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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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How to really splice the main brace


É

pisser le grand bras, une tradition bien particulière;!


By Buzz Bourdon

Sometimes described as the most traditional of the three CF elements, the Maritime Command observes many of the customs the Royal Canadian Navy inherited from Britain's Royal Navy.

On rare occasions, the ancient custom of splicing the main brace is still observed in Her Majesty's Canadian Ships and shore establishments to celebrate an important anniversary. The tradition, which can only be authorized by the Queen or another member of the royal family, the Governor General of Canada or the Chief of the Defence Staff, ensures that every member of a ship's company is issued two and a half ounces of rum.

The expression "splicing; the main brace" dates from the 18th century, when sailing wooden ships took enormous strength and physical dexterity. Splicing the main brace, which took great skill and speed, meant repairing or replacing this heavy and vital piece of rigging. It was needed to trim the mainsail to "a; particular angle relative to the direction of the wind and the course to be steered," wrote E. C. Russell in Customs and Traditions of the Canadian Armed Forces.

Another old naval tradition is "manning; the side," which occurs when a ship's captain greets distinguished visitors as they board the ship. Also present is a side party, which consists of four or five sailors, once called side boys. A chief or petty officer is also present with a bosn's call to pipe the dignitary aboard.

"Manning; and cheering ship" is a very old naval custom, which occurs when a ship's company honours a dignitary.

During the era of sailing ships, sailors manned the yards and rigging up to the mastheads. Today, a ship's company lines the rails of the upper deck and gives three cheers as the dignitary departs the ship, or sails past the ship paying the compliment in another ship.

The venerable tradition of "make; and mend" means suspending the normal routine of a ship to give its company a half-day holiday. This custom dates from the 18th century when sailors used the occasion to wash and mend their clothing.

Image: Sgt G. F. Fairbrother

par Buzz Bourdon

Décrit; parfois comme l'él;ément; le plus traditionnel des FC, le Commandement maritime observe bon nombre des coutumes dont la Marine royale du Canada a hérit;é de la Marine royale britannique.

En de rares occasions, l'ancienne coutume consistant à « épisser; le grand bras » est encore observée; à bord des navires et des établissements; à terre canadiens de Sa Majesté pour cél;ébrer; un év;énement; ou un anniversaire important. La tradition, qui ne peut être; autorisée; que par la Reine ou un autre membre de la famille royale, le gouverneur gén;éral; du Canada ou le chef d'état-major; de la Défense;, veut que chaque membre d'équipage; reçoive; alors deux onces et demie de rhum.

L'expression remonte au XVIIIe siècle;, époque; où une force et une dextérit;é physique peu communes étaient; requises pour diriger les voiliers de bois. Il fallait beaucoup d'adresse et de vitesse pour « épisser; le grand bras », c'est-à-dire; réparer; ou remplacer ce lourd él;ément; de gréement;, nécessaire; pour

orienter la grand-voile « à un angle particulier par rapport à la direction du vent et au cap à suivre », écrit; E. C. Russell dans Coutumes et traditions des Forces canadiennes.

Une autre vieille tradition navale consiste à aligner l'équipage; « sur le bord » quand le capitaine accueille de distingués; invités; au moment où ils montent à bord. Une équipe; d'accueil composée; de quatre ou cinq marins de l'équipage;, autrefois des mousses, est aussi présente.; Un officier marinier (premier maître; ou maître;) assiste à la cér;émonie;, tandis qu'un maître; d'équipage; rend les honneurs au sifflet aux dignitaires.

En vertu d'une autre coutume navale très; ancienne, l'équipage; d'un navire « se met à la bande » pour saluer un dignitaire. À l'époque; des voiliers, les marins montaient sur les vergues et dans les câbles; jusqu'au sommet des mâts.; Aujourd'hui, les membres d'équipage; s'alignent le long des rambardes du pont supérieur; et lancent trois hourras au moment où le dignitaire quitte le navire, ou quand son navire double celui de l'équipage.;

Enfin, selon la vén;érable; tradition du « quartier libre », l'équipage; suspend ses activités;

réguli;ères; et prend un congé d'une demi-journée.; Cette coutume date du XVIIIe siècle;, époque; où les marins profitaient de l'occasion pour laver et repriser leurs vêtements.;

The ship's company of HMCS Halifax "man the side" while sailing through Halifax harbour on November 7, 1991.

Les membres d'équipage; du NCSM Halifax « se mettent à la bande » au moment où ils arrivent dans le port d'Halifax, le 7 novembre 1991.

April 22, 1915


FOURTH


In Belgium, on the north side of the Ypres salient (an eastward bulge in the Allied line near the city of Ypres), it is late afternoon when a gentle breeze begins to blow from the northeast. This is the opportunity Duke Albrecht of Württemburg;, in command of Fourth German Army, has been waiting for since January, when he received his exciting new weapon: lethal chlorine gas.

All day, the trenches lay quiet as Allied soldiers enjoyed the spring sun and the German gas crews waited for a favourable wind. A French reconnaissance pilot nearly caught a glimpse of the ominous new equipment, but the Germans drove him off just in time with a furious barrage. At about 5 p.m., as the breeze rises, the taps are turned and a heavy, greenish-yellow cloud rolls out of the German trenches and across the Belgian countryside.

The worst of the gas hits the 45th Algerian Division of the French Army, deployed around the village of Langemarck in a forest the troops call Kitchener's Wood. A British Territorial Division to the west and the Canadian Division to the east are also affected. With no idea of the threat, and nothing to counter it if they had, thousands of Allied soldiers fall and hundreds flee, choking and spitting blood. The gas cloud is closely followed by German infantry in cloth respirators, the first ever seen on a battlefield.

Facing their first major

des tirs furieux. Vers 17 h, le vent se lève;, on ouvre les robinets et un épais; nuage jaune verdâtre; se forme depuis les tranchées; allemandes et est porté par le vent dans la campagne belge.

L'attaque au gaz atteint avec le plus

d'intensité la 45e Division algérienne; de l'Armée; française;, déploy;ée; autour de Langemarck dans un boisé qu'on appelle la forêt; de Kitchener. Une division territoriale britannique, à l'ouest, et une division canadienne, à l'est, sont également; touchées.; Des milliers de soldats alliés;, qui n'ont aucune idée; de la menace et qui n'ont aucun moyen de la contrer, s'effondrent, tandis que par centaines, d'autres cherchent à fuir, suffoqués; et crachant le sang. Peu après;, des fantassins allemands munis de respirateurs, les premiers à faire leur apparition sur un champ de bataille, entrent en action.

La Division canadienne, qui participe à son premier engagement majeur, cherche à fermer la brèche; qui s'est formée; dans la ligne alliée.; Les hommes se portent dans la zone affectée; au moment où on constate tous les effets de l'attaque. Le bgén; R. E. W. Turner, VC, envoie déj;à la 3e Brigade canadienne vers l'ouest, du côt;é de Saint- Julien, lorsque le commandant divisionnaire, le lgén; E. A. H. Alderson, ordonne l'attaque afin de reprendre la forêt; de Kitchener. L'attaque échoue; et les pertes sont lourdes. La deuxième; bataille d'Ypres fait rage pendant deux semaines encore et les pertes pour la Division canadienne seront de 6000 morts ou blessés.;

Image

DIMENSION

QUATRIÈME; DIMENSION


/ Réviseure; (anglais), DGAP

By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA

22 avril 1915


engagement but determined to close the gap in the line, the Canadian Division moves into the disaster area just as the effects of the gas are fully realized. Brigadier-General R. E. W. Turner, VC, is already moving the Canadian 3rd Brigade west into St-Julien when the divisional commander, Lieutenant-General E. A. H. Alderson, orders a full attack to retake Kitchener's Wood. It fails, with heavy losses. The second battle of Ypres continues for three weeks, and eventually costs the  
Canadian Division more than 6000 casualties.

Image: Imperial War Museum

En Belgique, du côt;é nord du saillant d'Ypres (partie du front allié, près; d'Ypres, qui fait une avancée; vers l'est), l'après-midi; tire à sa fin; un vent léger; se lève; du nord-est. L'occasion que le duc Albrecht de Würtemburg;, commandant de la IVe Armée; allemande, attendait depuis janvier pour utiliser sa nouvelle arme, un gaz mortel au chlore, se présente; enfin.

Pendant toute la journée;, il ne s'est rien passé dans les tranchées; : les soldats alliés; profitent du soleil printanier et les équipes; allemandes se préparent; en attendent le vent favorable. Un pilote de reconnaissance français; vient à un cheveu près; d'apercevoir le nouvel équipement;, mais les Allemands le chas- sent juste à temps par

Western Front, ca. 1915: A trench gas alarm improvised from brass shell casings. Le front de l'ouest, vers 1915. Dispositif d'alerte au gaz de tranchée;, fait à partir de douilles d'obus de laiton.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Centre commémoratif; près; de la plage Juno


D-Day memorial to be built near Juno Beach


par Buzz Bourdon

Un centre commémoratif; qui racontera l'histoire de l'apport des militaires et des

civils canadiens à la cause des Alliés; pendant la Deuxième; Guerre mondiale sera mis sur pied l'an prochain près; des plages de Normandie, en France.

Le Centre de la plage Juno, à Courseulles-sur-Mer, se trouvera à quelques mètres; de l'endroit où les Alliés; ont mené la plus grande invasion de tous les temps. Le 6 juin 1944, les soldats de la 1re Armée; canadienne ont débarqu;é en trombe sur la plage Juno pour attaquer la forteresse des nazis en Europe.

Le centre commémoratif;, qui comprendra un musée; et un centre éducatif;, prévoit; ouvrir ses portes le 6 juin 2002, pour le 58e anniversaire du jour J.

En juillet 2000, la municipalité a donné un site de deux hectares à l'Association de la plage Juno, un organisme à but non lucratif.

Garth Webb, qui a participé au débarquement; avec le 14e Régiment; d'artillerie de campagne,

Bretagne et la France ont depuis longtemps des monuments honorant leur apport. »

Jusqu'à maintenant, l'association a recueilli environ un des cinq millions de dollars nécessaires.; En février;, afin de donner un coup de main, le géant; de la vente au détail;, Wal-Mart Canada, a lancé une campagne de levée; de fonds de 1,5 million de dollars. De plus, l'an dernier, l'association a obtenu une bourse du millénaire; de 209 000 $, et des douzaines de filiales de la Légion; royale canadienne aux quatre coins du pays, ainsi que des écoles;, ont recueilli des fonds dans le cadre de la campagne « achat de brique à 250 $ ».;

Le capv (ret) Ted Davie, l'un des directeurs de l'association, a servi à titre d'officier de marine de 1958 à 1996. Il a visité la Normandie lorsqu'il était; en affectation en Grande-Bretagne et il n'a rien vu sur la contribution du Canada pendant la Deuxième; Guerre. « Nous devons expliquer au monde entier tout ce que le Canada a accompli de 1939 à 1945. »

Sur une population de seulement 14 millions d'habitants, plus d'un million de Canadiens ont servi dans les Forces armées; pendant la Deuxième; Guerre, dont 40 000 qui y ont perdu la vie.

By Buzz Bourdon

A memorial that will tell the story of Canada's military and civilian contributions to the Allied cause during the Second World War will opened next year beside the beaches of Normandy, France.

The Juno Beach Centre, in Courseullessur-Mer, will be just a few metres from where the Allies landed the greatest invasion in history. On June 6, 1944, soldiers of the 1st Canadian Army stormed ashore at Juno Beach to attack the Nazis' Fortress Europe.

Scheduled to open June 6, 2002-the 58th anniversary of the D-Day invasion- the memorial will include a museum and education centre.

The town donated the 2 ha site to the non- profit Juno Beach Association in July 2000.

Garth Webb, a D-Day veteran who hit

the beach with 14 Field Regiment, Royal Canadian Artillery, is the association's president. He had the idea for the memorial in 1996.

"It;'s hard to believe that 56 years after World War II, there is still no significant memorial in Europe that tells the story of Canada's contribution during the war," he said. "Countries; such as the United States, Great Britain and France have long had memorials highlighting their contribution."

So far, the association has raised about $1 million of the $5 million needed. To help out, retail giant Wal-Mart Canada launched a $1.5-million fundraising campaign in February. As well, the association was awarded a Millennium Grant of $209,000 last year, and dozens of Royal Canadian Legion branches across Canada and schools have raised money through the association's $250 buya-brick campaign.

Retired Captain(N) Ted Davie, a director of the association, served as a naval officer from 1958 to 1996. He visited Normandy while stationed in Britain and saw nothing about Canada's contribution to the war. "We; need to tell the world everything Canada did between 1939 and 1945," he said.

Out of a population of only 14 million people, more than 1 million Canadians served in the military during the war. Of those, 40 000 lost their lives.

Artillerie royale canadienne, est président; de l'association. L'idée; du centre commémoratif; lui est venue en 1996.

« Il est difficile de croire, 56 ans après; la Deuxième; Guerre mondiale, qu'il n'existe aucun centre commémoratif; important en Europe qui relate la contribution canadienne pendant cette guerre. Des pays comme les États-Unis;, la Grande-

Image: Public Archives of Canada / Archives publiques du Canada

Débarquement; sur la plage Juno, le 6 juin 1944.

Landing on Juno Beach, June 6, 1944.

Le plus âg;é des soldats quitte l'uniforme


Oldest soldier puts away uniform


par Buzz Bourdon

Le lcol (honoraire) Herbert Rice, le membre le plus âg;é des FC, prend sa retraite à 94 ans. Il se souvient du temps où il pratiquait son nouveau métier; de transmetteur en brandissant des sémaphores.;

En 1922, le jeune Herbert, 15 ans, joint la milice à titre de soldat. Il obtient sa commission d'officier en 1927, et en 1937, le maj Rice est nommé commandant de son unité.; Au cours de la même; année;, il se rend en Angleterre assister au couronnement de George VI. « J'étais; le seul officier des transmissions de tout le contingent canadien. Ma présence; peut s'expliquer, entre autres, par le fait que nos soldats étaient; les meilleurs dans les défil;és.; »

Peu de temps après;, au St. James's Palace, le maj Rice est présent;é au nouveau monarque. Voilà un autre souvenir qui lui est très; cher. « J'y ai pensé maintes et maintes fois. J'ai encore des coupures du Times sur lesquelles figurent les listes des noms des officiers présents; ce jour-là.; »

En 1940, il est appelé dans la Force réguli;ère.; Pendant la Deuxième; Guerre mondiale, il commande des unités; de transmissions en Grande-Bretagne et au Canada. En 1946, le lcol Rice est démobilis;é.;

En 1980, il est nommé lieutenant- colonel honoraire du 705e Escadron des communications, Hamilton, l'unité même; qu'il avait jointe en 1922. Cette unité était; alors connue sous le nom de

14e Compagnie, 2e Bataillon, Corps canadien des transmissions, Milice active non permanente.

Le 17 mars dernier, 160 personnes ont rendu hommage au lcol Rice lors d'un fabuleux dîner; régimentaire; tenu à Hamilton.

Le maj Natalie Harvey, commandant du 705 E Comm Hamilton, a affirmé que le lcol Rice avait eu une profonde influence sur l'unité et ses soldats. « Le lcol Rice s'intéressait; vraiment à nos soldats et il transmettait des bribes de sagesse chaque fois qu'il le pouvait. Je crois qu'il a serré la main de presque tous ceux qui sont passés; par le 705e. »

Le lcol Rice s'est dit heureux de la présence; de tant de convives. « Ça; m'étonne; qu'autant de gens se soient déplac;és; pour un vieux sol  
dat. J'ai passé une merveilleuse journée.; »

By Buzz Bourdon

The oldest CF member is retiring-at the age of 94.

Honorary Lieutenant-Colonel Herbert Rice joined the militia in 1922 as a 15-year- old boy soldier. He remembers practising his new trade of signaller by waving semaphore flags.

He was commissioned in 1927. In 1937 Major Rice was appointed commanding officer of his unit. That year he travelled to England to attend the coronation of King George VI. "I; was the only signals officer in the whole Canadian contingent," he said. "One; of the reasons [they sent me was that] our soldiers were the best on parade," he said.

Shortly afterward, Maj Rice was presented to the newly crowned monarch at St. James's Palace. That also remains a treasured memory. "I; thought about it many, many times," he said. "I; still have a clipping from the Times that lists the names of the officers presented that day."

He was called up into the Regular Force in 1940. During the Second World War he commanded signals units in Britain and Canada. LCol Rice was demobilized in 1946.

In 1980 he was appointed Honorary Lieutenant-Colonel of 705 (Hamilton) Communication Squadron, the unit he first joined in 1922. At that time the unit's designation was No. 14 Company, 2nd Battalion, Canadian Corps of Signals, Non-Permanent Active Militia.

On March 17, 160 people paid tribute to LCol Rice during a glittering mess dinner held in Hamilton.

Major Natalie Harvey, the commanding officer of 705, said LCol Rice had a huge impact on the unit and its soldiers. "Lieutenant-Colonel; Rice had a genuine interest in relating to [our] soldiers, and passed on a nugget of wisdom whenever he could," she said. "I; believe that [he] has personally shaken the hand of almost every single soldier that has passed through the door of 705."

LCol Rice said he was happy to see so many people at the dinner. "I;'m just amazed that so many people came to see an old soldier," he said. "It; was a pleasant day for me."

Au cours d'un dîner; régimentaire; d'adieu, le 17 mars dernier, le commandant du 705 E Comm Hamilton, le maj Natalie Harvey, présente; une ép;ée; gravée; au lcol (honoraire) Herbert Rice, qui prend sa retraite.

CO of 705 (Hamilton) Comm Sqn Maj Natalie Harvey presents retiring Honorary LCol Herbert Rice, 94, with an engraved sword at a farewell mess dinner in Hamilton March 17.

Image: Dan Banko

Vol. 4, No. 14, 2001




La région; de l'Ontario remporte de nouveau le championnat de squash


Texte et photo de Mitch Gillett

Malgré des adversaires individuels solides des différents; coins du pays, l'équipe; de squash de la région; de l'Ontario a pu accumuler suffisamment de points pendant le tournoi pour remporter une deu xième; fois le championnat national par équipe.; L'épreuve; s'est déroul;ée; du 1er au 6 avril à la BFC Borden.

L'équipe; de la région; de l'Ontario,

armée; de puissants joueurs dans la catégorie; « ouvert », a disputé une semaine de squash pratiquement sans faille. Lors du jeu individuel à la fin du tournoi à la ronde, elle a commencé à retourner des

amortis sur la plaque de tôle; ou a tenté de lober des coups brossés; de sorte que la balle soit hors de portée; de l'adversaire.

En bout de ligne, l'équipe; de l'Ontario a terminé avec 103 points

lors du tournoi débouchant; sur les matchs finals dans les différentes; catégories;, suivie de la région; du Québec;  
(85), de la région; de l'Atlantique (68), de la région; des Prairies (63) et de la région; du Pacifique (52).

L'an dernier, dans la compétition; par équipe;, la région; de l'Ontario avait fini en tête; avec 114 points, suivie de la région; de l'Atlantique (95), de la région; du Québec; (78), de la région; des

Image

Prairies (45) et de la région; du Pacifique (29).

Les joueurs de squash de cette année; qui se sont taillés; une place au sein des équipes; régionales; ont fait preuve de maîtrise; et de discipline. Cependant, les joueurs plus expériment;és; ont pu exploiter la ligne du revers avec une parfaite précision;, se déplacer; pour couvrir la première; moitié du terrain, et déjouer; leurs adversaires grâce; à des coups croisés; à l'avant.

Ontario region wins squash championship again


Text and photo by Mitch Gillett

Despite a strong field of individual contenders from different parts of the country, the Ontario region squash team was able to secure enough points in tournament play to win its second national team championship.

The CF National Squash Championship was held April 1-6 at CFB Borden.

The Ontario region team, underscored by strong players in the open category played a week of near-flawless squash. In individual play at the end of the round robin part of the tournament, they started to hit the tin on drop shots or had attempted nick shots come high to give their opponents a loose shot for the kill.

This year's group of squash players that

qualified for a berth on regional teams executed controlled and disciplined games. However, the more experienced players were able to work the backhand line with immaculate precision, move forward to cover the front half of the court, and catch their opponents' wrong- or flat- footed with crosscourt flicks at the front.

In the end, the Ontario team finished with 103 points in tournament play leading to final matches in the different divisions, followed by the Quebec region (85), Atlantic region (68), Prairie region (63) and Pacific region (52).

Last year, in team competition, the Ontario region finished first with 114 points followed by the Atlantic region  
(95), Quebec region (78), Prairie region  
(45) and Pacific region (29).

Maj Joanne MacDonald, of the Quebec region, waits for the ball to reach the top of its bounce before hitting back down the wall during the final game in the women's division of the CF squash championship to defeat defending champion, Capt Melissa Reyes, of the Pacific region.

Durant le match final de la catégorie; « femmes » du championnat de squash des FC, le maj Joanne MacDonald, de la région; du Québec;, attend que la balle rebondisse au maximum, avant de frapper à nouveau le mur et défaire; la championne en titre, le capt Melissa Reyes, de la région; du Pacifique.

Champions de squash dans les catégories; individuelles :


Squash champions in individual categories:


La région; du Québec; rafle le championnat de badminton


Ouvert, hommes : ltv Carl Souchereau, région; du Pacifique

Moins de 30 ans : lt Ken Cheeseman, région; des Prairies

Maîtres; : capt Mike Melnychuk, région; de l'Atlantique

Femmes : maj Joanne MacDonald, région; du Québec;

Men's open: Lt(N) Carl Souchereau, Pacific region  
Under 30: Lt Ken Cheeseman, Prairie region  
Masters: Capt Mike Melnychuk, Atlantic region  
Women's: Maj Joanne MacDonald, Quebec region

par Mitch Gillett

La région; du Québec; a remporté le championnat national de badminton des FC pour la quatrième; fois d'affilée;, accumulant 25 points de plus que sa plus proche rivale. L'épreuve; s'est déroul;ée; du 1er au 6 avril à la BFC Borden.

Lors des matchs enlevants qui ont mené aux parties finales dans les 10 catégories;, la région; du Québec; - représent;ée; par des joueurs de tout le Québec; - a affiché la puissance et la précision; qui ont sou- vent fait défaut; à ses adversaires, lesquels ont dû lutter pour atteindre le

volant et suivre le rythme du jeu.

D'autre part, dans plusieurs joutes au pointage très; serré, alors qu'ils affrontaient des rivaux tout aussi rapides et agiles qu'eux, les joueurs du Québec; ont pu sauter un peu plus haut et mieux juger du moment où conserver le volant en jeu.

Les joueurs du Québec; ont accumulé 110 points lors du tournoi aboutissant aux matchs finals dans les différentes; catégories;, suivis de la région; de l'Ontario (93), de la région; des Prairies  
(82), de la région; de l'Atlantique (48) et de la région; du Pacifique (16).

Gagnants du championnat national de badminton des FC :


Medal winners at the CF National Badminton

Championship:


By Mitch Gillett

The Quebec region secured its fourth straight national CF badminton championship title with 25 more points than its nearest challenger.

The CF National Badminton Championship was held April 1-6 at CFB Borden.

In breathtaking matches leading to final games in 10 divisions, the Quebec region-represented by players from across the province-had the power and accuracy that often left their opponents

struggling to find length and cope with speed of the game.

However, in several close-scoring battles where the Quebec players were equally matched in reaction time and agility, they were able to jump a little higher and had a better eye for when to keep the shuttle in play.

Quebec players finished with 110 points in tournament play leading to the final matches in the different divisions, followed by the Ontario region (93), Prairie region (82), Atlantic region (48) and Pacific region (16).

Ouvert, double : cpl Troy Beers, matc Richard Tremblay, région; du Québec;  
Seniors, double : m2 Lorne Rideout, cpl Randy Boutillier, région; de l'Atlantique  
Maîtres;, double : adjc Simon Berthiaume, maj Pierre Naud, région; de l'Ontario  
Mixte, double : sgt Manon Rhéaume;, slt Benoit Achim, région; des Prairies  
Dames, double : sgt Manon Rhéaume;, sgt Joanna Gilkinson, région; des Prairies Ouvert, simple : slt Benoît; Achim, région; des Prairies  
Maîtres;, simple : sgt Cliff André, région; du Québec;  
Seniors, simple : maj Michael Meraw, région; du Pacifique  
Dames, simple : cpl Nancy Simard, région; du Québec;

Open Doubles: Cpl Troy Beers, MS Richard Tremblay, Quebec region Senior Doubles: PO 2 Lorne Rideout, Cpl Randy Boutillier, Atlantic region Masters Doubles: CWO Simon Berthiaume, Maj Pierre Naud, Ontario region Mixed Doubles: Sgt Manon Rhéaume;, 2Lt Benoit Achim, Prairie region Ladies Doubles: Sgt Manon Rhéaume;, Sgt Joanna Gilkinson, Prairie region Open Singles: 2Lt Benoit Achim, Prairie region  
Masters Singles: Sgt Cliff André, Quebec region  
Senior Singles: Maj Michael Meraw, Pacific region  
Ladies Singles: Cpl Nancy Simard, Quebec region

Quebec region nets badminton championship


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