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National Defence / Défense Nationale



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Signing bonus introduced to attract doctors


By Allison Delaney

A $225 000 signing bonus is part of an aggressive recruiting campaign aimed at attracting doctors to the CF.

Physicians who accept the bonus must serve a minimum of four years. Currently the CF is short 46 General Duty Medical Officers (GDMO) on bases across the country.

"Supply is way below the demand across North America, particularly Canada," said Lieutenant-Colonel Serge Gagnon, who is in charge of recruitment and retention of CF doctors. "Once doctors graduate from university, there is huge competition."

LCol Gagnon said demands on serving doctors are making retention a problem due to the 30 percent shortage in the CF. Three out of four doctors are leaving as soon as their four-year obligatory service is done. Present operations could be

threatened if recruiting does not pick up.

"We have to be able to provide medical care on operations," said LCol Gagnon. "Serving doctors are returning to theatre more rapidly, which prevents them from maintaining medical skills because they are away all the time." The toll deployments have on doctors' families must also be considered, he said.

There are three ways a doctor or future doctor can join the CF. The first is through the Medical Officer Training Program (MOTP). This is how the CF attracts the majority of its doctors. Civilian students usually join during their second year of medical school. The CF pays students' tuition. In return, doctors owe the CF four years of service.

The Military Medical Training Plan (MMTP) is the second option. This is for members of the CF who are interested in taking an occupational transfer into the medical

branch. Interested members apply to a board that sits every year. Once accepted by the board, the member must then get accepted to a medical school. For every 10 that pass the board, LCol Gagnon said only two or three get accepted to a medical school.

Direct Entry Officer (DEO) is the final way doctors get recruited into the CF. The $225 000 signing bonus is for this category only and applies to civilians who already hold a medical degree from a recognized university.

There are currently 40 future doctors studying under the MOTP and 14 under the MMTP, but not all will come to duty at the same time. "We expect to lose 20 doctors next summer with only 12 coming to duty," said LCol Gagnon. "That means we will be 54 short next summer."

Not many doctors join under the DEO category, said LCol Gagnon. The first doctor to join as a DEO and receive the signing bonus finished Basic Officer Training Course (BOTC) in December. Another doctor is halfway through BOTC right now and will graduate in April.

"The DEO program for doctors with the signing bonus is not well known yet," he said. "I have to be optimistic that the recruiting campaign will make a difference."

Image: CF doctor Capt Leigh Chapman is seen treating a young patient in Kosovo in October 1999.Le capt Leigh Chapman, médecin;, examine une jeune patiente au Kosovo, en Octobre 1999.Allison Delaney

Offre alléchante; présent;ée; aux médecins;


par Allison Delaney

Dans le cadre d'une vigoureuse campagne publicitaire, une prime de 225 000$ est offerte aux médecins; pour les attirer dans les FC.

Les médecins; qui acceptent la prime devront exercer leurs fonctions pendant un minimum de quatre années.; Actuellement, il faudrait 46 médecins; militaires gén;éralistes; (MMG) de plus dans les bases à travers le pays.

« Le nombre de médecins; se situe bien en-dessous de la demande, partout en Amérique; du Nord et au Canada en particulier », a indiqué le lcol Serge Gagnon, responsable du recrutement et du maintien en fonction des médecins; des FC. « Dès; que les médecins; obtiennent leur diplôme; universitaire, la concurrence est très; forte. »

Le lcol Gagnon a expliqué que le travail des médecins; est très; exigeant et qu'on a de la difficulté à les maintenir en fonction en raison de la pénurie; de 30 p. 100 dans les FC. Trois médecins; sur quatre nous quittent dès; qu'ils terminent leurs quatre années; de service obligatoire. Certaines opérations; actuelles pourraient être; mena-

cées; si le recrutement ne s'améliore; pas.

« Il faut pouvoir fournir des soins médicaux; lors des opérations;, a ajouté le lcol Gagnon. Les médecins; en service retournent plus rapidement sur les théâtres; d'opérations; et ils ne peuvent donc pas actualiser leurs compétences; médicales.; Ils sont toujours partis. » Selon lui, il faut aussi tenir compte des conséquences; qu'entraînent;, sur les familles, les déploiements.;

Trois options s'offrent au médecin; ou futur médecin; qui veut se joindre aux FC. Il peut d'abord passer par le Programme d'instruction à l'intention des médecins; militaires (PIMM). C'est de cette façon; que les FC recrutent la majorité de leurs médecins.; Les étudiants; civils se joignent habituellement aux FC à leur entrée; en deuxième; année; d'études; en médecine.; Les FC paient les frais de scolarité des étudiants.; En revanche, les médecins; doivent s'engager à travailler pendant quatre années; dans les FC.

Comme deuxième; option, le médecin; ou futur médecin; peut faire appel au Programme militaire d'études; de médecine; (PMEM). Ce Programme s'adresse aux

militaires des FC intéress;és; à changer de profession, au profit des Services de santé.; Les militaires intéress;és; présentent; une demande au comité qui siège; chaque année.; Une fois leur demande acceptée; par celui-ci, les militaires doivent être; acceptés; par une école; de médecine.; Sur dix person- nes qu'accepte le comité, seulement deux ou trois sont acceptées; par une école; de médecine;, selon le lcol Gagnon.

Finalement, la troisième; façon; d'être; recruté par les FC s'effectue par le biais de l'Enrôlement; direct en qualité d'officier

(EDO). La prime de 225 000 $ à la signature d'un contrat ne s'adresse qu'à cette catégorie; et elle s'applique aux civils qui détiennent; déj;à un diplôme; de médecine; d'une université reconnue.

Actuellement, 40 futurs médecins; étudient; dans le cadre du PIMM et 14 dans celui du PMEM, mais ils n'entreront pas tous en fonction en même; temps. « Nous nous attendons à perdre 20 médecins; l'ét;é prochain et seulement 12 vont entrer en fonction, a fait observer le lcol Gagnon. Cela signifie une pénurie; de 54 médecins; l'ét;é prochain. »

Peu de médecins; s'inscrivent dans la catégorie; EDO, a indiqué le lcol Gagnon. Le premier médecin; à le faire et à recevoir une prime à la signature d'un contrat a fini son cours él;émentaire; d'officier (CEO) en décembre.; Un autre médecin;, actuellement à la moitié de son CEO, obtiendra son diplôme; en avril.

« Le programme EDO, qui s'adresse aux médecins; et comporte une prime à la signature du contrat, n'est pas encore très; bien connu, a-t-il ajouté.; Je dois être; optimiste et croire que la campagne de recrutement va changer les choses. »

La Marine ouvre ses sous-marins aux femmes


OTTAWA - Le gén; Maurice Baril, Chef d'état-major; de la Défense;, a annoncé le 8 mars que les femmes serviront à bord des sous-marins. Le vice-amiral Greg Maddison, commandant de la Marine canadienne a recommandé cette décision; qui a reçu; l'appui ferme de M. Art Eggleton, ministre de la Défense.;

« Les femmes doivent pouvoir bén;éficier; de toutes les occasions pour poursuivre leurs objectifs de carrière; et leurs aspirations au sein de la nouvelle Marine », a mentionné le gén; Baril. « Cette décision; leur permet de servir à bord de n'importe quel navire de la flotte, y compris les sous-marins de classe Victoria. »

« Les femmes sont capables de très; bien effectuer le travail en mer », a déclar;é le vam Maddison. L'intégration; des femmes dans la flotte de surface s'est avér;ée; un franc succès; et continue de l'être.; Nous nous attendons à la

même; réussite; dans le cas des sous-marins. »

Dans la décision; qu'il a prise en 1989, le Tribunal canadien des droits de la personne a exprimé que les femmes pouvaient être; exclues du service à bord d'un sous-marin de classe Oberon pour des raisons de vie privée.; Il a toutefois stipulé que cette question devrait être; révis;ée; dans l'éventuelle; acquisition de nouveaux sous-marins. Par conséquent;, lorsque le Canada s'est doté de quatre sousmarins diesel-électriques; du Royaume-Uni, on a décid;é de revoir la question.

Grâce; aux améliorations; qui ont ét;é apportées;, dont celles aux cantines des sous-marins de classe Victoria, l'achalandage sera considérablement; réduit; dans les locaux

d'habitation, et il en résultera; un plus grand respect de la vie privée;, comparativement aux sous-marins de classe Oberon maintenant hors service.

Le NCSM Victoria, le premier des quatre sous-marins, est arrivé au Canada le 23 octobre 2000 et a ét;é mis en service au sein de la Marine canadienne le 2 décembre; de la même; année.; On s'attend à ce que les trois autres sousmarins, le Windsor, le Corner Brook et le Chicoutimi, arrivent au Canada à six mois d'intervalles dans les deux prochaines années.;

Le plus grand nombre possible de membres d'équipage; à bord des sous-marins est formé de volontaires. De temps à autre, les besoins opérationnels; font en sorte que des membres qui ne sont pas volontaires soient affectés; aux sous-marins pour pourvoir les postes clés.; Cette décision; permettra dorénavant; aux femmes d'être; prises en considération; dans la sélection; de candidats pour ces affectations.

Navy opens submarine service to women


OTTAWA - General Maurice Baril, Chief of the Defence Staff, announced here March 8 that women will serve in submarines. Vice-Admiral Greg Maddison, head of Canada's Navy, recommended the decision, which is strongly supported by Defence Minister Art Eggleton.

"Women should have every opportunity to pursue their career goals and aspirations within the new Navy," Gen Baril said. "This decision enables them to serve in any vessel in the fleet, including the new Victoria Class submarines."

"Women can do the job at sea exceedingly well," said VAdm Maddison. "Integration of women into the surface fleet has been and continues to be a success. We antici-

pate exactly the same result for our submarines."

The Canadian Human Rights Tribunal, in making its 1989 decision that women could be excluded from sub- marine service in the Oberon Class submarines because of privacy concerns, also stated that the decision should be reviewed upon the acquisition of new submarines. Therefore, when Canada acquired four ex-Upholder diesel-electric submarines from the U.K., the decision was taken to re-examine the issue.

Among other improvements, mess decks in the Victoria Class boats will result in significantly less traffic through the accommodation spaces and thus more privacy than

was the case in the now-retired Oberon Class.

HMCS Victoria, the first of the four new submarines, arrived in Canada on October 23, 2000, and was commissioned into the Canadian Navy on December 2. The remaining three submarines, Windsor, Corner Brook and Chicoutimi, are expected to arrive in Canada at six-month intervals over the next two years.

Submarines are crewed to the greatest extent possible by volunteers. Occasionally, operational necessity requires the assignment of non-volunteers to submarines to fill key jobs. With this decision, qualified women will now also be considered for selection to those jobs.

Vol. 4, No. 9, 2001




AMF(L) commander 'constantly impressed' by troops


By Buzz Bourdon

For Major-General Walter M. Holmes, commanding a multinational force of 22 000 troops drawn from 17 NATO nations is an enjoyable and educational challenge.

Appointed commander of Allied Command Europe Mobile Force (Land) December 19, 1999, MGen Holmes deals daily with a bewildering array of military cultures.

Despite that, everything works, said MGen Holmes, who was commissioned into the Royal Canadian Regiment in 1967. He's only the third Canadian to command AMF(L), NATO's prestigious rapid reaction force.

"Every time the AMF(L) deploys, I am constantly impressed by how well it works. Getting forces from up to 17 different nations to deploy in good order to far off places (and) conduct operations in a cohesive way is a major undertaking, but it is something (we do) well up to three times a year," said MGen Holmes, who is based in Heidelberg, Germany.

Formed in 1960 at the height of the Cold War, AMF(L) was designed as a strategically deployable force that underlined NATO solidarity and its determination to defend itself against aggression. Until 1995, it included an air element.

In 1995, AMF(L) was designated as the Supreme Allied Commander Europe's Immediate Reaction Force Land, employable across the full spectrum of operations, from humanitarian aide to high-intensity combat operations.

AMF(L) draws its troops from Canada, Greece, Hungary, Italy, Spain, Turkey, Germany, Norway, Belgium, Denmark, Luxembourg, the Netherlands, Poland, Portugal, the Czech Republic, the U.S. and the U.K.

The force consists of 13 infantry battalions, 9 artillery batteries and various combat support and combat service support elements

Canada contributes an infantry battalion group, which includes an artillery battery and a national support element. That commitment will switch in April to the 3rd Battalion, Princess Patricia's Canadian Light Infantry, 1 Service Battalion and 1st Regiment, Royal Canadian Horse Artillery.

AMF(L) is designed to be operational in theatre within 13 days, complete with 7 days worth of ammunition and supplies. Its headquarters and a rifle company from each infantry battalion are at 72 hours notice to move, with the remainder of the force at seven days notice to move.

Every year, AMF(L) conducts training exercises in both the northern and southern regions of Europe. Its soldiers, who train in conditions ranging from the sub- zero temperatures of the Arctic to the intense heat of the Mediterranean, train in deployment, deterrent patrolling, combat operations and live firing.

MGen Holmes said he's found it fascinating to observe different approaches to soldiering.

"Structures, radios, weapons, command post layouts, clothing and rations, all vary between nations," he said. "I especially enjoy the Italian cheese. Their rations still come with wine for all ranks. It is particularly interesting to see the Hungarians, Poles and Czechs in the field."

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MGen Walter M. Holmes receives the colours from then Supreme Allied Commander Europe (SACEUR) Gen Wesley  
K. Clark in December 1999 after being appointed AMF(L) commander.

Le mgén; Walter M. Holmes reçoit; les drapeaux du gén; Wesley K. Clark, alors Commandant suprême; des Forces alliées; en Europe (SACEUR), en décembre; 1999 après; avoir ét;é nommé commandant de l'AMF(L).

Le commandant de l'AMF(L) « toujours impressionné » par les troupes


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par Buzz Bourdon

Pour le mgén; Walter M. Holmes, commander une force multinationale de 22 000 militaires provenant de 17 pays de l'OTAN est un défi; plaisant et très; formateur.

Nommé commandant de la Force mobile (Terre) du Commandement allié en Europe (AMF (L)) le 19 décembre; 1999, le mgén; Holmes compose quotidiennement avec une variét;é déconcertante; de cultures militaires.

Mais tout fonctionne bien, précise; le mgén; Holmes qui avait reçu; son brevet d'officier alors qu'il était; avec The Royal Canadian Regiment en 1967. Il est le troisième; militaire canadien à commander l'AMF(L), cette prestigieuse force d'intervention rapide de l'OTAN.

« Chaque fois que l'AMF(L) se déploie;, je suis impressionné de constater le bon déroulement; des opétrations.; Déployer; en bon ordre des forces de 17 nations différentes; vers des théâtres; lointains pour y exécuter; des opérations; avec cohésion; est une entreprise de taille, mais c'est le défi; que nous relevons jusqu'à trois fois par an », explique le mgén; Holmes basé à Heidelberg en Allemagne.

C'est en 1960, au moment où la guerre froide est à son apogée;, que l'AMF(L) est constituée; en tant que force stratégique; déployable; pour montrer la solidarité de l'OTAN et sa détermination; à se défendre; contre l'agression. Jusqu'en 1995, elle inclut un él;ément; aérien.;

En 1995, l'AMF(L) devient la force de réaction; immé-diate; (Terre) du Commandant suprême; des Forces alliées; en Europe pouvant être; employée; dans tous les types d'opérations;, de l'aide humanitaire aux opérations; de combat de haute intensité.;

Les troupes de l'AMF(L) proviennent du Canada, de la Grèce;, de la Hongrie, de l'Italie, de l'Espagne, de la Turquie, de l'Allemagne, de la Norvège;, de la Belgique, du Danemark, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la Pologne, du Portugal, de la République; tchèque;, des États-Unis; et du Royaume-Uni.

La Force comprend treize bataillons d'infanterie, neuf batteries d'artillerie et un él;ément; de soutien national.

Le Canada contribue avec un groupe-batallion d'infan-

Image: MGen Holmes speaks with a Hungarian air defence officer during Ex ARDENT GROUND in Hungary.Le mgén; Holmes s'entretient avec un officier hongrois de la défense; aérienne; au cours de l'Ex Ardent Ground, en Hongrie.Photos: Capt / capt Simon Bernard

terie incluant une batterie d'artillerie et un él;ément; de soutien national. En avril, cet engagement sera confié au 3e bataillon du Princess Patricia's Canadian Light Infantry, au 1er Bataillon des services et au 1er régiment; du Royal Canadian Horse Artillery.

L'AMF(L) est organisée; de manière; à pouvoir être; opérationnelle; dans les 13 jours suivant son déploiement; sur le théâtre; d'opérations;, avec une dotation de sept jours de munitions et d'approvisionnement. Son quartier gén;éral; et une compagnie de carabiniers de chaque bataillon d'infanterie sont à 72 heures d'avis de mouvement, et le reste de la force, à sept jours d'avis.

Chaque année;, l'AMF(L) s'entraîne; dans les régions; du Nord et du Sud de l'Europe. Ainsi les soldats ont l'occasion de s'entraîner; au déploiement;, aux patrouilles de dissuasion, aux opérations; de combat et au tir réel; dans des conditions très; variées; : climat de l'Arctique avec ses températures; sous zéro; et climat méditerran;éen; avec sa chaleur intense.

Pour le mgén; Holmes, il a ét;é fascinant d'observer les différentes; approches d'art militaire. Ainsi explique-t-il :

« Les structures, les radios, les armes, l'aménagement; des postes de commandement, l'habillement et les rations varient entre les nations. J'apprécie; particulièrement; le fromage italien. Leurs rations sont toujours accompagnées; de vin. J'ai trouvé particulièrement; intéressant; de voir les Hongrois, les Polonais et les Tchèques; en campagne. »


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Image: MCpl / cplc Ken Allan, Combat Camera

Sourire gagnant : Le sgt Jason Kralt (en bas à gauche), un réserviste; au sein des Governor General's Foot Guards (GGFG) d'Ottawa, pose avec la Coupe Grey le 27 février; en compagnie de quelques collègues.; Le sgt Kralt, qui s'est joint aux GGFG en 1992 et qui a servi en Croatie en 1994, est un secondeur de ligne auprès; des Lions de la Colombie-Britannique de la Ligue canadienne de football. Le 26 novembre 2000, les Lions ont battu les Alouettes de Montréal; par 28 à 26, pour ainsi remporter leur deuxième; Coupe Grey en six ans.

Le 28 février;, le lgén; Mike Jeffery a remis au sgt Kralt le médaillon; du commandant de l'Armée; de terre.

Winning smile: Sgt Jason Kralt (bottom left), a Reservist with Ottawa's Governor General's Foot Guards, poses with the Grey Cup February 27 with some of his colleagues. Sgt Kralt, who joined the GGFG in 1992 and served in Croatia in 1994, is a linebacker with the B.C. Lions of the Canadian Football League. The Lions beat the Montréal; Alouettes 28-26 on November 26, 2000, to win their second Grey Cup in six years.

LGen Mike Jeffery presented Sgt Kralt with the army commander's coin on February 28.

Changes made to Integrated Relocation Pilot Program


By Allison Delaney

Only if your pet resides in the family home and is allowed in the living room can related expenses be claimed when you are posted.

One of the many changes to the Integrated Relocation Pilot Program (IRPP), it includes a clear definition of a family pet. "This definition eliminates horses and sheep," said Master Warrant Officer Pearl Danford, with a laugh. MWO Danford, who worked on this year's IRPP changes, said there has always been money available for the care of pets during a move, but a clear definition was lacking.

Changes to the IRPP, which will be in effect for Active Posting Season (APS) 2001, were made in consultation with the Royal Canadian Mounted Police, Treasury Board Secretariat and Royal LePage Relocation Services. MWO Danford said the opinions of CF members are also taken into consideration when implementing change to the IRPP.

"We meet with Treasury Board to review our policies and make sure adjustments are in accordance with regulations. We also sit with the RCMP, because we are all dealing with the same difficulties when it comes to the IRPP," she said. "We work hand-in-hand with a great number of people to come up with a program that meets the needs of our members."

Other changes to the IRPP include:  
* Relocations for release purposes from isolated posts within Canada and from locations outside Canada are now included within the program. Limitations in certain benefits/entitlements will apply;

* The Home Inspection Trip (HIT) is extended to include members who have secured a replacement residence (including official quarters, PMQs) and who have not taken a House Hunting Trip (HHT). The benefit is available to the member or spouse, but not both. The use of the enhanced core/customized component will not be allowed to enhance the entitlement;

* The length of time Furniture and Effects (F&E;) may stay in Storage-In-Transit (SIT) has been changed from a maximum of 60 days to reimbursement not

beyond the last day that Interim Lodging, Meals and Incidentals (ILM&I;) is authorized from the basic core;

* Only one professional appraisal will be reimbursed from basic core moneys on the sale of a principal residence. Any additional appraisals shall be funded from the enhanced core/customized funding envelope if requested by the member;

* The entitlement to the acceptance of the rental incentive has been extended to coincide with the two-year eligibility to purchase a replacement residence;

* Two additional addenda have been added to recognize the move to and from Goose Bay as having unique requirements associated with this posting and to provide members with flexibility if an early move to an Intended Place of Residence (IPR) is necessary;

* The time limit under which a member can claim benefits pertaining to the replacement of a principal residence (provided the replacement residence is purchased at the new location) has been expanded to include one year before;

* Members without dependants whose principal residence is unsold by their reporting date can now proceed to their new place of duty prior to the move of their F&E; and be entitled to receive up to 12 months of free quarters (but not free rations) at their new place of duty;  
* Business class travel is not authorized within Canada and the continental United States;

* The Temporary Dual Residence Allowance (TDRA) reimbursement is authorized from the basic core for one month if a member is required to purchase before the reporting date; and  
* The reimbursement of any vehicle rental cannot exceed the maximum cost of a rental compact car.

"We have made extensive clarifications within this year's package," said MWO Danford. "This year's IRPP package has provided sufficient guidance to help make the member's move as easy as possible."

Additional modifications can be found in the CF IRPP policy document, including all addenda for APS 2001, on the following

Modifications au Programme pilote de relocalisation intégr;ée; (PPRI)


intranet/Internet sites: http://hr.dwan.dnd.ca/dgcb/dcba/irpp and http://www.dnd.ca.hr/dcba/irpp

par Allison Delaney

Pour que vous puissiez réclamer; le remboursement des dépenses; connexes, lorsque vous êtes; mutés;, il faudrait que votre animal de compagnie réside; dans la maison familiale et soit autorisé à entrer dans le salon.

Parmi les nombreuses modifications apportées; au Programme pilote de relocalisation intégr;ée; (PPRI), mentionnons l'ajout d'une définition; claire de ce qu'est un animal de compagnie. « Les chevaux et les moutons ne répondent; pas à cette définition; », indique l'adjum Pearl Danford en riant. L'adjum Danford, qui s'est occupée; des modifications apportées; au PPRI cette année;, explique que des indemnités; ont toujours ét;é versées; pour le soin des animaux favoris pendant un dém;énagement;, mais qu'il n'existait pas de définition; claire.

Les modifications au PPRI, qui seront en vigueur au moment de la période; active des affectations 2001, ont ét;é apportées; en collaboration avec la Gendarmerie royale du Canada, le Secrétariat; du Conseil du Trésor; et le Service de relogement Royal LePage. L'adjum Danford indique qu'il est également; tenu compte des opinions des militaires des FC lorsque sont apportées; des modifications au PPRI.

« Nous rencontrons le Conseil du Trésor; pour examiner nos politiques et nous assurer que les rajustements respectent la réglementation.; Nous rencontrons égale-;

ment la GRC parce que nous nous heurtons aux mêmes; difficultés; en ce qui concerne le PPRI, fait-elle remarquer. Nous travaillons en collaboration pour arriver à mettre au point un programme qui réponde; aux besoins de nos militaires. »

D'autres modifications ont ét;é apportés; au PPRI, notamment :  
* Les dém;énagements; à partir de postes isolés; du Canada et de l'extérieur; du Canada, aux fins de la libération;, sont maintenant inclus dans le programme. Des restrictions à certains avantages ou droits s'appliquent;

* Les militaires qui ont obtenu une résidence; de remplacement (notamment un logement officiel, un LF) et qui n'ont pas fait de voyage à la recherche d'un domicile (VRD) ont maintenant droit au voyage d'inspection d'une maison (VIM). L'indemnité est offerte au militaire ou à sa conjointe ou son conjoint, mais pas aux deux. Il ne sera pas permis de recourir à la composante de base accrue/sur mesure pour augmenter l'indemnité

* La durée; autorisée; pour l'entreposage en cours de route (ECR) des meubles et effets (M&E;) a ét;é modifiée; : elle était; d'un maximum de 60 jours et elle s'étend; maintenant jusqu'au dernier jour prévu; dans la composante de base pour les frais de FLRCD&FF;

* Une seule évaluation; professionnelle sera remboursée; à même; l'enveloppe de

la composante de base, à la vente d'une résidence; principale. Toute autre évaluation; sera financée; à même; l'enveloppe de financement de base accrue ou sur mesure si le militaire le demande;

* Le droit d'accepter une prime de location a ét;é étendu; et il correspond maintenant aux deux années; où le militaire a le droit d'acheter une résidence; de remplacement;

* Deux addenda ont ét;é ajoutés; pour tenir compte du fait que les déplacements; pour se rendre à Goose Bay et en revenir comportent des exigences particulières; relatives à cette affectation et pour permettre aux militaires d'avoir toute la souplesse voulue s'ils doivent dém;énager; rapidement vers un domicile projeté (DP);  
* La durée; maximale au cours de laquelle un militaire peut réclamer; des indemnités; pour le remplacement d'une résidence; principale (sous réserve; de l'achat de la résidence; de remplacement au nouveau lieu de travail) a ét;é pro- longée; et elle inclut maintenant l'année; qui préc;ède;

* Les militaires sans personnes à charge dont la résidence; principale n'est pas vendue à leur date d'entrée; en fonction peuvent maintenant se rendre à leur nouveau lieu de travail avant le dém;é-;

nagement de leurs M et E et bén;éficier; d'un maximum de 12 mois de logement gratuit (mais pas de vivres gratuits) à leur nouveau lieu de travail;

* Les voyages en classe affaires ne sont pas autorisés; à l'intérieur; du Canada et de la partie continentale des États-Unis;

* Le remboursement de l'aide temporaire à la double résidence; (ATDR) est autorisé à même; l'enveloppe de financement de base, pour une durée; d'un mois, si un militaire est tenu d'acheter avant sa date d'entrée; en fonction;

* Le remboursement d'un véhicule; de location ne peut dépasser; le coût; maximal de location d'une voiture compacte.

« Le programme de cette année; renferme d'importantes précisions;, indique l'adjum Danford. Le PPRI de cette année; renferme suffisamment de conseils pour faciliter au maximum le dém;énagement; du militaire. »

Vous trouverez dans le document de politique du PPRI des FC les autres modifications apportées;, notamment tous les addenda pour la PAA 2001, sur le site de l'Intranet, à http://hr.dwan.dnd.ca/ dgcb/dcba/irpp,

http://www.dnd.ca.hr/dcba/irpp.

et d'Internet, à

Vol. 4, No. 9, 2001




Where the owls and the antelope play


By A/SLt Petie LeDrew

Southern Alberta's CFB Suffield is more than an ideal area for soldiers to practice motorized warfare: it is also a protected wildlife area.

The base, the largest Army training area in Canada, is roughly half the size of Prince Edward Island. The entire base is a wildlife sanctuary. Hunting is prohibited in this conservationist's dream, which is a haven for countless species of animals and plants.

"The uniqueness and sensitivity of the region's ecosystem and the necessity to pro-

tect it have been recognized for a long time," said Wes Richmond, Suffield's environmental officer. "Military training was banned from several regions of the base in the early 1970s, shortly after its creation."

This unique environment is home to several rare, threatened or endangered species, such as the western hognose snake and the pronghorn antelope. More than 50 percent of the grasses found in Suffield are native, representing the largest area of native grass-

land in western Canada.

In 1992, DND and Environment Canada worked together to designate a 458 km2 section of the base as the Suffield National Wildlife Area (SNWA), the second-largest region of its kind in Canada. DND remains the custodian of the land and manages it with input from Environment Canada.

Access to the area is closely controlled and monitored by range personnel. "All personnel undergo mandatory environ-

mental awareness training, as do troops prior to deploying onto the training area," said Mr. Richmond. "Moreover, all visitors are briefed as well." This training includes discussions, videos and de-briefs on past occurrences-negative as well as positive.

To learn more about Suffield's animals and plants, visit the Web site at http://suffield.dwan.dnd.ca A/SLt LeDrew works for Director General Public Affairs.

Image: CFB / BFC SuffieldPronghorn antelopes graze at CFB Suffield. Des antilopes d'Amérique; broutent à la BFC Suffield.

Le paradis du hibou et de l'antilope


par l'ens 2 Petie LeDrew

La BFC Suffield, dans le sud de l'Alberta, est bien plus qu'un endroit idéal; où les soldats peuvent faire un exercice de guerre motorisée;, c'est aussi une réserve; faunique.

La base, la plus importante zone d'entraînement; de l'armée; au Canada, correspond en superficie à la moitié de l'Île-du-Prince-;Édouard.; Toute la base est un refuge faunique. La chasse est interdite dans ce paradis du protecteur de l'environ- nement où l'on retrouve un nombre incalculable d'espèces; animales et vég;étales.;

« Le caractère; exceptionnel et la vulnéra-;

bilité de l'écosyst;ème; de la région; de même; que la nécessit;é de le protéger; sont reconnus depuis longtemps », explique Wes Richmond, agent environnemental de Suffield. « L'entraînement; militaire a ét;é interdit sur plusieurs secteurs de la base dès; le début; des années; 1970, peu après; sa création.; »

Dans cet environnement particulier, on retrouve plusieurs espèces; rares, menacées; d'extinction, comme la couleuvre à nez retroussé et l'antilope d'Amérique.; Plus de 50 p. 100 des herbes qu'on trouve à Suffield sont indigènes; il s'agit de la plus impor-

tante zone d'herbage de l'Ouest du Canada.

En 1992, le MDN et Environnement Canada ont uni leurs efforts pour désigner; une section de 458 km2 de la base comme Réserve; nationale de la faune à Suffield, la seconde du genre en importance au Canada. Le MDN demeure le gardien des terres et il les gère; en collaboration avec Environnement Canada.

L'accès; à la réserve; est rigoureusement contrôl;é et surveillé par des gardiens. « Tout le personnel suit obligatoirement une séance; de sensibilisation à l'environnement, comme le

font les soldats avant leur déploiement; dans la zone d'entraînement;, souligne M. Richmond. Tous les visiteurs sont mis au courant. » La formation comprend des discussions, des vidéos; et des comptes rendus sur les incidents passés;, négatifs; et positifs.

Pour en apprendre davantage sur les animaux et les plantes de Suffield, consulter le site Web à l'adresse http://suffield.dwan.dnd.ca L'ens 2 LeDrew est affectée; à la Direction

gén;érale; des Affaires publiques.

Des camps temporaires peuvent être; déploy;és; « où que nous soyons »


Temporary camps can deploy 'wherever we might be'


par Mitch Gillett

By Mitch Gillett

La version canadienne du camp temporaire démontable; (CTD) pourrait très; bien réduire; la vie sous la tente au rang de sujet de conversation de militaires de longue date au fond d'un mess.

« Notre CTD est tout bonnement un système; autonome grâce; auquel nous pouvons nous installer où que nous soyons », explique le col Jim Simpson, J3 génie; et conseiller du service du génie; militaire canadien au QGDN. « Il est conçu;, a-t-il poursuivi, de manière; à servir aussi bien dans le désert; que dans l'Arctique... Il peut être; remballé et être; utilisé sept ou huit fois avant de parvenir à la fin de son cycle de vie. »

Le CTD militaire permet la mise en place d'installations importantes avec systèmes; entièrement; intégr;és; comme la production d'énergie;, la distribution d'électricit;é et la

défense; périm;étrique;, sans oublier la gestion des déchets;, la distribution de l'eau et les systèmes; de traitement.

Le CTD utilisé par les FC a subi son premier test véritable; au Kosovo quand des soldats canadiens ont ét;é déploy;és; dans cette région; à la fin de la campagne aérienne; de 178 jours.

« Une fois la mission terminée;, les camps ont ét;é rapidement démont;és;, nettoyés; et emballés; dans des conteneurs gardés; en Italie. Ils étaient; prêts; pour la prochaine mission qui allait se dérouler; en Érythr;ée; et en Éthiopie; », a expliqué Glen Thorne, un des associés; de Weatherhaven, entreprise établie; à Vancouver. « Deux de ces CTD, a-t-il poursuivi, ont ét;é montés; rapidement par seulement quelques superviseurs de Weatherhaven et une équipe; technique d'appoint... »

The Canadian version of a Relocatable Temporary Camp may soon turn the concept of sleeping under canvas into something veteran soldiers chew over in the mess.

"Our RTC is literally a self-contained capability for putting ourselves wherever we might be," said Colonel Jim Simpson, J3 engineer and Canadian military engineer branch advisor at NDHQ. "It is designed so it can be put into a desert setting or, indeed, into an Arctic setting... It can be packed up, and the camp itself can be used about seven or eight times before it comes to the end of its life cycle."

The military's RTC accommodates the installation of major facilities with completely integrated service systems such as power generation, electrical distribution

and perimeter security. Waste management, water distribution and treatment systems are also part of the camp's design.

The RTC used by the CF got its first true test in Kosovo when Canadian soldiers were deployed to the region at the end of the 178-day air campaign.

"Once the mission came to a close, the sets were quickly taken down, cleaned and packed away in containers that were stored in Italy and ready to be used in the next mission, which turned out to be Eritrea- Ethiopia," said Glen Thorne, a partner in Vancouver-based Weatherhaven. "Two of these RTC sets were set up quickly using only a few Weatherhaven supervisors and an engineering surge team."


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;


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