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Maple Leaf


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Air Force Editor  
Kristina Davis (819) 776-2814


Aurora finds survivors in sea off Scottish coast


By Lt(N) John Coppard

KINLOSS, Scotland - A CP-140 Aurora Maritime Patrol Aircraft crew from 19 Wing Comox was the first to locate seven survivors after the German-registered fishing vessel Hansar sank 380 km off the west coast of Scotland on March 6.

The Aurora's crew, airborne off the coast of Scotland participating in a NATO exercise, flew an hour west before spotting the survivors in 7 m seas.

"We found them on the first pass," said Captain Mike Verville, the Comox-based 407 Maritime Patrol Squadron detachment commander. "We homed in on their EPIRB (emergency position-indicating radio beacon) and spotted lights and a flare, so we knew there were people still alive."

Capt Verville and the crew then dropped smoke markers and sonobuoys, designed to detect submarines, into the

water so they could keep track of the survivors' position. They then contacted a nearby merchant vessel, transiting approximately thirty minutes away, and directed it to the scene.

The merchant vessel's crew, however, were unable to rescue the survivors due to high seas and 65 km/h winds, so the Aurora circled the area until relieved by a Royal Air Force Nimrod aircraft an hour later.

A coast guard and naval helicopter eventually picked up seven survivors, two of whom were reported to be still in their nightclothes; the remaining nine crewmembers were not found.

Twenty aircrew and technicians from 407 Maritime Patrol Squadron and a detachment from 14 Wing Greenwood are in Scotland for biannual, two-week, NATO-sponsored Joint Maritime Course (JMC). They were operating with a

German-French Naval Task Group on an anti-submarine exercise when they first received the distress call.

The Aurora, designed as a submarine hunter in the 1970s, can carry two survival pods in its torpedo bay on long-range surveillance missions that can be dropped, although none were used on the JMC military exercise. In addition to search and rescue and anti-submarine warfare, the aircraft regularly perform a variety of surveillance missions targeting polluters, smugglers and illegal fishers. On February 21, a Comox-based Aurora detected and reported the suspected cocaine-smuggling vessel Westward Wind off the Washington coast, leading to the crew's arrest.  
Lt(N) Coppard is a public affairs officer at 19 Wing Comox.

Un Aurora repère; des survivants au large de la côte; d'Écosse;


par le ltv John Coppard

KINLOSS, Écosse; - L'équipage; d'un avion de patrouille maritime CP-140 Aurora de la 19e Escadre Comox a ét;é le premier à localiser sept survivants, après; que le navire de pêche; Hansar battant pavillon allemand eut coulé à 380 km de la côte; ouest d'Écosse;, le 6 mars.

L'équipage; du Aurora effectuait un vol au large de la côte;

écossaise; dans le cadre d'un exercice de l'OTAN. Il a volé pendant une heure en direction ouest avant de repérer; les survivants qui luttaient contre des vagues hautes de 7 m.

« Nous les avons vus dès; notre premier passage », a indiqué le capt Mike Verville, commandant du détachement; du 407e Escadron de patrouille maritime, basé à Comox. « Nous nous sommes dirigés; vers leur RLS (radiobalise de localisation des sinistres) et nous avons vu des lumières; et une fusée; éclairante.; C'est comme ça; que nous avons constaté qu'il y avait encore des survivants. »

Le capt Verville et son équipage; ont ensuite largué dans la mer des marqueurs fumigènes; et des bouées; acoustiques, qui sont conçues; pour détecter; les sous-marins, afin de

pouvoir suivre la position des naufragés.; Ils ont par la suite communiqué avec un navire marchand qui se trouvait à environ trente minutes de distance et lui ont demandé de se rendre sur la scène; du sinistre.

Toutefois, l'équipage; du navire marchand n'est pas parvenu à sauver les survivants en raison de la forte houle et des vents qui soufflaient à 65 km/h. L'Aurora a alors continué à décrire; des cercles au-dessus de la zone jusqu'à ce qu'il soit relevé par un avion Nimrod de la RAF, une heure plus tard.

Un hélicopt;ère; de la Garde côti;ère; et un autre de la Marine ont finalement récup;ér;é sept survivants, dont deux, semble-t-il, étaient; encore en vêtements; de nuit. Les neuf autres membres d'équipage; manquent toujours à l'appel.

Vingt membres d'équipage; et techniciens du 407e Escadron de patrouille maritime de même; qu'un détachement; de la 14e Escadre Greenwood sont en Écosse; pour suivre le cours maritime interarmées; (JMC) de deux semaines parrainé par l'OTAN, qui se donne deux fois par

année.; Ces militaires prenaient part à un exercice de lutte anti-sous-marine de concert avec un groupe opérationnel; naval franco-allemand lorsqu'ils ont reçu; l'appel de détresse.;

L'Aurora, conçu; pour la chasse aux sous-marins dans les années; 1970, peut transporter deux nacelles de survie largables dans son compartiment-torpille lors de missions de surveillance longue distance, mais il n'en avait aucune à bord lors de l'exercice militaire interarmées.; En plus de la recherche et sauvetage et de la guerre anti-sous-marine, l'Aurora effectue réguli;èrement; tout un éventail; de missions

de surveillance pour repérer; pollueurs, contrebandiers et navires pratiquant la pêche; illégale.; Le 21 février;, un Aurora de Comox a détect;é et signalé la présence; du navire Westward Wind, soupçonn;é de contrebande de cocaïne; au large de l'État; de Washington, provoquant ainsi l'arrestation de l'équipage.; Le ltv Coppard est officier d'affaires publiques à la 19e Escadre Comox.

Sourdough Rendezvous


Image

On dirait le nom d'un concours de boulangerie et pâtisserie;, mais c'est loin d'être; du gâteau.;

Pour ceux qui ne le sauraient pas, un sourdough - le terme se traduirait littéralement; par levain - c'est quelqu'un qui vient de passer un hiver complet dans le Grand Nord. Chaque année;, certains de ces vigoureux « levains de pâte; » se donnent rendez-vous à Whitehorse pour cél;ébrer; un carnaval d'hiver qui se déroule; sous le thème;

de la ruée; vers l'or de 1898. Le Sourdough Rendezvous, qui a lieu fin février;, comprend une exposition à laquelle participent des aéronefs; venus de partout au pays.

Jack et Myrna Kingscote en ont ét;é les hôtes; cette année; encore. Si l'on en croit la légende;, ils auraient fait consolider les planchers de leur maison pour leur permettre de supporter le poids de tous les membres d'équipage; qui atterrissent chez eux année; après; année.;

Sgt Eileen Redding, 19 Wing / 19 Escadre Comox

MCpl John Rivard, of 19 Wing Comox, sweeps snow from wing of a CC-115 Buffalo.

Le cplc John Rivard, 19e Escadre Comox, déneige; l'aile d'un CC-115 Buffalo.

While it sounds like your mother's baking contest, it ain't that tame.  
A "sourdough," to the uninitiated, is someone who has spent one full winter in the North. Some hearty sourdoughs get together-or rendez-vous-in Whitehorse every year for a kind of winter carnival designed to recreate the atmosphere of the 1898 gold rush. The Sourdough Rendezvous, held in late February, includes a static air show, with aircraft participating from across the country.

Jack and Myrna Kingscote were the hosts once again. Legend has it that they had the floors in their home strengthened to support the weight of the aircrew who flock to their house every year.

Image: The Maple Leaf / La Feuille d'érableA; dogsled race is one of the activities in  
Sourdough Rendezvous.La course d'attelages de chiens figure au programme deSourdough Rendezvous.



Rédactrice; de la Force aérienne; Kristina Davis fergus@intranet.ca


Harvards no longer grounded


Évacuation; sanitaire laborieuse pour des Tech SAR


par Cheryl Gudz

Le 4 février; dernier, deux semi-remorques roulaient en direction opposée; sur une route dont la traîtrise; en hiver est notoire, à quelque 800 kilomètres; au nord-est de Winnipeg (Man.), lorsqu'elles se sont heurtées; de plein fouet près; de Berens River.

Deux heures plus tard, le cplc Dave Lazarowich, technicien en recherche et sauvetage (Tech SAR), recevait l'appel qui l'enverrait, avec un autre Tech SAR et plusieurs membres clé de la 17e Escadre Winnipeg, dans les impitoyables étendues; glacées; du coeur du Manitoba.

« Le problème; tenait à ce qu'il n'y avait pas véritablement; d'aide médicale; dans la région;, précise; le cplc Lazarowich, ce qui signifie qu'il n'y avait pas d'ambulance ni de personnel paramédical;, et on estimait qu'il aurait fallu environ deux heures et demie pour envoyer quelque aide que ce soit sur les lieux. »

Lorsqu'on a abandonné le projet de parachuter les deux Tech SAR sur les lieux en raison de la neige et de la visibilité réduite;, il a ét;é question qu'ils sautent au-dessus du lac Slemon, complètement; gelé.; Ce plan s'étant; toutefois avér;é trop risqué lui aussi, l'équipage; a tenté d'atterrir à l'aéro-;

port d'Island Lake. Encore une fois, les conditions étaient; très; difficiles, et il a fallu quatre tentatives avant que l'avion puisse se poser sur la piste récemment; déneig;ée.; Escortés; par la GRC sur la route de glace, le cplc Lazarowich et le cplc Darcy St-Laurent sont arrivés; sur les lieux de l'accident un peu plus de deux heures plus tard.

Le conducteur et le passager du camion-citerne qui roulait vers le sud s'en étaient; sortis indemnes, mais l'autre conducteur était; grièvement; blessé.; « Son camion était; complètement; éventr;é, a déclar;é le cplc Lazarowich. Il est passé très; près; de se faire pulvériser; comme un insecte. »

Le cplc Lazarowich, Tech SAR expériment;é, affirme que cette mission a ét;é l'une des plus exigeantes qu'il a dû accomplir. « Normalement, nous amenons le patient à bon port en trois heures. Dans ce cas-ci, nous l'avons accompagné pendant presque 12 heures, et il n'a ét;é dépos;é à Winnipeg que 20 heures après; l'accident. C'est assurément; l'une des missions les plus longues que j'ai connues. »

Mme Gudz est affectée; aux affaires publiques de la 17 e Escadre Winnipeg.

15 WING MOOSE JAW - The CT-156 Harvard II fleet resumed flying operations March 7 after being temporarily suspended March 2 when a metal fragment was found in the engine oil of one aircraft.

The investigation, conducted by Pratt & Whitney Canada Inc., the engine manufacturer, determined that the metal gear tooth found in the metal chip detector had originated from a component that provides backup electrical power to the engine fuel control system.

During an instructor proficiency flight March 2, the crew received a warning light in the cockpit indicating that metal particles were detected in the engine oil. The crew took appropriate measures and landed the aircraft at 15 Wing.

Pratt and Whitney specialists indicated that even a complete loss of the component would have no effect on engine function because of the built-in redundancy. Therefore, CF and Bombardier Aerospace officials assessed it was safe for the Harvard II fleet to resume flying. An investigation will continue to determine the root cause of the loss of the gear tooth.

"I was very pleased to see that the industry quickly organized a strong team of technical experts and that from the start, both military and industry personnel were of one mind-that safety of flight was paramount. There was no rush to resume operations until we understood the causes and consequences associated with this incident," said 15 Wing Commander Colonel Bruce McQuade. "In very short order, Pratt and Whitney engineers were able to explain what happened, and I was very confident it was safe for the aircrew to resume flying operations."

The CT-156 Harvard II, manufactured by Raytheon, is a basic turboprop aircraft used by the CF for the first stage of pilot training in Moose Jaw. Students will normally fly about 95 hours on the Harvard II before proceeding to the advanced phase on fighter, multi- engine or helicopter training aircraft.

Image: Joe Bryksa, Winnipeg Free Press

Les Harvard reprennent l'air


Derrière; la civière;, de gauche à droite, le cplc Dave Lazarowich, Tech SAR, le capt Dawn Wojtowicz, infirmière; de bord, le cplc Darcy St-Laurent, Tech SAR, et le cplc Andrew Howlett, adjoint médical.; Derrière; le cplc Howlett, le sgt Roger Moroni, membre de l'équipage; SAR à bord de l'avion qui a évacu;é le camionneur blessé et les Tech SAR.

Behind the stretcher (from left to right) are MCpl Dave Lazarowich, SAR Tech; Capt Dawn Wojtowicz, Flight Nurse; MCpl Darcy St-Laurent, SAR Tech; and MCpl Andrew Howlett, Medical Assistant. Behind MCpl Howlett, Sgt Roger Moroni was part of the SAR crew on the medevac flight sent to retrieve the injured trucker and the SAR Techs.

SAR Techs complete arduous medevac


15e ESCADRE MOOSE JAW - La flotte de CT-156 Harvard II a repris ses opérations; aériennes; le 7 mars, après; avoir ét;é temporairement interdite de vol le 2 mars à la suite de la découverte; d'un fragment de métal; dans l'huile du moteur d'un des appareils.

L'enquête;, menée; par Pratt & Whitney Canada Inc., fabricant du moteur, a permis de déterminer; que la dent d'un engrenage métallique; trouvée; dans le détecteur; de limaille provenait d'un él;ément; du dispositif d'alimentation électrique; de secours du régulateur; d'arrivée; de carburant.

Le 2 mars, durant un vol de contrôle; de compétence; d'un instructeur, l'équipage; a vu s'allumer le voyant d'alarme indiquant la présence; de particules métalliques; dans l'huile du moteur. L'équipage; a pris les mesures qui s'imposaient et a posé l'appareil à la 15e Escadre.

Les spécialistes; de Pratt & Whitney ont déclar;é que même; la perte totale de l'él;ément; n'aurait eu aucune conséquence; sur le fonctionnement du moteur en raison d'une redondance de conception. Les représentants; officiels des FC et de Bombardier Aerospace ont donc estimé que la flotte des Harvard II pouvait reprendre l'air sans danger. L'enquête; se poursuit afin de déterminer; la cause première; de la perte d'une dent d'engrenage.

« J'ai ét;é très; heureux de voir que l'entreprise a rapidement constitué une équipe; d'experts techniques extrêmement; compétente; et que, dès; les premiers instants, les militaires et le personnel de l'entreprise se sont fixé un même; objectif : assurer, avant toute chose, la sécurit;é des vols. Il n'était; pas question de précipiter; la reprise de ces derniers tant que n'auraient pas ét;é identifiées; les causes et les conséquences; possibles d'un tel incident », a déclar;é le col Bruce McQuade, commandant de la 15e Escadre. « Les ingénieurs; de Pratt & Whitney ont ét;é capables, en très; peu de temps, de nous expliquer ce qui s'était; produit et j'ai alors su qu'on pouvait, en toute confiance et sans danger, autoriser les équipages; à reprendre les vols. »

Le CT-156 Harvard II, construit par Raytheon, est un appareil à turbopropulseur simple utilisé par les FC à Moose Jaw pour la phase él;émentaire; de formation au pilotage. Les él;èves-pilotes; volent normalement 95 heures sur Harvard II avant de passer à la phase de formation avancée; sur chasseur, multimoteur ou hélicopt;ère; d'entraînement.;

By Cheryl Gudz

While travelling in opposite directions on a notoriously treacherous winter road about 800 km northeast of Winnipeg, two semi-trailers were involved in a head-on collision near Berens River, Man., February 4.

Two hours later, Master Corporal Dave Lazarowich, one of two Search and Rescue Technicians (SAR Techs) tasked to the mission, received the call that would send them, and several other key members from 17 Wing Winnipeg, to the unforgiving icy lands of central Manitoba.

"The problem was there was no real assistance in that area," said MCpl Lazarowich. "No medical assistance means no ambulance and no paramedics, and it was estimated that it would be about two and a half hours before they could get any sort of help to the scene."

When the idea of sending in the two SAR Techs to the site by parachute was ruled out due to snowy conditions and lack of visibility, the next plan was to parachute onto frozen Slemon Lake. It was too risky to jump, so they tried

to land at Island Lake Airport. But because of the nasty weather, it took the crew four passes before finally touching down on the recently ploughed airstrip. Escorted by the RCMP, MCpl Lazarowich and MCpl Darcy St-Laurent made it to the accident site via the ice road a little over two hours later.

The driver and passenger of the southbound tanker were uninjured but the other driver was seriously hurt. "His [truck] was peeled right open," said MCpl Lazarowich. "He was very close to being squashed like a bug."

MCpl Lazarowich says this was one of the most demanding missions he has been on. "Normally we turn over a patient in 3 hours," said the veteran SAR Tech. "It was nearly 12 hours that we had this fellow, and he was 20 hours from his accident until handoff in Winnipeg. That's definitely one of the longest missions I've had." Ms. Gudz is with 17 Wing Winnipeg Public Affairs.

Vol. 4, No. 10, 2001



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