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Maple Leaf


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A is for Aardvark, Africa and 'All clear'


By Mitch Gillett

Although many words have more than one meaning, Aardvark and Nyala have only one connotation for CF members assigned to Task Force East Africa (TFEA).

Referred to with deference by the field engineers who drive them, an Aardvark or a Nyala can mean the difference between life and death for those who follow in their path, as these two vehicles are used for mine clearing.

"It is just like going for a drive," said Corporal Corey Kavanagh, of 4 Engineer Support Regiment, is a troop reconnaissance driver and operates the Aardvark and Nyala. "I don't find it nerve-wracking in the least. I have faith in the vehicle."

There are an estimated 150 000 to 200 000 land mines in Eritrea, mostly laid by Ethiopia during the 1961-1991 war in which Eritrea fought for independence. In 1998 about 200 persons were injured or killed in incidents involving unexploded ordnance, including land mines.

Master Warrant Officer Don Fox, a field engineer and Company Sergeant- Major for the CF National Command Element in East Africa, does quality con-

trol in reference to mine information that goes outs to the different camps. The veteran peacekeeper said they collect mine information to produce proved routes so CF troops do not go into harm's way. So far engineers in the two Nyalas with TFEA have proved about 1000 km of roads.

Once a route is picked, engineers have to make sure it is safe for patrolling soldiers. The Nyala-a heavily armoured vehicle-is driven in front of the convoy. If it hits an undetected mine, it protects the other vehicles in the group by taking the brunt of the blast.

"The one we have does have some battle damage from its KFOR years. We got it when it came out of Kosovo," said MWO Fox. "This one particular model we have did have a mine strike and did survive. They had it back on the road in about 42 hours."

Eventually, a force of about 4 200 combat soldiers, including about 450 Canadian soldiers, will patrol a no-man's-land between Ethiopian and Eritrean soldiers hunkered down in trenches. More than 300 000 soldiers remain dug in along an 800 km front reminiscent of the trench warfare that underscored the First World War.

Eritrea, formerly a province of Ethiopia, gained independence in 1993 after a long guerilla war that spanned nearly three decades. For the last two years, Ethiopia and Eritrea have been fighting for ownership of territory previously administered by Ethiopia.

Similar to the Nyala-its patrolling counterpart-the Aardvark is used to clear camps of undetected mines. The newly acquired Aardvark was received by 4 Engineer Support Regiment in September 2000. It is a driver-operated armoured vehicle, with a track-and-wheel mobility combination and a rotating flail.

The flail consists of a rotating drum with hardened chains attached to it. The chains

strike the ground as the drum rotates, detonating anti-personnel and anti-tank mines on contact.

The flail can be raised and lowered to accommodate rolling terrain, and can be set to penetrate the ground up to 0.5 m for deeply buried mines. The flail can also remove trip wires, scrub and sparsely grown trees up to 0.2 m in diameter.

The effective clearance width of one pass of the Aardvark flail is 2.5 m, as it must overlap each successive pass by 1 m for redundancy. As mines are detonated, they are recorded. Flail chains are checked for serviceability and replaced if required.

Image: Le cpl Steve Winstanley, au centre, explique comment le Aardvark élimine; les mines au visiteur Rolando Gomez, à gauche, et au sdt Allan Snogdahl, un ingénieur; danois qui a aussi assisté à cette présentation; sur la sensibilisation aux mines, à Asmara, en Érithr;ée;, le 26 janvier.MCpl / cplc Danielle Bernier, Combat Camera

A pour Aardvark et Afrique


par Mitch Gillett

Bien des mots ont plusieurs sens, mais pour les militaires canadiens affectés; à la Force opérationnelle; en Afrique de l'Est (FOAE), Aardvark et Nyala n'en possè-; dent qu'un.

Ayant droit au respect des sapeurs qui le conduisent, un Aardvark ou un Nyala peut faire la différence; entre la vie et la mort pour ceux qui les suivent, puisqu'il s'agit de deux véhicules; de déminage.;

« C'est comme si on partait en promenade », rassure le cpl Corey Kavanagh, du 4e Régiment; d'appui du génie;, conducteur de reconnaissance des soldats qui utilisent l'Aardvark et le Nyala. « Je ne suis pas du tout nerveux à l'idée; de conduire ces véhicules.; Je leur fais confiance. »

Il y a de 150 000 à 200 000 mines terrestres en Érythr;ée;, la plupart posées; par l'Éthiopie; pendant la guerre qui a sévi; de

1961 à 1991 et au cours de laquelle l'Érythr;ée; a lutté pour son indépendance.; En 1998, quelque 200 personnes ont ét;é blessées; ou tuées; dans des incidents mettant en cause des munitions explosives non explosées;, dont des mines terrestres.

L'adjum Don Fox, sapeur et sergent- major de compagnie pour l'Él;ément; de

commandement national des FC en Afrique de l'Est, assure le contrôle; de la qualité de l'information sur les mines diffusée; aux

différents; camps. L'ancien Casque bleu ajoute que cette information sert à établir; des itinéraires; sûrs; pour les soldats des FC. Les sapeurs de la FOAE qui circulent dans les deux Nyala ont jusqu'à maintenant démin;é quelque 1000 km de route.

Lorsqu'un itinéraire; est choisi, les sapeurs doivent s'assurer qu'il est sûr; pour les patrouilles. Le Nyala, un véhicule; lourdement blindé, ouvre le convoi. S'il touche une mine, il protège; les autres véhicules; en absorbant le gros de l'explosion.

« Le Nyala que nous avons a subi des dommages pendant ses années; avec la KFOR. Nous l'avons obtenu alors qu'on le retirait du Kosovo, explique l'adjum Fox. Ce modèle; bien spécial; a touché une mine et il a résist;é.; Il a repris la route environ 42 heures plus tard. »

Une force de quelque 4200 fantassins, dont environ 450 soldats canadiens, sera appelée; à patrouiller une zone inoccupée; entre des soldats de l'Éthiopie; et de l'Érythr;ée; accroupis dans des tranchées.; Plus de 300 000 soldats restent ainsi retranchés; sur un front de

Cpl Steve Winstanley (centre) explains how the Aardvark clears mines to visitor Rolando Gomez (left) and Pte Allan Snogdahl, a Danish engineer who also participated in this mine-awareness display January 26 in Asmara, Eritrea.

800 km qui rappelle la guerre des tranchées; qui a marqué la Première; Guerre mondiale.

L'Érythr;ée;, une ancienne province de l'Éthiopie;, a acquis son indépendance; en 1993 après; près; de trois décennies; de guérilla.; Au cours des deux dernières; années; de cette guerre, l'Éthiopie; et l'Érythr;ée; ont combattu pour s'approprier un territoire auparavant administré par l'Éthiopie.;

Comme le Nyala, véhicule; de patrouille, l'Aardvark est utilisé pour éliminer; les

mines dans des camps. Le 4e Régiment; d'appui du génie; a reçu; le tout nouveau Aardvark en septembre 2000. Il s'agit d'un véhicule; blindé avec conducteur, à la fois chenillé et à roues et doté d'un fléau; rotatif.

Le fléau; est constitué d'un tambour rotatif muni de chaînes; trempées.; Lorsque le tambour tourne, les chaînes; frappent le

sol et font exploser les mines antipersonnel et antichars.

On peut soulever et abaisser le fléau; en terrain accidenté et on peut le régler; pour qu'il s'enfonce dans le sol, jusqu'à une profondeur de 0,5 m, pour extraire les mines enfouies profondément.; Le fléau; peut aussi éliminer; des fils-pièges;, des broussailles et des arbres matures clairsemés; dont le diamètre; peut atteindre 0,2 m.

À chacun de ses passages, le fléau; d'un Aardvark peut dégager; un couloir d'une largeur utile de 2,5 m, un chevauchement de 1m étant; toujours nécessaire; pour s'assurer que le terrain a ét;é entièrement; couvert. Les mines qui explosent sont indiquées; sur le plan de repérage.; Les chaînes; font l'objet d'une vérification; et sont remplacées; au besoin.

Image: Le radar du système; de surveillance d'un Coyote à l'essai au camp Groesbeek, à Decamara, en Érithr;ée.The; radar of a Coyote's surveillance system is tested at Camp Groesbeek, at  
Dek'emhare, Eritrea.

Image: Photos: MCpl / cplc Danielle Bernier, Combat CameraAprès; une journée; de patrouille dans les environs de Mendafera, en Érithr;ée;, les membres du peloton de reconnaissance montent le camp.After patrolling all day in the vicinity of Mendafera, Eritrea, the members of Recce Platoon set up camp.

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


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