Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


TALK


la parole


facultatifs, mais non les vestes! Un chandail n'est pas considér;é comme une veste et, si les vestes de CANEX doivent être; incluses dans le manuel sur la tenue, ne devraient-elles pas figurer avec les UDE?

Qu'arriverait-il si plus de super- viseurs prenaient le temps de surveiller leurs soldats au lieu de craindre les représailles; s'ils prennent des mesures pour faire respecter les règles; de la tenue? « Caporal, vos bottes laissent à désirer; [...] Vous feriez mieux de repasser cet uniforme, il a plus de plis qu'un Shar-pei. » Ces remarques ne sont pas en soi harcelantes ni avilissantes.

Préparer; un uniforme pour le porter chaque jour n'exige pas beaucoup de temps, mais le porter exige pas mal de fierté [traduction].

Cplc D.P. Tremblay

BFC Halifax

back


À VOUS


versations between soldiers who had recently been promoted to the rank of sergeant saying they had to buy pants that were not jeans.

We are rejecting our origins, our roots, to emulate the upper classes and to give ourselves an air of superiority over those who will eventually come after us. It's a question of morale[translation].

PO 2 Guy Bellavance

CFB Valcartier

Les jeans


Where is the pride?


combats, you would see a little "iron" symbol along with the NSN; but the current policy dictates that we are not to iron them. If the manufacturer recommends it, then I can't see why it's not enforced. But again, that's another means of striving to achieve the minimum standard we have set for ourselves.

Winter dress is another confusing issue. It seems that members can't grasp this simple rule: gloves are optional and jackets are not! A sweater is not classified as a jacket, and if Canex jackets are to be included in the dress manual, shouldn't they be an issue item along with the DEU?

What if more supervisors were to take the time and correctly supervise their troops instead of being afraid of what might happen to them if they try to take corrective measures for a blatant disregard of dress infractions? "Hey, Corporal, your boots need more work ... you'd better press that uniform because it has more wrinkles than a Shar-Pei," does not constitute harassment and is not demeaning.

It doesn't take that much time to prepare the uniform for daily wear, but it does take a fair amount of pride to wear it.

MCpl D.P. Tremblay

CFB Halifax

In any society, there are different social classes: rich and poor, managers and workers; and applying the same principle to us, soldiers, officers and enlisted members.

Enlisted members are the equivalent of the working class. When jeans first made their appearance, they were perceived as clothing for workers, for the poor. No one from the privileged classes would have been caught dead wearing such a garment; however, over the years, this product has become everyone's choice, and some lines are now sold at exorbitant prices.

Enlisted members are all part of the working class; but somewhere along the way, some of us began to copy the habits of "the rich."

In most mess halls, for warrant officers and sergeants, the wearing of jeans is prohibited. On many occasions, I have overheard con-

Dans une sociét;é, il y a différentes; classes sociales : les riches et les pauvres, les dirigeants et les ouvriers et, pour nous militaires, les officiers et les militaires du rang (MR). Le MR égale; donc l'ouvrier. Lorsque le pantalon en « jeans » a fait son apparition, il était; perçu; comme l'habit du travailleur, du pauvre. Aucune personne des milieux favorisés; n'aurait porté un tel vêtement.; Au fil des ans, le jeans est devenu le choix de tous... certains se vendant à des prix exorbitants.

Les MR font partie de la classe ouvrière.; Mais en cours de route, certains ont simplement copié les habitudes des « riches ».; Dans la plupart des mess des adjudants et sergents, vous remarquerez que le seul vêtement; qui n'est pas autorisé est le jeans. À maintes reprises, j'ai entendu des conversations de nouveaux promus au grade de sergent dire qu'ils avaient ét;é obligés; de laisser tomber le port du jeans. Nous renions nos origines, nos racines pour tenter d'égaler; la classe supérieure; et nous donner un air de supériorit;é vis-à-vis; ceux qui vont éventuellement; prendre la relève.;

M2 Guy Bellavance

BFC Valcartier

Over the past few years-in particular the years spent here in Halifax-I have seen what can only be a blatant lack of personal pride, from the wearing of uniforms to the "passing" of CF Express testing.

The Army has set standards for training and physical fitness with the battle fitness test-a ruck march for non-combatants-that can be quite gruelling to a first timer, and even to seasoned pros. But they do it. And they, as a troop, Battery, Regiment or Battalion, all pass it achieving more than the minimum standard.

The rest of the military world has to take the annual CF Express Test, the majority doing it once a year. It is far from being anything but tough. Members of the CF, both Regular and Reserve, panic about this time of the year gearing up for that test, worried about pumping off fewer than 19 push-ups and 19 sit-ups. Females require only 7 push-ups-now there's job equality. Even worse, some are getting anxiety attacks about the shuttle run.

If you are worried about the test, look in a mirror and lock eyes with that person. There's the one to blame.

Physical fitness goes hand in hand with mental fitness. Nobody is that busy at their job that they can't take an hour three days a week to work out. Supervisors should read CFAO 50-1 section 2 para 4. The system is not to blame, as the standards have been lowered to a point at which if you can't pass the absolute minimum, you don't have to worry because nothing will happen. You'll get three months to try to pass it again, and so on, and so on. That's pointless.

As for the uniform, is there a double standard in the dress manual? If there is, I haven't seen it. From the wearing of outer garments to the wearing of jewellery, the Base Chief/RSM here in Halifax says it's the responsibility of all members to correct any shortcomings observed.

Well, I will not correct a Lieutenant-Colonel or Commander or basically anyone of a higher rank than myself. Are we not supposed to lead by example- from haircuts (tapered) to neat uniforms, to rings on fingers?

If you were to look at the care and maintenance tag on your

Who wears the jeans?


Une question de fierté


Au cours des dernières; années; - spécialement; celles que j'ai passées; ici à Halifax - j'ai ét;é témoin; de ce qui ne peut être; qu'un manque flagrant de fierté personnelle, autant dans le port de l'uniforme que dans l'attitude face à l'évaluation; Express des FC.

L'Armée; a établi; des normes

d'entraînement; et de condition- nement physique avec le test d'aptitude physique au combat - une marche sac au dos pour les noncombattants - qui peut être; assez éreintant; pour les non-initiés;, même; pour les professionnels aguerris. Pourtant, ils le réussis-; sent. Tous, qu'ils appartiennent à une troupe, une batterie, un régiment; ou un bataillon, dépassent; la norme minimale.

Les autres militaires doivent passer l'évaluation; annuelle Express des FC, et la majorité s'y soumettent une fois l'an. Cette évaluation; est loin d'être; facile. Les membres de la Force réguli;ère; et de la Réserve; paniquent à l'approche de la période; de préparation; à l'évaluation;, s'inquiétant; de faire moins de 19 tractions sur les bras et 19 redressements assis. Les femmes ne doivent exécuter; que 7 tractions sur les bras - c'est ça; l'égalit;é en matière; d'emploi. Pire encore, certains angoissent à l'idée; de la course navette.

Si vous vous inquiétez; à propos de l'évaluation;, regardez-vous dans un miroir. Vous êtes; le seul responsable.

Le conditionnement physique va de pair avec le conditionnement mental. Personne n'est si occupé au travail qu'il ne peut consacrer une heure à l'entraînement; trois fois par semaine. Les superviseurs devraient lire l'OAFC 50-1, art. 2, para. 4. Le système; n'est pas à blâmer.; Les normes ont ét;é abaissées; à tel point que, même; si on ne réussit; pas le strict minimum, il n'y a pas lieu de s'inquiéter; parce que rien ne se passera. Vous aurez trois mois pour vous reprendre, puis encore trois mois, et ainsi de suite. C'est insensé.;

Quant à l'uniforme, y a-t-il deux poids deux mesures dans le manuel sur la tenue? Si oui, je ne l'ai pas vu. Le chef de la base/SMR ici, à Halifax, précise; qu'il revient aux membres de corriger les manquements, qu'il s'agisse du port de vêtements; extérieurs; ou de bijoux.

Je ne reprendrai pas un lieutenant-colonel ou un commandant, ou un militaire de grade supérieur; au mien! Ne sommesnous pas censés; donner l'exemple : coupe de cheveux (effilée;), uniforme soigné, pas de bagues aux doigts, et ainsi de suite?

Si vous jetez un coup d'oeil à l'étiquette; d'entretien sur vos uniformes, vous y verrez un petit symbole de fer à repasser avec le NIM. La politique actuelle ne nous oblige pourtant pas à les repasser. Si le fabricant le recommande, je ne vois pas pourquoi on ne l'exige pas. Ici encore, c'est un moyen de satisfaire à une norme minimale que nous nous sommes fixée.;

La question de la tenue d'hiver porte aussi à confusion. Les membres n'ont pourtant qu'à s'en tenir à cette simple règle; : les gants sont

Image

Capt Tim Puhlman, the Task Force Kosovo Dentist, and his Dental Assistant, Sgt Charles Langlois, treat James Morris, a policeman from Illinois serving with UN mission In Kosovo (UNMIK).

They set up temporary dental clinics in the villages surrounding the Canadian camp in Donja Koretica to give local residents basic dental care.

Le dentiste de la Force opérationnelle; du Kosovo le capt Tim Puhlman, et son assistant dentaire le sgt Charles Langlois soignent James Morris, un policier de l'Illinois qui fait partie de la mission des Nations Unies au Kosovo (UNMIK). Des cliniques temporaires ont ét;é mises sur pied afin de donner des soins dentaires de base aux habitants dans les villages aux environs du camp canadien à Donja Koretica.

Vol. 3, No. 5, 2000



This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)