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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Return of wartime documents a 'miracle'


Personal documents belonging to 30 Canadian soldiers taken prisoner by the German Army during the Second World War are finally being returned to their rightful owners or their descendants.

The documents, including wartime clothing booklets and soldiers' pay books (which doubled as identity documents) were confiscated by the Germans. They ended up in Russian hands at the end of the war when Russian forces captured Berlin.

After years of negotiation with the British government, the Russian Federation returned in 1999 a number of personal effects thought to have belonged to British prisoners of war. While sorting through them, British officials discovered many of the artifacts belonged to Commonwealth soldiers.

In a ceremony held November 7 at the Imperial War Museum in London, England, the Canadian artifacts were handed over to Colonel F.G. Noseworthy of the Canadian High Commission's Canadian Defence Liaison Staff.

Other countries that took possession of similar artifacts were India, Nepal, Australia, New Zealand, Pakistan and the United States.

Describing the hand-over of the documents as more symbolic than substantial, Col Noseworthy said it was supposed to demonstrate the willingness of the Russians to be more open to their former wartime allies.

"For the Brits, it's another step towards closure," said Col Noseworthy. "For the families and POWs themselves, there's some satisfaction in knowing that, after all these years, their service is still appreciated."

Artifacts belonging to a senior Canadian soldier who served with the British Army and managed to avoid capture by the Germans were returned to his son, Anthony Prower of Port Hope, Ont.

Brigadier-General J.M. Prower was working in France for the Imperial War Graves Commission when he fled the German blitzkrieg with his wife and daughter in May 1940. In the rush, he left behind photo- graphs and documents relating to his service in the First World War with Winnipeg's 8th Battalion, Canadian Expeditionary Force-including a 1916 warrant awarding him the Distinguished Service Order and two mentioned in dispatches documents.

Mr. Prower said he was amazed when told the precious documents were being returned. "I couldn't believe it. It's a miracle; it really is."

Image: Prise en Angleterre durant la Première; Guerre mondiale, cette photo du bgén; J.M. Prower faisait partie de ses biens laissés; en France en 1940.Courtesy of / Gracieuseté de Anthony Prower

By Buzz Bourdon

This portrait of BGen J.M. Prower, taken in England during the First World War, was among the possessions he left behind in France in 1940.

Retour miraculeux de documents de guerre


par Buzz Bourdon

Des documents personnels, ayant appartenu à trente soldats canadiens faits prisonniers par l'Armée; allemande lors de la Seconde Guerre mondiale, ont finalement ét;é rendus à leurs propriétaires; légitimes; ou à leurs descendants.

Ces documents, parmi lesquels des carnets d'habillement de guerre et des livrets de solde (qui servaient également; de preuves d'identité aux soldats), avaient ét;é confisqués; par les Allemands. Ils se sont ensuite trouvés; aux mains des Russes vers la fin de la guerre, quand les Soviétiques; ont capturé Berlin.

En 1999, après; des années; de négociation; avec le Gouvernement britannique, la Féd;ération; de Russie a rendu un certain

nombre d'effets personnels qu'on croyait appartenir aux prisonniers de guerre britanniques. En faisant le tri, les autorités; de Grande-Bretagne ont constaté que nombre d'articles appartenaient à des soldats du Commonwealth.

Lors d'une cér;émonie; qui s'est déroul;ée; le 7 novembre à l'Imperial War Museum de Londres (Angleterre), les articles canadiens ont ét;é remis au col F.G. Noseworthy de l'État-major; de liaison des Forces canadiennes du Haut-commissariat du Canada.

Les autres pays ayant aussi récup;ér;é des articles semblables sont l'Inde, le Népal;, l'Australie, la Nouvelle-Zélande;, le Pakistan et les États-Unis.;

Le col Noseworthy, décrivant; cette remise comme étant; plutôt; symbolique, a mentionné qu'elle démontrait; la volonté des Russes d'être; plus ouverts à l'endroit de leurs anciens alliés; de guerre.

« Pour les Britanniques, il s'agit là d'une autre étape; leur permettant de tourner la page », de déclarer; le col Noseworthy. « Les familles et les prisonniers de guerre, eux, retirent une certaine satisfaction de savoir qu'après; toutes ces années;, leur service est toujours reconnu. »

Des articles, ayant appartenu à un officier supérieur; canadien qui a servi au sein de l'Armée; britannique et qui a réussi; à échap;

per aux Allemands, ont ét;é rendus à son fils, Anthony Prower de Port Hope (Ont.).

Le bgén; J.M. Prower travaillait en France pour l'Imperial War Graves Commission lorsqu'il a fui la guerreéclair; allemande avec sa femme et sa fille, en mai 1940. Dans sa précipitation;, il a laissé derrière; lui des photos et des documents témoignant; de son service au sein du 8e Bataillon du Corps expéditionnaire; canadien, Winnipeg durant la Première; Guerre mondiale, dont un certificat de 1916 lui décernant; l'Ordre du service distingué et deux citations à l'ordre du jour.

M. Prower s'est dit stupéfait; lorsqu'on l'a informé que les précieux; documents

seraient rendus. « Je n'en revenais pas. C'est un miracle, rien de moins. »

December 14 1837: At St-Eustache, Lower Canada, 30 km west of Montréal;, General Sir John Colborne of the British Army arrives with two battalions of British regular infantry, 12 cannon and more than 200 local militia soldiers. Their mission is to finish off about 250 Patriote rebels, now commanded by Jean-Olivier Chénier;, the St-Eustache doctor who led the retreat from St-Charlessur-Richelieu on November 25. In a short, nasty battle at the church, the British easily defeat the Patriotes, killing at least 100 (including Dr. Chénier;), capturing even more, and burning St-Eustache to the ground. The Patriote cause is not dead, however; Louis-Joseph Papineau is in the United States, gathering more sympathizers.

December 17 1939: In Ottawa, representatives of Canada, Britain, Australia and New Zealand sign the British Commonwealth Air Training Plan (BCATP) Agreement, which makes Canada the centre of the world's biggest aircrew production initiative. Conducted by the Royal Canadian Air Force using British policies and standards, training begins on April 29, 1940, and ceases on March 31, 1945. At its peak, the BCATP has 231 sites and 291 units (including 107 schools), with 10 906 aircraft and 104 113 non-flying personnel. In five years of operation, the BCATP trains 131 553 pilots, navigators, bomb aimers, wireless operators, air gunners and flight engineers. Of these, 72 835 are Canadian-enough to form 80 RCAF squadrons and supply 25 percent of RAF aircrew.

December 18 1941: At 08:30 hours in driving rain, the Japanese Imperial Army begins landing troops on the northeast shore of the island of Hong Kong. The 20 000 British, Ghurka and Canadian soldiers of the garrison know they are outnumbered and cannot hope for relief. The British Army is cornered at Singapore, where the Royal Navy's capital ships Prince of Wales and Repulse have just been sunk, and much of the Pacific fleet of the United States Navy is disabled or on the bottom of Pearl Harbor.

December 19 1941: At Hong Kong, Company Sergeant-Major John Osborn of The Winnipeg Grenadiers earns the Victoria Cross during the withdrawal from Mount Butler. When his company is under overwhelming grenade attack, CSM Osborn repeatedly picks up and throws live grenades back at the Japanese. Finally, when he spots a live grenade that he cannot reach in time to throw back, CSM Osborn shouts, "Duck, lads!" and makes the ultimate sacrifice by flinging himself on the grenade.

14 Décember; 1837: À Saint-Eustache, dans le Bas Canada, à 30 km à l'ouest de Montréal;, le gén;éral; Sir John Colborne de l'Armée; britannique arrive avec deux bataillons de l'in

fanterie de la Réguli;ère; britannique, douze canons et plus de 200 soldats de la Milice locale. Sa mission : écraser; environ 250 rebelles patriotes, désormais; commandés; par Jean-Olivier Chénier;, le médecin; de Saint-Eustache qui a dirigé la retraite de Saint-Charlessur-Richelieu le 25 novembre. Dans une courte et sanglante bataille à l'église;, les Britanniques vainquent facilement les Patriotes; ils en tuent au moins cent (y compris le Dr Chénier;), en capturent encore davantage et rasent le village. Toutefois, la cause des Patriotes demeure bien vivante; en effet, Louis-Joseph Papineau est aux États-Unis; et rassemble d'autres sympathisants.

17 Décember; 1939 : À Ottawa, des représentants; du Canada, de la Grande-Bretagne, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande; signent l'accord sur le Programme d'entraînement; aérien; du Commonwealth (BCATP), plaçant; le Canada au centre du plus important plan de formation d'équipages; de vol au monde. Dirigée; par l'Aviation royale du Canada (ARC) et fondée; sur les politiques et les normes britanniques, la formation débute; le 29 avril 1940 et prend fin le 31 mars 1945. Au plus fort des activités;, le BCATP comprend 231 sites et 291 unités; (y compris 107 écoles;) ainsi que 10 906 aéronefs; et 104 113 personnels non navigants. En cinq ans, on forme 131 553 pilotes, navigateurs, bombardiers, radiotél;égraphistes;, mitrailleurs de bord et mécaniciens; de vol. De ce nombre, 72 835 sont canadiens - soit un nombre suffisant pour constituer 80 escadrons pour l'ARC et pour approvisionner 25 pour cent des équipages; de la RAF.

18 Décember; 1941 : À 8 h 30, par une pluie battante, l'Armée; impériale; japonaise commence à débarquer; des troupes sur le rivage nord-est de l'île; de Hong Kong. Les 20 000 soldats britanniques, ghurkas et canadiens de la garnison savent qu'ils sont moins nombreux et qu'ils ne peuvent pas espérer; de renfort. L'Armée; britannique est prise au piège; à Singapour où les bâtiments; de premier plan de la Royal Navy Prince of Wales et Repulse viennent d'être; coulés;, et une grande partie de la flotte du Pacifique de la marine américaine; est neutral- isée; ou coulée; à Pearl Harbor.

19 Décember; 1941 : À Hong Kong, le sergent-major de compagnie John Osborn du Winnipeg Grenadiers se mérite; la Croix de Victoria au cours du désengagement; au mont Butler. Alors que sa compagnie essuie une attaque soutenue aux grenades, le SMC Osborn ne cesse de renvoyer aux Japonais leurs propres grenades. Finalement, apercevant une grenade armée; qu'il ne peut atteindre à temps, il crie : « Couchez-vous ! » à ses compagnons d'armes et se jette sur la grenade au sacrifice de sa vie.

Image

DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


FOURTH


By/par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA

/ Réviseure; (anglais), DGAP


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Image: Le lcol Bernie Ciarroni, commandant du Royal Canadian Hussars (Montréal;), en tête; de la troupe de cavalerie du régiment.; LCol Bernie Ciarroni, commanding officer of the Royal Canadian Hussars (Montréal;), is seen leading his regiment's mounted troop.

Royal Canadian Hussars back in the saddle


Le Royal Canadian Hussars remonte en selle


Text and photo by Buzz Bourdon

Sixty years ago, at the start of the Second World War, Montréal;'s 17th Duke of York's Royal Canadian Hussars lost its horses and became a modern armoured regiment.

Now, the regiment-known since 1958 as the Royal Canadian Hussars (Montréal;)-has returned to the horse to revive its rich cavalry history, boost morale and instil unit pride.

In 1998, the RCH formed a Troop of Cavalry to represent the unit at ceremonial, social and public events. The troop uses the horses of the Montréal; Urban Community Police Department's mounted unit, based near the RCH armoury.

Eighteen RCH soldiers are training at their own expense at civilian stables. Lectures covering equine care, cavalry drills, stabling, riding and horsemanship are also held, as well as classes on traditional cavalry weapons, such as the lance and sabre.

On November 11, three soldiers of the Troop, including the commanding officer of the RCH, Lieutenant- Colonel Bernie Ciarroni, rode in the traditional Remembrance Day parade held in downtown Montréal.;

Sergeant Ray Kirkwood, a 20-year RCH veteran, is the second-in-command of the troop. He loves riding because it reminds him of his unit's rich heritage. "All the skills required to ride a horse are directly transferable to a trooper in a Cougar-pride, discipline, responsibilities, confidence and loyalty," said Sgt Kirkwood.

LCol Ciarroni feels the troop is important in maintaining his soldiers' morale. "We also see this as a great way of developing young Canadians. (Riding) requires a lot of precision and therefore helps you develop that focus of purpose."

texte et photo de Buzz Bourdon

Il y a 60 ans, au début; de la Seconde Guerre mondiale, le Royal Canadian Hussars (Montréal;) du 17e Duc d'York est descendu de cheval pour devenir un régiment; blindé.;

Ce régiment; - depuis 1958, le Royal Canadian Hussars (Montréal;) - remonte aujourd'hui à cheval pour revivre sa riche histoire, rehausser le moral des troupes et instaurer un sentiment de fierté dans l'unité.;

En effet, le RCH a créé une troupe de cavalerie, en 1998, pour représenter; l'unité à l'occasion des cér;émonies; militaires et d'év;énements; sociaux et publics. Pour ses activités; équestres;, la troupe emprunte les chevaux de l'unité montée; du service de police de la Communauté urbaine de Montréal; qui sont héberg;és; près; du manège; du RCH.

Dix-huit membres du RCH s'entraînent; à leurs frais dans des centres d'équitation; civils. Ils assistent également; à des conférences; sur le soin des chevaux, les exercices militaires à cheval, les tâches; à l'écurie; et l'art de monter à cheval et d'employer la monture, en plus de suivre des cours sur les armes traditionnelles de la cavalerie comme la lance et le sabre.

Le 11 novembre dernier, trois soldats de la troupe de cavalerie du RCH, y compris le commandant du RCH, le lcol Bernie Ciarroni, ont participé au traditionnel défil;é du jour du Souvenir au centre-ville de Montréal.;

Le sgt Ray Kirkwood, membre du RCH depuis 20 ans et commandant adjoint de la troupe de cavalerie, aime monter à cheval parce que cela lui rappelle le riche héritage; de son unité.; Selon lui, « toutes les compétences; nécessaires; pour monter un cheval sont directement transférables; à un membre d'équipage; de Cougar : fierté, discipline, sens des responsabilités;, confiance et loyauté.; »

Le lcol Ciarroni est d'avis que la troupe de cavalerie est importante pour le moral des soldats : « Nous croyons également; que cette initiative est une excellente façon; de former les jeunes Canadiens. L'équitation; exige en effet une très; grande précision; et aide donc à développer; la concentration. »

Le RCH s'entraîne; avec le char Leopard - une première;


RCH trains on Leopard tank for first time


Image

texte et photos de Buzz Bourdon

Les membres d'un régiment; de blindés; de la Réserve; ont eu un aperçu; de l'avenir et sont restés; sur leur faim.

Pour la première; fois, le 25 novembre, le Royal Canadian Hussars (Montréal;) s'est entraîn;é avec l'imposant char Leopard C2 à la BFC Valcartier.

Sous la supervision du 12e RBC de l'Armée; réguli;ère;, 42 réservistes; du RCH ont passé la journée; avec des monstres de 43 tonnes. Après; quelques exposés; et une promenade sur le terrain en Leopard, les réservistes; se sont installés; dans les simulateurs Leopard et ils se sont exercés; à détruire; des véhicules; ennemis.

Pour le cvr Jamila Al-Ayech Barquin, membre de l'équipe; des blindés; du RCH qui conduit des Cougars, se promener dans un Leopard était; excitant. Assise dans le siège; de l'artilleur, elle a fait pointer la tourelle vers la gauche et vers la droite. « On devrait avoir davantage d'entraînement; avec la Force réguli;ère;, affirme-t-elle. Cela inviterait à l'enrôlement.; »

Dans la Milice, l'entraînement; avec des chars était; chose courante jusqu'à la fin des années; 1960 lorsque les chars Sherman utilisés; au cours de deux guerres ont finalement ét;é réform;és.;

Le lcol Bernie Ciarroni, commandant du RCH, conduisait un Sherman de 38 t lorsqu'il s'est enrôl;é en 1967. Aujourd'hui, il pense que l'avenir de son régiment; tient à nouveau à l'utilisation de chars véritables; : « J'espère; que d'ici cinq ans, le RCH va pouvoir s'éloigner; un peu de la familiarisation de base pour se rapprocher de l'entraînement; avec des chars Leopard. La Force réguli;ère; et la Réserve; (du Corps blindé) doivent apprendre à mieux se compléter; avec les véhicules; des uns et des autres. »

Le lcol John Collin, commandant du 12e RBC, faisait preuve d'un optimisme prudent face à l'idée; que les réservistes; puissent acquérir; les compétences; de conducteurs, d'artilleurs et de chefs d'équipage; de chars Leopard.

« Nous avons dit qu'il est possible d'offrir aux réservistes; les compétences; relatives aux chars, à la condition que des ressources soient mises à notre disposition, atil indiqué.; Je pense que c'est une bonne idée; d'attribuer aux réservistes; du Corps blindé davantage de responsabilités; et des rôles; plus importants. »

Text and photos by Buzz Bourdon

Members of one of Canada's reserve armoured regiments got a taste of the future recently, and it left them wanting more.

The Royal Canadian Hussars (Montréal;) trained with the mighty Leopard C2 tank for the first time at CFB Valcartier November 25.

Supervised by the regular army's 12é Régiment; blindé du Canada, 42 RCH reservists spent the day with the 43-ton monsters. After lectures and a Leopard ride in the field, the reservists sat inside Leopard simulators and practised killing enemy vehicles.

For Trooper Jamila Al-Ayech Barquin, a RCH armoured crew member who drives Cougars, zooming around in a Leopard was exciting. Sitting in the gunner's seat, she traversed the turret left and right. "We should have more training with the Regular Force," she said. "More (people) would join."

Training with tanks was routine for the Army Reserve until the late 1960s, when the Sherman tanks used during two wars were finally scrapped.

Lieutenant-Colonel Bernie Ciarroni, the commanding officer of the RCH, drove the 38-ton Sherman when he joined in 1967. Now, LCol Ciarroni believes the future of his regiment lies with real tanks again. "I hope within the next five years, the RCH will graduate from basic indoctrination to squadron training with Leopards. The regular and reserve components (of the armoured corps) have to become more complementary on each others' vehicles."

LCol John Collin, commanding officer of the 12e RBC, was cautiously optimistic about reservists qualifying as Leopard drivers, gunners and crew commanders.

"We have said that it is possible to qualify reservists on tanks, provided resources are made available," he said. "I think it's a good idea for reservists in the armoured branch to be assigned increased responsibilities and more significant roles."

Image

Capt Richard  
Ayoub of the RCH practised his tank- killing skills inside a Leopard simulator November 25 at CFB Valcartier.

Le capt Richard  
Ayoub du RCH s'exerce à détruire; des chars dans un simulateur Leopard, le 25 novembre, à la BFC Valcartier.

Trooper Sylvain  
Coté of the RCH mounts a Leopard tank. Tpr Coté drives a Cougar for the regiment's B Squadron.

Le cvr Sylvain  
Coté du RCH monte sur un char Leopard. Le cvr Coté conduit un Cougar pour l'Escadron B du

régiment.;


Vol. 3, No. 45, 2000



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