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Regimental alliances build esprit de corps


Les alliances régimentaires; et l'esprit de corps


Text and photo by Buzz Bourdon

texte et photo de Buzz Bourdon

Au cours du siècle; dernier, les alliances régimentaires; entre unités; des FC et du Commonwealth ont suscité beaucoup de fierté pour toutes les parties en cause.

Ces alliances, qui ont la sanction officielle de SM la Reine Élisabeth; II, donnent habituellement lieu à des visites et à des échanges; de cadeaux et permettent de nouer des liens de fraternité au-delà des stricts rapports professionnels.

Souvent, les alliances découlent; d'histoires, de coutumes et de traditions communes, certaines tirant leur origine de la participation à des combats.

« Ces alliances constituent essentiellement le lien avec notre passé militaire et contribuent à l'esprit de corps des unités; concernées; », a déclar;é le maj P.E. Lansey, direction Histoire et patrimoine.

Les Canadian Grenadier Guards de Montréal; en témoignent.; En 1930, le Roi Georges V a approuvé une alliance entre les CGG et les Grenadier Guards de l'Armée; britannique.

Du 9 au 16 novembre dernier, cette alliance a ét;é renouvelée; lorsque le mess des adjudants et des sergents des CGG a accueilli le sous-officier breveté, 1re classe R.M. Dorney, sergent-major régimentaire; du 1er bataillon des Grenadier Guards.

« Je suis ravi de voir que l'esprit des Grenadiers est bien vivant à Montréal; »,a dit le SOB1 Dorney. « On constate sans mal la volonté de maintenir nos normes et nos coutumes. »

Le 11 novembre, le SOB1 Dorney était; invité d'honneur à un dîner; gala au mess des sergents des CGG à l'occasion du Jour du Souvenir. Une centaine de membres du mess en service et à la retraite étaient; présents;, dont six anciens sergents-majors régimentaires; des CGG.

Over the past century, regimental alliances between CF and Commonwealth units have been a source of pride for all concerned.

Officially sanctioned by Queen Elizabeth II, these alliances-which usually involve visits and exchanges of gifts-foster continuous fraternal connections beyond the close, professional relationships that are always encouraged.

In many cases, alliances have grown from common history, customs and traditions, some of which were forged in the heat of battle.

"In essence, alliances are links to our military past that contribute to the esprit de corps of the units concerned," said Major P.E. Lansey of the Directorate of History and Heritage.

A good example is Montréal;'s Canadian Grenadier Guards. In 1930, King George V approved an alliance between the CGG and the Grenadier Guards of the British army.

That alliance was strengthened November 9-16 when the CGG's Warrant Officers' and Sergeants' Mess hosted Warrant Officer Class 1 R.M. Dorney, the regimental sergeant-major of the 1st Battalion, Grenadier Guards.

"I'm delighted (to see) the Grenadier spirit is alive and well in Montréal;," said WO1 Dorney. "The will to maintain (our common) standards and customs is apparent."

On November 11, WO1 Dorney was the guest of honour at a glittering mess dinner held by the CGG's Sergeants' Mess to commemorate Remembrance Day. About 100 serving and retired mess members attended, including six former CGG sergeants-major.

Image: Le SOB1 R.M. Dorney du 1er bataillon des Grenadier Guards (à g.) présente; un cadeau à l'adjuc Joe Nunez des Canadian Grenadier Guards de Montréal.British; WO1 R.M. Dorney of the 1st Battalion, Grenadier Guards (left), presents a gift to CWO Joe Nunez of Montréal;'s Canadian Grenadier Guards.

November 16 1970: In Montréal;, soldiers and police surround a house on Avenue des Recollets where Front de libération; du Québec; (FLQ) kidnappers Jacques Lanctôt; and Marc Carbonneau are holding British diplomat James Cross hooded and handcuffed, and negotiating their escape. The next day, they surrender Cross at the Expo 67 site on St. Helen's Island, in exchange for safe conduct and transportation to Cuba for the entire membership of the Liberation Cell: themselves, Jacques Lanctôt;'s wife and child, Yves Langlois and Jacques and Louise Cossette-Trudel.

November 5 1837: At Montgomery's Tavern in York County, Upper Canada, popular journalist and radical politician William Lyon Mackenzie gathers Reform sympathizers from the countryside to overthrow the Tory government of the colony. The next day, he leads 800 men down Yonge Street towards Toronto, destroying as much Tory property as they can on the way. When the rebels reach the edge of town, militia soldiers disperse them with a few volleys.

November 6 1917: At 8:45 a.m., in the narrows of Halifax harbour, the Norwegian freighter Imo collides with the French munitions carrier Mont Blanc. Sparks from the impact ignite Mont Blanc's deck load of benzol, and the fire quickly spreads to the rest of the cargo- 2766 tons of picric acid, TNT and gun cotton. At 9:06 a.m., Mont Blanc blows a mile high, releasing a shock wave that flattens most  
of the North End of Halifax. The few  
North End buildings that survive the  
shock wave are soon destroyed by the  
tidal wave that follows it, or by the fire  
that breaks out as the North End's clap  
board houses collapse on top of their  
roaring stoves and furnaces. The acute  
misery of the stricken city is made even  
worse by the worst blizzard in years,  
which begins on December 7. At least 21  
percent of Haligonians are casualties of  
the explosion-more than 1600 dead  
and 9000 injured, including 200 blinded  
by flying shards of glass. Of the city's  
housing stock, 1600 buildings are  
destroyed and 12 000 are severely dam  
aged, leaving 6000 people homeless and  
20 000 without adequate shelter at the  
beginning of a typically cold, wet Halifax  
winter. The survivors are encouraged and  
helped by the trainloads of volunteers  
and generously donated relief supplies  
that soon begin arriving from across  
Canada and New England, but the city  
takes generations to recover.

3 novembre 1970 : À Montréal;, soldats et policiers entourent une maison sise avenue des Récollets; : c'est là que Jacques Lanctôt; et Marc Carbonneau, du Front de libération; du Québec;, détiennent; le diplomate britannique James Cross - la tête; enfouie sous une cagoule et les mains en menottes - et négocient; leur fuite. Le jour suivant, ils relâchent; M. Cross sur le site de l'Expo 67, dans l'île; Sainte-Hél;ène;, en échange; d'un sauf-conduit et du transport vers Cuba pour tous les membres de la cellule Libération;, y compris eux-mêmes;, la femme et l'enfant de Jacques Lanctôt;, Yves Langlois ainsi que Jacques et Louise Cossette-Trudel.

5 novembre 1837 : À la taverne Montgomery, située; dans le comté de York, dans le Haut-Canada, William Lyon Mackenzie, journaliste du peuple et homme politique radical, réunit; des partisans du mouvement réformiste;, venus des campagnes environnantes, en vue de renverser le gouvernement Conservateur de la colonie. Le jour suivant, Mackenzie descend la rue Yonge en direction de Toronto à la tête; de 800 hommes : chemin faisant, ils détruisent; autant de biens que possible appartenant aux Conservateurs. Arrivés; aux abords de la ville, les rebelles sont dispersés; par la milice au moyen de quelques salves.

6 novembre 1917 : À 8 h 45, dans le passage du havre de Halifax, le cargo norvégien; Imo heurte le transporteur de munitions français; Mont Blanc. Le choc provoque des étincelles; qui embrasent le chargement de benzol du Mont Blanc et le feu se propage rapidement au reste de la cargaison : 2 766 tonnes d'acide picrique, de TNT et de fulmicoton. À 9 h 06, le Mont Blanc explose : la déflagration; atteint un mille de haut et provoque une onde de choc qui aplatit presque tout le secteur nord de Halifax. Les quelques édifices; ayant survécu; à l'onde de choc sont détruits; par un raz de marée; ou par l'incendie causé par des maisons à lambris du secteur Nord s'effondrant sur leurs chaudières; et leurs poêles; brûlants.; La misère; qui s'abat sur la ville est exacerbée;, le 7 septembre, par le pire blizzard vu depuis des années.; Au moins 21 p. cent des habitants de Halifax sont victimes de l'explosion : on compte 1 600 morts et 9 000 blessés;, y compris 200 personnes aveuglées; par des tessons de verre. Quelque 1 600 édifices; sont détruits; et 12 000, gravement endommagés;, ce qui laisse 6 000 person- nes sans foyer et 20 000 sans un abri adéquat; pour affronter le début; d'un hiver froid et humide typique de Halifax. Les survivants sont encouragés; par de nombreux bén;évoles; et des provisions de secours, qui arrivent rapidement par train de toutes les parties du Canada et de la Nouvelle-Angleterre. Malgré cela, il faudra plusieurs gén;érations; avant que la ville ne s'en remette.

Image

DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


FOURTH


By/par Charmion Chaplin-Thomas

Image: Décembre; 1917 : Le Imo s'est échou;é dans le port de Halifax, du côt;é de Dartmouth, où l'a propulsé la force de l'explosion.Public Archives of Nova Scotia / archives publiques de Nouvelle-Écosse;

December 1917: Imo beached on the Dartmouth side of Halifax harbour, where the explosion dumped her.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



E-business creates employment opportunities for military spouses


Text and photo by Allison Delaney

Three military spouses have added a soldierly component to the fast-paced world of e-business.

Zipperhedz Technologies Inc. is the creation of Micheline Zdunich and her business partners Angela Malejczuk and Martin Brazeau. This one-year-old consulting company designs, develops and deploys electronic business solutions for organizations and companies. It could well be an employer of choice for CF military spouses across the country.

"We hire military spouses. Not only do we try to hire them first, but we actively seek them out," said Ms. Malejczuk, Zipperhedz vice-president.

"Technology is one thing, but our underlying mission is to employ military spouses. That's where our passion is," added Ms. Zdunich, the company's president.

Twenty-seven full and part-time staff members from a team of 30 are married to someone in the CF. Ms. Zdunich said her company is utilizing experience other companies often ignore. "I have met so many talented women who could not find employment and it seemed like such a shame to me," she said. "In a virtual world, we should be able to employ people regardless of where they live."

That is exactly what Zipperhedz is doing. The main office is located in Ottawa, but even the bosses do not operate from the national capital. Ms. Zdunich lives in Québec; City, while Ms. Malejczuk resides in Petawawa and Mr. Brazeau in Montréal.; They have staff in Nova Scotia, Québec; City and Vancouver.

"Managing expectations is a big issue for us," said Ms. Zdunich. "We are growing and we've all made sacrifices on our personal remuneration to make sure this company succeeds. It's so worth it when we are able to bring someone on board and change someone's life."

The company's name gets its roots from the Armour Corps, in which Ms. Zdunich was once a serving member. Ms. Zdunich and Ms. Malejczuk are both married to "zipperheads", a term commonly used for tankers because of the distinguishing scars found on their foreheads caused by the tank cockpit. "We thought the name was fun and fit the bill," said Ms. Malejczuk. "On the civilian side, it opens a lot of doors because people are curious about it. And, within DND, people can relate to it."

Check out this new company on the Internet at www.zipperhedz.com.

Image: Micheline Zdunich, Martin Brazeau and Angela Malejczuk sont les cerveaux et les bras de Zipperhedz Technologies.Micheline Zdunich (left), Martin Brazeau and Angela Malejczuk are the brains behind Zipperhedz Technologies.

Le commerce électronique; source d'emploi pour les conjoints des militaires


texte et photo d'Allison Delaney

Trois personnes, dont les conjoints font partie des FC, ont ajouté une touche militaire au monde effervescent des affaires électroniques.;

La sociét;é Zipperhedz Technologies Incorporated a ét;é créée; il y a un an par Micheline Zdunich et ses associés; Angela Malejczuk et Martin Brazeau. Cette sociét;é d'experts-conseils, qui conçoit;, développe; et diffuse des solutions commerciales électroniques; pour diverses organisations et sociét;és;, pourrait bien être; l'employeur de choix pour les conjoints de militaires partout au pays.

« Nous engageons des conjoints de militaires. Non seulement tentons-nous de les engager avant qui que ce soit d'autre, mais nous les recherchons activement, affirme Mme Malejczuk, vice-présidente; de Zipperhedz. La technologie c'est une chose, mais notre mission sous-jacente, c'est d'engager des conjoints de militaires. C'est là notre véritable; passion », ajoute la présidente; de la sociét;é,Mme Zdunich.

Sur une équipe; de trente, on compte vingt-sept employés; à temps plein et à temps partiel qui sont mariés; à des membres des FC. Mme Zdunich note que son entreprise tire parti d'un bassin d'expérience; que d'autres entreprises ignorent souvent.« J'ai rencontré tant de femmes talentueuses qui ne pouvaient pas trouver d'emploi et je trouvais cela vraiment dommage » ajoute-t-elle. « Dans le monde virtuel,nous devrions pouvoir engager les gens sans tenir compte d'où ils habitent. »

C'est précis;ément; ce que fait la sociét;é Zipperhedz. Le bureau principal est situé à Ottawa, mais même; les patrons ne travaillent pas dans la capitale nationale. Mme Zdunich habite à Québec;, Mme Malejczuk, à Petawawa, et M. Brazeau, à Montréal.; Ils ont des employés; en Nouvelle- Écosse;, à Québec; et à Vancouver.

« Pour nous, gérer; les attentes est de toute première; importance », explique Mme Zdunich. « Notre entreprise prend de l'expansion; pour assurer son succès;, nous avons tous fait des sacrifices en ce qui concerne notre propre rémun;ération.; Nous savons à quel point ces sacrifices en valent la peine quand nous pouvons engager quelqu'un et changer sa vie. »

L'entreprise doit son nom au Corps blindé dont Mme Zdunich a déj;à fait partie. Mmes Zdunich et Malejczuk sont toutes deux mariées; à des « zipperheads », nom communément; donné aux membres d'équipage; de chars en raison des cicatrices particulières; qu'ils portent au front à force de se cogner contre l'habitacle du char. « Nous trouvions que c'était; un nom amusant et approprié, explique Mme Malejczuk. Côt;é civil, ce nom nous a ouvert beaucoup de portes parce qu'il pique la curiosité du côt;é du MDN, les familiers de l'expression se sentent en pays de connaissance. »

Faites la découverte; de cette nouvelle entreprise en allant au www.zipperhedz.com.

Danson receives Vimy Award


Text and photo by Mitch Gillett

A Canadian soldier, businessman and politician who stormed Juno Beach with the Queen's Own Rifles during the Second World War was honoured November 17 by his peers.

Former Defence Minister Barney Danson, 79, was presented with the Conference of Defence Associations' Vimy Award by Governor General Adrienne Clarkson.

"I; consider this a great honour. It is very moving," said Mr. Danson. "You; know, when you get along in years, you sort of appreciate these a little more. You can't get any more medals, so you have to appreciate these things."

The award is presented each year to a Canadian who has made a significant contribution to this country's democratic principles. A five-person committee selected Mr. Danson for his work toward the security and preservation of Canadian democracy.

Mr. Danson, who served as MND from 1976 to 1979, was one of the last people in that portfolio with combat experience. He was wounded in Normandy, losing sight in one eye.

Until recently, he was Chairman of the Advisory Committee of the Canadian War Museum. He stepped down earlier this year to write his memoirs, titled Not Bad for a Sergeant.

Image: Le récipiendaire; du prix  
Vimy, M. Barney Danson avec Mme Adrienne Clarkson, gouverneure gén;érale.; Vimy Award winner Barney  
Danson with Governor  
General Adrienne Clarkson.

M. Danson reçoit; le prix Vimy


texte et photo de Mitch Gillett

Le 17 novembre, un soldat canadien, également; homme d'affaires et politicien, qui prit d'assaut la plage Juno avec les Fusiliers de la Reine durant la Deuxième; Guerre mondiale, a ét;é honoré par ses pairs.

En effet, la gouverneure gén;érale;, Mme Adrienne Clarkson, a décern;é à un ancien ministre de la Défense;, Barney Danson, âg;é de 79 ans, le prix Vimy du Congrès; des associations de la Défense.;

« Il s'agit d'un grand honneur, déclare; M. Danson. Vous savez, lorsqu'on avance en âge;, on se réjouit; davantage de ces marques de reconnaissance. Puisqu'on ne peut plus être; décor;é de médailles;, on apprécie; encore plus les prix comme celui-ci. »

Le prix est décern;é annuellement à un Canadien ou à une Canadienne qui a largement contribué aux principes démocratiques; du pays. Un comité composé de cinq personnes a choisi M. Danson en raison de son travail pour la sécurit;é et la préservation; de la démocratie; du Canada.

M. Danson, MDN de 1976 à 1979, fut l'un des derniers titulaires de ce poste à avoir combattu pendant la guerre. Il a perdu l'usage d'un oeil après; avoir ét;é blessé en Normandie.

Jusqu'à tout récemment;, il était; président; du comité consultatif du Musée; canadien de la guerre. Il a quitté ce poste plus tôt; cette année; afin de rédiger; ses mémoires;, sous le titre Not Bad for a Sergeant.

Vol. 3, No. 43, 2000



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