Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


Their ship came in


By Ruthanne Urquhart  
HMCS Calgary's 225 personnel, home from a five-month deployment to the Arabian Gulf, met with a warm welcome November 30 in Esquimalt.

"It's hard to be away for such periods of time, especially in these deployments," said Unit Information Officer Lieutenant(N) Erik Landstrom. "The friends and family on the jetty, the signs in the local businesses welcoming us back, and the newspaper hailing our return show us we were indeed missed, and make us all the happier to be home."

Some Calgary personnel brought their welcoming committee with them. "We had a dependents' cruise home from Hawaii," said Tactical Acoustic Sensor Operator Leading Seaman Chris Perry. "My Dad, Sergeant (Ret) Wayne Perry, sailed back with us."

Sailors and some 15 dependents lined the rail for a first glimpse of "A" Jetty. MARPAC Commander Vice-Admiral Ron Buck took the salute as the Canadian Patrol Frigate passed Duntze Head on her way into Esquimalt Harbour.

During Calgary's Op AUGMENTATION deployment as part of a Pacific Middle-East Force task group enforcing UN sanctions against Iraq, ship's personnel successfully carried out 20 hailings, seven boardings and inspections, and guard ship duties. They also participated in a Search and Rescue operation. Calgary's integration into the task group with US Ships Milius and Oldendorf was "seamless", said Lakefield, Ont., native Lt(N) Landstrom. "The three ships worked extremely well together. Many months of planning, meetings, and joint exercises ensured that the integration was complete and painless."

On his first long deployment, LS Perry enjoyed seeing a part of the world he wouldn't see otherwise. "I was very impressed with the Remembrance Day ceremony in Auckland, New Zealand" he said. "They don't normally observe it there, but because we were there, they had a parade with more dignitaries than you ever see on Remembrance Day here."

One of the best programs offered on the deployment was the Home Leave Travel Allowance, according to Lt(N) Landstrom. "It gave everyone a chance to either return home or to visit another location," he said. "Many fulfilled lifetime dreams of seeing exotic locations, or just relaxed and regrouped after long stretches at sea."

Defence Minister Art Eggleton announced December 7 that Canada will continue its contribution to enforcement of the UN sanctions against Iraq by sending the Canadian Patrol Frigate HMCS Charlottetown to the Arabian Gulf in January.

Ils sont de retour


Les 225 membres d'équipage; du NCSM Calgary, de retour d'un déploiement; de cinq mois dans le golfe Persique, ont reçu; un accueil chaleureux le 30 novembre à Esquimalt.

« C'est difficile d'être; parti aussi longtemps, surtout pour ce genre de déploiement; », a déclar;é l'officier d'information de l'unité, le ltv Erik Landstrom. « La présence; d'amis et de parents sur le quai, les mots de bien- venue placardés; dans les commerces locaux et l'annonce de notre retour dans le journal indiquent que l'on se ressentait de notre absence. Nous n'en sommes que plus contents d'être; de retour. »

Certains membres d'équipage; du Calgary avaient leur comité d'accueil avec eux.

« Des personnes à charge en croisière; d'Hawaii sont revenues avec nous : par exemple, mon père;, le sgt (retraité) Wayne Perry », a expliqué l'opérateur; de capteur acoustique tactique, le mat 1 Chris Perry.

Des marins et environ 15 personnes à charge se tenaient le long du gardefou pour mieux voir le quai A. Saluée; par le vam Ron Buck, commandant des FMAR(P), la frégate; de patrouille canadienne a contourné Duntze Head en direction du port d'Esquimalt.

Le Calgary a participé à l'Op Augmentation au sein d'une Force opérationnelle; du secteur Pacifique Moyen-Orient chargée; de faire respecter les sanctions de l'ONU contre l'Iraq; pendant ce déploiement;, l'équipage; du navire a effectué 20 arrêts; en mer, 7 arraisonnements et inspections et a utilisé le navire comme bâtiment; de garde. L'équipage; a également; participé à une opération; de recherche et de sauvetage.

Selon le ltv Landstrom, originaire de Lakefield (Ont.), l'intégration; du Calgary dans la Force opérationnelle; avec les navires américains; Milius et Oldendorf s'est effectuée; en douceur. « Les trois navires, a-t-il ajouté, ont fonctionné extrêmement; bien ensemble, et de nombreux mois de planification, de rencontres et d'exercices interarmées; nous ont permis de s'intégrer; sans difficulté.; »

Pendant son premier déploiement; de longue durée;, le mat 1 Perry a était; ravi de visiter une partie du monde qu'il n'aurait pas pu voir autrement. « J'ai ét;é très; impressionné par la cér;émonie; du Jour du Souvenir à Auckland, en Nouvelle-Zélande;, a-t-il rapporté.; Normalement, l'év;énement; n'est pas souligné là-bas;, mais du fait de notre présence;, une parade a eu lieu comptant plus de dignitaires que n'importe quelle cér;émonie; du Jour du Souvenir ici. »

Selon le ltv Landstrom, l'un des grands avantages offerts aux militaires déploy;és; était; l'indemnité de retour au domicile. « Ainsi, chacun pouvait retourner chez soi ou aller visiter un autre endroit, a-t-il ajouté.; Nombreux sont ceux qui ont pu réaliser; le rêve; de visiter des endroits exotiques. D'autres se sont, simplement, détendus; et retrouvés; après; un long séjour; en mer. »

Le 7 décembre;, le ministre de la Défense;, M. Art Eggleton, a annoncé que le Canada poursuivra sa participation au soutien des sanctions de l'ONU imposées; à l'Iraq en envoyant la frégate; canadienne NCSM Charlottetown en janvier prochain dans le golfe Persique.

par Ruthanne Urquhart

Infirmière; détach;ée; au Kenya


texte et photo de Mitch Gillett

Une personne dotée; de compétences; tant militaires que médicales; est en route pour le Kenya afin de prêter; main-forte à un organisme international qui lutte contre la maladie et la mortalité chez les enfants.

Détach;ée; pendant six moix auprès; de CARE Canada, le capt Charlene Moneypenny, une infirmière; des FC de la BFC Petawawa, va contribuer à la mise sur pied, par cet organisme, d'un programme de formation permanent dans le Siaya, au Kenya. Ce programme consiste à enseigner aux résidants; de l'endroit à détecter; et à prévenir; des maladies comme la  
malaria, la diarrhée; et la pneumonie.

La capt Moneypenny, qui arrivera au Kenya peu après; les Fêtes;, est heureuse de saisir cette occasion de travailler avec CARE Canada dans un pays étranger.;

« CARE travaille depuis environ quatre ans dans la ville de Siaya avec pour but de réduire; le taux de mortalité infantile de cette région; », a-t-elle indiqué.; « Je n'ai pas eu l'occasion d'acquérir; une grande

expérience; en pédiatrie; au cours de ma carrière; militaire; toutefois, mon mandat, ici, n'est pas de donner des soins infirmiers directs mais plutôt; d'élaborer; un programme de formation. »

Ce projet d'Initiatives communautaires pour la survie des enfants du Siaya (CICSS), lancé par CARE, vise à réduire; les taux de maladie et de mortalité chez les béb;és; et jeunes enfants de la région.; La formation contribue aussi à améliorer; la santé des femmes enceintes dans 320 villages du district de Siaya, province de Nyanza.

Créé en 1946 dans le cadre d'un réseau; international destiné à fournir des secours d'urgence aux Européens; affectés; par la Seconde Guerre mondiale, CARE Canada envoie des gens dans certaines des régions; les plus pauvres du monde. Cet organisme non gouvernemental travaille en étroite; collaboration avec certains organismes des Nations Unies, d'autres membres de CARE International et le Gouvernement canadien. Ses programmes appuient les soins primaires, l'éducation;, le développement; économique; à petite échelle;, l'agriculture et les secours d'urgence.

Image: Capt / capt Charlene Moneypenny

Nursing officer to work in Kenya


Text and photo by Mitch Gillett

A mix of military and medical skill is on its way to Kenya to reinforce an international aid agency's war on infant illness and death.

Seconded to CARE Canada for six months, Captain Charlene Moneypenny, a CF nurse from CFB Petawawa, will help develop the organization's ongoing training program in Siaya, Kenya. The program involves teaching local residents to detect and prevent diseases such as malaria, diarrhea and pneumonia.

Capt Moneypenny, who will arrive in Kenya shortly after the holiday season, welcomed the opportunity to work with CARE Canada in a foreign country.

"CARE has been working for about four years in Siaya town, trying to reduce infant death rates in that area," she said. "I have not had much in the way of pediatric experience working in the military. However, the terms of reference for the

job I am doing there are not so much handson-providing nursing care-but more along the lines of developing training programs."

CARE's Community Initiatives for Child Survival in Siaya (CICSS) project aims to reduce illness and death rates among the area's infants and children. The training also helps improve the health of childbearing women in 320 rural villages in the Siaya district of Nyanza Province.

Established in 1946 as part of an international network to bring emergency relief to Europeans devastated by the Second World War, CARE Canada has sent people to some of the poorest regions of the world. The non-governmental organization works closely with UN agencies, other members of CARE International and the Canadian government. Its programs support primary health care, education, small-scale economic development, agriculture, and emergency relief.

Vol. 3, No. 45, 2000




Valeurs éthiques;


Image: MCpl / cplc Ken Allan, Combat Camera

par Aline Dubois

L'Évaluation; de base des valeurs éthiques;

au MDN parrainée; par le Programme d'Éthique; de la Défense; (PED) et effectuée; sous l'égide; de la Direction de la recherche et de l'évaluation; en ressources humaines (DRERH) a ét;é rendue publique le 27 novembre dernier.

Cet exercice visait à établir; dans quelle mesure le personnel du MDN et des FC perçoit; qu'on pratique aujourd'hui les valeurs éthiques; organisationnelles existantes de ces deux entités; et dans quelle mesure il croit que ces valeurs devraient être; pratiquées; au sein du MDN et des FC. Les composantes de la conduite éthique; dans son application publique ont ét;é examinées; : observance des règles; de fonctionnement, entraide, indépendance; de décision;, intér;êt; personnel, valorisation de l'exécution; du travail, attentes vis-à-vis; des superviseurs, comportement de ces derniers et des collègues; en gén;éral.; Ont ét;é aussi évalu;és; le respect par le MDN et les FC de leurs propres valeurs organisationnelles, équit;é comprise, et le contrôle; personnel, sur leurs propres tâches;, de l'ensemble des membres et employés.;

Le maj Denis Beauchamp, agent de développement; auprès; du PED, a contribué è l'orientation de base de l'Évaluation; compte tenu des besoins du PED. Il s'est également; assuré que l'apport des psychologues engagés; dans le processus tiendrait compte de l'approche multidimentionnelle du MDN et des FC en ce qui a trait au développement; moral. Aujourd'hui, il tire ses conclusions : « Oui, les résultats; montrent bien que le climat éthique;, au sein du MDN et des FC, est positif. Mais dans certains domaines, il existe des écarts; entre l'état; actuel des choses et le niveau d'éthique; dont les gens croient que le MDN et les FC devraient se doter. Et c'est à la réduction; de cet écart; que nous devons nous attaquer si nous voulons atteindre un niveau d'éthique; conséquent; des attentes légitimes; des Canadiens et des Canadiennes à notre égard; ».;

En règle; gén;érale;, le climat éthique; est bon, surtout en ce qui a trait à l'indépen-; dance de décision; et à la valorisation de l'exécution; du travail. Autrement dit, dans ces domaines, la marge est mince entre le climat éthique; actuel et celui qui est souhaitable.

Cependant, l'écart; s'élargit; sur le plan de l'entraide, des agissements par intér;êt; personnel, du respect des règles; et de l'équit;é organisationnelles. Le courage, l'intégrit;é, la loyauté, l'honnêtet;é, le sens de l'équit;é et de la responsabilité sont des valeurs que les répondants; aimeraient que les employés; du MDN et des FC, en particulier les leaders et les superviseurs, adoptent davantage.

L'étude; fait état; de certaines dif

férences; de comportement entre les civils et les militaires. Les civils, par exemple, accorderaient plus d'importance au processus de décision; basé sur l'entraide et sur le principe de ne nuire à personne, que les militaires. Ces derniers accorderaient moins d'importance aux processus de décision; basé sur les conséquences; et l'intér;êt; personnel qu'à ceux fondés; sur la

vertu, l'entraide et l'observance des règles.;

Le maj Beauchamp place toutefois un bémol; : « L'Évaluation; fait état; de différences;, certes. Mais on ne peut pas être; aussi catégorique.; On doit tenir compte du facteur environnemental dans lequel travaillent les uns et les autres. Ainsi,

During a routine vehicle check in Kosovo earlier this year, Pte Dave Batten of the Royal Canadian Regiment spoke with two SFOR soldiers.

l'étude; fait aussi état; des recoupements de

comportements. Placés; dans un même; environnement, militaires et civils adoptent souvent des comportements quasi similaires. Mais quand les militaires oeuvrent dans un contexte opérationnel;, la dimension chaîne; de commandement prend beaucoup plus d'importance et entraîne; des modifications dans le mode décisionnel; et le comportement ».;

Comme le précise; le maj Beauchamp, l'Évaluation; offre un plan de route que

pourront utiliser les décideurs; pour réduire; les écarts; entre la culture éthique; actuelle et celle dont, selon le personnel du MDN et des FC, le MDN et les FC devraient se doter. Mais, ajoute-t-il, il faut aller au-delà d'une application pure et simple du plan. L'Aviation, la Marine et l'Armée; de terre ont des cultures organisationnelles différentes.; De ce fait, si chacun des él;éments; veut utiliser le plan de route à bon escient, les leaders de chaque él;ément; vont devoir prendre conscience des écarts; qui existent au sein de leur propre organisation, s'en servir comme point de réf;érence; et prendre des mesures pour corriger la situation.

Mais pourquoi ce branlebas de combat aujourd'hui autour de l'éthique;? « L'éthique;, précise; le maj Beauchamp, est l'articulation des valeurs publiques nécessaires; à la démocratie.; On vit aujourd'hui au sein de démocraties; pluralistes aux prises avec des pluralités; d'idéologies;, au sein de sociét;és; de plus en plus complexes et de populations de plus en plus grandes, d'organisations gigantesques. On sort aussi d'une période; où le christianisme dominait beaucoup de ces démocraties.; Par exemple, au début; du 20e siècle;, les valeurs étaient; largement articulées; par l'église; catholique et les autres dénominations; chrétiennes.; Dans les années; 50, la population a rejeté l'idée; selon laquelle les religions servaient de justification pour les valeurs véhicul;ées; dans le secteur public de la sociét;é.; Un vide s'est créé du point de vue de ce qui était; articulé, non pas du point de vue des valeurs mêmes.; L'erreur qu'on a faite, c'est de croire que ces valeurs n'étaient; que chrétiennes; et non pas humaines. Par exemple, la charte des droits de la personne articule des valeurs universelles et non seulement chrétiennes.; Dans un milieu organisationnel, c'est à l'organisation de prendre ses responsabilités; par rapport aux individus qui y travaillent ».;

Une nouvelle Évaluation; devrait se faire dans trois ans. L'Évaluation; actuelle se trouve sur le site Intranet http://ethique.mil.ca

Lors d'une inspection des véhicules; au Kosovo, le sdt Batten du RCR intervient auprès; de deux soldats de la SFOR.

Ethical values in DND/CF


By Aline Dubois

The Baseline Study of Ethical Values in DND, an initiative of the Defence Ethics Program (DEP) and the Director Human Resources Research and Evaluation (DHRRE), was released November 27.

The study examined the degree to which DND/CF personnel perceive that existing organizational ethical values are used and the degree to which they believe those values should be used. The components of ethical conduct in its public application were examined. They include respect for rules, care for others, decisional independence, self-interest, job completion satisfaction, supervisor expectations, supervisor behaviour and co-worker behaviour. Other aspects assessed included DND/CF respect for organizational rules (including fairness) and the level of personal control exercised by individuals over their own tasks.

Major Denis Beauchamp of DEP helped co-ordinate the baseline assessment. He also made sure the contribution of psychologists took into account the multi- dimensional approach of DND/CF in terms of moral development.

"The findings show clearly that the ethical climate within DND and the CF is positive," said Maj Beauchamp. "However, in some areas there are gaps between the way things are and the way things should be. It is the closing of that gap that must concern us if we want to reach a level of ethics that meets the legitimate expectations of the Canadian people for DND and the CF."

Overall, the ethical climate is good, particularly with regard to decisional independence and job completion. In other words, the climate as it exists today is close to the climate that is desired.

However, this gap widens where caring, acting in self-interest, respect for organizational rules and fairness are concerned. Courage, integrity, loyalty, honesty, fairness and sense of responsibility are values that respondents would like to see DND/CF employees embrace more.

The study also revealed some differences

between civilians and DND/CF members. Civilians, for example, are more inclined than military personnel to believe that decision-making based on caring and doing no harm is important. DND/CF members tend to feel decisionmaking should be based more on virtue, caring and rules than on consequences and self-interest.

"The assessment has revealed differences, but caution is in order," said Maj Beauchamp. "The environment in which each of those groups works is a factor that must be considered. Hence the study shows there are similarities between the two. Placed in the same environment, civilians and military personnel often behave the same way. But when soldiers are involved in an operation, the chain of command dimension is significantly more important and changes the way decisions are made and behaviour is expressed."

The baseline study provides guidelines to narrow the gap between the current ethical culture and the one sought by DND/CF members. However, said Maj Beauchamp, more is required than a simple implementation of the guideline. The Navy, Army and Air Force each have their own organizational culture and need to adapt accordingly, he said.

"Ethics," said Maj Beauchamp, "is the expression of the public values that underpin democracy. We live today among pluralistic democracies that are having to deal with a plurality of ideologies within increasingly complex societies, continually rising populations and gigantic organizations." The increasingly secular nature of society has had a profound impact on ethical values, he said. "In an organizational environment, it is up to the organization to accept its responsibilities towards the people it employs."

A new baseline study on ethical values is expected in three years. The current study can be viewed on the Intranet at http://ethics.mil.ca


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Cours international donné par la police militaire canadienne


par Allison Delaney

Vingt et un étudiants; venus d'Europe de l'Est et des Caraïbes; ont obtenu leur diplôme;, le 15 décembre;, après; avoir suivi le premier cours international donné par l'Académie; de police militaire des FC.

Trois mois durant, des agents de police militaires et des militaires du rang de la Lettonie, de la Lithuanie, d'Antigua, de la Barbade, de Trinidad et de la Jamaïque; ont suivi le cours condensé MP QL3 à la BFC Borden. Les sujets couverts étaient; : services de police militaire sur le terrain; techniques d'enquête; maniement des armes; manoeuvres défensives; secourisme; protection et traitement pour les scènes; de crime; tactiques relatives aux prisonniers de guerre.

« C'est la première; fois que nous donnons un cours destiné précis;ément; à des étudiants; étrangers; », a indiqué le maj Jim Legere, commandant de l'école.; « Nous avons envoyé des équipes; de formation mobiles à la Barbade et quelques étudiants; étrangers; ont déj;à suivi les cours réguliers; des FC, mais c'est la première; fois que nous concevons un cours expressément; pour eux. »

Le cours MP QL3 régulier; dure six mois, mais le

maj Legere a indiqué que de nombreux él;éments; de ce cours ne s'appliquent pas à des étudiants; étrangers.; Certains aspects comme le droit canadien et l'exécution; d'un mandat de perquisition sont inutiles pour des étudiants; qui vont rentrer dans leur pays pour travailler dans les services de police.

Le maj Legere a expliqué que des cours internationaux comme celui-ci profitent aux pays participants et contribuent à accroître; l'expérience; des FC : « Il permet à mon effectif de se sensibiliser à d'autres cultures et, aux FC d'élargir; leur perspective. Les étudiants; étrangers; ramènent; chez eux l'expérience; acquise ici, ce qui fait ressortir le professionnalisme des militaires canadiens. Il est encourageant pour d'autres pays de voir ce que nous pouvons faire alors que notre effectif militaire est relativement peu élev;é.; »

Nombre de forces militaires occidentales offrent des cours internationaux, mais le maj Legere a indiqué que le Canada se démarque; lorsqu'il s'agit de former des étudiants; étrangers.; « La capacité du Canada de pleinement intégrer; des étrangers; à son entraînement; en dit long. Nous traitons les étudiants; étrangers; assistant à nos cours comme tout autre soldat canadien. »

Image: Le caporal suppléant; Comic d'Antihua frappe le punching ball tenu par le sdt Robbins lors de l'entraînement; au bâton; à l'Académie; de police militaire à la BFC Borden.Cpl / cpl Sean Bacon, CFB / BFC Borden

Canadian military police host international course


Lance Corporal Comic of  
Antigua (right) hits the striker bag during baton training at the Military Police Academy at CFB Borden. Private Second Class Robbins, also of Antigua, holds the bag.

By Allison Delaney

Twenty-one students from eastern Europe and the Caribbean will graduate December 15 from the first international course run by the Canadian Forces Military Police Academy.

For three months, military police officers and noncommissioned members from Latvia, Lithuania, Antigua, Barbados, Trinidad and Jamaica ran through a condensed MP QL3 course at CFB Borden. Participants learned about military policing in the field, investigative techniques, weapons training, defensive maneuvers, first aid, protecting and processing crime scenes, and prisoner of war tactics.

"This is the first time we've run a course specifically for international students," said the school's commandant,

Major Jim Legere. "We've taken mobile training teams to Barbados and had a few international students join our normal CF courses, but this is the first time we've designed a course specifically for them."

The regular MP QL3 course is six months long, but Maj Legere said many elements of the normal course do not apply to international students. Certain aspects like Canadian law and executing search warrants serve no purpose to students who will return to their home countries to work in the policing field.

Maj Legere said international courses such as this one not only benefit participating countries, but also contribute to a well-rounded and effective Canadian mili-

tary. "It gives cultural exposure to my staff here and it broadens the CF's perspective," he said. "Other countries take back their positive experiences here, which says something about the professionalism of the Canadian military. We are a fairly small military, so it is encouraging for other countries to see what can be accomplished."

Many western militaries offer international courses, but Maj Legere said Canada stands above the rest when it comes to training foreign students. "Canada's ability to fully integrate foreign nationals into its training says a lot. When international students attend our courses, we treat them just as if they were Canadian soldiers."

La certification ISO - Avantages et responsabilités;


ISO membership brings benefits and responsibilities


texte et photo de Mitch Gillett

Text and photo by Mitch Gillett

L'OTAN reste la réf;érence; militaire importante, mais l'ensemble des principes ISO (Organisation internationale de normalisation) procure aux FC un niveau de confiance accru.

Le Centre Génie; Logiciel (Terre) des FC et la direction Construction et services immobiliers se sont joints récemment; au nombre grandissant des organisations certifiées; IS0 9000.

Comme les FC ne sont pas une entreprise, il n'est pas obligatoire qu'elles soient certifiées; ISO 9000. Mais en adhérant; au programme, les ministères; compétents; se familiarisent avec le processus que doit suivre une entreprise certifiée; ISO pour fabriquer un produit.

La vaste portée; de la norme ISO 9001, la première; de trois normes internationales, porte sur l'assurance de la qualité dans la conception, l'élaboration; et la fabrication d'un produit. Elle porte en outre sur l'assurance de la qualité de l'installation du produit et de son entretien courant.

Les normes ISO 9002 et 9003 qui l'accompagnent sont plus spécifiques.; La norme ISO 9002 porte sur l'assurance de la qualité de la fabrication, de l'installation et de l'entretien courant. La norme ISO 9003 s'intéresse; à l'assurance de la qualité lors de l'inspection finale et des essais.

La certification ISO permet aux FC d'accroître; leur crédibilit;é auprès; des entreprises civiles. Les acheteurs mi-

litaires qui travaillent pour des ministères; certifiés; ISO peu- vent demander aux fournisseurs d'adhérer; au programme ISO 9000 pour faire affaire avec le MDN ou les FC.

Il n'est pas étonnant; que les caractéristiques; d'assurance de la qualité de l'OTAN aient joué un rôle; dans l'établissement; des normes d'assurance de la qualité appliquées; à l'échelle; mondiale. Parallèlement;, l'Association canadienne de normalisation (CSA) et autres initiatives du genre au  
R.-U. ont servi de fondement à l'ISO.  
La norme ISO 9000 se préoccupe; surtout de gestion de la qualité.; La définition; type de la qualité, dans la norme ISO 9000, fait réf;érence; à toutes les caractéristiques; d'un produit ou service dont un client a besoin.

Depuis 1947, l'équipe; ISO élabore; volontairement des normes techniques pour la presque totalité des secteurs d'activités.; Pour les ingénieurs; et autres spécialistes; techniques, les normes ISO sont très; précises.;

Les principes sont des conventions documentées; qui indiquent les caractéristiques; techniques ou autres critères; précis; devant être; constamment utilisés; comme lignes directrices ou définitions.; Les normes de gestion des procéd;és; fixées; pour la certification ISO 9000 viennent garantir l'utilisation de matériaux;, de produits, de procéd;és; et de services de qualité.;

NATO sets an important military standard, but the ISO (International Organization for Standardization) family of principles gives the CF a different level of confidence.

The CF Land Software Engineering Centre and Directorate of Construction Property Services recently joined the growing number of ISO 9000 organizations.

Since the CF is not an industry, ISO 9000 certification is not necessary. But registration means qualified departments know the process an ISO registered company goes through to make a product.

The broad scope of ISO 9001, the first of three international standards, deals with quality assurance in product design, development and production. It also covers quality assurance for product installation and servicing.

The companion standards of ISO 9002 and 9003 are more focussed. ISO 9002 covers quality assurance in production, installation and servicing. ISO 9003 deals with quality assurance at the final inspection and test levels.

ISO accreditation gives the CF added credibility with civilian industries. Military buyers working for ISO qualified departments can ask suppliers to be ISO 9000 regis- tered if they want to do business with DND/CF.

Not surprisingly, NATO's quality assurance specifications played a role in the development of quality assurance standards for worldwide application. At the same time, the Canada Standard's Association (CSA) and similar initiatives in the U.K. gave the ISO team a base to work from.

ISO 9000 is mainly concerned with quality management. The standard definition of quality in ISO 9000 refers to all those features of a product or service needed by a customer.

Since 1947, the ISO team has been voluntarily developing technical standards for almost all sectors of business. For engineers and other technical specialists, the ISO standards are very specific.

The principles are documented agreements containing technical specifications or other precise criteria that are to be consistently used as guidelines or definitions. The process management standards set out by ISO 9000 registration ensure the use of appropriate materials, products, processes and services.

Image

The DND/CF Land Software Engineering Centre (LSEC) recently earned an ISO 9000 endorsement. Nicole Boivin, LSEC manager, and David Behan, a quality assurance manager, are seen in front of their new ISO banner.

Le Centre Génie; Logiciel (Terre) des FC et du MDN a récemment; ét;é certifié ISO 9000. Nicole Boivin, Directrice du Centre et David Behan, un directeur assurance qualité sont devant leur nouvelle bannière; ISO.

Vol. 3, No. 45, 2000




Support for injured and retired CF members and their families


Medically released  
CF members tap into support program


By Allison Delaney

The CF Transition Assistance Program (TAP) makes the move from military life to civilian life an easier one for all medically released members.

Administered by the Centre for the Support of Injured and Retired Members and Their Families and run jointly by DND and Veterans Affairs Canada, TAP launched a campaign to enlist prospective employers-in both the public and private sectors-willing to give special consideration to eligible CF members.

About 600 to 800 members are medically released from the CF every year. Rick McLellan, Director Casualty Support and Administration for the centre, said his program has the potential to place about 20 percent of medically released personnel. The program, created in June 2000, could save hundreds of thousands of dollars, he said. "Not; only do we serve the member, but we can also save significant dollars for the organization. From a corporate point of view, it makes economic sense; from a humane point of view, it makes caring sense."

To be eligible for TAP, members must have been medically released, or be going to be medically released, due to an injury that occurred while on military duty.

Training includes educational advancement to be taken during the six months off with pay that is granted under the program. Further time off might be arranged if it leads to civilian employment. Referrals to attain assistance with résum;é writing and other job-search techniques are also part of the program.

Mr. McLellan said the four hundred companies and organizations participating in the program benefit greatly by hiring ex-military personnel. Some of the benefits he cites are: already-trained personnel; relocation at no cost to the employer; access to a database containing an inventory of skilled, fully trained job applicants with proven work records; lower recruiting costs; a means to hiring persons with disabilities; and recognition for contributing to the rehabilitation of CF members.

"The; idea is to place people in a job where they will be challenged and where their skill set matches," he said. "We; owe this to our people; the system owes this to its people."

There are 1800 former CF members now enrolled in the program. Employers or released members wishing to participate in the program should contact TAP at 1-800-883-6094 or (613) 992-0414. The Internet address is www.dnd.ca/hr/the centre/tap and the Intranet address is hr.d-ndhq.dnd.ca/dcsa/tap

Le PAR vise les militaires libér;és; pour raisons médicales;


par Allison Delaney

Grâce; au Programme d'aide à la reconversion des FC (PAR), il est maintenant plus facile pour les militaires libér;és; pour raisons médicales; de passer à la vie civile.

Administré par le Centre pour le soutien des militaires blessés; ou retraités; et de leurs familles et exploité conjointement par le MDN et Anciens Combattants Canada, le PAR a lancé une campagne pour recruter des employeurs potentiels, dans les secteurs public ou privé, disposés; à porter une attention spéciale; aux militaires admissibles des FC.

Chaque année;, de 600 à 800 militaires sont libér;és; des FC pour des raisons médicales.; Rick McLellan, directeur, Soutien aux blessés; et administration du Centre, indique que son programme est en mesure de placer environ 20 p. 100 du personnel ainsi libér;é.; Le programme, créé en juin 2000, pourrait permettre d'épargner; des centaines de milliers de dollars, ajoute-t-il. « Non seulement nous offrons un service aux militaires mais nous faisons également; épargner; bien de l'argent à l'organisation. Du point de vue organisationnel, on réalise; des économies; du point de vue humain, on aide des gens. »

Pour être; admissibles au PAR, les militaires doivent avoir ét;é libér;és; pour raisons médicales; ou être; sur le point de l'être; en raison d'une blessure survenue en cours de service.

La formation comprend des cours à suivre pendant les six mois de congé payé accordés; dans le cadre du programme. Des mesures peuvent être; prises pour obtenir un congé supplémentaire; s'il aboutit à un emploi civil. La prestation d'aide pour la rédaction; d'un CV et autres techniques de recherche d'emploi font aussi partie du programme.

M. McLellan indique que les 400 entreprises et organisations qui participent au programme profitent grandement de l'embauche de personnel militaire. Entre autres avantages, il mentionne : le personnel est déj;à formé l'employeur ne paie pas le dém;énagement; il a accès; à un répertoire; de

candidats compétents;, bien formés; et ayant fait leurs preuves; les frais de recrutement sont moindres; c'est un moyen d'embaucher du personnel handicapé et les employeurs sont reconnus parce qu'ils contribuent à la réadaptation; de militaires des FC.

« Il s'agit de trouver aux militaires des emplois intéressants; répondant; à leurs compétences;, explique M. McLellan. Nous devons bien cela à nos gens. Le système; doit bien cela à ses gens. »

Actuellement, 1800 anciens membres des FC sont inscrits à ce programme. Les employeurs ou militaires libér;és; qui souhaitent y participer n'ont qu'à communiquer avec le PAR au 1-800-883-6094 ou au (613) 992-0414. Site Internet : www.dnd.ca/hr/thecentre/tap; site Intranet : hr.d-ndhq.dnd.ca/dcsa/tap

By Allison Delaney

A former CF member needed an artificial leg-so the Centre for the Support of Injured and Retired Members and their Families bought him one.

This DND-Veterans Affairs Canada (VAC) joint venture is an initial contact point and referral service providing information and services to injured and retired CF members and their families. All phone calls, consultations and referrals are confidential. Follow-up services ensure concerns or issues have been addressed. Services are provided in both official languages.

"We used to not care. People would take off theuniform and we'd say, 'see you later,'" said Rick McLellan, Director Casualty Support and Administration for the centre. "We've decided to do the right thing-not because it makes us look good, but because it's the right thing to do."

On average, the centre receives between 1500 and 1600 calls a month from people searching for information on VAC services and benefits, wondering about pension entitlements and registering for vocational rehabilitation. A contingency fund of $150 000 annually is also part of the centre's mandate to ensure injured and retired

members get any aids to daily living they need, such as wheelchairs, prostheses and braces. The centre costs $1.2 million a year to run.

Mr. McLellan said for a little bit of money, the quality of life of injured and retired members can be increased dramatically. "We think 'yes' first here," he said. "Sometimes we have to say no, but we think yes first. We don't want to drag people through a system that is re-traumatizing."

A former military social worker, Mr. McLellan made it known that such a centre was essential to the well-being of CF members. It was on his recommendation that the Standing Committee on National Defence and Veterans Affairs made casualty support a priority.

"When I look back on my career, this has been the most exciting," he said from his Ottawa office. "It's not what you make, it's what you leave behind. It's nice to think of leaving this behind with the positive long-term effects it carries."

The centre can be reached by calling 1-800-883- 6094 from anywhere in North America or on the Internet at www.dnd.ca/hr/thecentre

Image: Sgt / sgt Dennis J. Mah, Combat Camera

Soutien aux militaires blessés; ou retraités; et à leurs familles


par Allison Delaney

Ayant appris qu'un ancien membre des FC avait besoin d'une jambe artificielle, le Centre pour le soutien des militaires blessés; ou retraités; et de leurs familles lui en a tout simplement acheté une.

Projet conjoint du MDN et d'Anciens Combattants Canada (ACC), le Centre sert de point de départ; et d'aiguillage. Il dispense de l'information et des services aux militaires blessés; ou retraités; et à leurs familles. Tous les appels, consultations et renvois y sont traités; en toute confidentialité.; Un suivi permet de confirmer que le client a bel et bien reçu; l'aide dont il avait besoin. Le Centre fonctionne dans les deux langues officielles.

« Pendant longtemps, nous n'avons su que faire des anciens militaires. À peine leur disions-nous au revoir à leur départ; », explique Rick McLellan, directeur, Soutien aux blessés; et administration du Centre. « Nous avons décid;é de remédier; à la situation, non pas pour faire bonne figure, mais parce que c'est la moindre des choses. »

En moyenne, de 1500 à 1600 personnes s'enquièrent; chaque mois des services et avantages sociaux offerts par ACC, des conditions d'admissibilité à une pension ou de réadaptation; professionnelle. Le Centre est aussi doté d'un fonds de prévoyance; de l'ordre de 150 000 $ par année;, qui vise à procurer aux militaires blessés; ou retraités; des aides à la vie quotidienne, tels que fauteuils roulants, prothèses;

et appareils orthopédiques.; Le fonctionnement du Centre coûte; 1,2 million de dollars par année.;

D'après; M. McLellan, il suffit de peu d'argent pour améliorer; sensiblement la qualité de vie des militaires visés.; « Nous partons du principe que toutes les demandes sont justifiées.; Nous devons parfois en refuser, mais de prime abord, nous voulons aider. Nous ne voulons pas ajouter aux problèmes; des gens en compliquant leur démarche.; »

Ancien travailleur social militaire, M. McLellan a fait valoir le rôle; crucial qu'un tel centre pourrait jouer pour le bien-être; des militaires. C'est en effet sur sa recommandation que le Comité permanent de la défense; nationale et des anciens combattants a fait du soutien aux blessés; une priorité.;

« De toute ma carrière;, j'admets que mon travail au Centre a ét;é le plus stimulant », admet-il de son bureau, à Ottawa. « Ce qui compte, ce n'est pas tant l'action que le résultat.; C'est réconfortant; de penser que tout ceci restera et aura des effets à long terme positifs. »

Pour communiquer avec le Centre, vous n'avez qu'à composer le 1-800-883-6094 de n'importe où en Amérique; du Nord ou vous rendre à l'adresse Internet www.dnd.ca/hr/thecentre


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)