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![]() HTML Version of Maple LeafThis page contains both English and French articles. If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca. Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9 Pay and allowance increasesSolde et indemnités; augmentées;In February, the department was allocated $250 million in new funding for pay increases for members of the Canadian Forces. This allocation will be used to address growing concerns among CF officials over the challenges of recruitment and retention in the military. The Defence Minister announced on March 26, 2001, both retroactive and prospective pay increases for most CF members. Non-commissioned members (NCMs) will receive a 3.69 percent raise and general service officers (GSO) and pilots (below the rank of Colonel) will receive a 1.14 percent raise, effective October 1, 1999. Maintaining total compensation comparability between the CF and the Public Service is the reason for these increases. Environmental allowances, such as Sea
Duty Allowance, were also increased by For many Corporals, for example, this will translate into approximately $2000 in back pay before deductions. A typical GSO Captain will receive approximately $1000 in back pay. Effective April 1, 2001, the rates of pay for NCMs, GSOs and pilots, as well as environmental allowances, will increase by 2.5 percent. This increase is in addition to those mentioned above. Medical and dental officers received a retroactive pay increase of 8.86 percent, effective April 1, 2000. This increase is based on benchmarking to private practice physicians and should help the CF effectively recruit and retain doctors and dentists. En février;, le Ministère; s'est vu attribuer une somme de 250 millions de dollars en fonds nouveaux pour financer une augmentation de la solde des membres des FC. Cette somme servira à répondre; aux préoccupations; croissantes qui existent au sein du commandement des FC en ce qui a trait aux défis; en matière; de recrutement et de maintien des effectifs. Le 26 mars 2001, le ministre de la Défense; a annoncé une augmentation de la solde rétroactive; et prospective pour la plupart des membres des FC. Les militaires du rang (MR) recevront une augmentation de 3,69 p. 100. Les officiers du service gén;éral; et les pilotes (lieutenants-colonels et grades inférieurs;) recevront une augmentation rétroactive; de 1,14 p. 100, en date du 1 octobre 1999. Ces augmentations ont comme but de maintenir la comparabilité de la rémun;ération; entre les FC et la fonction publique. Les indemnités; d'environnement, dont celle de service en mer, font également; l'objet d'une augmentation rétroactive; de 3 p. 100, en date du 1 octobre 1999. Quelles seront les répercussions; de ces augmentations rétroactives; sur les membres des FC? L'augmentation rétroactive; représente; une rétroactivit;é d'environ 2 000 $ avant retenues pour la plupart des caporaux et d'environ 1 000 $ avant retenues pour un capitaine du service gén;éral.; En date du 1 avril 2001, la solde pour les MR, les officiers de service gén;éral; et les pilotes et les indemnités; d'environnement augmenteront de 2,5 p. 100. Ces augmentations viennent s'ajouter à celles mentionnées; ci-haut. Les médecins; et dentistes militaires ont reçu; une augmentation de 8,86 p. 100, en date du 1 avril 2000. Cette augmentation découle; d'une analyse comparative avec le secteur privé et devrait permettre d'attirer et de maintenir en fonction les praticiens des domaines médical; et dentaire. Changes to dress regulationsImage Cpl Marc Watkins (left) and MS Brad Starling, both Resource Management Support Clerks in Ottawa, take public transit to work at NDHQ. Amendments to CF dress policy permit the shaving of all hair on the head and allow personnel to remove their headdress while commuting via public transit. Le cpl Marc Watkins (à g.) et le matc Brad Starling, employés; de soutien à la Gestion des ressources à Ottawa, utilisent les transports en commun pour aller travailler au QGDN. Des modifications au règlement; sur la tenue vestimentaire des FC permettent d'avoir la tête; rasée; et de retirer leur coiffure durant le trajet. By Mitch Gillett When it comes to hair, CF members may wear their hair tapered and square at the back. The shaving of all the hair on the head is permitted. For those who don't shave their heads, hair must be 2.5 cm (one inch) off the collar, with no hair touching the ears or falling below the eyebrows. Women in uniform get a two-month transition period-with the permission of their Commanding Officer-to grow their hair longer for restyling. Only during this time may the hair extend below the lower edge of the shirt collar. Exaggerated hairstyles (big hair or hair with flair) are not permitted. CF women with long hair can have a single or double braid-at a length no lower than the top of the armpit- secured at the end by a knot or small, unadorned fastener. Single braids must be centred between the shoulders; double braids are to be worn behind the shoulders. CF women can now wear make-up for cultural reasons. In uniform or when wearing civilian clothes on duty, makeup must be applied conservatively. False eyelashes, heavy eyeliner, brightly coloured eye shadow, coloured nail polish, bright or vivid lipstick and excessive facial make-up are not allowed. The only items of jewellery allowed when a CF member is in uniform (with the exception of earrings for women) are a wristwatch, military issue identification tag, medical alert chain, a maximum of two rings and a tie clasp. Additional rings may only be worn if they indicate professional standing or are worn with a wed- ding band as single set. For CF members who commute using public transit, a change in the dress rules permits the removal of headdress while in transit. This rule also applies to CF member travelling long distances by air, bus or rail. The Yukon Cap may be worn with topcoats and parkas during winter dress periods. As well, senior disciplinarians may carry canes routinely and during ceremonial activities. Certaines modifications au règlement; sur la tenue vestimentaire des FC ont ét;é annoncées; dans un récent; CANFORGEN; entre autres, la tenue vestimentaire et l'apparence gén;érale; des militaires ont ét;é considérablement; modifiées.; Comme toujours, les préoccupations; dominantes sont la sécurit;é et le maintien de l'apparence militaire. Pour ce qui est des cheveux, les militaires des FC peuvent adopter une coupe amincie et droite à la nuque. Il est permis de se raser complètement; la tête.; Ceux qui ne souhaitent pas se raser la tête; doivent avoir une coupe de cheveux dégag;ée; d'au moins 2,5 cm (un pouce) au-dessus du col de leur chemise; aucune mèche; ne doit toucher aux oreilles ou aux sourcils. Les femmes en uniforme ont droit à une période; de transition de deux mois avec l'autorisation de leur commandant, pour se laisser pousser les cheveux dans le but de modifier leur coiffure. Leurs cheveux pour- ront dépasser; le bord inférieur; du col du Sgt / sgt Dennis Mah, Combat Camera Modifications au règlement; sur la tenue vestimentairepar Mitch Gillett chemisier. Les styles extravagants (hauteur ou volume excessif) ne sont pas autorisés.; Les femmes aux cheveux longs peuvent porter une ou deux nattes - d'une longueur ne dépassant; pas le haut de l'aisselle - attachées; au bout par un noeud ou une petite attache discrète.; Les nattes simples doivent être; centrées; entre les épaules; les nattes doubles se portent derrière; les épaules.; Les femmes militaires peuvent maintenant porter un maquillage pour des raisons culturelles. Lorsqu'elles sont en uniforme ou lorsqu'elles sont habillées; en civil pendant leur service, elles ont droit à un maquillage discret. L'usage de faux cils et l'application de larges traits d'eye-liners, d'ombres à paupières; de couleur voyante, de vernis à ongles colorés; ou de rouges à lèvres; éclatants;, tout comme les épaisses; couches de fond de teint sont interdits. Les seuls bijoux autorisés;, lorsqu'un militaire est en uniforme (à l'exception des boucles d'oreilles pour les femmes) sont la montre-bracelet, la plaquette d'identification militaire, le bracelet d'alerte médicale;, un maximum de deux bagues et une pince à cravate. Les autres bagues ne sont autorisées; que s'il s'agit d'une marque de statut professionnel ou si elles sont jointes à une alliance. En ce qui a trait aux militaires des FC qui utilisent le transport en commun, un changement a ét;é apporté au règlement; : ils peuvent maintenant retirer leur coiffure pendant le trajet. Cette règle; s'applique aussi au militaire des FC qui parcourt de longues distances en avion, en autobus ou en train. La coiffure de type Yukon peut être; portée; avec des pardessus et des parkas au cours des périodes; d'hiver. De même;, les responsables de la discipline peuvent avoir une canne de façon; réguli;ère; et pendant les cér;émonies.; Vol. 4, No. 11, 2001 Rapport du Comité consultatif ministériel; sur l'intégration; des genres et l'équit;é en matière; d'emploi dans les Forces canadiennesnombre de recommandations du rapport étaient; déj;à à l'étude.; Un des projets clés; du DIGEEM, cet automne, sera un programme de déclaration; volontaire dans le cadre duquel on demandera aux militaires des FC s'ils font partie d'un des groupes désign;és.; « Une fois les résultats; du recensement connus, les FC seront plus en mesure d'assurer le suivi des réussites; dans le domaine de l'équit;é en matière; d'emploi », a déclar;é le lcol Ritchie. Cette dernière; a également; souligné d'autres mesures prises par les FC qui vont dans le sens des recommandations du rapport. « Dans une perspective de recrutement, nous cherchons activement à rejoindre les groupes désign;és.; » Les FC ont maintenant des animateurs communautaires dans les centres de recrutement clés; de Montréal;, Québec;, Toronto, Winnipeg, Hamilton et Halifax, et les nouveaux protocoles pour les recruteurs mettent l'accent sur la sensibilisation à la diversité.; On mène; actuellement des études;, sous l'égide; du Vice-chef d'état-major; de la Défense;, visant à établir; un moyen efficace de rendre compte du recrutement, de la production, du maintien et de l'attrition de l'effectif. Bien qu'il soit conscient des difficultés; inhérentes; au changement d'attitudes, le gén; Baril souligne qu'il a, avec les années;, constaté beaucoup de progrès; en ce sens. En fin de compte, tous s'accordent pour dire que le succès; de l'équit;é en matière; d'emploi repose sur l'appui concret des chefs supérieurs;, joint au sens inné du tra- vail d'équipe; et au professionnalisme des militaires des FC. Une autre condition essentielle à la réussite; est la réalisation; progressive que l'équit;é en matière; d'emploi n'est ni une question de contingentement, ni d'assouplissement des normes - il s'agit de s'assurer que ceux qui veulent et peuvent servir aient des chances égales.; Mme Judith Holman est agente d'Affaires publiques à la DGPA au QGDN. par Judith Holman Le gén;éral; Maurice Baril, chef d'état-major; de la Défense;, n'est pas tendre envers ceux qui s'opposent à l'intégration; des sexes et à l'équit;é en matière; d'emploi dans les Forces canadiennes. « Veulent-ils ou non faire partie d'une organisation représentative; de la sociét;é canadienne? Si c'est au-delà de leurs forces, libre à eux de partir quels que soient leurs grades. » Ainsi s'exprimait le CEMD au cours d'une entrevue qu'il accordait au Toronto Star à la suite de la diffusion, le 15 mars, du rapport du Comité consultatif ministériel; sur l'intégration; des genres et l'équit;é en matière; d'emploi dans les FC. Au cours de l'entrevue, le gén; Baril a fait valoir que l'expérience; de travail aux côt;és; de femmes militaires membres des FC contribue à éliminer; tous les préjug;és; sur leurs capacités; et leur place véritable; dans les FC. En outre, il est tout à fait en faveur d'élargir; les bases traditionnelles du recrutement dans les FC. « Nous avons la chance de vivre dans une sociét;é fondée; sur la diversité, at-il déclar;é.; Nous devons miser sur cette diversité.; » Le lgén; Christian Couture, SMA(RHMil), abonde dans le même; sens lorsqu'il fait état; des défis; auxquels font face les militaires en matière; de recrutement : « Nous devons pouvoir recruter des Canadiens et des Canadiennes de toutes les origines si nous voulons conserver notre efficacité opérationnelle.; » Bien que les membres du Comité consultatif aient constaté qu'un grand nombre de militaires des FC connaissent mal la question de l'équit;é en matière; d'emploi, il demeure que l'intégration; des femmes est une question clé dans les FC depuis que le Tribunal des droits de la personne a ordonné en 1989 que les femmes aient accès; à toutes les professions. Par suite de l'adoption de la Loi sur l'équit;é en matière; d'emploi en 1996, les FC ont également; envisagé des façons; d'améliorer; le recrutement et l'intégration; des minorités; visibles et des Autochtones. Le rapport appuie le plan d'équit;é en matière; d'emploi des FC, Bâtir; le travail d'équipe; dans des Forces canadiennes diversifiées;, mais fait état; d'une stagnation dans la mise en oeuvre du plan. Bien que les FC ne soient pas encore assujetties aux dispositions de la Loi sur l'équit;é en matière; d'emploi, elles ont élabor;é un plan de mise en oeuvre de l'équit;é en matière; d'emploi à la fin de 1999. Le plan vise à cerner et à corriger les problèmes; qui font obstacles aux trois des quatre groupes désign;és; en vertu de la Loi (les femmes, les minorités; visibles et les Autochtones). Selon le lcol Karen Ritchie du bureau du Directeur - Intégration; des genres et équit;é en matière; d'emploi (Militaires) (DIGEEM), les recommandations du Comité consultatif, s'il y a lieu, seront soigneusement étudi;ées; dans l'optique de les intégrer; au plan d'équit;é en matière; d'emploi actuel. « Le Comité a pu discuter des questions d'équit;é en matière; d'emploi avec des militaires des FC et a entendu des opinions franches qui ne sont peut-être; jamais parvenues aux oreilles des chefs militaires, a-t-elle dit. Le rapport a validé un grand nombre de nos préoccupations.; La prochaine étape; consiste à examiner les recommandations, à déterminer; celles qui peuvent être; appliquées; et à les intégrer; dans la mise à jour du plan d'équit;é en matière; d'emploi des FC prévue; pour cet ét;é.; » Le lcol Ritchie a ajouté qu'un certain Image: Sélectionn;ée; l'an dernier, le capt Maryse Carmichael est devenue la première; femme pilote de Snowbird. Capt Maryse Carmichael was selected last year to become the first female pilot to join the Snowbirds. MCpl / cplc Charles SenecalMinister's Advisory Board Report on CF Gender Integration and Employment EquityBy Judith Holman General Maurice Baril, Chief of the Defence Staff, has strong words for anyone who does not support gender integration and employment equity in the Canadian Forces. "Are; they going to be part of an organization that represents the Canadian society or not? And if they just can't do it, whatever their rank is, they can go." The CDS's comments were made during an interview with The Toronto Star following the March 15 release of the report of the Minister's Advisory Board on CF Gender Integration and Employment Equity. During the interview, Gen Baril said personal experience working with female CF members had eliminated any prejudices about their abilities and their rightful place in the CF. Similarly, he is a great believer in opening up the CF beyond its traditional recruiting base. "We; are blessed with a nation that has been built out of diversity," he said. "You; cannot ignore that talent." This thought is echoed by the ADM (HR-Mil), Lieutenant-General Christian Couture, in discussing the recruiting challenges faced by the military: "We; must be able to recruit Canadian men and women of all backgrounds if we are to retain our operational effectiveness." Although the members of the Advisory Board found a large number of CF members were unfamiliar with employment equity, the integration of women has been a key issue for the CF since the 1989 decision of the Human Rights Tribunal directing the opening of all occupations to women. With the enactment of the Employment Equity Act in 1996, the CF has also been considering ways to improve the recruitment and retention of visible minorities and Aboriginal peoples. The report was supportive of the CF's employment equity plan, Building Teamwork in a Diverse Canadian Forces, but cited a lack of progress in implementing the plan. Although the CF is not yet subject to the provisions of the Employment Equity Act, the CF developed an employment equity implementation plan in late 1999. The plan is designed to identify and correct problems that form barriers for three of the four groups designated under the Act (women, visible minorities and Aboriginal peoples). According to Lieutenant-Colonel Karen Ritchie of the Director Military Gender Integration and Employment Equity (DMGIEE) office, the Advisory Board's recommendations, where appropriate, will be carefully studied with a view towards incorporating them into the current employment equity plan. "The; Board was able to discuss employment equity issues with members of the CF and hear candid opinions to which the military leadership might never have been privy," she said. "The; report has validated a lot of our concerns. The next step is to look at the recommendations, decide which are feasible and include them in the CF employment equity plan update which is due this summer." A number of the report's recommendations are already being addressed, she added. One of DMGIEE's key projects this fall will be a self-identification census of the CF in which members will be asked to indicate whether they fall within one of the designated groups. "Once; the results of the census are known, the CF will be in a much better position to monitor our success with respect to employment equity," said LCol Ritchie. LCol Ritchie also pointed to other actions the CF has taken that are in line with the recommendations in the report. "We; are definitely focussing on reaching out to designated groups from a recruiting perspective." The CF now has outreach coordinators at key recruiting centres in Montréal;, Québec; City, Toronto, Winnipeg, Hamilton and Halifax, and the new protocol for recruiters emphasizes diversity awareness. Studies are currently underway under the guidance of the Vice- Chief of the Defence Staff to develop an effective means of reporting on recruiting, production, retention and attrition. While acknowledging the difficulties inherent in changing attitudes, Gen Baril emphasized that he has seen a lot of progress in attitudes over the years. In the end, the consensus seems to be that it is the active support of senior leadership, combined with CF members' innate sense of teamwork and professionalism, that will make employment equity a success. Another key to success is the gradual realization that employment equity does not mean quotas, nor does it mean lowering standards-it is about ensuring those who want to serve and can do the job are given an equal opportunity to do so. Ms. Holman is a Public Affairs Officer with DGPA. The Maple Leaf / La Feuille d'érable; It pays to stay:
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Date Modified: 2006-01-06 | ![]() |
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