilities; but when I was convinced that I was the strongest, I believed in my opportunities and I now know that I am capable of competing with the world's best. There's a place for me on the Canadian team, and my goal is to participate in the 2002 Olympics." Réal; Labbé is a journalist with Le Soleil

par Réal; Labbé

Près; des 25 premières;

La réponse; est venue rapidement, car les performances du cpl Martine Albert en première; moitié de saison ont ét;é très; satisfaisantes. « Les résulats; de ma dernière; série; de courses en 1999 ont ét;é positifs. Surtout qu'en début; de saison les équipes; amènent; leurs meilleurs él;éments; afin de se qualifier dans le groupe Rouge, ce qui donne droit à être; invité gratuitement aux Coupes du monde. Après; les Fêtes;, il n'est pas rare de voir des filles qui finissaient au 30e rang en début; de saison se retrouver dans les dix premières.; »

Moralement, ça; va très; bien aussi pour l'athlète; de 26 ans. « Je suis proche de finir dans les 25 premières; et j'ai hâte.; Quand je me lève; le matin, j'ai le goût; de faire de la compétition;, de me battre. J'ai le feu sacré et je veux que ça; se concrétise; sur le terrain »

Elle se rappelle trop bien l'année; des Jeux de Nagano. Et surtout les mois qui ont préc;éd;é l'év;énement.; Particulièrement; les sélections.; « Ce fut un cauchemar au début; de cette saison, mais heureusement elle s'est terminée; sur une note triomphante. Je m'étais; prépar;ée; très; fort pour les Jeux olympiques, mais la sélection; n'avait pas bien fonctionné.; Par contre, j'étais; au sommet de ma forme quand est arrivé le temps des Jeux, mais je n'avais pas ét;é choisie. La déception; était; grande. »

On dit souvent que l'on façonne; les championnes dans l'adversité.; Martine Albert n'y échappe; pas. « Cette expérience; de l'année; olympique m'a fait apprendre bien des choses. Si je passais à travers, c'était; une belle victoire pour moi. Ces moments difficiles m'ont appris que j'aimais le sport pour le pratiquer, pas juste pour gagner. Et ils m'ont appris aussi que j'avais la force de caractère; pour m'en sortir. La situation n'était; pas facile, mais j'ai appris beaucoup. »

« Toujours bizarre »

Tous les athlètes; diront que les épreuves; de sélection; les placent dans une situation plus difficile à vivre qu'une participation à des compétitions; d'envergure comme les Jeux olympiques ou les Championnats du monde. Ce n'est pas différent; dans le biathlon.

« Les sélections;, c'est toujours bizarre. Il y a toujours des surprises. Pour bien des athlètes;, c'est comme si c'était; la fin du monde. Dans bien des cas, une défaite; nous force à nous remettre en question. Plusieurs de mes copines ont arrêt;é la compétition; parce que justement elles avaient connu trop de déceptions.;

« Pendant plusieurs mois tu t'entraînes; fort, tu négliges; ton entourage en vue d'obtenir une belle performance aux épreuves; de sélection.; Ton rêve; d'être; choisie sur l'équipe; nationale est presque réalis;é et voilà qu'il se passe toutes sortes de choses juste avant les sélections;, ou qu'on en change les modalités;, et c'en est fini du beau rêve.; »

Une chose est certaine, dans la tête; de la biathlète;, l'expérience; de la saison préc;édant; les Jeux de Nagano ne se rép;étera; pas pour ceux de Salt Lake City en 2002. « Je suis du genre à douter de moi, de mes capacités.; Mais quand j'ai ét;é convaincue que j'étais; la plus forte, j'ai cru en mes possibilités; et je sais maintenant que je suis capable de rivaliser avec les meilleures au monde. J'ai ma place sur l'équipe; canadienne et mon but est de participer aux Jeux de 2002. » Réal; Labbé est journaliste à Le Soleil

Martine Albert prend tous les moyens pour se retrouver où elle était; il y a deux ans, après; les Jeux olympiques de Nagano. Elle avait connu les meilleurs moments de sa carrière; en biathlon dans les dernières; épreuves; de la Coupe du monde, après; avoir dû regarder les autres membres de l'équipe; canadienne participer aux Jeux. Puis des problèmes; de santé la saison dernière; lui ont causé quelques ennuis.

Tout cela est du passé.; La biathlète; de Rimouski recommence avec encore plus d'entrain. « Je me suis entraîn;ée; très; fort cet ét;é et j'espère; me retrouver là où j'étais; il y a deux ans, alors que j'avais eu une super de fin de saison. L'an passé j'ai dû composer avec des problèmes; de santé, mais tout est régl;é.; »

Le cpl Albert souffre d'asthme à l'effort, un malaise qui est courant chez les skieurs et les nageurs, ce qui est provoqué par l'irritation des bronches. C'est régl;é maintenant, autant physiquement que moralement.

« Je connais le problème; et je peux facilement le contrôler.; Dans une compétition;, tu peux perdre un bon 10 % de performance à cause de cette maladie. Et au niveau où je suis, c'est très; important. L'an dernier, je me cassais la tête; pour rien car je ne savais pas comment contrer les effets de ce problème.; »

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