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Canadian Forces College educates senior officers


Image: Guest of honour, Chief of the Defence Staff Gen Maurice Baril, participants and CFC staff at the Commencement Ceremony of the second serial of the Advanced Military Studies Course (AMSC) in September 1999.Photo: CFC

By LCol Jacques Lessard


TORONTO-The Advanced Military Studies Course (AMSC), a 15-week professional military education program aimed at the colonel rank and conducted once annually at Canadian Forces College, Toronto, completed its second serial in December 1999, graduating 17 students. The graduating class included an officer from the Army of the Republic of Korea and another from the United States Army. This year two students, Colonel Steve Gagnon and Brigadier- General Andy Leslie, were promoted during the course.

The AMSC focusses on joint and combined operations-which is to say those involving multinational naval, land and air forces under a single command structure. The aim is to prepare students for senior command and staff responsibilities at the operational level within both national and international headquarters and organizations. The complexities of co-ordinating single and multi-service capabilities, as well as dealing with competing national interests, were examined from the perspective of both war and peace support operations. Considerable time was also spent on the study of command, leadership and ethics.

The first serial of the AMSC ran from September to December 1998. This course and the National Securities Studies Course (NSSC), which is held annually from January until June, address a long-standing need for formal professional military education for senior officers-something that has been commented on in a variety of formal reports.

Five students from this year's class were selected to remain in Toronto for six months to attend the NSSC. This course constitutes the second element

Le gén; Maurice Baril, chef d'état-major; de la Défense;, invité d'honneur, les participants et le personnel d'état-major; du CFC, lors de la cér;émonie; soulignant le début; de la seconde série; du Cours supérieur; des études; militaires (CSEM), en septembre 1999.

A history


Un peu d'histoire


of the senior officer professional military education program. It is intended for officers who have or will shortly achieve flag or general rank. Course members study personnel and resource management, strategic issues, government processes and international organizations. The course also comprises a series of exercises at the strategic level, during which students complete strategic assessments. They also go through a force development process based on the result of their strategic assessment. Finally, they are given the chance to apply the force structure they developed during a contingency planning exercise set in a national disaster scenario.

With the addition of these two courses the CF achieves a self-contained system providing for professional military education at every level of the Officer Professional Development System. LCol Jacques Lessard is the AMSC co-ordinator.

The AMSC is part of a continuum of professional military education in which officers participate from the beginning of their careers through to the highest ranks and most senior appointments. Military education at this level has taken many forms over the past decades and has been the subject of a variety of studies. During the inter-war years Canadian officers attended the Imperial Defence College in London, England. During the Second World War, staff training was brought to Canada when the RCAF opened a college at the site of the current Canadian Forces College. At the same time the army operated a number of wartime courses which were reorganized after the war as the Canadian Army Staff College in Kingston, Ont. Around the same time, 1947, the National Defence College was created, also in Kingston, with students from the military, the public service and civilian industry. Although National Defence College met the perceived needs of the post-war world, its lack of emphasis on military subjects was noted during a number of studies over the years. The College was closed in the early 1990s.

Le CSEM fait partie d'un cycle d'études; militaires professionnelles auquelles participent les officiers depuis le début; de leur carrière; jusqu'aux grades et nominations les plus élev;és.; À ce niveau, l'instruction militaire a pris plusieurs formes dans les dernières; décennies.; Elle a aussi fait l'objet de diverses analyses. Pendant l'entredeux-guerres, les officiers canadiens fréquentaient; l'Imperial Defence College de Londres, en Angleterre.

Pendant la Deuxième; Guerre, c'est au Canada qu'était; formé le personnel, au collège; créé par l'ARC sur le site de l'actuel Collège; des Forces canadiennes. À cette époque;,

l'armée; donnait des cours qui ont ét;é remaniés; après; la

guerre et centralisés; pour former le Collège; d'état-major; de l'armée; canadienne, à Kingston (Ont.). En 1947, c'est au tour du Collège; de la Défense; nationale d'ouvrir ses portes, encore à Kingston, aux membres des milieux militaire, civil et de la fonction publique. Bien que le Collège; de la Défense; nationale réponde; aux besoins du monde de l'après-guerre;, on note, au fil des ans et des analyses, un

manque de concentration sur les sujets militaires. Au début; des années; 1990, le Collège; ferme ses portes.

Le Collège; des FC forme les officiers supérieurs;


par le lcol Jacques Lessard


TORONTO - La deuxième; série; du Cours supérieur; des études; militaires (CSEM), un programme d'études; militaires profession- nelles de 15 semaines destiné aux colonels et donné une fois l'an au Collège; des Forces canadiennes, à Toronto, s'est terminée; en décembre; 1999, avec la remise des diplômes; à 17 finissants. Parmi eux se trouvaient un officier de l'armée; de la République; de Corée; et un officier de l'armée; américaine.; Cette année;, deux étudiants;, le col Steve Gagnon et le bgén; Andy Leslie, ont ét;é promus pendant le cours.

Le CSEM est axé sur les opérations; conjointes et combinées;, c'est-à-dire; celles où les forces multinationales maritimes, terrestres et aériennes; sont sous

le commandement d'une seule entité.; Il vise à préparer; les étudiants; aux responsabilités; supérieures; de commandement et d'état-major; sur le plan opérationnel;, dans les quartiers gén;éraux; et les organismes tant nationaux qu'internationaux. On y étudie; la complexité de la coordination des capacités; de service unique ou polyvalent, ainsi que la façon; de traiter les intér;êts; divergents des pays, du point de vue des opérations; de guerre et de maintien de la paix. On consacre aussi beaucoup de temps à l'étude; du commandement, du leadership et de l'éthique.;

La première; série; du CSEM a eu lieu de septembre à décembre; 1998. Ce cours ainsi que le cours d'études; de sécurit;é nationale

(CESN), donné chaque année; de janvier à juin, répondent; à un besoin de longue date en matière; d'études; militaires professionnelles et officielles pour les officiers supérieurs.; Divers rapports officiels en ont d'ailleurs fait état.;

Cinq des finissants de cette année; ont ét;é sélectionn;és; pour passer six mois de plus à Toronto pour suivre le CESN. Ce cours forme le deuxième; él;ément; du programme d'études; militaires profession- nelles pour les officiers supérieurs.; Il est destiné aux officiers qui ont déj;à, ou obtiendront bientôt;, le grade d'amiral ou de gén;éral.; On y étudie; la gestion du personnel et des ressources, les questions stratégiques;, les procédures; gouvernementales et les organisations internationales. Le

cours comprend aussi une série; d'exercices de niveau stratégique; qui permettent aux étudiants; d'effectuer des évaluations; stratégiques.; Ils élaborent; ensuite une procédure; de déploiement; de la force d'après; cette évaluation.; Par la suite, ils ont l'occasion d'appliquer cette structure dans un exercice de planification d'urgence dans un contexte de catastrophe nationale.

L'ajout de ces deux cours complète; le

système; indépendant; d'études; militaires dont les FC se sont dotées; pour tous les niveaux de perfectionnement profession- nel des officiers. Le lcol Jacques Lessard est coordonnateur du CSEM.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Team tracks computer viruses, hackers, and abusers


By Melissa Atkinson


As society's reliance on computer communication grows, so does the threat of hackers penetrating network systems and viruses lurking behind the scenes like cancer cells, gobbling up information. E-mail, Internet, and intranet web-based technologies are all vulnerable to these villains-and DND is no exception.

To combat computer crime and Internet misuse, the DND Computer Incidents Response Team (CIRT) was established last June. Its mandate is to monitor DND's computer system and be on the alert for intruders and malicious software. CIRT's eyes and ears in the field is the Information Systems Security Officer (ISSO) on each base.

"The first line of defence for any system is the system administrator and the system security people," said Wendy Arthurs, an ISSO for the MARPAC

Metropolitan Area Network at CFB Esquimalt. "They know how a system is laid out and are in the best position to know how to combat a problem. Nothing's secure. There's always a possibility of people getting in and it's important to have a response ready."

Joke e-mail might seem cute, but Ms. Arthurs warns there is no way to know if it is carrying a "Trojan"-a virus the creator may have included in the e-mail's design. This type of virus works in the background, giving the creator access to personal information, user identification and passwords.

"If you get a chain e-mail or joke program, delete it and report it to your ISSO or ITC (Information Technology Co-ordinator)," said Ms. Arthurs. "Don't respond, don't open it and don't forward it. Some hackers are just nosey while others are

destructive." She cautions people to "beware the wily hacker" and not give out indentification or passwords to anyone over the phone. "Common sense always prevails," she added.

Hackers can shut down a system or corrupt data, causing personnel to lose the equivalent of up to 5000 work days, said Ms. Arthurs.

Hackers are monitored and can be tracked down and charged, she said. In the last six months she's handled more than 10 viruses. Fortunately they were common ones that local experts were able to eliminate.

People who use the same diskettes at home and at work often transfer the virus from computer to computer. Ms. Arthur suggests people ask their unit ITC for a copy of a virus-scanning system for use with their home based computers. If the

local experts cannot get rid of a virus, Ms. Arthurs sends a copy to DND CIRT.

Not all system difficulties are caused by hackers. Internal e-mail is often slowed by the transmission of large documents. Ms. Arthurs compared the effect to jamming a rock through a small pipe. "It slows everything down," she said. "This can prove to be particularly costly if sending e-mail to a mobile unit such as a ship at sea."

The DND CIRT team is a resource for the department and is comprised of carefully selected and trained analysts-all CF members. If called upon, they help security officers like Ms. Arthurs handle intrusions and viruses, and maintain up-to-date information on new viruses. A report of all incidents at local levels is sent to CIRT for its database. Melissa Atkinson is a journalist with The Outlook

Chasse aux virus, pirates et contrevenants de l'informatique


Un pirate peut faire tomber un système; en panne ou corrompre des données.; Imaginez 5000 personnes qui perdent une journée; de travail, la facture pourrait gonfler rapidement, poursuit-elle.

Les pirates sont surveillés; et peuvent être; retrouvés; et poursuivis, affirme encore Mme Arthurs. Dans les six derniers mois, elle a traité plus de dix virus bien connus, que les experts de la base ont pu éliminer.;

Les gens qui utilisent les mêmes; disquettes chez eux et au bureau transportent souvent un virus d'un ordinateur à l'autre. Mme Arthurs leur suggère; d'installer un sys-

tème; de balayage de virus sur leur ordinateur à domicile et d'en demander un exemplaire au ITC de leur unité.; Si les spécialistes; sur place ne réussissent; pas à détruire; un virus, Mme Arthurs en envoie une copie aux experts de l'Équipe; d'intervention en cas d'incidents informatiques du MDN.

Le système; interne de courriel en prend aussi un coup quand quelqu'un transmet de gros documents. Mme Arthurs en compare l'effet à un caillou bouchant un tuyau étroit; : « Ça; ralentit tout. Ça; coûte; aussi très; cher quand on envoie un courriel à une unité mobile comme un navire en mer. »

L'Équipe; d'intervention en cas d'inci

dents informatiques du MDN représente; une ressource précieuse; avec ses analystes - tous des militaires. Sur demande, ils aident des agents de sécurit;é comme Mme Arthurs à parer aux intrusions et aux virus et disposent de la plus récente; information sur les nouveaux virus. Les rapports de tous les incidents régionaux; sont acheminés; à l'Équipe; d'intervention, qui les verse dans sa base de données.;  
Melissa Atkinson est journaliste à The Outlook.

par Melissa Atkinson


À l'heure où la sociét;é dépend; de plus en plus de l'informatique pour ses communications grandit la menace que des pirates pén;ètrent; les réseaux; ou que des virus latents gobent l'information. Les technologies comme le courriel, Internet et l'intranet ne sont pas à l'abri de ces vilains, et le MDN ne fait pas exception.

Aussi a-t-on créé en juin dernier l'Équipe; d'intervention en cas d'incidents

informatiques pour combattre la criminalité informatique et les mauvais usages d'Internet. L'Équipe; d'intervention a pour mandat de surveiller l'ensemble du système; et de guetter les intrusions et les logiciels pernicieux. C'est par l'entremise des agents de sécurit;é des systèmes; informatiques (ASSI) de chaque base qu'elle peut voir et entendre ce qui se passe un peu partout.

« L'administrateur du système; et les agents de sécurit;é forment la première; ligne de défense; de tout système.; Ils en connaissent la conception et sont les mieux placés; pour savoir comment faire face à un problème; », affirme Wendy Arthurs, une ASSI du réseau; métropolitain; des FMAR(P), à la BFC Esquimalt. D'ailleurs, ajoute-t-elle, « rien n'est sûr.; La possibilité d'infiltration est toujours présente;, et il faut être; en mesure de réagir; tout de suite. »

Un courriel commique peut sembler inoffensif, mais Mme Arthurs prévient; qu'il est impossible de savoir s'il contient un « cheval de Troie », un virus insér;é par l'auteur. Ce type de virus en arrière-plan; donne à son concepteur accès; à des renseignements personnels, aux codes d'identification d'utilisateur et aux mots de passe.

« Si vous vous retrouvez dans une chaîne; de courriels ou recevez un programme-blague, supprimez-le et aver- tissez votre ASSI ou votre coordonnateur de la technologie de l'information (ITC). Ne l'ouvrez pas, n'y répondez; pas et ne le transmettez surtout pas, enjoint Mme Arthurs. Certains pirates sont de simples fouineurs, mais d'autres sont destructeurs. » Elle avertit de se méfier; de leurs ruses, de ne jamais donner un code d'identification d'utilisateur ou un mot de passe par tél;éphone.; « Le bon sens a toujours sa place », enchaîne-t-elle.;

Image

MCpl Lily Kerr of  
Telegraph Creek,  
B.C., chats with Her  
Excellency the  
Right Honourable  
Adrienne Clarkson,  
Governor General of Canada, after receiving the  
Ranger Bar for the  
Special Service  
Medal at a ceremony at Rideau Hall,  
Ottawa, February 14.

Le capc Lily Kerr, de Telegraph Creek  
(C.-B.), s'entretient avec Son Excellence Adrienne  
Clarkson, gouverneure gén;érale; du Canada, après; avoir reçu; la  
Médaille; du service spécial; (barre  
Ranger), lors d'une cér;émonie; à Rideau  
Hall, à Ottawa, le 14 février.;

Vol. 3, No. 8, 2000



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