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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Image: Surveillance céleste; : Le sgt Bruno St. Laurent, un mécanicien; de bord du 430e Escadron de la BFC Valcartier actuellement en mission au Kosovo, garde l'oeil sur la campagne durant l'une des nombreuses missions quotidiennes d'un Griffon CH-146.Photo: MCpl / cplc Ken Allan

Sky eye: Sgt Bruno St. Laurent, a flight engineer with Valcartier's 430 Sqn currently based in Kosovo, keeps a watchful eye over the countryside in one of many daily missions flown in a CH-146 Griffon.

Troops worked near asbestos in East Timor


By Aline Dubois

Asbestos found in roofing tiles on a building occupied by Canadian soldiers deployed in Dili, East Timor, was not hazardous to their health, according to Dr. Don Johnston, an occupational health doctor in Calgary.

An Australian team in charge of operational safety determined that cement roof tiles on the building contained white, or chrysotile, asbestos, but the risks caused by this material were negligible. The asbestos in the tiles was not crumbly: it does not pose a health risk unless the tiles are broken down into fine dust, which is inhaled.

Moreover, the tiles were on the outside of the structure, so if particles had been dislodged, they would have been rapidly dispersed away from the building and their inherent risk would have diminished accordingly.

The National Command Element (NCE) established its base of operations in a building that was almost completely intact and whose location made it easier to coordinate limited resources. It was only after the troops had settled in that it was noticed the roof was made of asbestos-containing tiles. The results of a subsequent examination showed the roof was in good condition and the tiles were intact.

While the building was occupied by the NCE, there was no damage done to the tiles, and personnel were informed asbestos- containing tiles covered the structure.

"To; demonstrate beyond a shadow of a doubt that the health of Canadian soldiers was not endangered in any way due to a possible exposure to asbestos, we have taken samples [of air in the building used by CF members] and conducted an in- depth analysis," said Colonel Ken Scott, Director of Medical Policy, Director General Health Care. "We; should receive the final results in a few weeks, but everything up to now would lead us to believe that there is no need to worry."

A person must be continuously exposed to asbestos fibres floating in the air they breathe for at least three months to run the risk of developing cancer. Cancer attributed to asbestos has also been found in individuals, miners for example, who have been in irregular contact with asbestos for at least 10 years.

De l'amiante au Timor-Oriental sur les lieux de l'Opération;


par Aline Dubois

L'amiante trouvée; dans les tuiles du toit de

l'édifice; occupé par les soldats canadiens

déploy;és; à Dili, au Timor-Oriental, ne présente; aucun risque pour la santé selon le docteur Don Johnston de Calgary, spécialiste; en médecine; du travail.

Une équipe; australienne chargée; de la sécurit;é opérationnelle; a détermin;é que les tuiles de ciment du toit de l'édifice; occupé par les Canadiens contenait de l'amiante blanche ou chrysotile, mais que les risques causés; par l'exposition à ce matériau; étaient; négligeables.; En effet, l'amiante contenue dans les tuiles n'était; pas effritée; ce type d'amiante n'est dangereux que, lorsque les tuiles tombant en poussière;, celle-ci est inhalée.; Or, les tuiles se trouvaient à l'extérieur; de l'immeuble et advenant que des particules se décollent;,

leur dispersion aurait ét;é rapide et les risques inhérents; diminués; d'autant.

L'Él;ément; national de commande (ENC) avait établi; ses quartiers dans un immeuble pratiquement intact qui, du fait de son emplacement, permettait une coordination adéquate;, en regard des ressources limitées.; Une fois les troupes installées;, il est apparu que le toit était; fabriqué en tuiles contenant de l'amiante. Un examen subséquent; a permis de conclure que le toit était; en bonne condition et que les tuiles étaient; intactes. Tant que l'immeuble a ét;é occupé par l'ENC, les tuiles n'ont subi aucun dommage. On a informé le personnel, par ailleurs, du fait que des tuiles d'amiante recouvraient l'immeuble.

« Pour prouver hors de tout doute que la santé des militaires canadiens n'a ét;é me-

nacée; d'aucune façon; par une possible exposition à l'amiante, nous avons prélev;é des échantillons; [d'air à l'intérieur; des installations] et avons fait procéder; à une analyse approfondie, a affirmé le col Ken Scott, Directeur - Politique de Santé, Direction gén;érale; des services de santé.; Les résultats; définitifs; devraient nous parvenir dans quelques semaines, mais à ce jour, tout porte à croire qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter; .»

Il faut avoir ét;é exposé continuellement à des fibres d'amiante flottant dans l'air que l'on respire pendant au moins trois mois pour courir le risque de développer; un cancer. Les cas de cancer attribués; à l'ami- ante ont ét;é développ;és; par des individus, des mineurs par exemple, qui avaient ét;é en contact avec l'amiante pendant au moins 10 ans.

Dengue fever found in

Op TOUCAN

troops


Risque de dengue au Timor-Oriental


Health care officials with the Canadian peacekeeping contingent in East Timor have been keeping a close watch on 580 CF members, the last of whom will be returning to Canada soon.

As of March 6, 24 cases of dengue fever had been confirmed among CF members serving in East Timor.

"With the breakdown in hygiene, damaged buildings, with many sites for the carrier Aedes mosquito to breed in Dili, cases of dengue fever were bound to happen," said Commander David Carpenter, a CF environmental and public health officer. "Once the rainy season came, all the conditions were there to allow rapid multiplication of the Aedes mosquito."

The monitoring program is in place to help keep soldiers healthy and determine the efficiency of CF education and prevention programs.

A flu-like illness, dengue fever is a virus transmitted by mosquitoes active during daylight hours. Although rarely fatal, dengue may cause those who contract it to feel feverish, suffer severe headaches and encounter joint and muscle pain.

Often called "bone-break fever" because of the severe joint pain and muscle symptoms that come with the onset of the virus, dengue fever can last 3 to 14 days. A complete recovery usually takes two to four weeks. In some cases, there can be extended periods of fatigue that last up to six months.

No vaccine or medicine is available to protect people against the fever; however, instructions were given to soldiers before they deployed to East Timor on how to protect themselves against mosquito bites.

Cdr Carpenter said if CF members "take the right protection to avoid being bitten by the mosquito, then [they] won't get dengue fever."

People suspected of contracting dengue fever are given blood tests to detect the presence of the virus or antibodies. CF members in East Timor diagnosed with the disease were returned to Canada for treatment.

The virus is becoming more common and outbreaks are more frequent. The World Health Organization now estimates there may be 50 million cases of dengue fever annually.

By Mitch Gillett

par Mitch Gillett

Les autorités; sanitaires qui accompagnent le contingent canadien de maintien de la paix au Timor-Oriental ont surveillé de près; les 580 membres des FC, dont le dernier rentrera bientôt; au Canada.

En date du 6 mars, 24 cas de dengue [fièvre; rouge] ont ét;é recensés; parmi les membres des FC en service au Timor-Oriental

« Avec la dégradation; de l'hygiène;, les bâtiments; endommagés; et les nombreux sites propices à la reproduction du moustique Aedes à Dili, la manifestation de cas de Dengue était; inévitable;, précise; le capf David Carpenter, un spécialiste; de la santé publique et environnementale. Lorsque survient la saison des pluies, toutes les conditions sont réunies; pour favoriser la reproduction rapide du moustique. »

Un programme de surveillance visant à garder les soldats en santé et à déterminer; l'efficacité des mesures de sensibilisation et

de prévention; a ét;é établi; pour les FC.

Affection pseudo-grippale, la dengue est un virus transmis par les moustiques actifs pendant la journée.; Bien que rarement fatale, cette maladie peut provoquer de la fièvre;, de graves migraines et des douleurs articulaires et musculaires.

La forte douleur articulaire et musculaire se déclenche; dès; l'attaque du virus, et la fièvre; peut durer de 3 à 14 jours. La guérison; complète; prend habituellement de deux à quatre semaines. Dans certains cas, les symptômes; de fatigue peuvent se prolonger jusqu'à six mois.

Aucun vaccin ni médicament; ne protège; contre cette fièvre.; Toutefois, avant leur déploiement; au Timor-Oriental, les soldats ont reçu; des instructions sur la façon; de se protéger; des piqûres; de moustiques.

Le capf Carpenter ajoute que si les membres des FC « prenez les mesures de protection adéquates;, ils n'attraperaient pas la fièvre; de Dengue. »

Les personnes susceptibles de contracter la maladie sont soumises à des analyses du sang pour détecter; la présence; du virus ou d'anticorps. Les membres des FC au Timor-Oriental chez qui on a diagnostiqué la maladie ont ét;é renvoyés; au Canada pour traitement.

Le virus gagne du terrain et le nombre de cas augmente. Selon l'O.M.S., il y aurait 50 millions de cas de dengue par année.;

Vol. 3, No. 9, 2000




France's Defence Minister visits NDHQ


By Aline Dubois  
France's Minister of Defence, who visited Ottawa February 21, is very pleased with the relationship between France and Canada in the area of defence.

Minister Alain Richard spoke with his Canadian counterpart, Minister of National Defence Art Eggleton, about strengthening the European identity in terms of security as well as the state of defence within NATO. Also on the agenda were the situation in the Balkans, improvements in peace- keeping operations and bilateral co-operation between Canadian and French forces.

Minister Richard emphasized the independent and useful role of Canada within the Alliance. While acknowledging the importance of Canada-U.S. relations, he pointed out that Canada's position was not aligned with that of the U.S., particularly with regard to the States' anti-missile defence system.

"This system could destabilize other arms control programs," he said. "There is room for discussion, and we hope that our American friends will listen to the other Allies." As far as he is concerned, this is an opinion shared by Canada and most of the Allies.

Minister Richard came to the defence of French KFOR forces, which have been accused of laxity. "Our Allies have seen how hard it is to maintain control in the northern sector. It has been about six months since the end of the war in Kosovo. It took five years to make coexistence possible in Bosnia. There will be other incidents in Kosovo, but we will deal with them. We will unmask whoever is responsible for the factions that are seeking to create tension and trying to prevent consolidation of the province."

Mr. Richard rejected the rumour that French troops were sympathetic to the Serb population: "Our mission within KFOR is to prevent hostilities between the communities. Many Albanian homes are on the north side of the river. We have protected them for six months. A lot of people are trying to exact retribution from the Serbs, and we must protect them as well. But we will not allow them to organize separate sectors in Kosovo."

The Minister took advantage of his visit to Canada to promote the merits of military equipment manufactured by European companies with French affiliations.

Visite du ministre français; de la Défense;


par Aline Dubois

La qualité des relations franco-canadiennes, en matière; militaire notamment, réjouit; Alain Richard, ministre français; de la Défense;, de passage à Ottawa le 21 février; dernier. Le Ministre s'est entretenu avec son homologue canadien Art Eggleton à propos du renforcement de l'identité européenne; de sécurit;é et de défense; à l'intérieur; de l'Alliance. Également; à l'ordre du jour, la situation dans les Balkans, les améliorations; des opérations; de maintien de la paix et la coopération; bilatérale; entre forces canadiennes et françaises.;

Au cours du point de presse qui a suivi, le Ministre français; a souligné le rôle; autonome et utile du Canada au sein de l'OTAN. Reconnaissant la légitimit;é des relations canadoaméricaines;, il a précis;é que la position canadienne n'était; pas pour autant alignée; sur celle des États-Unis;, faisant réf;érence; au projet américain; de système; de défense; anti-missile : « Ce système; peut déstabiliser; les autres programmes de contrôle; de l'armement, a-t-il ajouté.; Il y a place à discussion et nous espérons; que nos amis américains; écouteront; les autres Alliés.; » Une opinion partagée;, selon lui, par le Canada et la plupart des Alliés.;

Le Ministre Richard a pris la défense; des forces françaises; de la KFOR accusées; de laxisme : « Nos Alliés; ont vu que ce n'était; pas facile de garder le contrôle; dans le secteur nord. Nous sommes à six mois environ de la fin de la guerre au Kosovo. Il a fallu cinq ans pour rendre la coexistence possible en Bosnie. Il y aura d'autres incidents au Kosovo. Mais nous les combat- trons. Nous démasquerons; les responsables des factions qui cherchent à provoquer des tensions pour empêcher; la consolidation de la province. »

M. Richard a démenti; la rumeur voulant que les troupes françaises; soient sympathiques à la population serbe : « Notre mission au sein de la KFOR consiste à prévenir; l'agressivité entre les communautés.; Beaucoup de maisons albanaises se trouvent du côt;é nord de la rivière.; Nous les avons protég;ées; durant six mois. Il y a beaucoup d'exactions contre les Serbes et nous devons aussi les protéger.; Mais nous ne permettrons pas à ces derniers d'organiser des secteurs sépar;és; au Kosovo. »

Le Ministre a profité de sa visite au Canada pour promouvoir l'équipement; militaire fabriqué par des industries européennes; à participation française.;

Military Police Complaints Commission established


Integrity, openness, and impartiality are the driving forces behind the Military Police Complaints Commission (MPCC). The result is a significant reduction in the number of interference and misconduct infractions.

Ms. Louise Cobetto, a lawyer with a great deal of experience in police ethics, is Chair of the MPCC, which was founded on December 1, 1999, independently of DND/CF. "The Commission deals only with complaints that have been tabled since its creation. To this day, we have received no interference complaints. We have received a few misconduct complaints, some of them concerning incidents that occurred before December 1 and are therefore outside of the Commission's jurisdiction," said Ms. Cobetto, who benefits from the total and unconditional support of the DND and the Provost Marshal.

As a first step, the Provost Marshal tries to settle mis- conduct complaints amicably. He or she can also decide whether or not to investigate. If the plaintiff is not satisfied with the way the Provost Marshal has handled the complaint, the MPCC Chair can review the case. The Chair can, in fact, choose to continue the investigation even if the plaintiff has dropped the complaint. It there is public interest, the Chair can ask the Commission to investigate or hold public hearings. In addition, she has exclusive responsibility for matters related to interference complaints. The National Defence Act stipulates that interference complaints must handled as quickly as possible.

The groundwork for setting up the MPCC began in December 1997, according to Lieutenant Colonel Paul Cloutier, Deputy Provost Marshal, Professional Standards. "We established a structure in compliance with the new National Defence Act the moment bill C-25 was announced. This exercise had what we consider positive results, because the number of complaints dropped from 73 in 1998 to 48 in 1999. Three interference complaints were registered in 1998, but not one was made in 1999."

Text and photo by Aline Dubois

Police militaire


L'intégrit;é, la transparence et l'impartialité animent la Commission d'examen des plaintes concernant la police militaire (CPPM). Conséquence; : une baisse marquée; des délis; d'ingérence; et d'inconduite.

Indépendant; du MDN et des FC et mis sur pied le 1er décembre; dernier, cet organisme est présid;é par Me Louise Cobetto, une avocate dotée; d'une vaste expérience; en déontologie; policière; : « La Commission ne traite que les plaintes dépos;ées; depuis son entrée; en fonction. À ce jour, nous n'avons ét;é saisis d'aucune plainte d'ingérence;, mais avons reçu; plusieurs plaintes d'inconduite, dont certaines relatives à des incidents sur- venus avant le 1er décembre; et pour lesquelles la Commission n'a pas juridiction », a déclar;é Me Cobetto, ajoutant bén;éficier;, dans l'exercice de ses fonctions, de l'appui total et inconditionnel du MDN et du Grand prév;ôt.;

Dans un premier temps, le Grand prév;ôt; a le devoir de tenter de régler; à l'amiable les plaintes pour inconduite. Il peut aussi décider; ou refuser d'enquêter.; Si le plaignant est insatisfait du traitement donné à sa plainte par le Grand prév;ôt;, la Présidente; de la CPPM peut revoir le dossier. Cette dernière; peut également; continuer d'enquêter; malgré le retrait de la plainte par le plaignant. S'il y va de l'intér;êt; public, elle peut demander à la Commission de faire enquête; ou de tenir des audiences publiques. De plus, elle détient; la responsabilité exclusive en ce qui a trait aux plaintes pour ingérence.; La Loi sur la Défense; nationale prévoit; que les plaintes pour inconduite ou ingérence; soient traitées; le plus rapidement possible.

Les travaux préparatoires; à l'implantation de la CPPM ont début;é en décembre; 1997, comme l'explique le lcol Paul Cloutier, Grand prév;ôt; adjoint des normes professionnelles : « Nous avons établi; une structure conforme aux exigences de la nouvelle Loi sur la Défense; nationale dès; l'annonce du projet de loi C-25. Cet exercice s'est avér;é positif puisque de 73 qu'elles étaient; en 1998, les plaintes pour inconduite policière; sont passées; à 48 en 1999. Trois plaintes pour ingérence; avaient ét;é portées; en 1998 et pas une seule n'a ét;é dépos;ée; en 1999. »

Texte et photo d'Aline Dubois

A complaint of misconduct stems from a fault committed by a military police officer in the exercise of his or her duties as determined by the regulations of the governor in council. An interference complaint is made by a police officer who conducted or supervised an investigation regarding an officer, a non-commissioned member of the CF, or an upper-level DND executive who, through improper use of authority, intimidation, or other means, blocked the progress of an investigation. (National Defence Act, Part IV, s. 2, art. 250.18 and 250.19).

Complaints of interference or misconduct can be reported to:

* Provost Marshal, (613) 945-7343  
* Military Police Complaints Commission, (613) 947-5721 or 1-800-632-0566

* Judge Advocate General, (613) 992-3019  
* Any Military Police officer (misconduct only)

Seventeen types of complaints can be filed against the Military Police, of which irregular procedure and neglect of MP duty are the most common. Most of the conduct complaints come from civilians. Of the three military branches, the Land Force holds the record for the most complaints against the Military Police.

Image

Ms. Louise Cobetto making a presentation on the MPCC, of which she is Chair, to members of the Military Police in Cornwall, Ont., during their annual symposium March 1.

Me Louise Cobetto, présidente; de la CPPM, fait un exposé sur la CPPM aux membres de la police militaire réunis; à Cornwall (Ont.) à l'occasion de leur symposium annuel, le 1er mars dernier.

« Une plainte pour inconduite » découle; d'une faute commise par un policier militaire dans l'exercice de fonctions policières; détermin;ées; par règlement; du gouverneur en conseil. « Une plainte pour ingérence; » est celle qui est portée; par le policier qui a mené ou supervisé une enquête; contre un officier, ou un militaire du rang, ou un cadre supérieur; du MDN qui, par abus d'autorité, intimidation ou autrement, a entravé le cours d'une enquête.; (réf.; : Loi sur la Défense; nationale, Partie IV, Section 2, art. 250.18 et 250.19).

Les plaintes d'ingérence; ou d'inconduite peuvent être; signalées; :


* au Grand prév;ôt; : Tél.; (613) 945-7343;  
* à la CPPM : Tél.; (613) 947-5721 - 1 800 632-0566;  
* au Juge-avocat gén;éral; : Tél.; (613) 992-3019; ou  
* à tout policier militaire (inconduite seulement).

Dix sept catégories; de plaintes peuvent être; formulées; contre la PM, la procédure; irréguli;ère; et le manque au devoir de policier militaire étant; les plus courantes. La majorité des plaintes d'inconduite proviennent du civil. Des trois corps d'armée;, la Force terrestre est celle qui a formulé le plus de plaintes contre la PM.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



By Lane Anker


NDPAO office opens in Calgary


Un BAPND s'ouvre à Calgary


par Lane Anker

The National Defence Public Affairs Office (NDPAO) in Calgary was officially opened February 18 by Director General Public Affairs Georges Rioux.

"For; the Canadian Forces to maintain the respect it deserves, it is imperative that Canadians are reminded of the important role it plays both at home and abroad," said Mr. Rioux. "By; scouting and seeking out opportunities, these regional offices serve to bring relevance, build partner- ships, and develop links with Canadians  
... Canada is bigger than Ottawa." NDPAOs are located in major urban areas, mostly lacking a military presence. They identify, generate and co-ordinate a variety of formal and informal activities at the area level, including briefings, presentations, speaking engagements, lecture opportunities, seminars, workshops, symposiums, and familiarization tours of CF missions, bases and exercises. National Defence Public Affairs Office Calgary covers the Prairies and the North.

"These; offices exist to tell the story of Canada's military and explain how Defence makes a difference to Canadians and the

international community," said Lt(N) John Larsen, Director of NDPAO Calgary. "To; better prepare for the future now, we must develop a long-term strategy to aggressively communicate our relevance, including what we do and why we do it."

Public affairs changes are making a difference: according to recent polls, the public better understands the military's challenges, and overall, agrees that the military is doing a good job.

Lane Anker is a staff member at National Defence Public Affairs Office Calgary.

Image: DGPA Mr. Georges Rioux and  
Ms. Irene Pfeiffer, former director of Calgary's Chamber of Commerce, officially open NDPAO-Calgary.M. Georges Rioux, DGAP et  
Mme Irene Pfeiffer, anciennement directrice de la Chambre de commerce de Calgary, ouvrent officiellement le BAPDN de Calgary.

Le 18 février;, le directeur gén;éral; - Affaires publiques, Georges Rioux, inaugurait le Bureau des affaires publiques de la Défense; nationale (BAPDN) à Calgary.

« Pour que les FC conservent le respect qu'elles méritent;, il est essentiel de rappeler à la population le rôle; important qu'elles jouent au pays comme à l'étranger;, soutient  
M. Rioux. En étant; à l'affût; des possibilités;, les bureaux régionaux; servent à susciter l'intér;êt;, à créer; des partenariats et à multiplier les liens avec les Canadiens [...] Le Canada ce n'est pas seulement Ottawa. »

On trouve un BAPDN dans les grands centres urbains gén;éralement; privés; d'une présence; militaire. Ces bureaux déter-;

minent, organisent et coordonnent, au niveau régional;, une série; d'activités; officielles et informelles : séances; d'information, présentations;, allocutions, conférences;, séminaires;, ateliers, symposiums et visites d'information sur les missions, les bases et les exercices des FC. Le BAPDN de Calgary représente; les Prairies et le Nord.

« Ces bureaux existent pour relater l'histoire militaire du Canada et expliquer

en quoi la Défense; a de l'importance pour les Canadiens et la communauté internationale, explique le ltv John Larsen, directeur du BAPDN Calgary. Pour mieux préparer; l'avenir, nous devons, dès; maintenant, élaborer; une stratégie; à long terme pour faire valoir de façon; dynamique notre pertinence, ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons. »

Cette évolution; des affaires publiques a un effet notable : selon de récents; sondages, le public comprend mieux les défis; des militaires et, dans l'ensemble, considère; qu'ils font un bon travail.

Lane Anker est membre du personnel du Bureau des affaires publiques de Calgary.

CFAEP: new entry plan for aboriginal recruits


Recruiting has started under the new Canadian Forces Aboriginal Entry Program (CFAEP), a special CF recruiting program offering full-time Regular Force training and employment opportunities to qualified aboriginal people.

The latest initiative under the Diversity Recruiting Campaign, the CFAEP is designed to give aboriginal people from across Canada a chance to explore military careers before making a full commitment to a CF contract. It features an improved Pre-Recruit Training Course (PRTC), completion bonuses, and "home recruiting."

"We're changing the way we do business," said Captain(N) Bryn Weadon, Commander of Canadian Forces Recruiting Group. "We know there are cultural differences that face aboriginal recruits. With the CFAEP, we are trying to ease the transition to the military way of life."

Pre-Recruit Training Course

The PRTC is a chance to see the CF up

close before joining up. The training will be conducted in two locations:

* PRTC Yellowknife, beginning next August 2000, is designed around the experiences and concerns of aboriginal candidates from north of 60∞ in most of Canada, and north of 55∞ in Quebec and on the coast of Labrador. This three-week course covers northern skills, cross-cultural and military awareness, and selection and preparation of candidates for PRTC Farnham.  
* PRTC Farnham, beginning next September, is designed to prepare aboriginal candidates from south of 60∞ and north of 60∞ candidates from PRTC Yellowknife for Regular Force Basic Training in Saint- Jean, Que. This three-week course covers military organization, rank structure, physical fitness, drill and weapons handling.

Completion Bonus

CFAEP participants will go through PRTC

as civilians with no obligation to join the CF. As civilians, they will not receive a salary; however, they will be paid $1200 on completion of each three-week PRTC. This completion bonus makes the CFAEP a serious employment opportunity.

Home Recruiting

The CF understands and values community support. During their training, CFAEP participants will have two opportunities to go home to talk about their military experiences with their friends and families.

The first Home Recruiting session is scheduled for the week between PRTC Yellowknife and PRTC Farnham. For candidates who complete PRTC and go on to join the CF, the second Home Recruiting session is scheduled between the end of Basic Recruit Training and the beginning of occupational training.

Home Recruiting will help candidates stay in touch with their communities while they adjust to military life, and help com-

munities maintain their interest in and support for the CF now and in the future.

Community Involvement and the Way Ahead Aboriginal people helped develop the CFAEP, which ensured the program's effectiveness and earned their support for the program. "Working directly with elders in aboriginal communities to prepare the new program has provided greater acceptance of the CF as an employer," said Capt(N) Weadon. "The CFAEP demonstrates our commitment to attract and recruit qualified aboriginal candidates."

The CF has 1275 First Nations, Inuit and Métis; members, which is 1.4 percent of current strength. Through recruiting efforts such as the CFAEP, the CF hopes to bring its aboriginal membership to about 3 percent, which is about the same as in the national workforce. Lt Vance White is the Canadian Forces Recruiting Group Public Affairs Officer.

By Lt Vance White

Le recrutement a commencé dans le cadre du nouveau Programme d'enrôlement; des Autochtones des Forces canadiennes (PEAFC), qui offre aux Autochtones qualifiés; une formation à plein temps et des possibilités; d'emploi dans la Force réguli;ère.;

Initiative la plus récente; de la campagne de recrutement axée; sur la diversité, le PEAFC donne aux Autochtones de partout au Canada une chance d'explorer les carrières; militaires avant de s'engager dans les FC. Il comprend un Cours de formation préalable; au recrutement (CFPR) amélior;é, des primes de persév;érance; et « du recrutement dans la région; natale ».;

« Nous changeons notre façon; de fonctionner, explique le capv Bryn Weadon, commandant du Groupe de recrutement des FC. Sachant que les recrues autochtones font face à des différences; culturelles, nous essayons de faciliter leur transition au mode de vie militaire. »

Cours de formation préalable; au recrutement  
Le CFPR permet de se familiariser avec les FC avant de s'enrôler.; Il sera offert à deux endroits :

Le PEAFC : un programme en trois étapes; pour les recrues autochtones


* Le CFPR de Yellowknife (début; : août; 2000) est conçu; en fonction de l'expérience; et des préoccupations; des candidats autochtones venant du Nord du 55e parallèle; au Québec; et sur la côte; du Labrador, et du Nord du 60e parallèle; dans le reste du Canada. Ce cours de trois semaines traite des aptitudes à la vie nordique, de la sensibilisation aux différences; culturelles et à la vie militaire et de la sélection; et de la préparation; des candidats pour le CFPR de Farnham.

* Le CFPR de Farnham (début; : septembre 2000) est conçu; pour préparer; les candidats autochtones venant du sud du 60e parallèle; et les candidats du « nord du 60e parallèle; » venant du CFPR de Yellowknife à l'instruction él;émentaire; de la Force réguli;ère; à Saint- Jean (Qc). Ce cours de trois semaines traite de l'organisation militaire, de la structure des grades, du condition- nement physique et des manoeuvres et du maniement des armes.

Prime de persév;érance;

Les participants au PEAFC suivront le CFPR en tant que civils sans obligation de

joindre les FC. Ils ne recevront pas de salaire, mais ils seront payés; 1200 $ à la fin de chaque CFPR. Cette prime de persév;érance; fait du PEAFC un préalable; sérieux; à des possibilités; d'emploi.

Recrutement dans la région; natale

Les FC comprennent et reconnaissent l'importance du soutien de la commu

nauté.; Pendant leur formation, les participants au PEAFC pourront aller deux fois dans leur région; natale et discuter de leur expérience; militaire avec leurs amis et leur famille.

La première; session de recrutement dans la région; natale est prévue; la semaine qui suit le CFPR de Yellowknife et préc;ède; celui de Farnham. Pour les candidats qui terminent le CFPR et désirent; se joindre aux FC, la deuxième; session de recrutement dans la région; natale est prévue; entre la fin de l'instruction él;émentaire; des recrues et le début; de la formation professionnelle.

Le recrutement dans la région; natale aidera les candidats à garder contact avec leur communauté pendant qu'ils s'adap- tent à la vie militaire, et les communautés;

à maintenir leur intér;êt; et leur soutien envers les FC, maintenant et à l'avenir.

Participation de la communauté et voie à suivre  
Le peuple autochtone a contribué à l'élaboration; du PEAFC, et le succès; de cette contribution a permis de gagner l'appui de nombreux peuples autochtones au programme.

« Le fait d'avoir travaillé directement en collaboration avec les aîn;és; des communautés; autochtones pour préparer; le nouveau programme a permis aux FC de se faire mieux accepter comme employeur, précise; le capv Weadon. Le PEAFC illustre notre engagement à attirer et à recruter des candidats autochtones qualifiés.; »

Les FC comptent 1275 membres des communautés; des Premières; nations, des Métis; et des Inuits, soit 1,4 p. 100 de l'effectif actuel. Grâce; aux efforts de recrutement comme le PEAFC, elles espèrent; faire grimper ce pourcentage à environ 3 p. 100, ou à peu près; celui de la population active nationale. Le lt Vance White est OAP pour le Groupe de recrutement des Forces canadiennes.

par le lt Vance White

Vol. 3, No. 9, 2000




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Camp Faouar: UNDOF keeps the peace in Golan Heights


For more than 25 years, some 12 000 CF members have been part of the UN peacekeeping force in the Golan Heights, where a truce has been maintained between Syria and Israel since the 1973 Yom Kippur War. Some of the Canadian soldiers and those from other countries serving under the UN Disengagement Observer Force (UNDOF) are stationed on the Syrian side at Camp Faouar.

Camp Faouar : la FNUOD maintien la paix sur le plateau du Golan


Depuis plus de 25 ans, quelque 12 000 membres des FC ont participé à la Force de maintien de la paix des Nations Unies sur le plateau du Golan, où la trêve; est maintenue entre la Syrie et Israël;, à la suite de la guerre du Yom Kippur en 1973. Au camp Faouar, côt;é syrien, des soldats canadiens et étrangers;, servent dans la Force des Nations Unies chargée; d'observer le désengagement; (FNUOD).

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Photos: WO / adj Larry Graham A Syrian man walks past the main gate.

Un Syrien franchit l'entrée; principale.

A guard tower. Une tour de contrôle.;

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An Austrian soldier. Un soldat autrichien. MCpl Kevin Cadman with a Japanese soldier. Le cplc Kevin Cadman avec un soldat japonais.

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


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