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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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On se voit au mess?


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

1er juin 1866

À 3 h du matin, quelque 800 Fenians sous le commandement du gén; John O'Neill traversent la rivière; Niagara à partir de Buffalo (New York) et occupent le village de Fort Erie, dans le Canada-Ouest. L'arrivée; des Fenians ne surprend per

sonne : prévenus; par leurs espions, les villageois ont caché leurs véhicules; et leurs animaux de trait. Proclamant qu'ils ne sont venus « ni en tant que meurtriers ou voleurs, ni pour piller ou spolier, mais en tant qu'armée; de libération; irlandaise », les Fenians détruisent; le pont ferroviaire et coupent la ligne tél;égraphique.;

À Toronto, le mgén; George Napier, aver- ti par le consul britannique à Buffalo, ordonne la mobilisation de l'armée; - miliciens volontaires et effectifs britanniques en activité - afin de repousser l'invasion et protéger; le canal Welland.  
À 6 h, le 2e Bataillon de Toronto (déj;à connu comme The Queen's Own Rifles) et le  
13e Bataillon d'Hamilton embarquent pour Fort Erie, tandis que les troupes britan  
niques se dirigent vers Chippawa afin de défendre; les écluses; du canal, puis vers Stevensville, à 10 km au nord de la gare de Ridgeway, pour y rencontrer la colonne de mili  
ciens. Lorsque le gén; O'Neill apprend qu'il devra affronter deux colonnes d'infanterie, il décide; de forcer la colonne de miliciens à se rabattre et prend position à 5 km au nord de Ridgeway.

Le 2 juin, à 6 h du matin, la colonne de miliciens marche vers le nord à partir de Ridgeway, sous le commandement du lcol Alfred Booker, du 2e Bataillon. Lorsque des éclaireurs; fenians montés; apparaissent à l'horizon, le lcol Booker croit qu'une charge de cavalerie est imminente et ordonne à ses troupes sans expérience; de former un carré.; La confusion s'ensuit. Les Fenians reconnaissent la belle occasion qui leur est offerte et lancent une charge à la baïonnette; qui chassent les bataillons de miliciens en faisant 10 morts et 38 blessés.;

Quoique leurs propres pertes soient faibles et leurs opposants en déroute;, les Fenians se retirent immédiatement; en traversant la rivière; et se dispersent : ils ont rompu plusieurs traités; de neutralité, et l'Armée; américaine; approche.

Image: Archives of Ontario / Archives de l'Ontario

Soldats du 2e Bataillon, The Queen's Own Rifles de Toronto, 1866.

1866: Soldiers of the 2nd Battalion 'The Queen's Own Rifles of Toronto'.

June 1, 1866


At 3 a.m., about 800 Fenians under General John O'Neill cross the Niagara River from Buffalo, N.Y., and occupy the village of Fort Erie, Canada West. The Fenians' arrival is no surprise: warned by spies in the Fenian camp, the villagers have hidden their vehicles and draught animals. Proclaiming that they are "here; neither as murderers, nor robbers for plunder and spoliation, [but] as an Irish army of liberation," the Fenians destroy the railway bridge and cut the telegraph line.

Warned by the British consul in Buffalo, Major-General George Napier in Toronto orders out the army-both Volunteer Militia and British regulars-to repel the invasion and protect the Welland Canal. At 6 a.m., the 2nd Battalion from Toronto (already known as Queen's Own Rifles) and the 13th Battalion from Hamilton embark for Fort Erie, while the British troops head, first to Chippawa to set up defences for the canal locks, and then to Stevensville, about 10 km north of the train station at Ridgeway, to meet the militia column. When Gen O'Neill finds out that he is facing two infantry columns, he decides to head off the militia column, and takes up a position about 5 km north of Ridgeway.

At 6 a.m. on June 2, the militia column marches north from Ridgeway under the command of Lieutenant-Colonel Alfred Booker of the 2nd Battalion. When mounted Fenian scouts appear to their front, LCol Booker believes a cavalry charge is coming and orders his inexperienced troops to form a square. Confusion ensues.The Fenians recognize an opportunity when they see one, and they launch a bayonet charge that drives the militia battalions off the field with 48 casualties: 10 killed and 38 wounded.

Although their own losses are light and their opposition is in disarray, the Fenians immediately withdraw across the river and disperse: they have broken several neutrality treaties, and the U.S.Army is closing in.

Texte et photo de Buzz Bourdon

Longtemps considér;és; comme une tradition militaire fondamentale, les mess des FC continuent de jouer un rôle; fonctionnel de club social et de lieu de restauration. Par tradition, ils sont au coeur de la vie sociale des unités;, des stations, des bases et des navires.

Dériv;é du mot latin missum, l'ancien mot français; mes désignait; un plat de service pouvant contenir des aliments pour quatre personnes. Par la suite, il a désign;é un groupe de quatre personnes qui s'assoyaient habituellement ensemble et qui se servaient dans le même; plat. De là l'origine du mot mess.

Au cours du XVIIIe siècle;, les mess des officiers ont commencé à faire leur apparition dans l'armée; britannique. Au fil du temps, les mess sont devenus des endroits où se développaient; l'esprit de camaraderie et l'esprit de corps régimentaire; dans une ambiance détendue; et amicale.

Comme l'écrivait; E. C. Russell dans Coutumes et traditions des Forces armées; canadiennes, le mess est l'endroit où « ce mélange; d'autorité et de respect mutuel, d'amitié et de partage enjoué de l'expérience; contribue tellement à l'esprit de corps et à la fierté de servir.Tout ce concept est unique dans la vie militaire. »

Les FC ont trois mess distincts détermin;és; en fonction du grade : le mess des officiers, le mess des adjudants et sergents ou mess des premiers maîtres; de 1re classe et des officiers mariniers et le Club de la troupe.

Au Commandement maritime, le mess des officiers porte le nom de carré des officiers, terme qui remonte à la période; des voiliers. Le carré était; alors une salle qui servait à entreposer les articles de valeur confisqués; à l'ennemi. Située; près; des cabines des officiers, cette pièce; servait de mess, de là l'appellation carré des officiers.

Dans certaines unités; plus petites des FC, les officiers et militaires du rang partagent le même; mess. Certains manèges; militaires de la Réserve; qui logent plus d'une unité ont aussi des mess communs. Par exemple, les trois mess du Royal Montreal Regiment partagent leurs locaux avec le 712e Escadron des communications, Montréal.;

Avec le temps, de nombreux mess des FC ont accumulé de splendides collections de peintures, de pièces; d'argenterie et autres objets précieux.; Le mess des officiers du Queen's Own Rifles of Canada de Toronto dispose d'une collection d'huiles sur toile représentant; chaque commandant en poste de 1860 à 1937.

Image: The Officers' Mess of Montréal;'s Canadian Grenadier Guards.Le mess des officiers des Canadian Grenadier Guards de Montréal.;

Meet me at the mess


Text and photo by Buzz Bourdon

Long venerated as a vital military tradition, CF messes retain a functional role as social and dining clubs.They are traditionally the centre of social life for units, stations, bases and ships.

Derived from the Latin word missum,the Old French word mes meant a serving dish holding food for four people. This later meant a group of four who habitually sat together and helped themselves from the same dish, hence a mess.

During the 18th century, officers' messes began to appear in the British army. Over time messes became a place where comradeship and regimental esprit de corps flourished in an informal and friendly atmosphere.

As E. C. Russell wrote in Customs and Traditions of the Canadian Armed Forces, the mess is where "that; blending of authority and mutual respect, of friendship and good- humoured sharing of experience, contributes so much to pride in service. This whole concept is something unique to the military."

The CF maintains three separate messes according to rank: The Officers' Mess, the Warrant Officers' and Sergeants' Mess or Chief and Petty Officers' Mess, and the Junior Ranks Club.

In Maritime Command, the officers' mess is called the wardroom, a term that dates from the era of sailing ships.The ward robe was a room used to store valuable items captured from the enemy. Located near the officers' cabins, this room was used by the ship's officers as a mess, hence wardroom.

In some smaller CF units, the officers and senior non-commissioned members share the same mess. Some Reserve armouries that house more than one unit also feature combined messes. For example, the three messes of The Royal Montreal Regiment share their space with 712 (Montreal) Communication Squadron.

Over the years, many CF messes have accumulated splendid collections of paintings, silver and other precious artifacts. The Officers' Mess of Toronto's Queen's Own Rifles of Canada has a collection of oil paintings portraying each commanding officer from 1860 to 1937.

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Une réussite; de la COCIM


CIMIC success story


par le capt Nicolas Pedneault

TOMISLAVGRAD, Bosnie-Herzégovine; - À une époque; où la Yougoslavie était; encore considér;ée; comme un pays dont les habitants vivaient plutôt; en harmonie, le village de Malovan était; réput;é pour la qualité de son fromage. Aujourd'hui, on le connaît; comme l'emplacement d'un nouveau projet COCIM (coopération; civils-militaires).

De 1990 à 1995, les Serbes qui vivaient à Malovan ont ét;é expulsés; de leurs maisons, ne disposant parfois que de quelques secondes pour ramasser leurs effets personnels. La plupart d'entre eux ont fui vers le nord et l'est de la Bosnie. Après; la guerre et la proclamation de l'Accord de paix de Dayton, d'anciens résidants; de Malovan ont remballé leurs effets et sont retournés; chez eux.

Ces gens courageux ont retrouvé leur vieux village en ruine. Il n'y avait ni électricit;é ni eau courante et, pire encore, certains secteurs de Malovan avaient ét;é lourdement minés.; Les édifices; de l'infra- structure locale et des services publics avaient ét;é détruits; ou gravement endommagés.; Avant la guerre, les habitants de Malovan se rendaient à Kupres, village croate voisin, pour y obtenir des services médicaux;, ce qui ne peut plus se faire en raison de l'amertume que vivent les deux côt;és; en cette après-guerre.;

Heureusement pour les gens de Malovan, une organisation non gouvernementale appelée; l'UMCOR (United Methodist Committee on Relief) a ouvert un bureau dans la région.; L'UMCOR a établi; le besoin de services médicaux; à Malovan et, grâce; à des donateurs américains;, y a construit une clinique.

Alors que des rivalités; ethniques menaçaient; la bonne marche de la clinique, le gestionnaire de projet de l'UMCOR,Vince Steur, a demandé de l'aide à la SFOR par l'entremise de la cellule COCIM à Tomislavgrad. La cellule COCIM a communiqué avec le médecin; afin de s'enquérir; de ce qui pouvait être; fait pour la clinique, désormais; connue sous le nom de Malovan Ambulanta.

Le médecin;, le capt Sean Comstock, et son personnel ont montré beaucoup d'enthousiasme à l'égard; du projet. Une entente a ét;é conclue : la SFOR fournirait des services médicaux; à la Malovan Ambulanta à raison d'une demi-journée; par semaine au  
cours des deux prochains  
mois. La cellule COCIM, quant  
à elle, en collaboration avec l'UMCOR, verrait à trouver du personnel local pour la  
clinique.

La clinique a ouvert ses portes le 25 avril, avec le concours d'une infirmière; de l'endroit, Branka Maric, et celui du personnel

By Capt Nicolas Pedneault

TOMISLAVGRAD, Bosnia-Herzegovina - At a time when Yugoslavia was still a recognized country whose residents lived in relative harmony, the village of Malovan was well known for the quality of its cheese.Today it is known also as the site of a successful new civil-military cooperation (CIMIC) project.

From 1990 to 1995, Serbs living in Malovan were forced out of their homes, sometimes with just seconds to pack up their belongings. Most of the expelled residents fled to the north and east of Bosnia. After the war and the proclamation of the Dayton Accord, some former residents of Malovan packed up their belongings one more time and went back to their old homes.

These courageous people found their old village in ruins.The electrical wires had been cut, there was no running water and, even worse, some parts of Malovan were heavily mined. Local infrastructure and public utilities buildings had been destroyed or heavily damaged. Before the war, people from Malovan went to the neighbouring Croat village of Kupres for medical services.This is no longer practical because of post-war bitterness on both sides.

Fortunately for the people of Malovan, a non-governmental organization called UMCOR (United Methodist Committee on Relief) established an office in the region. UMCOR identified the need for medical services in Malovan and, with the money of American donors, it built a clinic.

When ethnic rivalries threatened the clinic's success, UMCOR project manager Vince Steur approached SFOR for help through the CIMIC cell in Tomislavgrad. The CIMIC cell contacted the Medical Officer to see what could be done for the clinic, now known as the Malovan Ambulanta.

Medical Officer Captain Sean Comstock and his staff demonstrated a lot of enthusiasm for the project. An agreement was reached: SFOR was to provide medical services in the Malovan Ambulanta half-aday a week for the next two months.The CIMIC cell, in co-operation with UMCOR, would search for local staff members to operate the clinic.

The clinic opened April 25 with the help of a local nurse, Branka Maric, and the Tomislavgrad medical staff. Six patients visited Capt Comstock that first day. "It;'s an opportunity to practice some real medicine for people who need it," he said.

The Malovan Ambulanta is an example of civil-military co-operation between UMCOR and SFOR. It also demonstrates the generous spirit of the Camp Normandy - Tomislavgrad Unit Medical Station (UMS).The people of Malovan now have a safe and secure location where they can access free medical services.

People interested in supporting the Malovan Ambulanta may contact Capt Nicolas Pedneault through email at sfor_cimic_tsg22@hotmail.com Capt Pedneault is the CIMIC O, Para Coy.

Image: Sgt Vince Streimer, Combat CameraCapt Sean Comstock

médical; de

Tomislavgrad. Le premier jour, six patients ont consulté le capt Comstock. « C'est l'occasion de pratiquer la vraie médecine; pour des gens qui en ont besoin », de dire ce dernier.

La clinique Malovan Ambulanta constitue un exemple de coopération; civils-militaires entre l'UMCOR et la SFOR. Elle montre également; l'esprit de gén;érosit;é du poste sanitaire d'unité Camp Normandy - Tomislavgrad. Les gens de Malovan disposent désormais; d'un endroit sûr; et sans danger où obtenir des services médicaux; gratuits.

Les gens qui voudraient aider la clinique Malovan Ambulanta peuvent communiquer avec le capt Nicolas Pedneault par courriel à sfor_cimic_tsg22@hotmail.com

Le capt Pedneault est l'O COCIM, Cie de parachutistes.

Un club de karaté vient en aide à des enfants


Karate club helps kids


Cpl Roland Bourque, a weapons technician on deployment in Eritrea, plays frisbee with a group of school students in Adi Nebri.

Le cpl Roland Bourque, technicien d'armes en mission en Érythr;ée;, joue au frisbee avec un groupe d'écoliers; d'Adi Nebri.

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that could double as a fundraiser for sports equipment. Near the end of the tour, the karate students would aim to complete the traditional night practice and get sponsorship.

"Back; in ancient Japan, karate was illegal," said WO Wilde. "So; people practised in secret at night...The night practice is traditionally

Texte et photo du capt Laura Oberwarth

ADI NEBRI, Érythr;ée; - Les véhicules; du peloton de reconnaissance passent presque tous les jours devant une école; primaire où l'on voit des enfants qui jouent avec des

bâtons;, des jouets en chiffon et de vieux ballons dégonfl;és.;

« Cette scène; a piqué ma curiosité », nous explique l'adj Chris Wilde, adjudant du peloton et père; de deux jeunes enfants.

L'adj Wilde, un instructeur de karaté, a décid;é que les enfants d'Adi Nebri avaient besoin d'équipements; de sport et qu'il pouvait les aider. Pendant ses temps libres, il enseigne le karaté aux autres soldats canadiens.

Au début; de la mission, les mordus de karaté ont adjoint un objectif spécial; au programme d'entraînement; qui leur a permis du même; coup de collecter des fonds pour l'achat d'équipements; de sport.Vers la fin de leur période; de service, les étudiants; en karaté devaient exécuter; le traditionnel exercice de nuit en se faisant parrainer.

« Anciennement, au Japon, le karaté était; illégal;, explique l'adj Wilde, si bien que les gens s'entraînaient; la nuit en secret... L'exercice de nuit est tradition- nellement très; difficile. Les participants doivent exécuter; 1000 mouvements en 45 minutes environ. »

Au

tough.

Participants must execute 1000 techniques in approximately 45 minutes."

At the beginning of the fifth month of the mission, six karate students achieved their goal and raised $370 (US). With pleasure, they delivered frisbees, soccer balls, volleyballs, basketballs and nets to Adi Nebri schoolchildren, who put them to immediate use.

The karate students had some money left over, which they plan to use for sports equipment for other schools in their area of operations.

"I; felt deeply satisfied that we could help out these students, who had so little," said WO Wilde. "It; was great being able to see them playing with the sports equipment and looking so happy, knowing that we were a part of that."

Capt Oberwarth is the TFEA Public Affairs Officer.

very

début; du cinquième; mois de la mission, six étudiants; en karaté ont atteint leur objectif et ont amassé 370 $US. Ils ont eu le plaisir de livrer des frisbees, des ballons de soccer, de volley-ball et de basket-ball, ainsi que des filets aux écoliers; d'Adi Nebri, qui s'en sont servi immédiatement.;

Les étudiants; en karaté ont encore un peu d'argent qu'ils ont l'intention d'utiliser pour acheter des équipements; de sport aux autres écoles; de leur secteur d'opérations.;

« Je suis heureux que nous ayons pu aider ces écoliers;, qui n'ont pratiquement rien, avoue l'adj Wilde. C'était; fantastique de les voir jouer avec leurs nouveaux équipements; de sport. Ils avaient l'air si heureux! »

Le capt Oberwarth est l'OAP de la FOAE.

Text and photo by Capt Laura Oberwarth

ADI NEBRI, Eritrea - Recce Platoon drives by the junior school here nearly every day and sees children playing with sticks, rag toys and old deflated balls.

"That; sparked my interest," said Warrant Officer Chris Wilde, the platoon WO and father of two small children.

WO Wilde, a karate instructor who teaches soldiers during his spare time on tour, decided the children in Adi Nebri needed some new sports equipment and he could help.

At the beginning of the mission the karate enthusiasts set a special training goal

Vol. 4 No. 20 * 2001


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