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Maple Leaf


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Army Editor  
Paul Mooney (613) 945-0363


LFDTS to streamline, improve training


By Paul Mooney


As the Army moves to leading-edge, digital kit and as Army culture evolves, doctrine and training have taken on renewed importance. Responsibility for these have therefore been placed under a central authority, the Land Force Doctrine and Training System (LFDTS), under the command of Major- General Jan Arp.

A parade to mark the transfer of CTC from LFAA to LFDTS was officiated by Lieutenant-General Mike Jeffery on 2 April. For soldiers, this will mean streamlined, standardized course material no matter where they train, much of it offered on computers at their home units. The Army will place a high premium on instructors' positions, introduce more comprehensive and better integrated simulation systems, make more instructors available for computer-assisted learning at home, and eventually establish centres where units will be able to test their readiness under the watchful eye of controllers and  
umpires.

"I wouldn't say our training system is broken; it's under stress and we want to realign it better," MGen Arp explained in a recent interview. "I believe that having all of the Army training establishments under a single command will allow us to do that. We need progressive doctrine, realistic training and leading-edge technologies. We want to ensure that our Army is knowledge-based and command-centric. Much of this will be achieved through the way we train, both individually and collectively."

The Army spends about 30 percent of its total budget on training, not including Regular Force personnel salaries and infrastructure. Training places enormous stress on the manning system during the peak training season in summer. Over the years the Army has steadily added material to its 180 courses. Today, many of those courses, especially in the Army Reserve, have become too lengthy, unwieldy and, in many cases, unsustainable.

"We now want to mesh individual training, collective training and professional development," MGen Arp said. "We will give you the rudimentary knowledge required on individual training courses, right from basic training through advanced courses. You will refine those skills through experience in the units, exercises and deployments. We're not going to try to teach you everything in courses."

Home study

Under the new Army's Systems Approach, more soldiers will stay at their home units and study using "Distributed Learning" consisting of computer-assisted programs, reading materials and other tools. They will travel to study with other soldiers only when they reach a point in the course when that becomes necessary.

For example, next fall the Army will trial a new approach to the Junior Leaders Course. After promotion to corporal, a soldier will take five "modules" or courses, including such topics as Military Law and the conduct of PT, while remaining with his or her unit. Only then will a soldier travel to take a five-week course, to be known as the Primary Leadership Qualification, together with other corporals.

The approach to basic training will also change. While MGen Arp emphasized that standards will not be lowered, he said instructors will shift from an approach that is strictly instruction and evaluation to creating a learning environment using coaching and a developmental approach. "This professional development approach should lower training attrition and give people a fair and equitable

chance before we evaluate them," the LFDTS Commander explained. "I do believe we have excellent instructors," he said, "but this new environment of team-based, problem solving learning will pose tremendous challenges to their teaching skills in the future. We have to ensure that everyone is on board with the new approach."

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Collective training

Budget pressures and an extremely high op tempo have forced the Army to do less collective training than needed over the past decade. The Army currently conducts about one-half to twothirds of the collective Battle Task standards; the rest cannot be done because they do not fit into pre-deployment training. The Commander of the Army, Lieutenant-General Mike Jeffery, is determined, however, to raise the level of collective war-fighting skills. The CLS plans to introduce a managed, tiered system that will allow him to schedule regular, Brigade-level training events with all of the necessary resources and support.

Image: Le mgén; Jan Arp (à g.), le lgén; Mike Jeffery et le bgén; Greg Mitchell au changement de commandement du Centre d'entraînement; au combat lors d'une cér;émonie; tenue à Gagetown, le 2 avril.Cpl / cpl Mike Barley

MGen Jan Arp (left), LGen Mike Jeffery and BGen Greg Mitchell transfer command of the Combat Training Centre during a ceremony in Gagetown on 2 April.

Le SDIFT rationalisera et améliorera; l'instruction


par Paul Mooney

Dans une Armée; de terre dont la culture évolue; et qui est en train de se doter d'un équipement; numérique; de haute tech- nologie, la doctrine et l'instruction occupent une place plus importante que jamais. Pour cette raison, elles ont ét;é confiées; à une autorité centrale, le Système; de la doctrine et de l'instruction de la Force terrestre (SDIFT), sous le commandement du mgén; Jan Arp.

Un rassemblement pour marquer le transfert du CIC du SAFT au SDIFT a ét;é présid;é par le lgén; Mike Jeffery, le 2 avril. Grâce; à ce changement, les soldats disposeront d'un matériel; d'instruction simplifié et standardisé où qu'ils se trouvent, et ce matériel; sera disponible en grande partie sur ordinateur dans leur unité d'appartenance. L'Armée; de terre accordera une grande importance aux postes d'instructeur; elle introduira des systèmes; de simulation plus complets et mieux intégr;és; elle fournira plus d'instructeurs pour l'apprentissage assisté par ordinateur à domicile; et finalement, elle établira; des centres où les unités; pourront tester leur disponibilité opérationnelle; sous l'oeil vigilant de contrôleurs; et d'arbitres.

« Je ne dirais pas que notre système; d'instruction est en panne. Il est soumis à de fortes pressions, et nous voulons faire en sorte qu'il soit mieux adapté aux réalit;és; d'aujourd'hui », a expliqué le mgén; Arp dans une récente; interview. « Je crois qu'en regroupant tous les centres d'instruction de l'Armée; de terre sous un commandement unique, nous pourrons y arriver. Nous avons besoin d'une doctrine progressiste, d'un entraînement; réaliste; et de technologies de pointe. Nous voulons faire en sorte que l'Armée; de terre devienne une organisation axée; sur le savoir et dotée; d'un commandement centralisé.; Cela sera réalis;é en grande partie par la modernisation de nos méthodes; d'instruction individuelle et collective. »

L'Armée; de terre consacre environ 30 p. 100 de son budget total à l'instruction, sans compter les salaires du personnel de

la Force réguli;ère; et le coût; des infrastructures. L'instruction pèse; très; lourd sur le système; de dotation au plus fort de la saison d'instruction, en ét;é.; Au fil des ans, l'Armée; de terre a réguli;èrement; fait des ajouts au contenu de ses 180 cours. Aujourd'hui, beaucoup de ces cours, surtout dans la Réserve; de l'Armée; de terre, sont devenus trop longs, trop complexes et, dans bien des cas, insoutenables.

« Désormais;, nous essaierons d'intégrer; l'instruction individuelle, l'instruction collective et le perfectionnement professionnel, a déclar;é le mgén; Arp. Pendant l'instruction individuelle, depuis l'instruction de base jusqu'aux cours avancés;, nous vous transmettrons les rudiments de ce que vous devez savoir. Vous compléterez; cette formation par l'expérience; acquise au sein des unités;, par les exercices et par les déploiements.; Nous n'essaierons pas de tout vous apprendre pendant les cours. »

Apprentissage à distance

Avec la nouvelle approche systémique; de l'Armée; de terre, un plus grand nombre de militaires resteront dans leur unité d'appartenance et feront de l'« apprentissage à distance » grâce; à des programmes d'enseignement par ordinateur, à des lectures recommandées; et à d'autres outils. Ils ne se déplaceront; pour étudier; avec d'autres militaires que lorsqu'ils auront atteint le point où cela sera nécessaire; dans un cours donné.;

Ainsi, l'automne prochain, l'Armée; de terre mettra à l'essai une nouvelle approche pour le « cours de chef subalterne (Junior leader Course) ».; Après; sa promotion au grade de caporal, un soldat sera inscrit à cinq « modules », dans des disciplines comme le droit militaire et l'éducation; physique, tout en demeurant dans son unité.; C'est seulement à l'étape; suivante qu'il se déplacera; pour suivre un cours de cinq semaines

de « Qualification él;émentaire; en leadership (Primary Leadership Qualification) », avec d'autres caporaux.

L'instruction de base sera également; fondée; sur une nouvelle

approche. Le mgén; Arp a souligné que les normes ne seront pas abaissées;, mais que les instructeurs abandonneront l'approche actuelle, fondée; uniquement sur les cours et l'évaluation;, pour mettre en place un environnement propice à l'apprentissage qui mettra l'accent sur l'encadrement et le perfectionnement. « Cette nouvelle approche, fondée; sur le perfectionnement professionnel, devrait diminuer l'attrition due à l'instruction, et donner aux soldats une meilleure chance de s'instruire avant d'être; soumis à une évaluation; », a expliqué le commandant du SDIFT. « Je crois sincèrement; que nous avons d'excellents instructeurs, at-il ajouté.; Mais ce nouveau type d'apprentissage fondé sur le travail d'équipe; et la résolution; de problèmes; constituera un énorme; défi; pour nos instructeurs. Nous devrons nous assurer que tout le monde comprend la nouvelle approche. »

Instruction collective

Les restrictions budgétaires; et l'accél;ération; du tempo opérationnel; ont forcé l'Armée; de terre à réduire; ses activités; d'instruction collective au cours de la dernière; décennie.; Actuellement, l'Armée; de terre ne fait qu'entre la moitié et les deux tiers de l'instruction collective requise pour maintenir les normes d'aptitude au combat. Le reste est annulé pour cause d'incompatibilité avec l'entraînement; préalable; au déploiement.; Cependant, le Commandant de l'Armée; de terre, le lgén; Mike Jeffery, est détermin;é à accroître; le niveau d'aptitude au combat de ses troupes par l'instruction collective. Le CEMAT a l'intention d'introduire un système; graduel et étroitement; gér;é qui lui permettra d'organiser réguli;èrement; des exercices au niveau de la brigade avec tout le soutien et toutes les ressources nécessaires.;


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédacteur; de l'Armée; Paul Mooney (613) 945-0363


LFDTS is constantly evaluating and developing Army doctrine, especially as new, high-tech kit enters the system. For example, a two- year-old project has produced a draft set of Tactics, Techniques and Procedures (TTPs) for the new LAV III, which are being tested by soldiers in theatre in Eritrea. That input will help staff officers produce a final set of TTPs for the LAV by the end of this year. The draft TTPs will also be tested at a fall trial in Gagetown. A Company of LAV IIIs, a squadron of tanks, other combat arms and combat support will allow the Army to assess the TTPs in a force-on-force exercise assisted by a computerbased monitoring and evaluation system on loan from the U.S. Army.

Le SDIFT évalue; et modifie constamment la doctrine de l'Armée; de terre, surtout lorsque de nouveaux équipements; de haute technologie sont mis en service. Par exemple, un projet d'une durée; de deux ans a produit une série; de tactiques, techniques et procédures; (TTP) préliminaires; pour le nouveau véhicule; blindé léger; (VBL III). Ces TTP sont mises à l'essai par les soldats en mission en Érythr;ée.; Cette contribution aidera les officiers d'état-major; à produire la version finale de ces TTP d'ici la fin de l'année.; Les TTP préliminaires; seront également; mises à l'essai lors d'un exercice d'automne à Gagetown. Une compagnie de VBL III, un escadron de chars et d'autres unités; de combat et de soutien au combat permettront à l'Armée; de terre d'évaluer; les TTP dans le cadre d'un exercice « force contre force », avec l'aide d'un système; de surveillance et d'évaluation; assistées; par ordinateur emprunté à l'US Army.

Distribution of the CADPAT combats began March 28 when Pte Steven Côt;é (right) and Cpl Johanne Poulin received their first shirts and pants from LGen Mike Jeffery, CLS, during a ceremony in Ottawa. The two soldiers, members of 3 R22eR in Valcartier, deploy to Bosnia for the first time in the fall on Roto 9. The two sets of combats reached the soldiers after travelling symbolically through nine sets of hands-from military, DND and Public Works personnel, three contractors, ADM (Mat) to the CLS. Distribution across the Army is expected to take 24 months.

La distribution des vêtements; de combat CADPAT a commencé le 28 mars, lors d'une cér;émonie; symbolique tenue à Ottawa, pendant laquelle le lgén; Mike Jeffery, CEMAT, a remis au sdt Steven Côt;é (à dr.) et au cpl Johanne Poulin leurs premières; chemises et leurs premiers pantalons. À l'automne, les deux soldats, membres du 3 R22eR à Valcar- tier, se rendront en Bosnie dans le cadre de la Roto 9. Les deux tenues de combat ont ét;é remises aux soldats après; avoir passé entre les mains de nombreuses personnes : le personnel des FC, du MDN et des Travaux publics, trois entrepreneurs, le SMA (Mat) et le CEMAT. On s'attend à ce que la distribution des nouvelles tenues à l'ensemble de l'Armée; s'étale; sur environ 24 mois.

Image: Susan Turcotte

Plus de moustache!


Cpl Claude Savoie relieves WO Don  
McEvoy of his trademark moustache. Bidding for the privilege of playing barber raised funds to put a roof on a local school.

Le cpl Claude Savoie coupe la moustache qui caractérise; l'adj Don McEvoy. Le militaire qui a donné le plus gros montant en vue de la construction d'un toit pour une école; des environs a eu l'honneur de remplir le rôle; de barbier.

Image: Cpl / cpl Yves Gemus

The Army plans to build the Canadian Maneuver Training Centre at Wainwright for Battle Group-level exercises with another suite of equipment for combat team-level training at Gagetown. The Wainwright centre should be ready in 2004. The Army will purchase the Weapons Effects Simulator (WES) system, a system which provides detailed and accurate feedback on how units perform in the field.

"As part of our whole collective training rejuvenation effort, this will allow us to conduct force-on-force engagements in a controlled environment at the Battle Group level," MGen Arp explained. "It will allow us to confirm that units know and can perform the collective Battle Task standards, as well as to confirm that our doctrine is still valid, our individual training is providing the necessary skills and our equipment can perform the way it should." He stressed however, the Canadian Army's desire to continue to participate in joint training and exercises with the U.S. Army because American facilities allow exercises on a scale not possible here now that Canada no longer has a Division Headquarters.

L'Armée; de terre a l'intention de construire un Centre canadien

d'instruction aux manoeuvres à Wainwright pour les exercices au niveau du groupement tactique, et de mettre en place d'autres équipements; pour l'entraînement; des équipes; de combat à Gagetown. Le centre de Wainwright devrait être; prêt; en 2004. L'Armée; de terre fera l'acquisition d'un simulateur des effets

d'armes (WES), qui donne des informations précises; et détaill;ées; sur la performance des unités; sur le terrain.

« Dans le cadre de notre effort de rajeunissement de l'instruction collective, cela nous permettra de tenir des exercices "force contre force" dans un environnement contrôl;é au niveau du groupement tactique, a expliqué le mgén; Arp. Nous pourrons ainsi vérifier; que nos unités; respectent les normes d'aptitude au combat, que notre doctrine est toujours valide, que nos programmes d'instruction individuelle donnent les résultats; requis, et que nos équipements; fonctionnent correctement. » Il a souligné, cependant, que l'Armée; de terre canadienne souhaite continuer de participer à des exercices interarmées; avec l'US Army car les installations américaines; permettent la tenue d'exercices de grande envergure qui ne sont pas possibles chez nous à l'heure actuelle, et que le Canada n'a plus de quartier gén;éral; de division.

A close shave


par le capt Bonnie Golbeck

Un soldat canadien a renoncé à l'une de ses distinctions préf;ér;ées; pour appuyer un projet civilo-militaire dans le nordouest de la Bosnie.

Le 16 mars, l'adj Don McEvoy, qui est membre du peloton des transports de l'Él;ément; de soutien national (ESN), a accepté de faire couper ses cheveux et sa moustache pour une bonne cause : un nouveau toit pour une école; située; près; de Velika Kladusa.

Pour inciter les soldats à être; gén;éreux;, on a décid;é d'accorder le rôle; privilégi;é de barbier au militaire qui faisait le plus gros don. L'heureux gagnant fut le cpl Claude Savoie, de l'ESN, qui avait donné 500 DM.

La campagne mise sur pied par le sgt Jacquie Foley et le cpl Diane Welburn, coordonnatrice, a début;é peu de temps après; le déploiement; de l'ESN à l'automne. Au total, plus de 7000 DM ont ét;é recueillis.

By Capt Bonnie Golbeck


A Canadian soldier recently gave up one of his prized possessions in support of a civil-military project in northwestern Bosnia.

On March 16, Warrant Officer Don  
McEvoy, a member of the National Support Element (NSE) Transportation Platoon, lost his hair and moustache for a good cause-a new roof for a school near Velika Kladusa.

As an added incentive to donate money, the soldier with the highest donation was given the privilege of acting as barber. The winner was Corporal Claude Savoie, NSE, who paid DM 500.

The campaign, which was the brainchild of Sergeant Jacquie Foley and coordinator Corporal Diane Welburn, began shortly after the NSE deployed in the fall. In total, over DM 7000 was raised.

Service recognized


Col Peter Kenward, Regimental  
Colonel of the PPCLI, congratulates Cpl (Ret) Rodney Benson on the awarding of his UN Cyprus medal and CPSM.

Le col Peter Kenward, colonel régimentaire; du Princess  
Patricia's Canadian Light Infantry (PPCLI), félicite; chaleureusement le cpl (retraité) Rodney Benson à l'occasion de la remise de la médaille; de l'ONU pour service à Chypre et de la MCMP.

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Text and photo by  
Lt(N) (Ret) Sue Knight


The only thing Corporal (Ret) Rodney Benson wanted was a replacement for his UN Cyprus medal. He received that and his Canadian Peacekeeping Service Medal at a recent ceremony in Fredericton.

Cpl Benson joined the Army in 1970, became a machine gunner, a member of the Airborne regiment and then went to Cyprus with 3 PPCLI in 1975.

Things were hot in Cyprus, especially for a recce platoon: "There were live bullets flying and, as a member of recon, you had to go out in the line of fire," he said. But it wasn't a bullet that ended his military career in 1976, but an inflammation of the spinal cord which left him a quadriplegic.

Released in 1978, Rodney earned a  
Bachelor of Arts Degree from St. Mary's University in Halifax.

Moving to Fredericton in 1998 to be closer to his family also brought him back to his military family. Since then Rodney has become a very active member of both the Blue Helmets Peacekeeping Association and the PPCLI Association. And of course he is deeply involved at activities at Windsor Court. "I may be sitting on my rump all day," Rodney remarked, "but I certainly don't like sitting around doing nothing."

Service reconnu


texte et photo du ltv (retraité) Sue Knight


Au départ;, le cpl (retraité) Rodney Benson a tout simplement demandé de faire remplacer la médaille; qui lui avait ét;é décern;ée; par l'ONU pour son service à Chypre. Il l'a reçue; ainsi que la Médaille; canadienne du maintien de la paix (MCMP), récemment; lors d'une cér;émonie; à Frederiction.

Le cpl Benson s'est enrôl;é dans l'Armée; de terre en 1970, qu'il est devenu mitrailleur, qu'il s'est joint au Régiment; aéroport;é et qu'il est allé à Chypre en 1975 en tant que membre du 3 PPCLI.

La situation était; tendue à Chypre et les membres du peloton de reconnaissance étaient; particulièrement; exposés; : « Des balles volaient de toutes parts, et comme membre d'une équipe; de reconnaissance,

nous devions traverser les lignes de tir », comme l'a expliqué Rodney. Toutefois, ce n'est pas une balle qui a mis fin à sa carrière; militaire en 1976, mais une inflammation de la moelle épini;ère;, qui l'a laissé tétrapl;égique.;

Libér;é en 1978, Rodney a entrepris des études; et il a obtenu un baccalauréat; ès; arts à la St. Mary's University à Halifax.

Depuis qu'il s'est installé à Fredericton en 1998 il est un membre très; actif de l'association des Casques bleus et de l'association du PPCLI. Ainsi précise-t-il; : « Je suis peut-être; assis toute la journée;, mais je n'aime surtout pas rester assis à ne rien faire. »

Vol. 4, No. 13, 2001



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