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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Generals get summary trial training


Formation pour les procès; sommaires


By Aline Dubois

CF Generals convened at the Asticou Centre in Hull, Que., on February 2 and 3 to attend a session on their role in summary trials.

"It was the first time in Canada's history that the CF Generals were all together to receive training on the military justice system," said Major Jean-Marie Dugas, interim legal director in the Judge Advocate General's (JAG) office. "This exercise was the last stage of the training program for CF  
Generals, which was inspired by the  
document Military Justice at the  
Summary Trial Level,
as a result of the  
recommendations made by the  
Dickson Special Advisory Unit."

In accordance with the National  
Defence Act,
when an infraction is committed that constitutes an offence according to the Code of Service Discipline, therefore requiring a summary trial, CF Generals act as superior commanders; or when a commander presided over the original summary trial, they are officers in authority when reviewing the case.

This system, implemented last  
September, establishes a clear separation between the chain of command and decisions related to the proceedings. The rulings are therefore protected from outside influences.

Generals and other senior officers are not the only ones to undergo training related to their duties: all CF soldiers will be made aware of the new Code of Service Discipline whether they are based in Canada or deployed abroad.

Other countries have shown interest in the National Defence Act and updated Code of Service Discipline, which emphasize the integrity and impartiality of the military justice system.

Image: DuboisPhoto: Aline

par Aline Dubois

En vertu de la Loi sur la défense; nationale, lorsqu'une infraction au Code de discipline militaire est commise et qu'un procès; sommaire s'impose, les gén;éraux; des FC peuvent agir à titre de commandant supérieur;, ou comme autorité de révision; des procès; sommaires présid;és; par un commandant.

Les gén;éraux; des FC se sont donc rendus au centre Asticou, à Hull, les 2 et 3 février; dernier, pour suivre une séance; de formation sur leur rôle; au sein du procès; sommaire.

« C'est la première; fois dans l'histoire canadienne que tous les gén;éraux; des FC sont réunis; pour de la formation sur le système; de justice militaire. Cet exercice s'incorpore au programme de formation imposé aux officiers des FC. Il s'inspire du document Justice militaire au procès; sommaire, produit à la suite des recommandations du Groupe consultatif spécial; sur la justice militaire et les services d'enquête; de la police militaire (Rapport Dickson) », affirme le maj Jean-Marie Dugas, directeur juridique par intérim; au cabinet du juge-avocat gén;éral; (JAG).

Les gén;éraux; et les militaires de haut rang ne sont pas les seuls à avoir suivi la formation inhérente; à leur fonction. Tous les militaires canadiens sont ou seront sensibilisés; au nouveau Code de discipline militaire, qu'ils soient basés; au Canada ou déploy;és; à l'étranger.;

Plusieurs pays se sont montrés; intéress;és; par la Loi sur la défense; nationale et la modernisation du Code de discipline militaire, qui mettent en valeur l'intégrit;é et l'impartialité du système; de justice militaire, ainsi que notre programme de formation. Le système; mis en place en septembre dernier établit; une séparation; plus nette entre la chaîne; de commandement et les décisions; relatives aux mesures disciplinaires. Ainsi, les décisions; sont à l'abri d'influences externes.

JAG BGen Jerry Pitzul (left) awarded superior commander certificates to senior officers- including CDS Gen Maurice Baril-upon completion of a military justice course. À la suite d'une séance; de formation sur le système; de justice militaire, le juge-avocat gén;éral; le bgén; Jerry Pitzul, à gauche, a remis des certificats de commandant supérieur; aux militaires de haut rang. Ici, le CEMD, le gén; Maurice Baril, à droite, reçoit; son certificat.

PMQ rent increase coming


Augmentation du loyer des LF


By Mitch Gillett

par Mitch Gillett

CF members living in married quarters can expect another fee adjustment as the CF Housing Agency (CFHA) grapples with the ebb and flow of the Canadian rental market.

"We would love not to do any of this and we would love to keep the rent as low as possible, because we want to be the good guys too. I don't think at any case across this country that anybody will see rents triple, and I doubt if it will even double in the next couple of years," said Lieutenant-Colonel Tad Findley, Special Assistant to the Chief Executive Officer of the CFHA.

"The Treasury Board phasing policy says 'the maximum [monthly increase] you can charge is $75 for someone earning less than $35 000 each year and $100 for someone earning more than $35 000 a year.' "

However, a short-term phasing deal negotiated in 1996 will apply to this year's rent increases to keep any adjustment below $50. The special short-term arrangement endorsed in 1996 by Treasury Board (TB) and DND keeps monthly rent increases capped at about $20, $30 or $35, depending on the occupant's annual salary.

If a CF member moves out and a new tenant moves in, CFHA can increase the unit's rent up to $50 a month and then the cap will apply. Since the military does not need to offer housing to a CF member without dependants or to a civilian base employee, the cap does not apply.

If the short-term deal ends, the TB's normal phasing protection will kick in to shield military tenants from huge rent hikes. Take, for example, a CF member who earns more than $35 000 each year, lives in an area where the shelter value is expected to increase and pays $400 a month in rent. Based on Canada Mortgage and Housing Corporation's assessment of the area, the shelter's value is pegged at $600 a month. Under TB guidelines the maximum allowable monthly increase CFHA can apply to the unit is $100, not the full amount.

The move to market-value pricing started when TB policy called on the federal government to rely on the private sector for housing. The new rules also required occupants in former Crown-owned row houses, duplexes and single units to pay the same amount of rent as for a similar dwelling off the base.

In turn, the CFHA was set up October 1995. By April 1997 it had assumed control of 19 000 dwellings either owned or leased by the Crown. In accord with TB rules, shelter values are set by CMHC based on an area's rental rates.

Meantime, CF officials, in concert with the CFHA and other stakeholders, are now reviewing the military's housing policy to come up with a standard policy that will apply to all CF members, married and single, anywhere in the country.

L'Agence de logement des FC (ALFC) est

aux prises avec les flux et reflux du marché locatif canadien, et les membres des FC vivant en logements familiaux peuvent s'attendre à une autre hausse de loyer.

« Ce serait bien de ne pas avoir à le faire et de maintenir les loyers le plus bas possible. On ne nous prendrait pas pour le grand méchant; loup. Par contre, je pense que personne, en aucune circonstance dans le pays, ne verra les loyers tripler ni même; doubler au cours des prochaines années; », déclare; le lcol Tad Findley, adjoint spécial; au chef de la direction de l'AFLC.

« La politique progressive du Conseil du  
Trésor; stipule que le maximum [augmentation par mois] que l'on peut demander est de 75 $ pour quelqu'un dont le revenu annuel est inférieur; à 35 000 $ et de 100 $ s'il est supérieur; à 35 000 $. »

Toutefois, un accord progressif à court terme négoci;é en 1996 s'appliquera aux augmentations de loyer de cette année; pour que les rajustements ne dépassent; pas 50 $. L'entente spéciale; à court terme con- clue en 1996 entre le Conseil du Trésor; (CT) et le MDN limite les augmentations de loyer à environ 20 $, 30 $ ou 35 $ par mois, selon le revenu annuel de l'occupant.

Si un membre des FC dém;énage; et qu'un nouveau locataire emménage;, l'ALFC peut augmenter le loyer de 50 $ par

mois, et la limite s'applique. Comme l'armée; n'a pas l'obligation d'offrir le logement à un membre des FC sans personne à charge ou à un employé civil de la base, la limite ne s'applique pas dans ces cas.

Si l'entente à court terme prend fin, la protection progressive habituelle du CT serait appliquée; pour protéger; les locataires militaires d'une forte hausse de loyer. Prenons l'exemple d'un membre des FC qui gagne plus de 35 000 $ par année;, qui habite dans un secteur où la valeur du logement est censée; monter et qui paie 400 $ de loyer par mois. En se fondant sur l'évaluation; de la Sociét;é canadienne d'hypothèques; et de logement, la valeur du logement est fixée; à 600 $ par mois. Conformément; aux lignes directrices du CT, l'ALFC ne peut relever le loyer que de 100 $.

L'établissement; du loyer en fonction de

la valeur marchande a commencé quand la politique du CT a demandé au gouvernement féd;éral; de s'en remettre au secteur privé pour le logement. Les nouvelles règles; exigent aussi des occupants de maisons en rangées;, de résidences; individuelles et de duplex appartenant anciennement à l'État; de payer le même; loyer que pour une habitation semblable à l'extérieur; de la base.

L'AFLC a ét;é fondée; en octobre 1995.

En avril 1997, elle héritait; de la gestion de 19 000 résidences; que possédait; ou louait l'État.; Conformément; aux règlements; du CT, la valeur des logements est fixée; par la SCHL d'après; le taux de location du secteur.

Entre-temps, les responsables des FC, de concert avec l'ALFC et d'autres intervenants, révisent; la politique de logement des militaires pour élaborer; une politique uniforme qui s'appliquera à tous les membres des FC du pays, qu'ils vivent en couple ou pas.

Vol. 3, No. 5, 2000




A balancing act

Une question d'équilibre;


Lieutenant-General Raymond Henault comments on the current tempo of operations and the people of the Canadian Forces. LGen Henault is the Deputy Chief of the Defence Staff.


Observations du lieutenant-gén;éral; Raymond Henault, sous-chef d'état-; major de la Défense;, à propos du rythme des opérations; et de ses incidences sur les Forces canadiennes.


demandant aux Forces canadiennes de diminuer le nombre de militaires affectés; dans les Balkans en collaboration avec les pays membres de l'OTAN.

Donc, pour revenir à la question, la réponse; est oui. Les Forces sont effectivement exploitées; au maximum de leurs possibilités.; Mais nous révisons; la situation chaque fois qu'on nous demande d'entreprendre une nouvelle mission. Si nous estimons pouvoir la remplir, nous le signalons au gouvernement tout en lui précisant; les incidences connexes, tant humaines que financières.;

Le rythme accél;ér;é des opérations; met-il en péril; la vie des membres des Forces canadiennes?

Nous ne voulons certes pas dépasser; les limites de nos possibilités;, ce qui mettrait en danger le personnel déploy;é sur le terrain. Quelle que soit leur mission, nous visons à leur fournir le meilleur matériel;, à mettre en place les meilleurs systèmes; de surveillance, les meilleures structures de commandement et de contrôle;, de même; que les meilleurs accords ou concepts opérationnels;, de manière; à ne pas les mettre en situation critique. Au bout du compte, tout se ramène; aux troupes.

Quels sont les facteurs déterminants; les plus importants qui influent sur le niveau de rendement actuel?

Il y en a quatre : l'effectif, le matériel;, la formation et le leadership.

L'effectif - les membres de la Force réguli;ère;, de la Force de réserve; et les civils - est certes le plus important. À mon avis, notre effectif comprend des gens extrêmement; doués; et nous voulons les garder. Nous voulons veiller à leur perfectionnement et à en faire les chefs de l'avenir. En bref, nous devons pouvoir compter sur notre personnel, car il tient le plus déterminant; de tous les rôles.;

Par conséquent;, il nous revient de lui inculquer les connaissances nécessaires; et de le former convenablement, car l'évolution; de la technologie et la complexité de l'environnement opérationnel; entraînent;

un impératif; d'éducation;, de formation et de compétence; technique sans préc;édent.;

Les membres des Forces font de leur mieux et témoignent; d'un dévouement; admirable. Ils font de nombreux sacrifices et sont prêts; à faire ce qu'il faut pour accomplir efficacement leur travail.

En somme, assurer la qualité de la vie de notre effectif se ramène; à bien le traiter. On doit lui fournir les outils nécessaires; et réduire; au maximum le danger de blessure ou de mort au combat. Chaque militaire doit également; avoir la certitude qu'on s'occupe de sa famille au pays lorsqu'il est en affectation et qu'on en prendra soin s'il est blessé ou tué dans l'exercice de ses fonctions.

Nos membres sont notre plus précieuse; ressource. Il importe donc de leur fournir le matériel;, la formation et le soutien dont ils ont besoin pour accomplir leurs missions dans des situations totalement imprévues;, et ce, pendant des périodes; allant jusqu'à six mois, et même; plus dans certains cas. Extrait de : « Réalisation; de la Défense; et perspectives 2000 : La contribution de la défense; au Canada et à l'étranger; ».;

The expertise of the Canadian Forces is in high demand worldwide. How is the Forces adjusting to the demand?

If we have a large number of missions, as we currently do, we try to assess where we might have to reduce the pressure in one place to satisfy the requirements in others, and to balance the effort. With our front- line troops we're capable of responding to a number of requirements. Where we are finding the largest stretch is not necessarily with front-line soldiers, sailors and Air Force personnel, but rather in the special- ist trades like Engineers, Doctors, Dentists, Logistics and Communications.

Maintaining a capable, combat-capable, multipurpose Force has always been our objective. I think we are adhering to that objective very well; but when you have multiple operations, multiple requirements to support those operations, and national command and support elements for each one, you have to do a balancing act. We

command and control structures, and operational agreements or concepts, so that no matter what the mission is, it doesn't put them in a compromising position. It all comes down to people in the long term.

What are the most significant factors that affect current levels of performance?

The four elements are people, equipment, training and leadership.

People are undoubtedly the first factor-- the people of the Canadian Forces, Regular and Reserve, and civilians. We've got some brilliant people in the Canadian Forces, in my view. We want to hang onto them, and we want to nurture them and make them the leaders of tomorrow. We have to count on our people; they make the difference.

We also need to educate and train them properly. This is key because as we continue to move forward into this knowledge- based world, our people need to be well educated--they need to have the training and the technical expertise to operate in a

Les Forces canadiennes sont sollicitées; partout dans le monde en raison de leurs connaissances spécialis;ées.; Comment procèdent-elles; pour répondre; aux demandes?

Lorsque nous participons à de nombreuses missions, comme c'est le cas actuellement, nous évaluons; la situation pour voir s'il y a lieu de réduire; la pression dans une région; pour satisfaire les exigences ailleurs afin

Image: LGen / lgén; Henault
Image: Membres des FC en patrouille en Bosnie. De nos jours, les opérations; sont plus complexes et exigentes.

CF members on patrol in Bosnia. Operations today are more complex and demanding.

can reach a point where it becomes difficult to support multiple operations. At that stage we identify where the government can consider reducing further commitments, as the Prime Minister did in ordering the CF to rationalize its commitment in the Balkans in co-operation with our NATO allies.

Yes, we're busy, and yes, we're stretched; but we always do the calculation when we get a new mission to determine if we can do it properly. And if we can, then we'll recommend participation to the government with all of the implications: resource, financial and human.

Is the high operational tempo placing Canadian Forces personnel at risk?

We don't want to ever overextend ourselves to the point where we are creating an unsafe condition for our people in the field. We certainly try to give them the best of equipment, oversight mechanisms,

more complex environment.

Our people do the best they possibly can, with really high levels of dedication. They make considerable sacrifices, and they're ready to do whatever has to be done to do their job efficiently and effectively.

What quality of life really comes down to is treating your people well. They must have the tools they need to do their jobs and minimize risk to life and limb in combat situations. They also need to know that their families at home are being supported when they're deployed, and that they will be taken care of if they are injured or killed on duty.

People really are our most important resource. We have to do everything we can to ensure they have the equipment, training and support they need so that they can go off and do these missions in unexpected parts of the world for as much as six months at a time, and in some cases, beyond that. This article is reprinted from a recently published booklet, "Defence Performance and Outlook 2000: Making a difference at home and abroad."

d'équilibrer; nos efforts. Pour ce qui est des troupes de première; ligne, nous sommes en mesure de satisfaire un certain nombre de demandes. Pour les soldats de première; ligne et les membres de la Marine et de l'Aviation, par exemple, il ne semble pas y avoir de problèmes.; Mais pour ce qui est des spécialistes;, notamment les ingénieurs;, les médecins;, les dentistes, les logisticiens et le personnel des communications, la réalit;é est bien différente.;

Nous avons toujours visé à maintenir des Forces polyvalentes et aptes au combat. Je crois que nous avons très; bien réussi; jusqu'à présent.; Mais la participation à des opérations; multiples, chacune ayant à son tour des exigences multiples, un commandement national et ses propres él;éments; de soutien, nous oblige à rechercher l'équilibre.; Le moment viendra où nous aurons du mal à appuyer des opérations; multiples. Nous devrons alors examiner la situation d'ensemble pour voir où le gouvernement pourrait limiter des engagements addition- nels, comme l'a fait le Premier ministre en


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



From ballistics to book selling


De l'armée; aux affaires


By Aline Dubois

Former soldier Larry Stevenson credits the CF for helping him become Canada's biggest bookseller. The company he founded, Chapters, boasts 312 stores across the country and a successful Internet service, Chapters Online.

"The major military principles are also valid in the business world," he responds when asked if his military training has had any impact on his professional success. "In the army you learn that, as an officer, you must be capable of doing whatever you ask of others. You also learn that the principles of strategy area good strategy are fundamental."

Mr. Stevenson earned a degree in economics and business at Royal Military College. He then served as an infantry officer in 3PPCLI, and then with the Canadian  
Airborne Regiment in Petawawa.

Up to this point, Mr. Stevenson had responded confidently in French to questions from The Maple Leaf. But the mention of Petawawa dredged up bad memories of the Somalia affair. He asked permission to continue the inter- view in his native tongue, because it still troubles him.

"I met with veterans who were so proud of what they had accomplished during the two world wars," he said. "When the Somalia scandal broke, I saw tears spill down their faces, as if one of their grandsons had done something horrible and brought shame down on the entire family."

In 1982, Mr. Stevenson he was the aide-de-camp to the General responsible for the Airborne Special Forces. It was Mr. Stevenson's job to collect objects destined for the future Base and Airborne Petawawa Museum.

His deployment to Cyprus earned him two medals from the United Nations. While there, he had an opportunity to assess the extent of the hatred that can separate two peoples shaped by generations of hostility-a reality that saddens him.

Never lacking in projects, Mr. Stevenson dreams of teaching and extending his influence internationally from within the UN or the World Bank. In the meantime, when invited, he enjoys giving leadership and ethics lectures at RMC.

Image: Larry Stevenson, fondateur de Chapters et ancien militaire.Photo: Chapters

par Aline Dubois

L'ancien militaire Larry Stevenson reconnaît; que la formation acquise au sein des FC lui

a permis de devenir le plus important vendeur de livres du Canada. Chapters, la compagnie qu'il a fondée;, possède; 312 magasins répartis; à travers le Canada et un service Internet florissant, Chapters Online.

« Les grands principes militaires sont valables dans le milieu des affaires », répondil; quand on lui demande si sa formation militaire a eu un impact sur sa réussite; professionnelle. « Dans l'armée;, on apprend que tout officier doit être; capable de faire ce qu'il exige des autres. On apprend aussi que les principes stratégiques; sont fondamentaux. »

M. Stevenson a obtenu un baccalauréat; en économie; et en commerce au CMR. Par la suite, on le retrouve officier d'infanterie auprès; du 3 PPCLI, à Victoria, puis capitaine au sein du Régiment; aéroport;é du Canada, à Petawawa.

Jusqu'ici, M. Stevenson a répondu; aux questions de La Feuille d'érable; dans un français; assuré.; Mais évoquer; Petawawa, c'est aussi réveiller; les vieux démons; de la Somalie. Il s'excuse de continuer l'entrevue dans sa langue maternelle, parce que ce drame le bouleverse encore :

« J'ai rencontré des anciens combattants tellement fiers de ce qu'ils avaient accompli pendant les deux guerres mondiales... Lorsque le scandale somalien a éclat;é, j'ai vu des larmes couler sur leur visage, comme si un de leur petit-fils avait fait quelque chose d'horrible qui jetait l'opprobre sur toute la famille. »

En 1982, M. Stevenson était; aide de camp du gén;éral; responsable des Forces spéciales; aéroport;ées.; Il devait recueillir des objets destinés; au futur Musée; de la base et des Forces aéroport;ées; de Petawawa.

Sa mission à Chypre lui a valu deux médailles; des Nations Unies.

Au cours de ce déploiement;, il a pu mesurer l'ampleur de la haine qui peut séparer; des

peuples issus de gén;érations; d'animosité, une réalit;é qui l'attriste.

Jamais à court de projets, M. Stevenson rêve; d'enseigner et d'étendre; son influence à l'international, au sein de l'ONU ou de la Banque mondiale. En attendant, il accepte les invitations du CMR à donner des ateliers sur l'éthique; et la gestion aux él;èvesofficiers.;

Founder of Chapters and former soldier Larry Stevenson.

Recruiting in the CF


Des recrues pour les Forces


By Aline Dubois

par Aline Dubois

The CF must recruit between 3000 and 4000 people annually to compensate for the normal attrition of personnel.

Canada's demographics have changed over the years, and the CF must seek recruits where they are located, said Captain Kevin Vivian, of the Directorate of Military Gender Integration and Employ  
ment Equity .

"If we want to have viable armed forces we must immediately begin recruiting young people from all Canadian demographic areas," he said. "The integration of women into the  
CF is not an issue of quotas, but a necessity.  
The Canadian population is composed of approximately 50% women. We must therefore draw more women into the CF.

"The native population, which includes the First Nations, Métis;, and Inuit, has one of the highest growth rates in Canada. In other words, it is among the natives that most of the young people are located."

Carefully targeted recruiting campaigns emphasizing diversity in the CF take this reality into account. In January 2000, a campaign focussed on pride was launched, aimed at native peoples. In March women, visible minorities, and people with disabilities will be the focus.

A previous campaign aimed at women emphasized teamwork and quality of life; this campaign will continue in the same vein. People with disabilities will be accepted within the CF if they can prove that they can accomplish the tasks specific to their function.

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Les FC devraient recruter entre 3000 et 4000 personnes annuellement pour pallier l'attrition normale.

La palette démographique; canadienne a changé au fil des ans et les FC doivent aller chercher les recrues là où elles sont, con- state le capf Kevin Vivian, Direction - Intégration; des genres et équit;é en matière; d'emploi  
(Militaires).

« Si nous voulons avoir des Forces viables, nous devons dès; aujourd'hui recruter des jeunes parmi toutes les couches démographiques; canadiennes, assure-t-il. L'intégration; des femmes au sein des  
FC n'est pas une question de quotas mais une nécessit;é.; La population canadienne compte environ 50 % de femmes, nous devons donc attirer plus de femmes au sein des FC. La population autochtone, qui comprend les Premières; nations, les Inuits et les Métis;, affiche un taux de croissance parmi les plus élev;és; au Canada. Autrement dit, c'est chez les Auto- chtones que l'on retrouve le plus de jeunes. »

Les campagnes de recrutement axées; sur la diversité des FC, soigneusement ciblées;, tiennent compte de cette réalit;é.; En janvier

2000, une campagne aux accents de fierté a ét;é lancée; à l'intention des peuples

autochtones. En mars, les femmes, les minorités; visibles et les personnes handicapées; seront sollicitées.;

La campagne à l'intention des femmes lancée; par le passé mettait l'accent sur le travail d'équipe; et la qualité de vie. La relance continuera dans cette veine. Les personnes handicapées; pour- ront

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également; être; acceptées; au sein des FC si elles prouvent qu'elles peu- vent accomplir les tâches; propres à leurs fonctions.

Vol. 3, No. 5, 2000




Image: Arts and mines By Capt Johanne BournivalUn concours de dessins en Bosnie par le capt Johanne Bournival
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Image: Photos: Sgt / sgt Ghislaine Olscamp
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On January 25 the staff of the Advanced Surgical Centre deployed in Coralici, Bosnia-Herzegovina, organized a party for 18 young Bosnians following an art contest that focussed on the dangers of land mines.

The contest took place after members of the 51st Field Squadron (Engineering) held consciousness-raising sessions for 300 young children in an elementary school in a region that is still heavily mined.

The winners, age 6 to 12, earned a visit to the centre, a ride in a Bison, a hearty meal and a gift. Capt Bournival is the PAO for the Operational Force in Bosnia-Herzegovina.

Le 25 janvier dernier, le personnel du Centre chirurgical avancé déploy;é à Coralici, en Bosnie-Herzégovine;, a organisé une fête; pour 18 jeunes Bosniaques à l'issue d'un concours de dessins sur les

conséquences; et les dangers liés; à la présence; des mines. Le concours faisait suite à des sessions de sensibilisation données; par des membres du 51e Escadron de campagne (génie;) à 300 jeunes d'une école; primaire de Coralici qui fait partie d'une région; encore très; minée.; Les gagnants, âg;és; de 6 à 12 ans, ont mérit;é une visite du Centre, une promenade en Bison, un copieux repas et un cadeau. Le capt Bournival est OAP pour la Force opérationnelle; en Bosnie-Herzégovine.;

1. A winning design.

Un dessin gagnant.

2. Operating room nurse Capt Collette Messier helps out an aspiring "surgeon".

Le capt Collette Messier, infirmière; de salle d'opération;, seconde un chirurgien en herbe.

3. Nurse Capt Patrick Chrétien; carefully examines MCpl Jules Bérub;é.;

Le capt Patrick Chrétien;, infirmier, examine attentivement le cplc Jules Bérub;é.;

4. A young Bosnian takes a ride in a Bison with Cpl Bédard; of 1 R22eR.

Un jeune Bosniaque se promène; en Bison avec le cpl Bédard;, 1 R22eR.

5. Operating room technician WO Marcel Collin helps a little girl adjust her helmet before a ride in a Bison.

L'adj Marcel Collin, technicien de salle

d'opération;, aide une fillette à ajuster son casque avant une promenade en Bison.

6. Operating room nurse Capt Louise Proulx prepares a young patient before a make- believe operation.

Le capt Louise Proulx, infirmière; en salle d'opération;, prépare; un jeune patient peu avant une opération; fictive.

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