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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Des sous-officiers hongrois désireux; d'apprendre


par Allison Delaney

Le sgtm Zsolt Farago est au nombre des six sous-officiers hongrois qui apprennent l'anglais à Saint-Jean (Qc) avant de donner, en compagnie d'un instructeur canadien, le prochain cours de chef subalterne des FC.

La Hongrie, un des plus récente; pays à joindre l'OTAN, est intéress;ée; à remettre en état; son système; d'instruction pour les militaires enrôl;és.; En mars, le sgtm Farago et ses cinq collègues; vont retourner en Hongrie comme instructeurs au nouveau collège; des sous-officiers de Szentendre.

Les Hongrois vont rentrer chez eux le 16 décembre; pour Noël; puis revenir au Canada le 4 janvier afin de relever un autre défi; à Borden. Chaque sous-officier hongrois sera jumelé à un militaire du rang canadien.

« Une fois le cours à Borden terminé, nous allons profiter de notre connaissance des systèmes; canadien et hongrois pour intégrer; les modes d'apprentissage que nous aurons vus ici à notre système; d'instruction des sous-officiers », explique le sgtm Farago.

Ses collègues; et lui-même; sont très; contents et fiers d'avoir ét;é choisis pour venir au Canada. « Nous sommes les premiers sous-officiers de Hongrie à venir apprendre l'anglais au Canada et à avoir l'occasion d'apporter quelque chose de nouveau au système; d'instruction des sous-officiers hongrois. »

Des voyages à Montréal;, Québec;, Ottawa, Kingston et Trenton ont aidé les Hongrois à se distraire, mais ils ont tous bien hâte; aux Fêtes.; « Au cours des deux premiers mois, nous avons profité du fait que tout était; nouveau pour nous, les gens, la nourriture, le pays tout entier, souligne le sgtm Farago. C'était; très; excitant d'explorer ces nouveautés;, mais plus le temps passe, plus nous nous ennuyons de chez nous. »

Les Hongrois n'ont pas encore ét;é vraiment plongés; dans la vie militaire canadienne, mais les choses vont changer une fois à Borden. « Je ne peux parler que du personnel militaire que nous avons rencontré jusqu'ici à la BFC Saint-Jean pendant les activités; sociales et au cours des voyages à Trenton et à Kingston, constate le sgtm Farago. Tous ces gens ont ét;é très; aimables et nous nous sommes fait beaucoup d'amis. »

Hungarian NCOs hungry to learn


By Allison Delaney  
Master Sergeant Zsolt Farago is one of six Hungarian noncommissioned officers learning English in Saint-Jean, Que., before shadow-instructing on the next CF Junior Leadership Course.

Being one of the newest members in NATO, Hungary is interested in revamping its education system for enlisted members. In March MSgt Farago and his five colleagues will return to Hungary as instructors at the new non-commissioned officer (NCO) college in Szentendre.

The Hungarians head home for Christmas on December 16, but will return to Canada on January 4 to start their next challenge in Borden. Each Hungarian NCO will be paired up with a Canadian non-commissioned member (NCM).

"After our course in Borden we will take advantage of knowing both the Canadian and Hungarian systems, and adopt the ways we have learned into our Hungarian NCO education system," he said.

MSgt Farago said he and his colleagues are very happy and proud to have been chosen to come to Canada. "We are the first NCOs [from Hungary] to learn English in Canada and have a chance to do something new in the Hungarian NCO education system," he said.

While the Hungarians are enjoying their time abroad, they miss their homeland. Trips to Montréal;, Québec; City, Ottawa, Kingston and Trenton have helped ease the homesickness, but they are all looking forward to Christmas holidays.

"During the first two months we enjoyed the fact that everything was new for us-the people, the food, the whole country," said MSgt Farago. "It was exciting to explore them, but as time went on, we got more and more homesick."

The Hungarians have not seen much of Canadian military life yet, but that will change once they reach Borden. "I can only speak about the military personnel we have met so far at CFB Saint-Jean during social events and trips to Trenton and Kingston," he said. "All of them have been very helpful and friendly, so we've got a lot of new friends."

Échange; de sous-officiers entre le Canada et la Hongrie


par Allison Delaney

L'adjuc Guy B. Roy participe à un programme d'instruction en vertu duquel il passera six mois en Hongrie tandis que six sous-officiers hongrois séjourneront; au Canada.

Depuis la fin d'août;, l'adjuc Roy travaille comme adjoint au sein de la force de défense; hongroise, en vue d'aider les Hongrois à réam;énager; leur système; d'instruction des sous-officiers.

« L'adhésion; de la Hongrie à l'OTAN, au printemps 1999, impliquait certains changements », explique l'adjuc Roy de son domicile provisoire, à Szentendre. « Les Hongrois manifestent beaucoup d'intér;êt; pour la manière; dont les FC assurent le perfectionnement professionnel des militaires du rang. »

La Hongrie compte actuellement trois collèges; militaires réserv;és; aux sous-officiers, mais on est en voie de les fermer pour en ouvrir un seul, plus grand. Selon l'adjuc Roy, on vise à normaliser l'instruction.

Un autre changement en cours a trait à qui doit dispenser cette instruction. « Il y a 13 écoles; dans les FC, dont neuf à Borden, où le gros de l'instruction est assuré par des militaires du rang, souligne l'adjuc Roy. En Hongrie, le système; d'instruction reproduit le système; d'éducation; civil. Comme les gens croient qu'il faut être; diplôm;é pour enseigner, 90 pour 100 de l'instruction est dispensée; par des officiers. »

L'adjuc Roy ajoute que les Hongrois tentent de modifier

leur programme d'instruction de manière; à mieux refléter; ce que font les pays membres de l'OTAN. Les six sousofficiers qui suivent actuellement des cours d'anglais à Saint-Jean (Qc) seront ainsi jumelés; à des instructeurs du cours de chef subalterne qui se tiendra à Borden (Ont.) après; Noël.; Ils rentreront ensuite en Hongrie pour y devenir instructeurs.

La Hongrie compte toujours une force de conscrits composée; de jeunes hommes qui servent pendant neuf mois et suivent un entraînement; militaire sans toutefois avoir de grade. À la fin des neuf mois, les jeunes conscrits peuvent s'enrôler;, auquel cas ils deviennent sous-officiers et sont promus sergents au bout d'un an.

« Les Hongrois sont en train de modifier la structure de leurs grades, mais ils en auront pour un certain temps, poursuit l'adjuc Roy. Ils aiment bien notre structure et notre façon; de fonctionner. Ils vont aussi éliminer; la conscription : elle ne donne tout simplement pas les résultats; voulus et il reste peu de pays qui la pratiquent. »

L'adjuc Roy ajoute que l'instruction est le meilleur point

de départ; pour le réam;énagement; de toute une organisation. La Hongrie possède; actuellement un effectif de quelque 55 000 personnes, réparties; entre l'armée;, la force aérienne; et la garde frontalière;, mais elle ramènera; ce nombre à environ 45 000.

Bien qu'il lui arrive de trouver difficile de travailler dans un pays sans en parler la langue, l'adjuc Roy, un spécialiste; du génie; électrique; et mécanique;, estime que le Canada rend service à l'ancien pays communiste. « Je crois que notre contribution est positive. Nous les mettons sur la bonne voie. »

Image: Les soldats hongrois doivent suivre des cours d'anglais à Szentendre avant de pouvoir travailler avec l'OTAN ou l'ONU.CWO / adjuc Guy B. Roy

Canada, Hungary exchange non-coms


By Allison Delaney

Chief Warrant Officer Guy B. Roy is part of a training program that places him in Hungary for six months while six Hungarian non-commissioned officers (NCOs) visit Canada for the same amount of time.

Since the end of August CWO Roy has been working as an assistant to the Hungarian Defence Force. His job is to help the Hungarians restructure their training system for NCOs.

"Since joining NATO in the spring of 1999, Hungary has needed to make changes to its structure," said CWO Roy from his temporary home in Szentendre. "The Hungarians are very interested in how we [CF] do professional development for non-commissioned members [NCMs]."

There are three military colleges for NCOs in Hungary, but they are in the process of being shut down in favour of one larger one. CWO Roy said this is being done to standardize training.

A change in who does the teaching in Hungary is also being undertaken. "We have 9 schools in Borden and 13 in the entire CF mostly taught by NCMs," he said. "Here [in Hungary] the training system is linked to the civilian education system, where people think you need to have a degree in order to teach; ninety percent of instruction is done by officers."

CWO Roy said Hungarians are trying to change their teaching system to more accurately reflect the training done in NATO member countries. The six Hungarian NCOs presently undergoing English-language instruction in Saint- Jean, Que., will shadow-instruct on the next Canadian Junior Leadership Course in Borden, Ont., after Christmas. The Hungarians will then go home to become teachers.

Hungary still has a conscript defence force in which young men must serve nine months. During this time they undergo military training and hold no rank.

After the nine months of training is complete, they have the option to stay in. At this point conscripts become non-commissioned officers. A conscript after a year is promoted to the rank of sergeant.

"They [Hungarians] are in the process of changing their rank structure, but it's going to take some time," said CWO Roy. "They like our rank structure and how we are put together. They are going to do away with conscription. It just doesn't work. There aren't many countries that still do that."

CWO Roy said training is the best place to start when revamping an entire organization. Hungary has an army, air force and a border guard totalling about 55 000 members; that number will be going down to about 45 000 members, he said.

While he finds it challenging some days to work in a country where he does not speak the language, this Electrical Mechanical Engineering CWO feels Canada is making a difference to this former communist country. "I believe we are making a positive contribution," he said. "We are pointing them in the right direction."

Contracted Hungarian soldiers must take English classes in Szentendre before working with NATO or the UN.

Image: Capt Robert Zebegney, Slovak Republic / capt Robert Zebegney, République; tchèque;

De gauche à droite, les six Hongrois qui participent au programme d'échange; : le sgtm Zsolt Farago, le sgt Csaba Varga, le  
sgt é-m; Lajos Nemeth, le sgt Roland Rekasi, le  
sgt é-m; Peter Ujhazy et  
l'adj Lajos Patak.

The six Hungarians participating in the program include (from left) MSgt Zsolt Farago, Sgt Csaba Varga, SSgt Lajos Nemeth, Sgt Roland Rekasi, SSgt Peter Ujhazy and WO Lajos Patak.

Vol. 3, No. 46, 2000




Musique militaire à Rome


CF bands join jubilee at Vatican


par Aline Dubois

By Aline Dubois

La Musique centrale des Forces canadiennes et la Musique du R22eR ont participé au Jubilé des militaires et de la police cél;ébr;é au Vatican les 18 et 19 novembre derniers. Une expérience; inoubliable, comme le souligne le surveillant des Musiques des FC, le lcol Denis Bouchard.

« On dit de la musique qu'elle adoucit les moeurs. Mais elle rassemble aussi les peuples. Les formations militaires venues à Rome cél;ébrer; le Jubilé provenaient de partout. Et malgré les différences; culturelles et autres, c'est un esprit de fête; et de franche camaraderie qui régnait; pardessus tout. »

Les Musiques canadiennes ont joué à plusieurs reprises en formations restreintes ou complètes.; Le 18 novembre, un quintette de cuivres formé de membres de la Musique centrale et un quintette à vent composé de musiciens du R22eR se sont produits à la résidence; de l'ambassadeur canadien au Saint-Siège.; Le lendemain, sept musiciens de chacune des formations invitées; se sont regroupés; pour interpréter; un concert dans la salle Paul-VI de la cité du Vatican. Ce même; jour, une messe cél;ébr;ée; par le Saint-Père; sur la place Saint- Pierre, à Rome, a clôtur;é le Jubilé.; Les Musiques participantes ont pris part au grand défil;é.;

« Il pleuvait à boire debout. Mais les applaudissements de la foule qui scandait « Canada, Canada » sur notre passage nous ont réchauff;é le coeur. On se sentait appré-ci;és;, et à travers nous, c'est au Canada que l'on rendait hommage. Nous étions; fiers de représenter; notre pays », de conclure le lcol Bouchard, chef d'orchestre principal des prestations canadiennes. L'ont secondé à la baguette le maj Denis Bernier, directeur musical et commandant de la Musique du R22eR, et son homologue de la Musique centrale des FC, le maj Gaétan; Bouchard.

Plus tôt; cette année; et à la demande du Saint-Siège;, les nonces apostoliques avaient convié les musiques militaires du monde à participer au Grand Jubilé du millénaire.;

Des formations belges, chiliennes, fran- çaises;, allemandes, polonaises, néerlandaises;, suisses, espagnoles, américaines; et, bien sûr;, italiennes avaient également; accepté l'invitation.

Image: C é line BouchardDéfil;é dans les rues de Rome des formations musicales canadiennes à l'occasion du Jubilé des militaires et de la police. À l'arrière-plan;, le Vatican.

The Central Band of the Canadian Forces and the Royal 22e Régiment; Band participated in The Jubilee of the Military and the Police, held November 18-19 at the Vatican.

LCol Denis Bouchard, supervisor of the bands, says the experience was unforget- table. "They say that music soothes the savage breast; but it also brings people together," he said. "The military musicians celebrating the jubilee came from every corner of the world. And despite all the cultural and other differences, it was the

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spirit of the occasion and honest camaraderie that prevailed."

The CF bands played on a several occasions with either full or partial rosters. A brass quintet made up of Central Band members and a wind quintet comprising musicians from R22eR performed at the residence of the Canadian ambassador to the Holy See. Also, seven musicians from each of the invited groups assembled to play a concert in Paul VI Hall at Vatican City. Later that day, a mass celebrated by the Holy Father in St. Peter's Square brought the jubilee to a close.

The participating bands took part in the grand parade. "The rain was torrential," said LCol Bouchard, the senior bandleader for the Canadian performances. "But the crowd, clapping and chanting "Canada, Canada" as we passed, warmed our hearts. We felt appreciated. By applauding us they were paying homage to Canada. We were proud to represent our country."

LCol Bouchard was assisted on the rostrum by Major Denis Bernier, the musical director and CO of the R22eR band, and his counterpart in the CF Central Band, Maj Gaétan; Bouchard.

Earlier this year, at the request of the Holy See, the papal nuncio invited the world's military bands to participate in this event, part of the Great Jubilee of the Year 2000. Other participating nations were: Belgium, Chile, France, Germany, Italy, the Netherlands, Poland, Spain, Switzerland and the United States.

CF musicians march down a street in front of the Vatican during The Jubilee of the Military and the Police.

December 21 1943: In and around the Italian city of Ortona, the Canadian Division begins the fight to take the town from two battalions of German paratroopers. The 2nd Brigade, led by the under-strength Loyal Edmonton Regiment and the Three Rivers Regiment in Sherman tanks, fights through the town until nightfall on December 22, when they arrive at the entrance of the Piazza Municipale. A roadblock halts the tanks, but the ''Loyal Eddies" charge through a killing zone to clear surrounding buildings of German machine-gunners. The Seaforth Highlanders and the scouts and snipers of the Princess Patricia's Canadian Light Infantry enter the house-to-house struggle on December 22. Avoiding the streets, which the Germans have mined and booby- trapped, the Canadians move across courtyards, over balconies and, when necessary, right through house walls, a technique they call "mouse-holing." Meanwhile, the 1st Brigade closes in from the west, driving north to encircle the town. During the vicious, week-long struggle for Ortona, the Canadians maintain tight control, dividing the town into battalion, company and platoon objectives and driving the Germans before them. By December 28 Ortona is secured but not safe-the wrecked streets and buildings are full of enemy munitions.

December 23 1869: In the Red River Colony, Louis Riel issues a Declaration of the People of Rupert's Land and the Northwest, naming himself head of the provisional government.

December 25 1941: In Hong Kong, Japanese soldiers enter the ward at St. Stephen's Hospital where Honorary Captain James Barnett, the Anglican padre of the Royal Rifles of Canada, is saying the Christmas Eucharist. As Padre Barnett watches, 5 Japanese soldiers bayonet 15 or 20 patients in their beds; elsewhere in the huge hospital, other Japanese are murdering patients-about 70 altogether, including several Canadians-and raping female staff. The killing stops in the late afternoon, when a Japanese officer arrives with news of the formal capitulation of Hong Kong's garrison commander. During the next few days, the Japanese Imperial Army interns more than 11 000 British and Canadian prisoners of war.

21 décembre; 1943. Dans la ville italienne d'Ortona et ses environs, la 1re Division canadienne engage le combat pour reprendre la ville occupée; par deux bataillons de parachutistes allemands. La 2e Brigade, dirigée; par le Loyal Edmonton Regiment, en manque d'effectifs, et le Three Rivers Regiment en chars Sherman, livre bataille un peu partout dans la ville jusqu'au soir du 22 décembre;, et finit par atteindre la Piazza Municipale. Un blocage routier attend les chars, mais les « Loyal Eddies » foncent dans une zone d'abattage pour éliminer; les mitrailleurs allemands cachés; aux alentours. Les Seaforth Highlanders de même; que les éclaireurs; et tireurs d'élite; du Princess Patricia's Canadian Light Infantry livrent bataille le 22 décembre.; Évitant; les rues minées; et piég;ées;, les Canadiens se déplacent; d'une cour à l'autre, de balcon en balcon, et au besoin percent des « trous de souris » à travers murs et bâtiments.; Pendant ce temps, la 1re Brigade se rapproche pour encercler la ville. Tout au long de cette violente bataille d'une semaine pour reprendre Ortona, les Canadiens exercent un contrôle; serré pour amener les Allemands devant eux. Le 28 décembre;, Ortona est reprise, mais rues et bâtiments; détruits; sont pleins de munitions ennemies.

23 décembre; 1869. Dans la colonie de la rivière; Rouge, Louis Riel émet; la Déclaration; du peuple de la terre de Rupert et du territoire du Nord-Ouest et se désigne; lui-même; chef du gouvernement provisoire.

25 décembre; 1941. À Hong Kong, des soldats japonais pén;ètrent; dans l'infirmerie de l'hôpital; St. Stephen, où le capt honoraire James Barnett, aumônier; anglican du Royal Canadian Rifles, cél;èbre; l'Eucharistie de Noël.; Sous les yeux de l'aumônier;, cinq soldats japonais passent de 15 à 20 patients alités; à la baïonnette.; Ailleurs dans ce grand hôpital;, d'autres Japonais massacrent des patients - environ 70 au total, notamment plusieurs Canadiens - et violent le personnel féminin.; La tuerie prend fin tard en après-midi;, lorsqu'un officier japonais se présente; et annonce la capitulation officielle du commandant de la garnison de Hong Kong. Dans les jours qui suivent, l'Armée; impériale; du Japon interne plus de 11 000 prison- niers de guerre britanniques et canadiens.

Image

DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


FOURTH


By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA

/ Réviseure; (anglais), DGAP

Image: December 26, 1943: The sole survivor of 24 men buried by the collapse of a booby- trapped house in Ortona, Italy, Lance-Corporal Roy Boyd of the Loyal Edmonton Regiment is rescued after being buried for three days. National Archives of Canada / Archives nationales du Canada

26 décembre; 1943. Seul survivant parmi les 24 hommes enterrés; par l'effondrement d'une maison piég;ée; à Ortona, en Italie, le cpl suppléant; Roy Boyd, du Loyal Edmonton Regiment, est sauvé après; avoir passé trois jours sous les décombres.;


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Image: A brand-new, UN-white LAVIII armoured vehicle is ready to be loaded onto Juris Avots December 8 at Saint John, N.B. The Cypriot-registered cargo ship is transporting 225 vehicles and trailers from CFB Gagetown to Massawa, Eritrea, as part of the Canadian contingent of the peacekeeping mission in Eritrea and Ethiopia.Cpl / cpl Mike Barley, Gagetown

Si vous buvez, ne prenez pas le volant


par Mitch Gillett

Il fut un temps où lorsqu'ils entendaient Opération; Nez rouge à la BFC Valcartier, près; de Québec;, les soldats sortaient leurs longs sous-vêtements; en prévision; d'une autre aventure de combat par temps très; froid.

De cet exercice annuel de mi-février; est né un organisme qui veut rejoindre le statut international de Rudoph, le populaire petit renne au nez rouge. Aujourd'hui, en effet, des centaines de militaires des FC d'un peu partout au Canada donnent gén;éreusement; de leur temps pour combattre le fléau; de l'alcool au volant.

Tout a commencé en 1984, quand les FC ont accordé à un professeur d'université préoccup;é par les statistiques sur la conduite en état; d'ébri;ét;é la permission d'utiliser le nom de l'exercice annuel. Ce professeur avait entendu dire que 50 pour 100 de tous les accidents de la route mortels étaient; attribuables à l'alcool au volant.

Jean-Marie de Koninck avait également; appris que la plupart des gens qui prennent un verre jusque tard dans la nuit n'aiment pas laisser leur véhicule; derrière; eux. Il a demandé à environ 25 nageurs de l'équipe; de natation de l'Université Laval, qu'il entraînait; dans ses temps libres, d'offrir un service de chauffeur bén;évole; aux automobilistes, du 15 au 23 décembre.; Avec l'aide du service de police de Québec; et d'une station de radio locale, le nombre de bén;évoles; est passé de 25 à 200 et en moins de dix jours, ils ont ramené 463 automobilistes chez eux.

L'Opération; Nez rouge s'est d'abord déroul;ée; surtout au Québec;, mais en 1989, elle a commencé à Halifax et s'est depuis étendue; à l'ensemble du pays.

Elle a même; traversé l'Atlantique pour se rendre en Suisse, où quatre Opérations; Nez rouge ont ét;é menées; en 1991.

Le concept d'Opération; Nez rouge est simple. Une équipe; comprend trois personnes : deux s'occupent du propriétaire; de la voiture - l'une conduit l'auto et l'autre lui sert de navigateur - tandis que la troisième; sert d'escorte et suit cette voiture dans sa propre auto. Une fois le client à destination, le chauffeur bén;évole; et le navigateur rejoignent l'escorte et retournent au quartier gén;éral; ou appellent le répartiteur; pour savoir où aller chercher le client suivant.

Le service est gratuit mais on accepte les dons, qui sont entièrement; remis à des groupes de la région; venant en aide aux jeunes.

One for the road


By Mitch Gillett

Aside from Rudolph the famous red-nosed reindeer, only soldiers posted to CFB Valcartier who participated in an annual mid-February exercise called Operation Red Nose can claim similar international status.

At one time, the mention of Operation Red Nose had soldiers stationed in Valcartier, near Québec; City, packing long underwear in advance of another cold-weather warfighting adventure. Now it has hundreds of CF members across Canada volunteering their free time to combat impaired driving.

It all started in the mid-1980s when the CF granted a university professor concerned about drinking and driving statistics permission to use the name of the annual exercise. He had heard drinking and driving caused 50 percent of all fatal traffic accidents.

In 1984 Professor Jean-Marie De Koninck had also learned most late-night drinkers did not feel comfortable leaving their vehicle behind after having a few drinks. He got about 25 swimmers from Laval University's swim team, where he coached in his spare time, to offer free volunteer-driver service to motorists from December 15 to 23. With the support of Québec; City Police and a local radio station, the 25 volunteers grew to 200, and in less than 10 days, they drove 463 motorists.

For years, Operation Red Nose operated mainly in Quebec. In 1989, it started in Halifax, and has since worked its way across the country.

It has also crossed the Atlantic Ocean to Switzerland, where there were four Operation Red Noses in 1991.

Operation Red Nose's concept is simple: working in three-person teams, two Operation Red Nose volunteers work with the car owner-one drives the car and the other navigates-while an escort driver follows behind in their own vehicle. Once the client reaches their destination, the volunteer driver and navigator join the escort driver and return to the headquarters or call a dispatcher to find out where to pick up a new client.

The service is free, but donations are accepted and turned over in full to local groups supporting youth.

Un tout nouveau VBL III blanc onusien est prêt; à embarquer sur le Juris Avots, le 8 décembre;, à Saint-Jean (N.B.). Le cargo battant pavillon chypriote transporte 225 véhicules; et remorques de la BFC Gagetown à Massawa, en Érythr;ée.; Il fait partie du contingent canadien de la mission de maintien de la paix en Érythr;ée; et en Éthiopie.;

School to be named in memory of MCpl Isfeld


Une école; nommée; à la mémoire; du cplc Isfeld


By Buzz Bourdon

A new school near CFB Comox is to be named after Master Corporal Mark Isfeld, a combat engineer who lost his life to a land mine in June 1994 while serving on a peacekeeping mission in Croatia.

The Comox Valley Board of School Trustees announced last month that a new secondary school, currently located in the Courtenay Junior facility, will be named the Mark R. Isfeld Secondary School. The school is scheduled to open in the fall of 2001.

MCpl Isfeld, a field engineer by trade who joined the CF in 1986, was serving with 1 Combat Engineer Regiment near Kakma. He died when a mine exploded during a mine clearance operation. The mine clearance specialist, who was 31, was on his third peacekeeping mission in two and a half years.

The soldier was well known to local Croatian children because he gave them what have become known as Izzy dolls, made of scrap wool in Canada by his mother, Carol.

Since the death of her son, Mrs. Isfeld has been active in the global campaign to eliminate land mines. And as the Royal Canadian Legion's National Silver (Memorial) Cross Mother this year, Mrs. Isfeld placed a wreath at the National War Memorial in Ottawa on Remembrance Day on behalf of all mothers who have lost children in the military service of the nation.

Her husband, Brian, said their family is honoured the school will be named after Mark. "It was a tragic situation, but it is also a historic situation: Mark has become a part of the history of Canada," he said. "We hope that the spirit and ideals of youth that were so clear to Mark are present for all the students that will attend there."

par Buzz Bourdon

Une nouvelle école; de la BFC Comox portera le nom du cplc Mark Isfeld, un sapeur qui a perdu la vie en juin 1994 en servant dans une mission de maintien de la paix en Croatie.

Les commissaires du Comox Valley Board of School ont annoncé le mois dernier qu'une nouvelle école; secondaire, actuellement située; dans l'établissement; de premier cycle de Courtenay, sera nommée; Mark R. Isfeld Secondary School. L'ouverture de l'école; est prévue; pour l'automne 2001.

Le cplc Isfeld, un sapeur de métier; qui s'était; enrôl;é dans les FC en 1986, servait au sein du 1er Régiment; du génie; près; de Kakma. Il est déc;éd;é quand une mine a explosé pendant une opération; de déminage.; Ce spécialiste; du déminage;, âg;é de 31 ans, en était; à sa troisième; mission de maintien de la paix en deux ans et demi.

Il était; bien connu des enfants croates de la région; parce qu'il leur donnait des poupées;, surnommées; maintenant « poupées; Izzy », que sa mère;, Carol, confectionnait au Canada avec des restants de laine.

Depuis la mort de son fils, Mme Isfeld milite activement pour la campagne mondiale d'élimination; des mines terrestres. En tant que Mère; de la croix d'argent (Croix du souvenir) de la Légion; royale canadienne pour 2000, Mme Isfeld a dépos;é une gerbe de fleurs au pied du Monument commémoratif; de guerre du Canada, à Ottawa, lors du jour du Souvenir, au nom de toutes les mères; qui ont perdu un enfant en service pour le pays.

Son mari, Brian, a souligné que c'était; un honneur pour la famille que l'école; porte le nom de leur fils. « C'est un év;énement; tragique et en même; temps historique. Mark fait maintenant partie de l'histoire du Canada. Nous espérons; que l'esprit et les idéaux; que nourrissait Mark pour les jeunes seront transmis à tous les él;èves; qui fréquenteront; cette école.; »

Vol. 3, No. 46, 2000



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