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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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A suitable distinction


Une distinction seyante


By Buzz Bourdon

par Buzz Bourdon

John Mollo wrote in Military Fashion that "military dress has had two distinct qualities-the functional and the symbolic- which are still discernible, even in the drab uniforms of today."

Today's distinct environmental uniform, adopted by each service in the middle 1980s, is worn on ceremonial parades. The army is currently replacing its combat uniform from the early 1960s with the new CADPAT uniform. Air force members wear a work dress uniform, as do sailors aboard ships and ashore.

En portant l'uniforme, les membres des FC signifient au monde entier qu'ils sont militaires.

L'uniforme est souvent considér;é comme

une tenue d'honneur et il témoigne; de la fierté que ressent la personne qui le porte envers son commandement, son unité ou sa branche.

L'idée; de faire porter le même; genre de

vêtements; à un groupe de guerriers remonte à l'homme primitif, qui se prépare; à la guerre en se couvrant de cuir, de plumes et autres parures.

Au Moyen Âge, monarques et nobles uniformisent la tenue de leurs représentants;, serviteurs et soldats en leur faisant porter la livrée; de couleur.

Pendant la guerre civile en Angleterre, les soldats des deux camps portent des uniformes de différentes; couleurs, compliquant d'autant la capacité de distinguer ami et ennemi. Les officiers se nouent une écharpe; pourpre à la taille.

C'est pendant cette guerre qu'apparaît; la veste écarlate; de l'infanterie britannique, connue dans le monde entier, plus précis;ément; en 1645, lorsque Oliver Cromwell constitue son « armée; du nouveau modèle; » pour accéder; au Parlement. Quand Charles II reprend le trône; en 1660, ses régiments; portent aussi l'écarlate.;

Après; la conquête; de la Nouvelle- France par les Britanniques en 1760, les miliciens canadiens se convertissent peu à peu à l'uniforme britannique. Les régiments; militaires suivent la mode britannique, arborant une fascinante collection de casques à plumes, d'ép;ées;, d'attributs, d'écharpes;, de bonnets à poils.

À la fin du XIXe siècle;, le kaki supplante l'écarlate; pour la tenue de campagne et de combat, mais les régiments; canadiens conservent leur superbe grande tenue pour les cér;émonies.; Bon nombre l'utilisent encore aujourd'hui.

John Mollo précise; d'ailleurs dans Trois siècles; d'uniformes militaires que « la tenue militaire reflète; deux particularités; distinctes, le fonctionnel et le symbolique, qui sont encore bien évidentes;, même; dans les ternes uniformes de nos temps modernes ».;

L'uniforme distinctif d'él;ément;, adopté au milieu des années; 1980, se porte maintenant lors de cér;émonies.; L'Armée; remplace actuellement sa tenue de combat, qui remontait au début; des années; 1960, par le nouvel uniforme au dessin de camouflage canadien (DCAM). Les membres de la Force aérienne; portent une tenue de travail, tout comme ceux de la Marine en mer et sur terre.

Wearing a uniform is a convenient way for CF members to show the world they belong to the military.

Regarded by many as a suit of honour, a uniform also reflects an individual's pride in belonging to a command, unit or branch.

The concept of a group of warriors wearing common clothing grew from primitive man preparing for war by disguising himself with such accessories as leather, feathers or other ornaments.

By the Middle Ages, monarchs and nobles were standardizing the dress of their officials, servants and soldiers by issuing coloured livery.

During the English Civil War, both sides dressed their soldiers in a variety of colours, which did little to distinguish friend from foe. Officers wore crimson sashes around their waists.

The world-famous scarlet coat of the British infantry was seen in that war in 1645, when Oliver Cromwell organized his New Model Army for Parliament. When Charles II was restored to his throne in 1660, his regiments also wore scarlet.

After Britain conquered New France in 1760, Canadian militiamen gradually adopted British uniforms. As British military fashion evolved, Canadian regiments followed suit by wearing a fascinating array of plumed helmets, swords, accoutrements, sashes, bearskins and so on.

By the end of the 19th century, khaki replaced scarlet for wear on field exercises and the battlefield; however, Canadian regiments retained their splendid full- dress uniforms for ceremonial purposes. Many are still used today.

Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians) on parade.

Défil;é du Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians).

Image

March 24 1945: At 10 a.m., more than a million Allied and German ground troops in and around the Rhineland city of Wesel watch as the sky fills with aircraft: 1795 transports and 1050 tugs towing 1305 gliders. This is U.S. XVIII Airborne Corps, an American-British formation

commanded by General Matthew Ridgeway of the U.S. Army. They are executing Operation VARSITY, the biggest airborne assault in history and the key phase of the Allies' big push across the Rhine.

Unlike previous Allied airborne operations, Op VARSITY takes place in broad daylight, timed to coincide precisely with the ground assaults. Gen Ridgeway's audacious plan is to drop the Allied front line right into the heart of the German defences- about 6.5 km east of the Rhine, on a heavily defended, tactically crucial ridge abutting the river.

The sole Canadian unit in Op VARSITY is the 1st Canadian Parachute Battalion. About a third of the Canadian parachutists are veterans of D-Day and Arnhem; the rest are recently trained "leg" soldiers and green boys. After weeks of rigorous training and rehearsal, all are at the peak of battle-readiness.

The airborne soldiers' biggest problem is to stay alive long enough to get into action on the ground. If they get past the flak-no easy task-they must avoid the rifle fire constantly raking the drop zones. The Germans are making a last-ditch stand.

During this action, Corporal Frederick George Topham, the medical assistant attached to C Company, 1st Canadian Parachute Battalion, earns the Victoria Cross. Despite a bullet wound in the face, he stays in the battle to treat casualties under fire. Finally, he braves a mortar barrage to climb on top of a burning Bren gun carrier and haul out the three occupants.

Operation VARSITY achieves its aims, but at great cost: 1100 parachutists, glider infantry and aircrew dead, and another 1800 wounded, all in a patch of land  
9.6 km long and 8 km wide.

Cpl George Topham, photographed ca. 1945 before the presentation of his V.C.

24 mars 1945. À 10 h du matin, plus de un million de soldats alliés; et de fantassins allemands de la ville et des environs de Wesel, en Rhénanie;, ont les yeux levés; vers le ciel envahi par 1795 avions de transport et 1050 avions remorquant 1305 planeurs. Il s'agit du US XVIII Airborne Corps, une formation américanobritannique; commandée; par le gén; Matthew Ridgeway, de l'US Army. Cette formation exécute; l'Op Varsity, le plus important assaut aéroport;é de toute l'histoire et l'étape; déterminante; de la grande avancée; des Alliés; pour la traversée; du Rhin.

Contrairement aux opérations; aéroport;ées; antérieures; des Alliés;, l'Op Varsity se déroule; en plein jour et elle doit coïn-; cider avec les assauts terrestres. L'audacieux plan du gén; Ridgeway consiste à larguer la ligne de front des Alliés; en plein coeur des défenses; allemandes, à environ 6,5 km à l'est du Rhin, sur une crête; ardemment défendue; et essentielle sur le plan tactique, située; en bordure du fleuve.

La seule unité canadienne de l'Op Varsity est le 1er Bataillon canadien de parachutistes. Le tiers environ des parachutistes canadiens sont d'anciens combattants du Jour J et de la bataille d'Arnhem; les autres sont de simples fantassins et de tout jeunes hommes récemment; entraîn;és.; Au terme de plusieurs semaines d'entraînement; rigoureux et de rép;étitions;, ils ne pourraient être; davantage prêts; au combat.

Le plus gros problème; des soldats aéroport;és; est de rester vivants assez longtemps pour pouvoir prendre part aux combats au sol. S'ils survivent au tir des canons aériens; - ce qui n'est pas évident; - ils doivent éviter; les tirs au fusil qui balayent constamment les zones de largage. Les Allemands en sont à leur ultime effort défensif.;

C'est au cours de ces manoeuvres que le cpl Frederick George Topham, adjoint médical; rattaché à la Compagnie C du 1er Bataillon canadien de parachutistes, mérite; la Croix de Victoria. En dépit; d'une blessure par balle au visage, il reste dans la bataille pour traiter les blessés; sous les tirs des fusils. Finalement, il brave un barrage de mortiers pour grimper sur une chenillette porte-Bren en feu et en sortir les trois occupants.

L'Op Varsity atteint son objectif, mais le prix à payer est énorme; : 1100 parachutistes, fantassins et membres d'équipage; d'aéronefs; sont morts; 1800 autres ont ét;é blessés;, tout cela sur une parcelle de terrain de 9,6 km de longueur sur 8 km de largeur!

FOURTH


Image

DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


Chaplin

-Thomas

By / par C harmion

Image: Le cpl George Topham, photo- graphié vers 1945, avant qu'on lui décerne; la Croix de Victoria.National Archives of Canada / Archives nationales du Canada

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Mention élogieuse; pour le directeur administratif du CRFM de la 14

e

Escadre


par Allison Delaney

Récemment;, le plus ancien directeur administratif d'un centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) a ét;é reconnu pour son dévouement; à l'égard; des familles des militaires.

Fred Illingworth, directeur administratif du CRFM de la 14e Escadre Greenwood, a reçu; la Mention élogieuse; du commandant de l'escadre, fin janvier. M. Illingworth travaille au centre depuis sa création;, en 1986.

Sous l'autorité de M. Illingworth, le CRFM de Greenwood a évolu;é : du petit service d'information et d'orientation qu'il était;, il est devenu un centre communautaire qui offre plus de 25 services et programmes, notamment des services de gardiennage, de counselling personnel, de progression dans les études;, de déploiement;, ainsi que des cours spécialis;és.;

« Au cours de son mandat, Fred a vu passer le nombre d'utilisateurs du Centre de plusieurs centaines à bien au-delà de 20 000 par année; », mentionne la citation. « L'actuel succès; que remporte le CRFM de la 14e Escadre lui est en grande partie attribuable. »

Commendation for 14 Wing MFRC executive director


Image: Col Brian Handley, 14 Wing Commander, presents Fred Illingworth-sporting a dinosaur hat signifying his longevity-with a Wing Commander's Commendation.

By Allison Delaney

The longest-serving Military Family Resource Centre (MFRC) executive director in the CF was recently recognized for his dedication to military families.

Fred Illingworth, Executive Director of the MFRC at 14 Wing Greenwood, received a Wing Commander's Commendation at the end of January. Mr. Illingworth has been involved with the centre since its inception in 1986.

Under the guidance of Mr. Illingworth, Greenwood's MFRC has gone from a small information and referral service to an established community centre offering more than 25 services and programs, including childcare, personal counselling, educational advancement, deployment services and special-interest courses.

"During his tenure as Executive Director, Fred has seen an increase in the number of Centre users from several hundred to well over 20,000 annually," reads the commendation. "The current success of the 14 Wing MFRC is largely attributable to him."

Le col Brian Handley, commandant de la 14e Escadre, présente; à Fred Illingworth, qui porte un chapeau de dinosaure symbolisant sa longévit;é, la Mention élogieuse; du commandant de l'Escadre.

New program to help you make your move


CF members on bases across the country will soon benefit from a new Move Education Program (MEP) just in time for this year's posting season.

The MEP is designed to walk people through the entire move process, with particular attention paid to the protection of rights and settling loss/damage claims, including going to small claims court if necessary.

"Moves are hectic at the best of times, and they are particularly hectic and stressful for families with young children," said Al Strynadka, a consultant

working on the new program. "We want to teach people the process of moving their F & E (furniture and effects) and help them with loss/damage claims and protection of their interests."

Major John Francis, Compensation and Benefits Team Leader, said MEP was born out of a recommendation of the Standing Committee on National Defence and Veterans Affairs that the CF do something to assist members who encounter difficulties settling loss/damage claims.

"MEP goes beyond this," he said. "It describes the move process, tells people

By Allison Delaney

how to prepare for a move, and informs them about loss/damage restitution, protection of their rights and interests regarding claims, and the claims process itself."

The program has been prepared for presentation to members and spouses prior to the Active Posting Season (APS). It is anticipated most bases will give the briefings in the March-April-May timeframe.

Developed jointly by Quality of Life and Director Logistics Business Management (DLBM), MEP will be administered by all base administration and traffic offices on each CF base. Briefings will be held at the base level. An accompanying video in both official languages is in the final stages of production and will be distributed to bases shortly. The MEP presentation is also accessible to members on the DLBM Web site at http://lognet.dwan.dnd.ca/dtm/dtm_4 /index_e.htm

Points of contact for MEP are through base/unit administrative and traffic staffs, and through Military Family Resource Centres.

There is a dispute-resolution mechanism in place when members are not satisfied with the Integrated Relocation Project (IRP) process.

Last year was the first year for such a grievance process. "Through the process a member may disagree with something he's told or mistakes may have been made," said Maj John Francis, Compensation and Benefits Team Leader. "If the member disagrees, this is the mechanism he uses."

When a member is not satisfied with a decision made by Royal LePage Relocation Services (RLRS), the member must ask RLRS to review the file. The member must then provide the reason for the request in writing. RLRS will then establish a meeting with the CF Relocation Co-ordinator to review the file and ensure that the decision was fair, equitable and in accordance with the policy provisions.

If the CF Relocation Co-ordinator, who is a military member, is in agreement with the RLRS decision, the file will be annotated and the member is advised. If the member is still not satisfied with the decision, a request for consideration by Director of Compensation and Benefits Administration (DCBA) may be initiated. Submission to DCBA must be done in writing by the member and submitted through RLRS.

You might be heading on a House Hunting Trip (HHT), but that does not mean you have to give up your position on Married Quarter (MQ) waiting lists.

With Active Posting Season (APS) 2001 gearing up, the staff at Quality of Life/Compensation and Benefits has been receiving calls from concerned members about Married Quarter waiting lists. Maj John Francis, Compensation and Benefits Team Leader, said there is a misconception that members must take their name off MQ waiting lists if they go on a House Hunting Trip.

"The member does not lose his position in these circumstances," said Maj Francis. "Members taking an HHT can place their name on the MQ waiting list 60 days before their COS (change of strength) date-like all other members; however, if the member is offered and accepts an MQ, there is subsequently no entitlement for an HHT. The member may then take a House Inspection Trip instead."

Maj Francis said any concerns regarding this entitlement should be discussed with Royal LePage Relocation Services/Integrated Relocation Project (RLRS/IRP) representatives in the planning stages of their move.

Un nouveau programme pour faciliter votre dém;énagement;


par Allison Delaney

Les membres des FC des bases de partout au pays profiteront bientôt; d'un Programme d'éducation; au dém;énagement; (PED) qui sera lancé juste avant la saison d'affectation de cette année.;

Le PED a pour but d'accompagner les gens tout au long du processus de dém;énagement;, en accordant une attention particulière; à la protection des droits et au règlement; des réclamations; pour pertes et dommages, même; à la cour des petites créances;, s'il y a lieu.

« Au mieux, les dém;énagements; sont mouvementés; et ils sont particulièrement; tumultueux et stressants dans le cas des familles qui comprennent de jeunes enfants »,

indique Al Strynadka, expert-conseil qui s'occupe du nouveau programme. « Nous voulons enseigner aux gens comment procéder; pour le dém;énagement; de leurs M&E; (meubles et effets) et les aider à faire leurs réclamations; pour pertes et dommages et à protéger; leurs intér;êts.; »

Le maj John Francis, chef de l'équipe; Rémun;ération; et avantages sociaux, explique que le PED est issu d'une recommandation du Comité permanent de la défense; nationale et des anciens combattants selon laquelle les FC doivent prendre des mesures pour aider les membres qui éprou-; vent des difficultés; à obtenir le règlement; de leurs réclamations; pour pertes et dommages.

« Le PED va bien au delà de cette recommandation, explique le maj Francis. Il décrit; la procédure; de dém;énagement;, explique aux gens comment se préparer; et les informe au sujet du dédommagement; des pertes et dommages, de la protection de leurs droits et intér;êts; en matière; de réclamations; et du processus même; de règlement; des réclamations.; »

Le programme a ét;é mis sur pied pour être; présent;é aux membres et à leurs conjointes ou conjoints avant la période; active des affectations (PAA). On prévoit; que la plupart des bases donneront des séances; d'information en mars, avril et mai.

Élabor;é conjointement par le personnel de la Qualité de vie et de la Direction de la gestion des affaires logistiques (DGAL), le PED sera mis en application par les bureaux de l'administration et des mouvements de

toutes les bases des FC. Les séances; d'information se tiendront dans les bases. Une vidéo; d'accompagnement dans les deux langues officielles sera bientôt; prête; et pour- ra être; distribuée; dans les bases. Les militaires peuvent également; se renseigner sur le PED en consultant le site Web de la DGAL : htt p://lo g ne t.d w an.dnd.ca/dt m/ dtm_4/index_f.htm

Les personnes-ressources du PED sont les employés; des bureaux de l'administration et des mouvements de la base/unité et le personnel des centres de ressources pour les familles des militaires (CRFM).

Lorsqu'un membre est insatisfait du Programme de relocalisation intégr;ée; (PRI), il peut recourir au processus de règlement; des différends.;

Ce processus de règlement; a ét;é appliqué pour la première; fois l'an dernier. « Grâce; au processus, un membre peut exprimer son désaccord; sur une chose qui lui est dite; il se peut aussi que des erreurs se soient produites », indique le maj John Francis, chef de l'équipe; Rémun;ération; et avantages sociaux. « Si le membre n'est pas d'accord, c'est à ce processus qu'il fait appel. »

Lorsqu'un membre souhaite contester une décision; prise par les Services de relogement Royal LePage (SRRL), il doit demander aux SRRL d'examiner son dossier. Le membre doit ensuite fournir par écrit; le motif de sa demande. Les SRRL convoqueront une réunion; avec le coordonnateur de la relocalisation des FC pour examiner le dossier et s'assurer que la décision; était; juste, équitable; et conforme aux dispositions de la politique.

Si le coordonnateur de la relocalisation des FC, un militaire, appuie la décision; des SRRL, le dossier est annoté et le membre en est informé.; Si le membre n'est toujours pas d'accord avec la décision;, il peut demander que son dossier soit examiné par le directeur, Rémun;ération; et avantages sociaux (Administration) DRAS(A). Le membre doit présenter; sa demande au DRAS(A) par écrit; et celle-ci doit être; acheminée; par les SRRL.

Vous vous préparez; à partir en voyage à la recherche d'un logement (VRL)? Il n'est pas nécessaire; pour autant que vous retiriez votre nom de la liste d'attente pour l'obtention d'un logement familial (LF).

Alors qu'approche la période; active des affectations (PAA) 2001, le personnel de Qualité de vie et de Rémun;ération; et avantages sociaux reçoit; des appels de membres inquiets au sujet des listes d'attente pour l'obtention d'un logement familial. Selon le maj John Francis, chef de l'équipe; Rémun;ération; et avantages sociaux, les membres croient à tort qu'ils doivent retirer leur nom des listes d'attente pour l'obtention d'un LF s'ils partent à la recherche d'un logement.

« En pareilles circonstances, le membre ne perd pas sa place, explique le maj Francis. Les membres qui partent en VRD peuvent inscrire leur nom sur la liste d'attente des LF 60 jours avant la date de leur CE (changement d'effectif), comme tous les autres membres; toutefois, si on offre un LF au membre, et qu'il l'accepte, il n'a plus droit à un VRD. Dans ce cas, le membre doit plutôt; opter pour un voyage d'inspection d'une maison. »

Le maj Francis fait remarquer que toute question au sujet de ce droit doit être; adressée; aux représentants; des Services de relogement Royal LePage ou du Programme de relocalisation intégr;ée; (SRRL/PRI) au moment de la planification du dém;énagement.;

Vol. 4, No. 10, 2001



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